samedi 28 juillet 2007

Chapitre 12

Chapitre 12

La puissance de la magie



Tandis qu'août arrivait, le carré d'herbe non entretenu au milieu de la place Grimmaurd se désséchait au soleil jusqu'à être cassante et brune. Ni les habitants du numéro douze, ni le numéro douze lui-même, n'étaient jamais vus par quiconque dans les maisons environnantes. Les Moldus qui vivaient dans la place Grimmaurd depuis longtemps avaient accepté l'erreur amusante de numérotation qui avait fait siéger le numéro onze à côté du numéro treize. Mais la place attirait maintenant un certain nombre de visiteurs qui semblaient trouver l'anomalie plus intrigante. À peine un jour passait sans qu'une ou deux personnes arrivaient dans la place Grimmaurd sans autre but, tout du moins à ce qu'il semblait, que pour s'appuyer contre les grilles faisant face aux numéros onze et treize, observant la jointure des deux maisons. Les badauds n'étaient jamais les mêmes deux jours d'affilés, bien qu'ils semblaient tous partager une aversion pour l'habillement normal.

La majeure partie des Londoniens qui passaient étaient habitués aux gens habillés excentriquement et y firent peu attention, bien que de temps en temps l'un d'entre eux pouvait jeter un coup d'oeil en arrière, se demandant pourquoi n'importe qui porterait de si longs manteaux avec cette chaleur.
Les observateurs semblaient récolter peu de satisfaction de leur surveillance. De temps en temps l'un d'entre eux commençait à s'avancer avec enthousiasme, comme s'il avait enfin vu quelque chose d'intéressant, mais seulement pour faire demi-tour, l'air déçu.

Le premier jour de septembre, il y avait plus de personnes rôdant dans la place que jamais auparavant. Une demi-douzaine d'hommes dans de longs manteaux se tenaient, silencieux et attentifs, comme toujours regardant fixement les numéros onze et treize, mais la chose qu'ils attendaient semblait toujours insaisissable. Tandis que la soirée se profilait, apportant avec elle une rafale inattendue de pluie froide, pour la première fois en plusieurs semaines, se produisit un de ces moments inexplicables lorsqu'ils semblaient avoir vu quelque chose d'intéressant. L'homme avec le visage tordu fit remarquer quelque chose et son plus proche compagnon, un homme livide et grassouillet, commença à s'avancer, mais un moment plus tard ils étaient retournés dans leur état précédent d'inactivité, semblant frustrés et déçus.

Pendant ce temps à l'intérieur du n°12, Harry venait d'entrer dans le hall. Il avait presque perdu l'équilibre quand il était apparu sur la dernière marche juste à l'extérieur de la porte d'entrée, et grâce à cela les Mangemorts pourraient avoir entraperçut son coude momentanément à découvert. Fermant la porte d'entrée soigneusement derrière lui, il retira sa cape d'invisibilité, l'enroula autour de son bras et se pressa le long du couloir lugubre en direction de la porte qui mène au sous-sol, agrippant une copie volée de la Gazette du sorcier.

L'habituel chuchotement de Severus Rogue l'accueillit, le vent froid le balaya et sa gorge se serra pour un moment.
" Je ne t'ai pas tué" dit-il une fois qu'il l'eut déroulé, puis il retient son souffle quand la figure porte-malheur de poussière explosa. Il attendit d'être à mi-chemin des escaliers vers la cuisine, hors de portée de la voix de Mrs Black et débarrassé du nuage de poussière, avant d'appeler :

"J'ai des nouvelles, et vous n'allez pas les aimer".

