samedi 28 juillet 2007

Chapitre 14 : Le voleur

Chapitre 14 : Le voleur

H

arry ouvrit ses yeux illuminés par de l’or et du vert. Il n’avait aucune idée de se qui se passait. Il savait seulement qu’il se trouvait sur ce qui devait être des feuilles et des brindilles. Luttant pour reprendre de l’air dans ses poumons, il cligna des yeux et se rendit compte que la lumière qu’il voyait était celle du soleil couchant par-dela les feuilles des arbres au dessus de lui. Quelque chose se contracta près de son visage. Il se mit sur ses mains et ses genoux et, se prépara à faire face à une créature mais vit que c’était le pied de Ron. Regardant dans les alentours, il vit qu’ils étaient dans une forêt. Harry cru d’abord que c’était la forêt interdite et, pendant un instant, quoiqu’il sache que cela aurait été stupide et dangereux de s’aventurer dans Poudlard, il ne put s’empêcher de penser à partir furtivement vers la cabane de Hagrid. Cependant, quelques instants plus tard, il pria pour que Ron donne un signe de vie et, rampant vers lui, il se rendit compte que ce n’était pas la forêt interdite. Les arbres lui semblèrent plus jeunes et plus largement espacés. Il rencontra Hermione qui, était aussi sur ses mains et ses genoux. Un moment après, ses yeux tombèrent sur Ron et ses inquiétudes grandirent en voyant la totalité du flanc gauche de Ron trempé de sang. Son visage, quand à lui était blanc pâle étendu dans les feuilles. L'effet du Polynectar s'estompait, l'apparence de Ron etait à mi chemin de la sienne et de celle de Cattermole: ses cheveux devenant de plus en plus roux alors que son visage perdait le peu de couleur qui lui restait.


- Qu’est-ce qui lui est arrivé? demanda Hermione, ses doigts déjà occupés à la taille de Ron, là ou le sang était le plus foncé et le plus humide.
- Harry observait, horrifié comme elle déchira le T-short ouvert de Ron. Il avait toujours pensé au Desartibulement comme quelque chose de comic mais là… Ses intestins eurent une désagrable impréssion lorsque Hermione étendait le bras supérieur nu de Ron ou un grand et gros morceau de chair était absent évidé proprement comme si cela avait été fait avec un couteau.
- Harry, s’il te plait, donne moi rapidement une bouteille marquée essence de ditany, elle est dans mon sac droit.
Harry se depêcha d’aller jusqu’au minuscule sac perlé, il mit sa main à l’interieur et, immédiatement, objets après objets se présentèrent à son contact : il sentit les épines en cuir des livres, les douilles laineuses des pull-overs, les talons des chaussures.
« Vite ».
Il saisi sa baguette magique et la dirigea dans les profondeurs du sac magique.
« Accio Ditany !! »
Une petite bouteille brune sortie en trombe du sac. Harry l’attrapa et couru de nouveau jusqu’à Hermione et Ron, dont on ne voyait que le blanc des yeux a travers ses paupiere mi-close.
- Il est évanoui dit Hermione qui était pâle aussi. Elle ne ressemblait plus a Malfada, bien qu'il avait encore des meches grises dans ses cheveux.
- Aide moi, mes mains tremblent. Reprit-elle.
Harry arracha le bouchon de la bouteille et la tendit qui versa trois gouttes du breuvage sur la blessure. Une fumée verdâtre s'en eleva et lorsqu'elle disparut, Harry vit que le saignement c’était arrêté. La blessure semblait a present remonter à plusieures années: de la peau nouvelle s'etirait a present sur la chair anciennement ouverte.
Wow! dit Harry
- J'ai fait ce que je sentais le mieux pour le sauver, dit Hermione trembante. Il y a des sorts qui aurait pu le retablir completement, mais je n'ai pas oser les essayer de peur de ne pas les reussir et de provoquer plus de domages... Il a deja perdu tant de sang...
- Comment s’est-il blessé ? Je veux dire que… Harry secoua sa tête pour s'eclairsir les idées, et pour donner un sens a tout ce qui venait de se produire–Pourquoi sommes nous ici ? Je pensais que nous retournions au square Grimmauld.

