mercredi 25 juillet 2007

le testament d'Albue Dumbeldore suite....

Hermione et Ron secouerent la tête, pale.

« Je m'ouvre à l'étroit… à l'étroit… Je m'ouvre à l'étroit… »

Mais aussi souvent qu’il repeterent ces mots, avec beaucoup de différentes intonations, ils n’en

trouvait pas plus de signification.

« Et l'épée, » dit Ron enfin, quand ils avaient enfin abandonné leurs tentatives de deviner la

signification de l’inscription du vif-d’or.

« Pourquoi voulait-il que Harry ait l’épée ? »

« Et pourquoi ne pouvait-il pas juste me le dire ? » dit Harry tranquillement. « Elle etait la, elle etait

sur le mur de son bureau pendant tous nos entretiens l'année dernière ! S'il voulait que je l'ai,

pourquoi ne me l'a-t-il pas juste donné alors ? «

Il s'est se sentait comme durant un examen face a une question devait repondre mais que son

cerveau restait mou et insensible. Y avait-t-il quelque chose qu’il avait raté pendant tous ses longs

entretiens avec Dumbledore l’an passé? Devait-il savoir tout ce que cela signifié? Dumbledore s'étaitil

attendu à ce qu'il comprenne ?

« Et quant à ce livre. » dit Hermione, « les contes de Beedle le barde »… j'ai jamais même entendu

parler d’eux ! »

« Tu n'a jamais entendu parler des contes de Beedle le barde ? » dit Ron incrédule. « Tu plaisante

c’est ca ? »

« Non, je ne plaisante pas, » dit Hermione surprise. « Toi tu les connait ? »

« Ben, naturellement que je les connais »

Harry leva les yeux, amusé. La circonstance de Ron ayant lu un livre que Hermione n'avais jamais lu

était sans précédent. Ron, cependant,sembla stupéfié de leur surprise.

« OH aller ! Les histoires de tous vieux enfants sont censés connaitre ? « La fontaine de la fortune »…

« le sorcier et le pot de l’espoir »… « Babbitty Rabbitty et ses chicots caquetants »… »

« Excuse-moi ? » dit Hermione riant nerveusement. « C’était quoi le dernier ? »

« Aller laissez tomber ! » ldit Ron, semblant incredule face a Harry et Hermoine. « Vous devez avoir

entendu parler de Babbitty Rabbitty - »

« Ron, tu sais très bien que Harry et mi avons été elevés par des Moldus ! » dit Hermione. « Nous

n'avons pas entendu des histoires comme cela quand nous étions petits, nous on ecoutait « la

Blanche Neige et les sept nains » et « Cendrillon » - »

« c’est quoi ça, une maladie ? » demanda Ron .

« Donc c’est aussi une histoire pour enfants ? » demanda Hermione, se penchant au dessus des

runes.

« Ouais. » dit Ron incertain. « Je veux dire, Tout ce que vous entendez, vous voyez, vient de toutes

ces vieilles histoires de Beedle. Sais pas a quoi ressemblent les edition originales. «

« Mais je me demande juste pourquoi Dumbledore a pensé que je devrais les lire ? »

Quelque chose craqua en bas des marches.

« Probablement juste Charlie, maintenant maman est endormie, s’eclipsant pour refaire pousser ses

cheveux , » dit Ron nerveusement.

« Tous les mêmes, nous devrions nous couché, » chuchota Hermione. « Je ne voudrait pas etre a

moitié endormi demain. »

Non, en convenu Ron. « Un violent triple meurtre par la mère du marié pourrait mettre un peu

refroidir sur le mariage. J'etteind la lumière. «

Et il cliqua sur l’Etegnoir une fois de plus lorsque Hermione quitta la chambre.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