La cuisine était presque irreconnaissable. Chaque surface resplandissait ; les pots en cuivre et les casseroles avaient été polie jusqu'à un éclat rosé, le dessus de table en bois luisait, les verres à pieds et les assiettes déjà allignés pour le repas étincellaient dans la lumière d'un feu crépitant joyeusement et sur lequel un chaudron mijotait.
Rien dans la pièce, cependant, n'était plus nettement différent que l'elfe de maison qui accourait vers Harry, habillé d'un torchon blanc comme neige, ses poils d'oreille aussi propre et duveteux que de la laine de coton, le médaillon de Regulus rebondissant sur sa maigre poitrine.
"Enlevez vos chaussure, s'il vous plaît, maître Harry, et lavez-vous les mains avant de manger" croassa Kreattur, en saisissant la cape d'invisibilité et en se voutânt pour l'accrocher à un crochet sur le mur, à côté d'un certain nombre de robes démodées récement nettoyées.
"Que se passe-t-il ?" demanda Ron avec appréhension.
Hermione avait déversé une liasse de notes griffonées et de cartes dessinées à la main qui jonchait le bout de la longue table de cuisine mais maintenant ils regardaient Harry alors qu'il les enjambait et jetait le journal sur le sommet de leurs parchemins éparpillés.

Hermione fut la plus rapide; elle saisit le journal et commença à lire à haute voix l'article qui l'accompagnait.
"Severus Rogue, professeur de potion de longue date à Poudlard, l'école de sorcellerie et de magie, a été nommé directeur dans le plus important des postes qui ont changé dans l'ancienne école. Suivant les résignations du précédent professeur d'étude des moldus, Alecto Carrow obtiendra le poste pendant que son frère, Amycus, occupera le poste de professeur de défense contre les forces du mal".

" 'Je me réjouis de l'opportunité de confirmer nos plus fines traditions et valeures magiques
-'Comme commettre des meurtres et couper les oreilles des gens, je suppose!

Rogue, directeur! Rogue avec les fonctions de Dumbledore- par le pantalon de Merlin!"cria-t-elle, faisant sursauter Harry et Ron.

Elle se dégagea de la table et traversa la pièce, criant, comme elle partait

" Je reviens dans une minute!"
-"Par le pantalon de Merlin" répéta Ron, amusé.

"Elle doit être chamboulée." Il tira le journal vers lui et lu attentivement l'article à propos de Rogue.

"Les autres professeurs ne resteront pas avec ça, McGonagall, Flitwick et Chourave, tous connaissent la vérité, ils savent comment Dumbledore est mort, ils n'accepteront pas Rogue comme directeur. Et qui sont ces Carrows ?"
-"Des Mangemorts" dit Harry."Il y a des images d'eux à l'intérieur. Ils étaient au sommet de la tour quand Rogue a tué Dumbledore, donc ensemble, ils sont tous amis. Et Harry continua amèrement, prenant une chaise

" Je ne pense pas que les autres professeurs ont d'autres choix que de rester. Si le ministère et Voldemort sont derrière Rogue, ils ont le choix entre rester et enseigner, ou de belles années à Azkaban- s'ils sont chanceux. Je pense qu'ils resteront pour essayer de protéger les élèves."


Kreattur est venu s'activant sur la table avec une grande marmite dans ces mains, et servit de la soupe dans de vieux bols, sifflant entre ses dents comme d'habitude.

"Merci, Kreattur" dit Harry en prenant son bol et le mettant sur la Gazette du sorcier pour ne pas avoir à regarder le visage de Rogue.

"Bon, au moins nous savons exactement où se trouve Rogue maintenant."
Puis il commença à manger le bouillon grâce à une cuillère que le petit elfe lui donna. La qualité de la cuisine de Kreattur s’était nettement améliorée depuis qu’il a reçu le médaillon de Regulus.


"Il y a toujours un groupe de mangemorts observant la maison," dit Ron après avoir finit son bol "plus que d’habitude... Comme s’ils espèrent que nous sortirons d’ici pour aller à la gare de King ‘s Cross! "


Ron jeta un coup d'oeil à sa montre.
"Je n’ai pas arrêté de penser à cela. Il est parti il y a presque six heures. Étrange que nous ne soyons pas dedans, non?"
Dans son esprit, Harry cru voir le grand train à vapeur se diriger vers le somptueux château, il repensait au moment ou lui et Ron le survolèrent grâce à la voiture de Mr. Weasley. Il était sûr que Ginny, Neville, et Luna étaient ensemble en ce moment, peut-être se demandaient-ils ou lui, Ron et Hermione se trouvaient ? ou comment faire pour survivre au nouveau règlement de l’école qui était sous l’emprise des mangemorts ?