Hermione respira profondement. Elle semblait au bord des larmes.
-Harry, je ne pense pas que nous pourrons y retourner.
-Qu’est-ce que…
-Alors qu'on transpalnait, Yaxley m’a attrapé, je ne pouvait pas me débarrasser de lui, il était trop fort. Et il me tenait encore lorsque nous sommes arrivés au square Grimmaurd, je pense qu’il a du voir la porte, et il a pensé que nous nous arrêtions là. Donc Il a relaché sa prise, et je me suis debrouillé pour me debarrasser de lui, puis je nous ai transporté ici, à la place.
- Mais maintenant...ou est il ? Tu ne vas pas me dire qu’il est au square Grimmauld, il ne peut pas y entrer?

Ses yeux miroitèrent de larmes lorsqu’elle inclina la tête.
-Harry, je pense qu’il peut !!
-Je l’ai forcé et laisser aller avec ???Revirement Jinx ??? Puisque Dumbledore est mort, nous sommes tous des gardiens du secret, je lui ai donné le secret n’est-ce pas ?
Harry était sur qu’elle avait raison. Si Yaxley pouvait maintenant atterir dans la maison, même maintenant, ils pourraient apporter d’autres mangemorts dedans par transplanage. C’était sombre et accablant, la maison avait été leur refuge, même maintenant que Kreature était tellement plus heureux et plus amical, un genre de maison. Avec un élancement de regret, qui n’avait rien à voir avec la nourriture, Harry avait imaginé l’elfe de maison s’occupant à pâté en croûte de bifteck-et-rein que Harry, Ron, et Hermione ne mangeraient jamais.
- Je suis désolée Harry, je suis désolée !!
- Ne sois pas stupide, se n’est pas toi, c’est moi, c’était ma maison…
Harry mit sa main dans sa poche et en sortit l’œil magique de Maugrey Fol-œil. Hermione recula, horrifiée. Umbridge l’avait collé à sa porte de bureau, pour voir qui passait. Je ne pouvait pas le laisse là…mais c’est…comment ont-ils su qu’il y avait des intrus ?
Avant que Hermione ait pu répondre, Ron gémi et ouvrit les yeux. Il avait toujours le tein pale et son visage scintillait de sueur.
- Comment te sens-tu ? lui chuchota Hermione.
- Moche coassa Ron pendant qu'il sentait son bras blessé. Où sommes nous ?
-Dans les bois ou ils ont tenu la coupe du monde de Quiditch. Je voulais un endroit fermé, mais c’était…
- Le premier endroit auquel tu as pensé. Fini Harry pour elle. Jetant un coup d’eil sur la clairière qui semblait abandonée. Il ne pourrait pas aider à se rappeler que ce qui s'était produit la dernière fois qu’ils ont eu à transplaner au premier endroit auquel Hermione pensait. Les mangemorts les avaient trouvés dans les 5 minutes. Avait-ce été par Legilimency ? Voldemort et ses partisants savaient-ils aussi lelieu où Hermione les avait emmenés ?
- Est-ce que nous ne devrions pas nous déplacer ? demanda Ron.