chapitre 7 La volonté d’Albus

La volonté d'Albus Dumbledore



Il marchait le long d'une route de montagne dans la lumière bleue et fraîche de l'aube. Non loin de là, enveloppée dans la brume, s’étendait l’ombre d’une petite ville. L'homme qu'il pouvait sentir d’ici, l'homme dont il avait tellement besoin qu’il ne pouvait penser a rien d’autre, l'homme qui détenait la réponse, la réponse à son problème… ?
« Ohé, réveille toi. »
Harry ouvrit les yeux. Il était encore étendu dans le lit de camp de Ron. Le soleil ne s'était pas encore levé et la chambre était encore sombre. Coquecigrue était endormi, sa tête sous son aile minuscule. La cicatrice sur le front de Harry picotait.
« Tu murmurais dans ton sommeil. »
« c’est vrai ? »
« Ouais. « Gregorovitch. » T’as pas cessé de dire « Gregorovitch. » «
Harry ne portait pas ses lunettes ; Le visage de Ron apparaissait légèrement brouillé.
« Qui est Gregorovitch ? »
« Sais pas » « C’est toi qui le disait »
Harry se frotta le front, réfléchissant. Il avait la vague impression d’avoir déjà entendu ce nom auparavant, mais il n’aurait su dire où.
« Je pense Voldemort le cherche. »
« pauvre gars, » dit Ron vivement.
Harry se redressa, frottant toujours sa cicatrice, maintenant parfaitement éveillée. Il essaya de se rappeler exactement ce qu'il avait vu dans le rêve, mais tout ce qui lui revenait étaient un horizon montagneux et le contour du petit village au sein d’une vallée profonde.
« Je pense qu'il est à l'étranger. »
« Qui, Gregorovitch ? »
« Voldemort. Je pense qu'il est quelque part à l'étranger, en train de chercher Gregorovitch. Ca ne ressemblait a aucun lieu en Grande-Bretagne. «
« Tu recommences encore à voir dans son esprit ? »
Ron paraissait inquiet.
« Fais-moi une faveur et ne le dit pas à Hermione, » dit Harry. « Alors qu’elle s’attend à ce que je cesse de voir des trucs dans mon sommeil… »
Il a regardé fixement vers le haut la petite cage de Coquecigrue, réfléchissant… pourquoi le nom de « Gregorovitch » lui était familier ?
« Je pense, » il dit-il lentement, « il a quelque chose a voir dans le Quidditch. Il y a un certain lien, mais je ne peux pas--Je ne peux pas dire lequel. «
« le Quidditch ? » dit Ron. « Tu ne penses pas à Gorgovitch ? »
« Qui ? »
« Dragomir Gorgovitch, poursuivant, transféré aux Canons de Chudley pour un salaire records depuis 2 ans. Le détenteur du record pour le plus grand nombre de buts de souafle en une saison.
« Non, » dit Harry. « Je ne pense certainement pas à Gorgovitch. »
« J'essaye pas non plus, » dit Ron. « Bien, joyeux anniversaire de toute façon. »
« Wow -- c'est vrai, j'avais oublié ! J'ai dix-sept ans ! «
Harry saisit la baguette magique qui se trouvait près de son lit de camp, se dirigea vers le bureau encombré où il avait laissé ses lunette, et dit, « Accio lunettes! » Bien qu'elles étaient à quelques centimètres de distance, il y avait quelque chose de satisfaisant a la vue de les voir voler vers lui, du moins jusqu'à ce qu’elles heurtent son oeil.
« Trop facile, » renifla Ron.
Se révélant à la disparition de la Marque, Harry envoya les objet de Ron voler à travers la pièce, réveillant Coquecigrue qui flotta enthousiasmé autour de sa cage. Harry essaya aussi de faire le nœud de ses chaussures par magie (le noeud qui en résultat pris plusieurs minutes a être défait) et, purement pour le plaisir, changea les robes orange du poster des Canons de Chudley en bleu vif.
« J’exécuterait tes vols à la main, mais bon » avisa Ron à Harry, riant sous cape quand Harry se tourna vers lui. « Voila ton cadeau. Ouvre le dans les air, c’est pas pour les yeux de ma mère. «
« Un livre ? » dit Harry quand il pris le colis rectangulaire. « C’est un peu loin de la tradition, n'est-ce pas? »
« Ce n'est pas un livre ordinaire, » dit Ron. « C’est de l’or pur : Douze manières fiables de charmer des sorcières. Explique tout ce que tu veux savoir des filles. Si seulement j'avais eu ça l’année dernier j'aurais su exactement comment me débarrasser de lavande et su comment sortir avec… Bien, Fred et George m'ont donné un exemplaire, et j'en ai beaucoup appris. Tu serrais étonné, ce n’est pas du tout au sujet du travail de baguette, non plus. «
Quand ils arrivèrent dans la cuisine ils trouvèrent une pile de cadeaux qui attendait sur la table. Bill et Monsieur Delacour finissaient leurs petits déjeuners, alors que Mme. Weasley bavardait avec eux par-dessus sa poêle à frire.
« Arthur m'a dit de te souhaiter un joyeux dix septième anniversaire, Harry, » dit Mme. Weasley, rayonnante. « Il a dû partir tôt pour le travail, mais il sera de retour pour le dîner. C'est notre cadeau qui est au dessus. »
Harry s'assit, prit le colis carré qu'elle lui avait indiqué, et le déballa. À l'intérieur il y avait une montre très semblable a celle qu’ils avaient offerts pour les 17 ans de Ron ; elle était en or, avec des étoile dans cadrant a la place des aiguilles.
« C’est une tradition d’offrir à un sorcier une montre lorsqu’il atteint l’âge, » dit Mme. Weasley, l'observant anxieusement près de la cuisinière. « J'ai bien peur que celle-ci ne soit pas nouvelle comme celle de Ron, elle appartenait a mon frère Fabian et il ne faisait pas attention du tout a ses biens, elle est un peu bosselé sur le dessus, mais… »
Sa phrase se perdit.

Harry se leva et l'étreignit. Il essaya de mettre beaucoup des choses qui étés inexprimées dans l'étreinte, et peut être les a-t-elle comprises, parce qu'elle tapota sa joue maladroitement lorsqu'il la libéra, elle ondula alors sa baguette magique d'une manière légèrement aléatoire, causant la chute de la moitié du paquet de bacon de la poêle sur le sol.