"Ils m'ont presque vu quand je suis revenu ce matin" dit Harry,

"J’ai trébuché sur une marche et la cape d’invisibilité a glissé
"Ca m’arrive à chaque fois. Ah, Hermione est là" ajouta Ron se retournant pour la voir entrer dans la cuisine. "Et les quels étaient-ce ? Les slips de kangourou ou les hanches de Merlin ?"


"Je me suis rappelé ceci," S’écria Hermione, ravi.


Elle portait un grand tableau peint qu’elle mit sur la table afin d’ouvrir son sac, puis il essaya de faire rentrer la toile dans son petit sac, qui a vu d’œil ne pouvait porter que quelques petits objets, mais le grand tableau disparut rapidement dans les profondeurs du sac magique.


"Phineas Nigellus," Expliqua Hermione en jetant son sac sur la table accompagné du bruit sonore qui retentit à chaque fois qu’elle le faisait.
"Désolé ?" dit Ron, mais Harry compris. Phineas Nigellus pouvait voyager à volonter entre son tableau peint en noir que Hermione venait de prendre et celui qui se trouvait dans le bureau de Rogue, à Poudlard ou Rogue devait probablement se reposait, en ce moment. Il était surement heureux de posséder la collection de Dumbledore de livres, les instruments magiques, les pensives, le choipeaux magique, et à moins qu'elle fut déplacée ailleurs, l'épée de Gryffondor.


"Rogue pourrait très bien envoyer Phineas ici pour voir si on s’y trouve" expliqua Hermione à Ron pendant qu'elle reprenait son siège.

"Mais maintenant, il ne pourra voir que mon sac à main »
"Bien pensé » Dit Ron, admiratif.
"Merci," dit Hermione en souriant, tirant son bouillon vers elle.

"Sinon Harry, rien d’intéressant aujourd’hui ?"
"Rien," Répondit Harry. "J’ai observé l’entré du ministère pendant sept heures, aucun signe d’elle. Par contre, j’ai vu ton père Ron, il va très bien"


Ron inclina la tête pour montrer son contentement au vu de ces nouvelles. Mais ils savaient qu’il leur été impossible de communiquer avec lui vu qu’il était toujours accompagné d’autres sorciers. Cependant, ils étaient rassurés de le voir en bonne santé.


"Papa nous a toujours dis que la plupart des gens importants du ministère entraient grâce au réseau de cheminé," Indiqua Ron.

"C’est pourquoi nous ne voyons jamais Ombrage, elle se croit importante… »
"Et qui sont ces deux sorciers qui entrent toujours habillés de robes bleues marines ?" demanda Hermione.
"Ah ouais, les types de l’entretient magique ? » Répondit Ron.
"Comment tu sais qu’ils travaillent pour l’entretient du ministère ?" Demanda Hermione, soupçonneuse.
"Papa dit toujours que les hommes d’entretient portent des robes bleues marines, mais je ne suis sur de rien !"
Hermione laissa tomber sa cuillère pour tirer de son sac un carnet qu'elle et Ron examinaient quand Harry entra dans la cuisine.
"Il n'y a rien ici à propos de robes bleues marines!" dit-elle tout en tournant rapidement les pages.
"Euh… c’est réellement important tous ça ? » Demanda Ron, incrédule
"Je pense que nous devrions y pénétrer demain !,"dit Harry.
Hermione arrêta de parler comme pétrifié et Ron regarda fixement Harry comme s’il ne l’avait jamais vu.
"Demain ?" Hermione répété. "tu n’es pas serieux Harry ?"
"Je le suis" dit Harry “Je ne pense pas que nous puissions être mieux préparés que nous ne le sommes maintenant même si nous rodons autour de l'entrée du ministères encore un mois. Plus longtemps nous tardons, plus loin le médaillon pourra être. Il y a déjà une bonne chance qu'Ombrage l'ai jeté ; il ne s'ouvre pas.”
“Sauf si,” dit Ron, “elle a trouvé un moyen de l'ouvrir et qu'elle soit maintenant possédée.”
“Est-ce que ce cela fairait une différence dans son cas ? Elle est déjà si malfaisante,” fit Harry en haussant les épaules.