Ron semblait toujours pâle et moite. Il n'avait fait aucune tentative de se reposer et elle a regardé comme s'il était trop faible pour se déplcer. La perspective de le déplacer était intimidante.
-Restons ici pour l’intant. Dit Harry
Semblant soulagée Hermione jaillit à ses pieds.
-Ou êtes vous allés ? demanda Ron.
-Si nous restons, nous devrions mettre quelques sortilèges protecteurs autour de l'endroit, à-t-elle répondu, et soulevant sa baguette magique, elle a commencé à marcher en cercle large autour de Harry et de Ron, incantations murmurantes pendant qu'elle allait. Harry a vu de petites perturbations dans le ciel environnant : Il était comme si Hermione avait moulé de la brume et de la chaleur sur leur clairière.
-Salvio Hexia. . . Protego Totalum. . . Repello Muggletum. . . Muffliato. . . Tu pourrais sortir la tente, Harry,.elle est dans le sac.
Il ne pas pris la peine de chercher à tâtons à l'intérieur de lui cette fois, mais a employé un autre charme convoqué. La tente a émergé dans une masse grumeleuse de toile, de cordes, et de poteaux.
Harry l'identifia, en partie en raison de l'odeur des chats, comme la même tente dans laquelle ils avaient dormi la nuit de la coupe du monde de Quidditch.
"Je pensais qu’elle appartenait à ce type Perkins du ministère ?" demanda-t-il, en commençant de se démêler des piquets de la tente.
Eh bien il ne l’a pas voulu dit Hermione qui faisait des mouvements compliqués avec sa baguette magique. Le père de Ron à dit que je pouvait l’empreinter.
-Erecto ! Ajouta-t-elle dirigeant sa baguette magique sur la toile difforme, qui dans un mouvement liquide monta dans l'air et, se construisit entièrement.
-Cave inimicum ! Fini Hermione avec un soupir de soulagement. C’est tout ce que je peux faire. Pour le moins, nous devrions savoir s’ils viennent ;

Mais je ne peut pas garantir que cela fonctionnera si Vol…
- Ne dis pas son nom ! coupa Ron.
Harry et Hermione se regardèrent.
- Je suis désolé. Dit Ron dans un gémissement. Ne pouvons-nous pas l’appeler Vous-Savez-Qui tout simplement ?
- Dumbledore n’a pas craint ce nom… commença Harry
- Au cas ou vous ne l’auriez pas remarqué, cela ne lui à pas fait beaucoup de bien dit Ron. Juste pour lui montrer un peu de respect s’il vous plait.
- Du respect ? répéta Harry mais Hermione lui lança un regard d’avertissement. Apparement, il ne devait pas discuter avec Ron tandis que le dernier était en un état si affaibli.


Ron, fut transporté par Harry et Hermione dans la tente. L'intérieur était exactement comme se le rappellait Harry ; un petit plat, complet avec la salle de bains et la cuisine minuscule. Il poussa de côté un vieux fauteuil et posa Ron soigneusement sur la couchette inférieure d'un lit superposé. Même ce voyage très court avait fait devenir plus blanc le visage de Ron, et une fois qu'ils l'avaient arrangé sur le matelas il ferma ses yeux et ne arla pas pendant un moment.
- Je vais faire du thé. Dit Hermione tirant la bouilloire des profondeurs de son sac. Et se dirigeant vers la cuisine.
Harry trouva bienvenu la boisson chaude tout comme le whisky pur feu la nuit ou Fol Œil était mort. Il lui sembla brulé de crainte flottant dans son coffre. Après une ou deux minutes, Ron brisa le silence :
- Qu’est-ce qui est arrivé aux Catermoles ?
- Avec de la chance, ils seront loin. Répondit Hermione. Aussi longtemps que Mr. Catermoles à eu ses esprits il aura transporté Mme Catermoles par Transplanation. Ils doivent quitter le pays en ce moment avec leurs enfants. C’est ce que Harry lui à dit de faire.

Blimey, j’espère qu’ils se sont échappés dit Ron, se penchant en arrière sur ses oreillers. Le thé semblait lui faire du bien, il avait retrouvé toute sa couleur. Je n’ai bas obtenus les sentiments de Catermoles, bien qu’il était un esprit vif. J’espère qu’ils l’ont fait. S’ils allaient à Askaban à cause de nous…