- " Joyeux anniversaire, Harry ! " dit Hermione, s'empressant d'entrer dans la cuisine pour ajouter son propre présent au dessus de la pile. " C'est pas grand chose mais j'espère que tu appréciera, que lui as-tu offert ? " ajouta t'elle à l'adresse de Ron, qui ne sembla pas l'avoir entendue.
- " Allez, ensuite, c'est à celui d'Hermionne ! " s'exclama Ron
Elle lui avait offert un nouveau Sneakoscope . Les autres paquets contenaient un rasoir magique venant de Bill et Fleur " Ah oui, il te donnera le rasage le plus doux qui soit " lui assurait Monsieur Delacour « mais tu dois lui dire très clairement ce que tu veut.... sinon tu pourrais constater que tu as un peu moins de cheveux que tu ne le voudrais «, des chocolats offerts par les parents Delacour et une énorme boite venant de la boutique de Fred et George.
Harry, Ron, et Hermione ne s'attardèrent pas à table, car l'arrivée de Madame Delacour, Fleur, et Gabrielle eu comme conséquence de sur peupler la cuisine.
-" J'emballerai ça pour toi, " dit Hermione gaiement, en prenant les cadeaux des bras de Harry pendant que tout trois remontaient à l'étage. " C'est presque fini, je dois juste attendre que le reste de tes sous-vêtements soit propre, Ron- ... "
Le bredouillement de Ron fut interrompu par l'ouverture d'une porte au premier étage.
-" Harry, tu veut bien entrer un instant ? "
C'était Ginny. Ron s'immobilisa subitement, mais Hermione pris Harry par le coude et la poussa vers le haut des escaliers. Se sentant nerveux, Harry suivi Ginny dans sa chambre.
Il n'était jamais entré auparavant. C'était petit, mais lumineux. Il y avait un grand poster du groupe magique les Bizarr Sisters sur un mur, et une photo de Gwenog Jones, capitaine de l'équipe de Quidditch les Harpies de Holyhead, sur l’autre. Un bureau se tenait en face de la fenêtre ouverte, de laquelle on pouvait apercevoir le verger où lui et Ginny avaient par le passé joué un deux-contre-deux contre Ron et Hermionne, dans une partie de Quidditch. Et qui maintenant hébergeait un majestueux chapiteau nacré de blanc. Le drapeau doré se trouvant au-dessus était au même niveau que la fenêtre de Ginny.
Ginny leva les yeux vers le visage de Harry, pris un souffle profond, et dit " Bon anniverssaire Harry "
-" Ouais...merci "
Elle le regardait fixement, lui cependant, trouvait difficile de lui retourner son regard, c'était comme s’il était observé dans une lumière éblouissante).
" Belle vue " dit il faiblement en montrant la fenêtre.
Elle l’ignora. Il ne pourrait pas la blâmer.
-"Je ne sais pas quoi t'offrir", dit-elle
-" Tu n'as pas besoin de m'offrir quoi que ce soit "
Elle ne tint pas compte de cette remarque aussi.
-" Je ne savais pas ce qui pourrait être utile. Rien de trop grand, parce que tu n'aurais pas pu le prendre avec toi. "
Il prit le risque d'un coup d'oeil vers elle. Elle ne pleurait pas, c'était l'une des nombreuses qualités de Ginny, elle n'était pas pleurnicharde. Il avait parfois pensé qu'avoir six frères avait dû la renforcer.
Elle se rapprocha un peu plus de lui.
-" Donc j'ai pensé , je voudrais que tu aies quelque chose qui te rappelle moi, tu sais, si tu rencontres une quelconque vélane lorsque tu iras faire tout ce que tu as à faire "
« Je pense que tu auras beaucoup de belles occasions de le faire, pour être honnête . »
« C’est l’occasion en or que je cherchais, chuchota-t-elle, et alors elle l'embrassa comme elle ne l'avait jamais embrassé auparavant, et Harry l'embrassait en retour, et c'était plus divin état d’oubli que le Whisky pur feu ; elle était la seule vraie chose dans le monde, Ginny, son odeur, dans son dos et leur longueur, l'odeur agréable de ses cheveux--
La porte s’ouvrit a la volée et ils sautèrent loi l’un de l’autre.
« Oh, » dit Ron de façon cinglante. « Désolé. »
« Ron ! » Hermione était juste derrière lui, légèrement hors d’haleine. Il y eu un silence tendu, alors que Ginny dit d’une petite voix plate,
« , joyeux anniversaire de toute façon, Harry. »
Les oreilles de Ron étaient écarlates ; Hermione semblait nerveuse. Harry voulu leur claquer la porte au visage, mais elle se sentit comme si il avait une douche froide lorsque la porte s’était ouverte, et son instant brillant avait éclaté comme une bulle de savon. Toutes les raisons du monde de finir sa relation avec Ginny, pour rester loin d’elle, semblaient avoir fondu dans cette chambre, et avec Ron tous ses souvenirs heureux étaient partis.
Il regarda Ginny, voulant dire quelque chose, bien qu'il su a peine quoi, mais elle lui avait tourné le dos. Il pensa qu'elle pouvait avoir cédé, pour une fois, aux larmes. Il ne pourrait rien faire pour la soulager devant Ron.
« Je te verrai plus tard, » dit-il, et suivi les deux autres deux hors de la chambre.
Ron descendit les escaliers, traversa l’etroite cuisine et la cour, suivi par Harry qui avait gardé la silence pendant tout le trajet, Hermione trottinant derrière semblant effrayée.
Une fois qu'il atteignait la retraite de la pelouse fraîchement tondue, Ron s’en prit à Harry.
« Tu l'as traîné dans la boue. Qu’est ce que tu fais maintenant, à la chambouler ? «
« Je ne la chamboule pas, » dit Harry, alors qu’Hermione les rattrapait.
« Ron-- »
Mais Ron leva une main pour lui faire signe de se taire.
« Elle était vraiment anéantie quand tu as rompu-- »
« Comme je l’ai été. Tu sais pourquoi j’ai arrêté ça, et ce n’était pas parce que je le voulais. «
« Ouais, mais tu vas encore la remettre dans tous ses états maintenant alors qu’elle recommençait a trouver de l’espoir-- »
« Elle n'est pas idiote, elle sait que ça ne peut pas se produire, elle ne s’attend pas a ce que nous—nous finissions mariés, ou-- »
Alors qu’il disait ça, une image vivante se forma dans l’esprit de Harry de Ginny dans une robe blanche, épousant un étranger grand, sans visage, et désagréable.