Harry regarda Hermione et la question qu’il avait été sur le point de poser-si le fait que Mme Catermoles n’avait pas de baguette magique l’aurait empechée de transplanée à côté de son mari- mourru dans sa gorge.
Hermione observait Ron et il y avait une telle tendresse dans son expression que Harry ne se serait pas étonné si elle avait embarassé Ron.
- Ainsi vous l’avez obtenu ? lui demanda Harry pour lui montrer qu’il était là.
- Nous avons obtenus ce qui… commença Hermione.
-Pourquoi au juste sommes nous passés par tout ça ? Le médaillon ! Où est le médaillon ? Vous l’avez obtenu ? cria Ron se soulevant un peu plus de ses oreillers. Personne ne dit rien !
- Blimey ! Nous pourrions l’avoir mentionné ! Nous courrions pour sauver nos vies des mangemorts. Est-ce que nous étions nous ? dit hermione, ici. Et elle tira le médaillon hors de la poche de ses robes longues et le remis à Ron. Il était aussi grand que l'oeuf d'une poule. Une lettre fleurie S, marquetée avec beaucoup de petites pierres vertes, brilla faiblement dans la lumière diffusée par le toit de la toile de la tente.


- Il n’y a pas une chance que quelqu’un l’ai détruit puisque Kreature l’avait dans les mains ? demanda Ron. Je veux dire, est-ce que nous sommes sur qu’il est toujours un horcruxe ?
- Je pense que c’en est toujours un dit Hermione. Elle regarda le médailoln et le repris dans les mains. Il y aurait eu certains dommages si il avait été détruit par magie.
Elle le donna à Harry qui le fit tourner entre ses doigts. La chose lui sembla parfaite, primitive. Il se rappela les restes mutilés du journal intime et comment la pière dans l’anneau horcruxe avait été fendue lorsque Dumbledore l’avait détruit.
- Je pense la droite de Kreature dit Harry. Nous allons devoir établir comment ouvrir cette chose avant de pouvoir la détruire. Prenant soudainement conscience de ce qu’avait vécu le médaillon, il sentit un besoin violent de le jeter loin de lui. Se maitrisant, il esseya d’ouvrir le médaillon avec ses doigts. Puis, il essaya le charme qu’Hermione avait utilisé pour ouvrir la chambre de Regulus. Ni l’un ni l’autre ne fonctionna. Il redonna le médaillon à Ron et à Hermione pour qu’ils essaient de l’ouvrir mais il fût plus dur à l’ouvrir qu’il ne l’avait été.
- Comment pouvons nous l’ouvrir ? demanda Ron d’une voix calme tandis qu’il tenait le médaillon dans sa main fermée. Comment ? Il passa le médaillon à Harry.
Après une minute ou deux, Harry se demanda si c’était son propre sang, palpitant dans ses veines qu’il pouvait sentir, ou était-ce quelque chose, un battement à l’interieur du médaillon qu’il pouvait sentir, comme un cœur minuscule en métal ?
- Qu’est ce que nous allons faire avec ? demanda Hermione.
- Gardez le en sureté jusqu’à ce que nous sachions comment le détruire répondit Harry bien que dans son fort intérieur, il ait voulu accrocher la chaine autour de son propre cou, laissant tomber le médaillon sous ses longues robes. Il le mit dans la poche que Hagrid lui avait donné.

- Je pense que nous devrions prendre des tours de garde à l’extérieur de la tente.
- Et nous devrions penser à de la nourriture aussi répondit Hermione. Bien, vous restez là, je vais m’en occuper. Avec le sneakoscoppe que Hermione avait donné à Harry le jour de son anniversaire, Harry et Hermione avaient passés le reste du jour à se partager la surveillance de la tente. Cependant, le sneakoscope restait toujours silencieux, posé sur la table et si en raison des sortilèges et des charmes protecteurs d’Hermione ou parce que les gens ont rarement osés s’aventurer dans cette foret, il resta abandonné, indépendement des oiseaux et des écureuils. La soirée n’apporta aucun changement. Harry alluma sa baguette magique pendant qu’il permutait son poste avec celui d’Hermione et regarda dehors, la scène abandonée, flottant au-dessus de lui, dans le ciel dégagé.

Il se sentit affamé maintenant, et un peu étourdi. Hermione n’avait emballé aucune nourriture dans son sac parce qu’elle avait supposé qu’ils reviendraient au square Grimmauld la nuit, ainsi ils n’avaient rien eu à manger excepé quelques champignons sauvages que Hermione avait rassemblé de parmi les arbres les plus proches. Le silence environnant était brisé par des bruits, qui ressemblaient à des craquements de brindilles: Harry pensa qu’ils étaient provoqués par des animaux plutôt que par des personnes pourtant, il maintin sa baguette magique serrée dans sa main. Il ne se sentait pas très bien, en raison de leur maigre repas de champignons.
Cependant il su qu'il se sentirait exalté s'ils parvenaient à reprendre l’ Horcrux, mais d’une façon ou d’une autre il ne le fit pas ; tous qu'il ressentit pendant qu'il se reposait en regardant l'obscurité de l‘extérieur, dont sa baguette magique éclairait seulement une petite partie, il s’inquiétait de ce qui se produirait après. C’était comme s'il avançait vers ce point depuis des semaines, des mois, peut-être même des années, mais comme il eut une brusque halte, la course hors de la route.


Il y avait d’autres Horcruxes dehors, quelque part, mais il n'avait pas eu la moindre d’où ils pouvaient être. Il ne savait même pas ce à quoi ils ressemblaient. En attendant il était loin de savoir détruire le seul qu'ils avaient trouvé, l’Horcrux qui reposait actuellement contre la chair nue de son torse. Curieusement, il n'avait pas pris la chaleur de son corps, mais il restait si froid contre sa peau qu'il pourrait juste avoir été sortit de l'eau glaciale. De temps en temps Harry pensait, ou imaginait peut-être, qu'il pouvait sentir des battements de coeur irrégulier faire tic tac à côté des siens. Des sentiments inconnus l’envahirent pendant qu'il s'asseyait dans l'obscurité. Il essaya de leur résister, les éloignant, pourtant ils vinrent à lui implacablement. Aucun d’eux ne peut vivre tant que l’autre survit. Ron et Hermione, parlant maintenant doucement derrière lui dans la tente, pourraient marcher loin s'ils voulaient. Il ne pouvait pas. Et il semblait à Harry, pendant qu'il reposait là, essayant de maîtriser sa propre peur et son épuisement, que l’Horcrux contre son torse comptait le temps qui passait…

- Idée stupide, s‘est-il dit, ne pense pas ça…..


Sa cicatrice commençait à le piquer encore. Il avait peur d’avoir produit cet effet en ayant ces pensées, et essaya de les diriger dans une autre direction. Il pensa à ce pauvre Kreattur, qui les attendait à la maison et avait reçu Yaxley à la place. L’elfe garderait-il le silence ou dirait-il au Mangemort tout ce qu'il savait ? Harry voulait croire que Kreattur avait changé en quelque mois, qu'il serait loyal maintenant, mais qui sait ce qui se produira ? Si le Mangemort torturait l'elfe ?

Les images difficiles entraient en masse dans la tête de Harry et il essaya d’éloigner ces dernières, parce qu’il n'y avait rien qu’il pouvait faire pour Kreattur : Hermione et lui étaient contre l’idée de l’appeler; et si quelqu'un du ministère venait aussi ? Ils ne pouvaient pas compter sur l'apparition espiègle mais loyale de l’elf maintenant que le 12 square Grimmaurd avait été pris par les Mangemorts.

La cicatrice d’Harry le brûlait maintenant. Il pensa qu'il y avait tellement de chose qu’il ne savait pas: Lupin avait eu raison au sujet de la magie, qu'ils n'avaient jamais rencontrée ou imaginé. Pourquoi Dumbledore n’avait pas expliqué plus ? A-t-il pensé qu'il avait du temps ; qu'il vivrait pendant des années, pendant des siècles peut-être, comme son ami Nicolas Flamel ? Si oui, il avait eu tort… Rogue avait vu ça… Rogue, le serpent ensommeillé, qui avait frappé sommet de la tour… Et Dumbledore était tombé… tombé…


"Donne le moi, Gregorovitch."
La voix de Harry était forte, claire et froide, sa baguette était tenu devant lui par une main blanche aux long doigts.L'homme vers qui il se dirigeait était à l'envers suspendu dans les airs, bien qu'il n'y ait aucune corde le tenant ; il se balancait, bondit invisiblement ses membres pendaient le long de son corps, son visage terrifié, de Harry du sang qui descendait vers sa tête. Il avait des cheveux tout blanc et une barbe épaisse et touffue : un sosie du père noël.