Dans un moment d’étourdissement, cela sembla le frappé : Son futur à elle était libre et non chargé, tandis que dans le sien… il ne pouvait rien voir d’autre que Voldemort.
« Tu as laissé passé toutes les chances avec elle-- »
« Cela ne se reproduira plus, » dit durement Harry. C’était un jour sans nuages, mais il se sentait comme si le soleil s’en était allé. « Ok ? »
Ron sembla moitié irritée, moitié contrariée ; il chancela en arrière et se balança sur ses pieds pendant un moment, et dit, « Très bien, bon, c’est… ouais. »
Ginny ne chercha pas un autre tête à tête avec Harry durant le reste de la journée, elle ne montra pas non plus par un quelconque regard ou attitude qu’ils avaient eu une conversation plus que polie dans sa chambre. Néanmoins, l'arrivée de Charlie apparu comme un soulagement pour Harry. Cela lui procura une distraction, de voir Mme Weasley forcer Charlie a s’asseoir dans une chaise, levant sa baguette magique menaçante, et annonçant qu'il était sur le point d'avoir enfin une coupe de cheveu digne de ce nom.
Pour le dîner d’anniversaire d’Harry la cuisine du Terrier avait été tirée a son maximum brisant ses limites : avant même l'arrivée de Charlie, de Lupin, de Tonks, et de Hagrid, plusieurs tables avaient été dressées d ‘un bout a l’autre du jardin. Fred et George enchantèrent un certain nombre de lanternes pourpres affichant toutes le nombre 17, pour danser dans le ciel au dessus des invités. Grâce aux soins de Mme Weasley, la blessure nette et propre, mais Harry n'était pas encor habitué au trou sombre sur le côté de sa tête, en dépit des nombreuses plaisanteries des jumeaux à ce sujet.
Hermione fit émerger des flammes or et pourpre à l’extrémité de sa baguette et se dispersèrent artistiquement au-dessus des arbres et des buissons.
« Joli, » dit Ron, alors que le bouquet final faisait éruption au bout de sa baguette, Hermione fit changer en or les feuilles d’un pommier sauvage. « Tu as vraiment le don pour ce genre de chose. »
« Merci, Ron ! » dit Hermione, semblant tous deux heureux et confus. Harry se retourna, souriant à lui-même. Il avait la drôle d’impression qu'il trouverait un chapitre sur les compliments quand il trouverait le moment de lire son exemplaire de « Douze manières fiables pour charmer des sorcières » ; il attira l'attention de Ginny et lui sourit avant de se rappeler sa promesse à Ron et commença à la hâte une conversation avec Monsieur Delacour.
« Place, place ! » cria Mme. Weasley, passant par la porte avec ce qui semblait être un géant Vif d’or de la taille d’un ballon de plage flottant devant elle. Quelques secondes plus tard Harry se rendu compte que c'était son gâteau d'anniversaire, que Mme. Weasley faisait voler avec sa baguette, plutôt que de prendre le risque de le transporter marchant sur un sol irrégulier. Quand le gâteau atterri finalement au milieu des invités, Harry dit,
« C’est impressionnant, Mme. Weasley. «
« Oh, ce n’est rien, mon chéri, » dit-elle tendrement. Au-dessus de son épaule, Ron leva son pouce vers Harry en signe d’encouragement, Bon signe.
A sept heures tous les invités étaient arrivés, conduits dans la maison par Fred et George, qui les avaient attendus à l'extrémité de la ruelle. Hagrid avait honoré l'occasion en portant son meilleur, et horrible, costume marron et velu. Bien que le Lupin ait souri pendant qu'il secouait la main de Harry, Harry pensa qu’il avait l’air plutôt malheureux. C’était vraiment étrange ; Tonks, près de lui, semblait simplement radieuse.
« Joyeux anniversaire, Harry, » dit-elle, l'étreignant étroitement.
« Dix-sept ans, hein ! » dit Hagrid alors qu’il acceptait le verre de vin de la taille d’un tonneau que Fred lui tendait. « Six ans depuis l’jour ou nous sommes rencontré, Harry, tu t’rapelles ? »
« Vaguement, » dit Harry, lui souriant. « N’as-tu pas exploser la porte d’entrée, donner à Dudley une queue de cochon, et revelé que j’étais un sorcier ? »
« tu forge l’détail, » gloussa Hagrid. « Ca va, Ron, Hermione ? »
« Nous allons bien, »dit Hermione. « Et vous ? »
« Arf, pas trop mal. Les casiers occupés, nous avons obtenu des nouveaux-nés de Licorne. J’te montrerai quand tu r’viendras --« Harry évita les regards fixes de Ron et d’Hermione pendant qu’ Hagrid fouillait dans ses poches. « Vla Harry – me d’mande pas comment j’lai obtenu, mais jme suis rappelé d’ca. « Il retira un petit, léger étui en fourrure avec une cordelette, évidemment prévue pour être porté autour du cou. « Peaubouricot (Mokeskin ?) . Cache quelque chose là-d’dans et personne d’autre que l’propriétaire ne pourra le récupérer. C’est rare ce truc là. «
« Hagrid, merci ! »
« D’rien », » dit Hagrid d’un vague mouvement de sa main de la taille d’un couvercle de poubelle. « Hey, c’est Charlie! L’ai Toujours aimé lui -- hé ! Charlie ! «
Charlie s’approcha, faisant courir sa main doucement de manière attristée, sur sa nouvelle et brutale coupe de cheveux. Il était plus petit que Ron, trapu, avec un certain nombre de brûlures et d'éraflures en haut de ses bras musclés.
« Salut, Hagrid, quoi de neuf ? »
« Tout va bien. Comment va Norbert? «
« Norbert ? »Ri Charlie. « Le norvégien a longue queue? Nous l’appelons Norberta maintenant. «
« Quoi… Norbert est une fille. ? »
«Ouais, » dit Charlie.
« Comment peux tu le savoir ? » demanda Hermione.
« Elles sont beaucoup plus méchantes, » dit Charlie. Il regarda au-dessus de son épaule et baissa la voix. « Priez pour que papa se dépêche et rentre ici. Maman s’énerve de plus en plus. «
Ils se tournèrent tous vers Mme. Weasley : elle essayait de parler à Madame Delacour tout en jetant des coups d'œil vers la porte à plusieurs reprises.
« Je pense que nous devrions commencer sans Arthur, » dit-elle dans toute la largeur du jardin après un moment ou deux. « Il a du être retenu - oh ! »
Ils le virent tous en même temps : une strie de lumière vola à travers la cour et sur la table, où elle tourna sur elle-même en se matérialisant en une brillante fouine argentée , qui se tenait sur ses pattes arrières et parla avec la voix de M. Weasley.
«Le Ministre de magie vient avec moi. »
Le Patronus se dissout dans l'air mince, laissant la famille de Fleur se regardant d’un air dubitatif l’endroit ou il se trouvait.
« Nous ne devrions pas être ici, » dit Lupin immédiatement. « Harry -- Je suis désolé – Je t’expliquerai ça a un autre moment-- »
Il a saisi le poignet de Tonk et l’écarta ; ils atteignirent la barrière, s’élevèrent au-dessus d’elle, et disparurent du champs de vision Mme. Weasley sembla déconcerté.
« Le ministre -- mais pourquoi--? Je ne comprends pas--«
Mais ce n’était plus le moment de discuter de cela ; une seconde plus tard, M. Weasley apparu hors de l’air mince de la porte, accompagnée de Rufus Scrimgeour, immédiatement reconnaissable à sa crinière de cheveux grisonnant.
Les deux nouveaux venus marchèrent dans la cour en direction du jardin et de la table éclairée de lanterne, où tout le monde était assis dans le silence, les observant plus méticuleusement. Alors Scrimgeour arriva dans les limites de la lumière des lanternes. Harry vit qu'il paraissait beaucoup plus âgé que la dernière fois qu’ils s'étaient rencontrés, maigre et sinistre.
« Désolé pour l’intrusion, » dit Scrimgeour, alors qu’il boitait vers la table avant de faire une halte. « Surtout maintenant que je me rend compte que j’interromps une fête. »
Ses yeux s’attardèrent un moment sur le gâteau en forme de Vif d’or.
« Meilleurs voeux. »
« Merci, » dit Harry.
« J'ai besoin de te dire un mot en privé, » Continua Scrimgeour. « En outre avec M. Ronald Weasley et Mlle Hermione Granger. «
« Nous ? » dit Ron, paraissant étonné. « Pourquoi nous ? »
« Je vous le dirai lorsque nous serons dans un endroit plus privé, » dit Scrimgeour. « Y a-t-il un tel endroit ? demanda-t-il a M. Weasley.
« Oui, naturellement, » dit M. Weasley, qui semblait nerveux. « Heu, le salon, pourquoi ne pas l’utiliser ? »
« Vous pouvez montrer le chemin, »dit Scrimgeour à Ron. "Vous n’aurez pas besoin de nous accompagner, Arthur."
Harry vit Mr. Weasley échanger un regard inquiet avec Mme. Weasley alors que lui, Ron, et Hermione se levaient. Pendant qu’il remontaient le chemin de la maison, Harry su que les deux autres pensaient a la même chose que lui ; Scrimgeour devait, d’une façon ou d'une autre, apprits qu’eux trois projetaient se laisser tomber Poudlard.
Scrimgeour ne parla pendant qu'ils traversaient la cuisine toute sale et le salon du Terrier. Bien que le jardin ait été plein de lumière dorées du soir, il faisait déjà sombre ici; Harry effleura de sa baguette des lampes à huile pendant qu'il entrait et elles illuminèrent la salle misérable mais confortable. Scrimgeour s'assit dans le fauteuil affaissé normalement occupé par M. Weasley, laissant Harry, Ron, et Hermione se serrer côte à côte sur le sofa. Une fois qu'ils furent tous installés, Scrimgeour parla.
« J'ai quelques questions pour vous trois, et je pense que se serait bien mieux si nous le faisons individuellement. Si vous deux " -- il se dirigea vers Harry et Hermione -- « pouvez attendre en haut, je commencerai par Ronald. »
« Nous n'allons nulle part, » dit Harry, alors qu’ Hermione inclinait la tête vigoureusement. « Vous pouvez nous parler à nous ensemble, ou pas du tout. »
Scrimgeour lança un regard à froid à Harry et l’évalua. Harry a eu l'impression que le ministre se demandait à quel moment il ouvrirait les hostilités.
« Très bien alors, ensemble, » dit-il, gesticulant. Il se racla la gorge. « Je suis ici, je suis sûr que vous le savez, en raison de la volonté d'Albus Dumbledore. »
Harry, Ron, et Hermione se regardèrent l’un l’autre.
« Une surprise, apparemment ! Vous ne vous rendiez pas compte que Dumbledore vous avait laissé quelque chose ? «
« Un…à nous trois ? » dit Ron, « moi et Hermione aussi ? »
« Oui, à vous tr…. »
Mais Harry l’interrompu.
« Dumbledore est mort il y a déjà un mois. Pourquoi cela vous a-t-il pris tant de temps pour nous le dire? “
“N’est ce pas évident?„ dit Hermione, avant que Scimgeour ait pu répondre. « Ils ont voulu examiner ce qu’il nous a laissé. Vous n'aviez aucun droit de faire cela ! « Dit-elle, sa voix tremblant légèrement.
« J'ai tous les droits, » dit Scrimgeour avec dédain. « Le décret de la Confiscation Justifiable donne au ministère la pouvoir confisquer tout ce qu’il… »
« Cette loi a été créée pour arrêter des sorciers qui faisaient passé des objets du mal, » dit Hermione, « et le ministère est censé avoir la preuve incontestable que les biens du défunt sont illégaux avant de les saisir ! Ne ma dites pas que vous avez pu penser quelque chose de mauvais de Dumbledore? «
« Avez-vous l’intention de poursuivre une carrière en Droit magique, Mlle Granger ? » demanda Scrimgeour.
« Non, je n’en ai pas l’intention, » répliqua Hermione. « J'espère faire un certain bien dans le monde ! »
Ron ri. Les yeux de Scrimgeour cillèrent vers lui et encore lorsque Harry pris la parole.
« Alors pourquoi avez-vous décidé de nous les remettre maintenant ? Vous n’avez pas réfléchi à un prétexte pour les garder ? «
« Non, c’est parce que le délai de trente et un jour est passé, » dit Hermione immédiatement. « Ils ne peuvent pas garder ces objets plus longtemps à moins qu'ils se soient avérés dangereux. N’est ce pas ? «
« Auriez vous dit que vous étiez proche de Dumbledore, Ronald ? » demanda Scrimgeour, ignorant Hermione. Ron sembla effrayé.
« Je ? Pas -- pas vraiment… C'était toujours Harry qui… «