Je ne l’ai pas ! je ne l’ai plus ! On me l’a volé il y a des années !
- Ne mentez pas à Voldemort Gregorovitch, il connaît… il sait toujours.


Les pupilles de l'homme étaient larges, dilatées avec crainte, et semblèrent gonfler, plus grand et plus grand jusqu'à ce que leur noirceur ait avalé Harry en entier – Harry se dépêchait le long d’un couloir foncé, dans le sillage de Gregorovitch qui tenait une lanterne en haut : l'éclat de Gregorovitch dans la salle à l'extrémité du passage et de sa lanterne illuminaient ce qui a ressemblait à un atelier ; les copeaux et l'or en bois brillaient dans la vague d'oscillation de la lumière, et là sur le rebord de fenêtre reposé était perché, comme un oiseau géant, un jeune homme avec les cheveux d'or. La lanterne l’illuminait. Harry vit le plaisir sur son beau visage. L’intrus lança un charme renversant et sauta vers l’arrière avec un rire de corneille. Harry vit que le visage de Gregorovitch avait été frappé par la terreur.
- Qui était le voleur Gregorovitch ? dit une voix, froide et élevée.
- Je ne sais pas, je n’ai jamais su, un jeune homme qui…
- Le nom ! dit un cri persant, puis il y eu un éclat de feu vert…
- Harry !
Il ouvrit ses yeux haletants, son front palpitant. Il avait glissé dehors, contre le flanc de la tente et s’était étendu par terre. Il regarda vers le haut et vit Hermione dont les cheveux touffus obscurcissaient la scène.
- Rêve. Dit-il se reposant vers le haut et essayant de rencontrer le regard sombre d’Hermione avec un regard de l’innocence. Je somnolais loin, désolé.
- Je sais que c’était ta cicatrice. Je peux le dire par le regard sur ton visage. Tu étais dans l'esprit de Vol...
- Ne prononssez pas son nom ! Dit la vois fachée de Ron venant de l’intérieur de la tente.

"Bien," répliqua Hermione, "l’esprit de Vous-Savez-Qui, et!"
"Je n‘ai pas voulu que ça arrive!" dit Harry."C’était un rêve! Peux-tu contrôler tes rêves, Hermione ?"
"Si tu apprends juste à appliquer l’Occlumancie-"
Mais Harry n’était pas intéressé par ce qui ce disait; il cherchait à discuter de ce qu’il venait juste de voir.
"Il a trouvé Gregorovitch, Hermione, et je pense qu’il l’a tué, mais avant de le tué, il a lu dans les pensées de Gregorovitch et j’ai vu-"
"Je pense qu’il serait mieux que je prenne la montre (le tour de garde ?) si tu es si fatigué et que tu tombes de sommeil,"dit Hermione froidement.
"Je peux finir ma garde!"
"Non, tu es évidemment épuisé. Part et arrête de mentir."


Elle se laissa tomber vers le bas de l’ouverture de la tente, semblant têtue. Enervé, mais souhaitant éviter une dispute, Harry se pencha en arrière à l'intérieur.
Le visage encore pale de Ron dépassait de la couchette inférieure; Harry grimpa dans celle qui était au-dessus de lui, fixe et regarda le plafond de toile foncé. Après plusieurs secondes, Ron parla avec une voix si faible qu’elle n’arriva pas à Hermione, à l’entrée
"Que fait Vous-Savez-Qui?"
Harry plissa les yeux dans l’effort de se rappeler chaque détail, puis chuchota dans l’obscurité.
"Il a trouvé Gregorovitch. Il l’a immobilisé, il le torturait."

." "Comment Gregorovitch est censé lui faire une nouvelle baguette magique si il est attaché ?" "Je ne sais pas. .... C’est étrange, n'est-ce pas?"