Ron regarda dans la direction de Harry et Hermione, pour voir Hermione lui adresser une sorte de « arrête-de-parler-tout-de-suite » regard, mais le mal était déjà fait ; Scrimgeour le regarda comme s'il avait entendu exactement ce qu'il comptait entendre. Il sauta comme un oiseau de proie sur la réponse de Ron.
« Si vous n'étiez pas très proche de Dumbledore, comment expliquez-vous le fait qu'il se soit souvenu de vous dans son testament ? Il a fait exceptionnellement peu de legs personnels. La grande majorité de ses possessions -- sa bibliothèque personnelle, ses instruments magiques, et d'autres effets personnels -- ont été laissés à Poudlard. Dans quel but pensez-vous avoir été choisi ? «
« Sais pas je……, » dit Ron. « I… quand je dis nous n'étions proches… je veux dire, je pense qu’il m’aimait bien… »
« Tu es modeste, Ron, » dit Hermione. « Dumbledore était vraiment affectueux avec toi. »
Ceci tirait la vérité à son point d’arrêt ; dans la mesure où Harry savait que, Ron et Dumbledore n'avaient jamais été seuls ensembles, et les contacts directs entre eux pouvaient se compter sur les doigts d’une main. Cependant, Scrimgeour ne sembla pas écouter. Il a mis sa main à l'intérieur de son manteau et en sortit une pochette en fourrure beaucoup plus grande que celle que Hagrid lui avait donné. Il en tira un rouleau de parchemin qu'il déroula et lu à haute voix.
« « La dernière volonté et le testament d'Albus Percival Wulfric Brian Dumbledore »… Oui, nous y sommes… « À Ronald Bilius Weasley, je laisse mon « Déluminateur », dans l'espoir qu'il se rappelle de moi quand il l’utilisera. » «
Scrimgeour pris du sac un objet que Harry avait déjà vu avant : Il ressemblait a quelque chose près a un briquet argenté brillant, mais il avait, il le savait, le pouvoir d’absorber toute la lumière d'un endroit, et de la restituer, en un simple clic. Scrimgeour se pencha en avant et donna le Deluminateur à Ron, qui le prit et le fit tourner entre ses doigts semblant abasourdi.
« C’est un objet de valeur, » dit Scrimgeour, observant Ron. « Il est peut être même unique. Certainement de la propre conception de Dumbledore. Pourquoi t’aurait-il laissé un objet si rare? «
Ron secoua la tête, semblant déconcerté.
« Dumbledore doit avoir enseigné à les milliers d'étudiants, »persista Scrimgeour . “Pourtant les seules personnes dont il se souvient dans son testament c’est de vous trois. Pourquoi ça ? Quelle utilisation pensait-il que vous en ferez, M. Weasley ? «
« Eteindre les lumières, j’suppose, » marmonna Ron. « Quoi d’autre pourrais-je en faire ? »
Évidemment Scrimgeour n'eu aucune suggestion. Après avoir louché vers Ron pendant un moment ou deux, il se tourna de nouveau vers la volonté de Dumbledore.
« « À Mlle Hermione Jean Granger, je laisse à mon exemplaire des « Contes de Beedle le barde », dans l'espoir qu'elle le trouvera amusant et instructif. » «
Scrimgeour retira à présent du sac un petit livre qui semblait aussi antique que celui Des Secrets des arts sombres resté en haut. Sa reluire était sale et écaillée par endroits. Hermione le pris sans un mot à Scrimgeour. Elle tint le livre par sa couverture et le regarda fixement. Harry vu que le titre était en runes ; il n'avait jamais appris à les lire. Pendant qu'il regardait, une larme éclaboussa les symboles de relief.
« Pourquoi pensez vous que Dumbledore vous a laissé ce livre, Mlle Granger ? » demanda Scrimgeour.
« Il… il savait que j'aimais les livres, « dit Hermione avec une voix pâteuse, s'essuyant les yeux dans sa manche.
« Mais pourquoi ce livre en particulier ? »
« Je ne sais pas. Il doit avoir pensé que je l'apprécierais. «
« Avez-vous déjà discuté de code, ou de tout moyen pour transmettre des messages secrets, avec Dumbledore ? »
« Non, jamais, » dit Hermione, continuant a s’essuyer les yeux dans sa manche.
. « Et si le ministère n'a trouvé aucun code caché dans ce livre en trente et un jours, je doute que j’y parviendrai. »
Elle écrasa une larme. Ils étaient serrés l’un contre l’autre tellement étroitement que Ron eu des difficultés à extraire son bras pour le mettre autour des épaules de Hermione. Scrimgeour retourna au testament.
« À Harry James Potter, » lut-il, et les entrailles de Harry de contractèrent avec une soudaine excitation, » « je laisse le vif d’or qu'il a attrapé dans son premier match de Quidditch à Poudlard, en rappel des récompenses de la persévérance et de l’habileté. » «
Alors que Scrimgeour retirait la minuscule sphère en or de la taille d’une noix, ses ailes argentées s’agitèrent plutôt faiblement, et Harry ne pouvait pas s’empêcher de définir le sens d’une chute..
« Pourquoi Dumbledore t’a-t-il laissé ce vif d’or ? » Demanda Scrimgeour.
« Aucune idée, » dit Harry. « Pour les raisons que vous avez énumérées à haute voix, je présume… pour me rappeler ce qu’on peut obtenir si on… persévère et peu importe quoi d’autre. «
« Vous pensez donc que ceci est un simple souvenir symbolique ? »
« Je suppose oui, » dit Harry. « Qu’est ce pourrait être d’autre ? »
« Je pose les questions, » dit Scrimgeour, décalant son fauteuil plus près du sofa. Le crépuscule tombait vraiment à l’extérieur à présent ; le chapiteau au delà des fenêtres dominait d’un banc fantomatique au dessus de la haie.
« J’ai remarqué que la forme de votre gâteau d’anniversaire était celle d’un vif-d’or» dit Scrimgeour à Harry. « Pourquoi ça ? »
Hermione eu un rire dérisoire.
« OH, ce n’est pas une référence que Harry est un grand attrapeur, c’est évident, » dit-elle. « Il doit y avoir un message secret de Dumbledore caché dans le glaçage ! »
« Je ne pense pas qu'il y ait quelque chose de caché dans le glaçage, » dit Scrimgeour, « mais voyez vous un vif d’or serait une très bonne cachette pour un petit objet. Vous savez pourquoi, je n’en doute pas ? «
Harry gesticula, Hermione, cependant, répondit : Harry pensa qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de répondre à une question si profondément ancrée en elle. -
« Parce que les vifs d’or ont des mémoires de chair, » dit-elle.
« Quoi ? » dirent Harry et Ron ensemble ; tous deux considéraient la connaissance en Quidditch de Hermione dérisoire.
« Correct, » dit Scrimgeour. « Un vif-d’or n’est pas toucher par une peau nue avant qu’il ne soit libéré, ni par celui qui la fabriqué, même avec des gants. Il porte un enchantement grâce auquel il peut identifier le premier humain, qui l’a attrapé avec ses mains, en cas de capture contestée. Ce vif d’or" -- il pris la minuscule sphère en or -- « se rappellera de votre contact, Potter.
Ce que je ne comprends pas c’est pourquoi Dumbledore, qui a eu la compétence magique prodigieuse, qui avait une prodigieuse compétence magique, aurait pu ensorceler ce vif d’or pour que toi seul puisses l’ouvrir. »
Le coeur de Harry s’accéléra. Il était sûr que Scrimgeour avait raison. Comment pouvait-il éviter de prendre le vif d’or a main nue devant le ministre ?
« Vous ne dites rien, » dit Scrimgeour. "Peut être savez pourquoi ce que ce vif d’or contient"
"Non," dit Harry, se demandant encore comment faire semblant de prendre le vif d’or sans vraiment le toucher. Si seulement il connaissait la Légilimencie, il savait qu’il aurait pu lire l’esprit d’Hermione ; il pouvait pratiquement entendre son cerveau siffler près de lui.
« Prenez-le, » dit Scrimgeour tranquillement.
Harry rencontra les yeux jaunes du ministre et su qu’il n’avait pas d’autre option que d’obéir. Il tendit sa main, et Scrimgeour se pencha en avant encore et plaça le vif d’or, lentement et délibérément, dans la paume de Harry.
Rien ne se produit. Quand Harry referma ses doigts autour du vif d’or, ses ailes fatiguées s’agitant faiblement encore. Scrimgeour, Ron, et Hermione continuèrent à regarder fixement avide la boule partiellement dissimulée à présent, comme s’ils espéraient qu’il allait se transformer d’une manière ou d’une autre.
« C’est dramatique, » dit Harry d’une décontraction insolente. Ron et Hermione rirent.
«Ce sera tout maintenant n’est ce pas ? » demanda Hermione, aux prises avec le sofa.
« Pas tout à fait, » dit Scrimgeour, qui avait un regard mauvais à présent. « Dumbledore t'a laissé un deuxième legs, Potter. »
« Qu’est ce que c’est ? » demanda Harry, réveillant son excitation.
Scrimgeour ne pris pas la peine de lire le reste du testament.
« L'épée de Godric Gryffondor, » dit-il. Hermione et Ron tous deux se raidirent. Harry regarda en attendant un signe de la poignée incrustée de rubis, mais Scrimgeour ne retira l'épée de la poche en cuir, qui semblait de toute facon trop petite pour la contenir.
« Alors ou est-elle ? » demanda Harry soupçonneux.
« Malheureusement, » dit Scrimgeour, « Il n’appartenait pas à Dumbledore de donner l’épée. L'épée de Godric Griffondor est un objet artefact historique important, et comme telle, appartient--«
« Elle appartient à Harry ! » dit Hermione avec ferveur. « Elle l'a choisi, il était celui qui l'a trouvé, Elle est venu à lui hors du choixpeau magique-- »
« Selon des sources historiques fiables, l'épée peut se présenter d’elle-même à n’importe qui de la maison de Gryffondor, » dit Scrimgeour. « Ce qui n’en fait pas la propriété exclusive de M. Potter, quoi que Dumbledore ait pu décidé. « Scrimgeour a frotta sa joue mal rasée, examinant Harry. « Qu’en pensez-vous-? »
« De la raison pour laquelle Dumbledore a voulu me donner l'épée ? » dit Harry, luttant pour garder son calme. « Peut-être il a pensé qu'elle ferait joli sur mon mur. »
« Ce n'est pas une plaisanterie, Potter ! » grogna Scrimgeour. « Était-il parce que Dumbledore croyait que l’épée de Godric Gryffondor pouvait détruire l’héritier de Serpentard ? Est-ce qu'il a souhaité te donner cette épée, Potter, parce qu'il a cru, comme beaucoup, que tu es celui destiné a détruire Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom ? «
« Théorie intéressante, » dit Harry. Quelqu’un a-t-il déjà essayé d’enfoncer une épée dans Voldemort? Peut-être que le ministère devrait mettre quelque personne sur le cou, au lieu de perdre leur temps à demonter entièrement des Déluminateurs ou à dissimuler les évasions d'Azkaban. Ainsi c’est ce que vous essayiez de faire, ministre, enfermé dans votre bureau, essayant d’ouvrir a tout prix un vif d’or? Des gens meurent – j’ai failli être l’un d’entre eux - Voldemort m'a poursuivit a travers trois régions, a tué Maugrey Fol-Oeil, mais Y a-t-il eu un mot a ce sujet de la part du ministère depuis lors? Et vous vous attendez à ce que je coopère avec vous ! «
« Vous allez trop loin ! » cria Scrimgeour , se levant : Harry sauta sur ses pieds aussi. Scrimgeour boita vers Harry et enfoncé sa baguette magique violement dans sa poitrine ; Il brûla légèrement le t-shirt d’Harry comme un trou de cigarette.
« Ohé ! » dit Ron, sautant sur pied et élevant sa propre baguette magique, mais Harry dit,
« Non ! Veux tu vraiment lui donner une excuse pour nous arrêter ? «
« Vous vous êtes souvenu que vous n’étiez plus l’école, n’est ce pas ? » dit Scrimgeour son souffle dur dans le visage de Harry. « vous vous êtes souvenu que je ne suis pas Dumbledore, qui a pardonné votre insolence et insubordination ? Vous pouvez porter cette cicatrice comme une couronne, Potter, mais il n'appartient pas à un garçon de dix sept ans de me dire comment faire mon travail ! Il est temps pour d’apprendre ce qu’est le respect ! «
« Il serait temps que vous le méritiez. » dit Harry.
Le plancher trembla ; il y eu un bruit de pas précipités, puis la porte du salon s’ouvrit a la volée et M. et Mme. Weasley entrèrent.
« Nous --- nous avons pensé entendre -- » commenca M. Weasley, regardant complètement alarmés Harry et le ministre pratiquement nez a nez.