Harry ferma ses yeux, pensant à tous ce qu’il avait vu et entendu. Plus il essayait de se rappeler, moins il comprenait. ... Voldemort n'avait indiqué rien au sujet de la baguette magique de Harry, rien au sujet des noyaux jumeaux, rien au sujet de Gregorovitch faisant une nouvelle et plus puissante baguette magique pour battre Harry.....
"Il voulait quelque chose de Gregorovitch," dit Harry, ses yeux commençaient à se fermer de plus en plus. "Il lui demanda de la lui remettre, mais Gregorovitch dit qu'il avait été volé par lui... et puis... puis…


"Il voulait quelque chose de Gregorovitch," dit Harry, ses yeux commençaient à se fermer de plus en plus.
"Il lui demanda de la lui remettre, mais Gregorovitch a dit qu'elle lui avait été volé ... et ensuite ... alors..."
Il se souvenait comment sous la forme de Voldemort, il lui avait semblé avancer à toute vitesse dans les yeux de Gregorovitch, dans sa mémoire....
"Il a vu les souvenirs de Gregorovitch et j'ai vu un jeune type perché sur un rebords de fenêtre qui a envoyé une malédiction à Gregorovitch puis a sauté de la vue. Il l'a volé, il a volé la chose que Vous-Savez-Qui voulait". Et je ... je pense que je l'ai deja vu quelque part.... "


Harry regrettait qu'il ne puisse pas avoir un autre aperçu du visage du garçon riant. Le vol était survenu il y a beaucoup d'années, selon Gregorovitch. Pourquoi le jeune voleur lui semblait-il si familier ?
Les bruits des bois environnants étaient assourdis à l'intérieur de la tente; tellement que Harry pouvait entendre la respiration de Ron. Après un moment, Ron chuchota : "tu ne pouvais pas voir ce que le voleur tenait ?"
"Non ... ça devait être quelque chose de petit."
"Harry?"
Les lamelles en bois de la couchette de Ron grincèrent pendant qu'il se replacait dans le lit.
"Harry, tu ne pense pas que Tu-Sais-Qui est après quelque chose d'autre à transformer en horcruxe"
"Je ne sais pas," dit Harry lentement. "Peut-être. Mais ce ne serait pas dangereux pour lui d'en faire un autre ? Hermione n'a-t-elle pas dit qu'il avait poussé son âme à la limite déjà ?"
"Ouais, mais peut-être qu'il ne le sait pas."
"Ouais. Peut-être" dit Harry.
Il avait été sûr que Voldemort avait cherché un moyen autour du problème des baguettes jumelles, sûr que Voldemort avait cherché une solution auprès du vieux fabriquant de baguette... et pourtant il l'avait tué, apparemment sans lui poser une seule question sur le problème des baguettes et de la vieille magie.
Qu'est ce que Voldemort essayait de trouver ? Pourquoi, avec le Ministère de Magie et le monde de la magie à ses pieds, était il si loin, à la poursuite d'un objet que Gregorovitch avait possédé et qui avait été volé par un voleur inconnu ?
Harry pouvait encore voir la chevelure blonde sur ce jeune visage; il était joyeux, sauvage ; il y avait comme un air de Fred et de George de supercherie triomphante a son sujet. Il avait monté rapidement sur le rebord de la fenetre comme un oiseau, et Harry l'avait deja vu avant, mais il ne pouvait pas se souvenir d'où. ….
Avec Gregorovitch mort, c'était le voleur au visage joyeux qui était en danger maintenant et c'était sur lui que les pensées d'Harry s'arretait, car les ronflements de Ron commencèrent à gronder sur la couchette inférieure et qu'il derivait lentement dans le sommeil une fois de plus.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

merchii beaucoup pr tes resumé sa m'aide beaucoup merchiii , je le lis en anglais c'est la premiere fois que je lis un bouquin en anglais alors c'est cool de pouvoir verifier si ce que je pence est correcte apres la lecture de chaque chapitre ^^