“- des voies s’élevaient… haleta Mme Weasley.
Scrimgeour recula deux pas de Harry, jetant un coup d'oeil sur le trou qu'il avait fait dans le T-shirt de Harry. Il sembla regretter la perte de son sang froid.
« Ce... Ce n’est rien, » grogna-t-il. « Je déplore… votre attitude, » dit-il, regardant Harry dans les yeux une fois de plus. « Vous semblez penser que le ministère ne désire pas ce que vous -ce que Dumbledore- désirait. Nous devons travailler ensemble. «
« Je n'aime pas vos méthodes, M. le ministre, »dit Harry. « Vous vous en souvenez ? »
Pour la deuxième fois, il a souleva son poing droit et montra à Scrimgeour la cicatrice qui montrait toujours sur le dos de sa main, l’expression « je ne dois pas dire de mensonge ». Le visage de Scrimgeour se durci. Il se tourna sans dire un mot et boita dans la salle. Mme. Weasley se dépêcha après lui ; Harry entendit son arrêt à la porte de derrière. Après quelques minutes elle signala, « il est parti ! »
Que voulait-il ? « Demanda M. Weasley, regardant tour a tour Harry, Ron, et Hermione alors Mme. Weasley se précipitait de nouveau à eux.
« Nous donner ce que Dumbledore nous a légué, » dit Harry. « Ils nous a juste révélé le contenu de sa volonté. »
A l'extérieur dans le jardin, au-dessus des tables de dîner, les trois objets que Scrimgeour leur avait donné passé de main en main. Chacun se prononcant sur le Déluminateur et « Les contes de Beedle le barde » et déplora le fait que Scrimgeour ait refusé de donner l’épée, mais aucun d’eux ne trouvant une explication valable sur la raison pour laquelle Dumbledore avait laissé à Harry un vieux vif d’or. Comme M. Weasley examinait l’Eteignoir pour la troisième fois sur quatre, Mme. Weasley dit à titre d'essai, « Harry, mon chéri, chacun de nous est terriblement affamé et nous n'avons pas aimé commencer sans toi… Je sers le dîner maintenant ? »
Ils entamèrent tous à la hâte une chanson de « joyeux anniversaire » et mangèrent le gâteau avec beaucoup d'appétit, la soirée se termina. Hagrid, qui avait été invité au mariage le jour suivant, mais qui était trop encombrant pour passer la nuit au Terrier déjà complètement occupé, vit se faire construire une tente pour lui tout seul dans le terrain voisin.
« On se voit là haut, » chuchota Harry à Hermione, alors qu'ils aidaient Mme. Weasley à remettre le jardin dans son état normal. « Après que tout le monde soit allé au lit. »
De retour dans sa chambre au grenier, Ron examina son Eteignoir, et Harry rempli la bourse du Peubouricot de Hagrid, pas avec de l'or, mais avec des objets qui lui étaient chers, apparemment sans valeur bien que certains d'entre eux aient été la carte du maraudeur, le morceau du miroir enchanté de Sirius, et le médaillon de R.A.B. Il tira fortement sur la corde et glissa la bourse autour de son cou, puis s’assit tenant le vif d’or et regardant ses ailes qui battaient faiblement. Enfin, Hermione tapa à la porte et avança sur la pointe des pieds à l'intérieur.
« Muffiato, » chuchota-t-elle, agitant sa baguette magique en direction des escaliers.
« Je croyais que tu n’approuvais pas ce sort ? » dit Ron.
« Les temps changent » dit Hermione. « Maintenant, montre-nous cet Eteignoir. »
Ron s’exécuta immédiatement. Le Tenant haut devant lui, il cliqua. La seule lampe qui était allumée s’éteint.
« Le truc c’est que, » chuchota Hermione dans l'obscurité, « on aurait pu également faire ça avec la Poudre Péruvienne Instantanée d’obscurité. »
Il y eu un petit clic, et la boule de la lumière de la lampe vola de nouveau au plafond et elle les illumina tous une fois de plus.
« C’est quand même cool, » dit Ron, un peu sur la défensive. « Et d’après ce qu'ils ont dit, Dumbledore l'a inventé lui-même ! »
« Je sais mais, il n’aurait pas mis ça sûrement dans son testament juste pour nous aider à éteindre les lumières ! »
« Tu crois qu’il savait que le Ministere nous confisquerait ce qu’il nous a laissé dans le but de les examiner ? » Harry demandé.
« Certainement, » dit Hermione. « Il ne pouvait pas nous dire dans son testament pourquoi il nous laissait ces choses, mais ça n'explique pas… »
« … pourquoi il ne nous l’a pas dit quand il était vivant ? » Demanda Ron.
« Et Bien oui, exactement, » dit Hermione, effleurant maintenant « les contes de Beedle le barde ». « Si ces choses sont assez importantes pour passer sous le nez du ministère, on pourrait penser qu’il nous a laissé à nous la charge de savoir pourquoi… à moins qu'il ait pensé que c’était évident ? »
« Alors il a mal pensé, n’est ce pas ? » dit Ron. « J’ai toujours dit qu’il perdait la boule. Brillant et tout, mais cinglé. Laisser à Harry un vieux vif d’or – que diable cela signifie? «
« J’en n'ai aucune idée, » dit Hermione. « Quand Scrimgeour te l’a fait prendre, Harry, j'étais si sûr que quelque chose allait se produire ! »
« Ouais, bien, » dit Harry, son pouls s’accélérant pendant qu'il levait le vif-d’or entre ses doigts. « Je n'allais pas essayer de me forcer devant Scrimgeour ? »
« Que veux-tu dire ? » demanda Hermione.
« Le vif-d’or que j'ai attrapé durant mon premier match de Quidditch ? » dit Harry. « Vous ne vous rappelez pas ? »
Hermoine le regarda simplement stupéfaite. Ron, cependant, haleta, pointa tour a tour le vif d’or et Harry a toute vitesse et encore jusqu’à ce qu’il retrouve sa voie.
« C’est celui que ta presque avaler ! »
« Exactement, » dit Harry, et son coeur battant rapidement, il serra le vif- d’or dans sa bouche.
Il ne s’ouvrit pas. L'anéantissement et la déception amère ont jaillirent en lui: Il abaissa la sphère d'or, mais alors Hermione s’ecria.
« L’Écriture ! Là c’est écrit dessus, vite, regardes ! « Il avait presque laissé tomber le vif d’or dans la surprise et l'excitation. Hermione avait tout à fait raison. Gravé sur la surface d'or douce, où quelques secondes auparavant qu'il n'y avait rien, étaient écrits cinq mots dans l'écriture mince et inclinée que Harry identifié comme celle de Dumbledore :
« j’ouvre la fermeture ».
Il les avait à peine lus quand les mots disparurent.
« J’ouvre à la fermeture…. » Qu'est-ce que c'est censé signifier ? «
Hermione et Ron secouèrent la tête, pale.
« Je m'ouvre à l'étroit… à l'étroit… Je m'ouvre à l'étroit… »
Mais aussi souvent qu’ils répétèrent ces mots, avec beaucoup de différentes intonations, ils n’en trouvait pas plus de signification.
« Et l'épée, » dit Ron enfin, quand ils avaient enfin abandonné leurs tentatives de deviner la signification de l’inscription du vif-d’or.
« Pourquoi voulait-il que Harry ait l’épée ? »
« Et pourquoi ne pouvait-il pas juste me le dire ? » dit Harry tranquillement. « Elle était là, elle était sur le mur de son bureau pendant tous nos entretiens l'année dernière ! S'il voulait que je l'aie, pourquoi ne me l'a-t-il pas juste donné alors ? «
Il s'est se sentait comme durant un examen face a une question devait répondre mais que son cerveau restait mou et insensible. Y avait-t-il quelque chose qu’il avait raté pendant tous ses longs entretiens avec Dumbledore l’an passé? Devait-il savoir tout ce que cela signifiait? Dumbledore s'était-il attendu à ce qu'il comprenne ?
« Et quant à ce livre. » dit Hermione, « les contes de Beedle le barde »… j'ai jamais même entendu parler d’eux ! »
« Tu n'a jamais entendu parler des contes de Beedle le barde ? » dit Ron incrédule. « Tu plaisantes c’est ça ? »
« Non, je ne plaisante pas, » dit Hermione surprise. « Toi tu les connais ? »
« Ben, naturellement que je les connais »
Harry leva les yeux, amusé. La circonstance de Ron ayant lu un livre que Hermione n'avais jamais lu était sans précédent. Ron, cependant, sembla stupéfié de leur surprise.
« OH aller ! Les histoires que tous vieux enfants sont censés connaître ? « La fontaine de la fortune »… « Le sorcier et le pot de l’espoir »… « Babbitty Rabbitty et ses chicots caquetants »… »
« Excuse-moi ? » dit Hermione riant nerveusement. « C’était quoi le dernier ? »
« Aller laissez tomber ! » dit Ron, semblant incrédule face à Harry et Hermione. « Vous devez avoir entendu parler de Babbitty Rabbitty - »
« Ron, tu sais très bien que Harry et mi avons été élevés par des Moldus ! » dit Hermione. « Nous n'avons pas entendu des histoires comme cela quand nous étions petits, nous on écoutait « la Blanche Neige et les sept nains » et « Cendrillon » - »
« c’est quoi ça, une maladie ? » demanda Ron.
« Donc c’est aussi une histoire pour enfants ? » demanda Hermione, se penchant au dessus des runes.
« Ouais. » dit Ron incertain. « Je veux dire, Tout ce que vous entendez, vous voyez, vient de toutes ces vieilles histoires de Beedle. Sais pas a quoi ressemblent les éditions originales. «
« Mais je me demande juste pourquoi Dumbledore a pensé que je devrais les lire ? »
Quelque chose craqua en bas des marches.
« Probablement juste Charlie, s’éclipsant pour refaire pousser ses cheveux, maintenant maman est endormie» dit Ron nerveusement.
« Tous les mêmes, nous devrions nous couché, » chuchota Hermione. « Je ne voudrais pas être à moitié endormie demain. »
Non, en convenu Ron. « Un violent triple meurtre par la mère du marié pourrait mettre un peu refroidir sur le mariage. J’éteins la lumière. «
Et il cliqua sur l’Etégnoir une fois de plus lorsque Hermione quitta la chambre.


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