Hermione se mordait la lèvre, perdu dans ses pensées.

“Nous savons tout ce qui est important,” poursuivit Harry, s'adressant à Hermione. “Nous savons qu'ils ont rendu impossible de transplaner dans ou hors du ministère; nous savons que seuls les membres les plus importants du ministères sont autorisés à connecter leur maison au réseau de cheminée maintenant, parce que Ron a entendu des plaintes à ce propos. Et nous savons en gros où se trouve le bureau d'Ombrage, parce que tu as entendu le type barbu le dire à son camarade“.

"Je monte en haut, Dolores veut me voir " recita immédiatement Hermione.

"Exactement,” dit Harry. “Et nous savons que tu entres en utilisant ces pièces amusantes, ou quoi qu'elles soient, parce que j'ai vu cette sorcière en emprunter une à son amie ...“.

“Mais nous n'en avons aucune !”


“Si le plan fonctionne, nous en aurons,” continua Harry posément.

“Je ne sais pas, Harry, Je ne sais pas … Il y a un affreux nombre de chose qui peuvent mal se passer, trop de chose repose sur la chance … “


"Ce sera vrai la même chose si nous passons 3 autres mois à nous préparer, dit Harry. “Il est temps d'agir.”
Il pouvait dire d'après les visages de Ron et d'Hermione qu'ils avaient peur, il n'était pas particulièrement confiant lui-même, et maintenant il était sûr que le temps était venu de mettre leur plan en action.
Ils avaient passé les quatre semaines précédentes à se relayer avec la cape d'invisibilité et à espionner l'entrée officielle du ministère, que Ron, merci à Mr. Weasley, connaissait depuis l'enfance. Ils avaient pister des employés du ministère sur leur chemin d'entrée, espionné leur conversation, et apprit par de prudentes observations, auquels d'entre eux ils pouvaient s'enremettre pour apparaître, seul, à la même heure chaque jour. Occasionnellement ils avaient eut la chance de chiper la Gazette du sorcier dans l'attaché-caisse de quelqu'un. Doucement ils avaient élaborés une carte sommaire et des notes maintenant empilées devant Hermione.


“D'accord,” dit Ron lentement, “Disons que nous le fairions demain ... Je pense que ça devrait être Harry et moi.”

“Oh, ne recommence pas avec ça !” soupira Hermione. “Je pensais que nous avions règlé ça.”

“C'est une chose de rôder autour de l'entrée sous la cape, mais ça c'est différent. Hermione,” Ron

planta son doigt sur une copie de la Gazette du sorcier daté de dix jours.

“Tu es sur la liste des gens né chez les moldus qui ne se sont pas présentés pour l'interrogatoire ! "

“Et toi tu es supposé être en train de mourir de spattergroit au Terrier !

Si quelqu'un doit y aller, c'est Harry, il y a une prime de 10 000 gallions sur sa tête"

“Bien, je vais rester ici,” dit Harry. “Vous me le ferez savoir si vous arrivez à vaincre Voldemort, n'est-ce pas ?”.

Comme Ron et Hermione ont ri, de la douleur de la cicatrice sur le front de Harry. Sa main sauta à

elle. Il a vu les yeux de Hermione se rétrécir, et il a essayé au passage du mouvement à la brosse ses cheveux passé hors de ses yeux.

« Bien, si chacun nous trois disparaît nous devons Disapparaitre séparément »

Ron dit. « Nous ne pouvons tous nous adapter sous le Cloadk plus. » ((?))

La cicatrice de Harry devenait de plus en plus douloureuse. Elle s'est levée.Une fois que, Kreatcher se

dépêchait en avant.

« Maître son potage, le maître n'a-t-il pas fini préférerait-il le ragoût savoureux, ou bien la mélasse au

goût âpre à quel maître est si partiel ?

Les « mercis, Kreacher, mais nous seront de retour dans une minute--heu--salle de bains. »

Conscient du fait que Hermione l'observait soupçonneusement, Harry s'est dépêché d'allé vers le

haut des escaliers au hall,et puis au premier atterrissage, où il tiret dans la salle de bains et boulonné

la porte encore. Grognant avec douleur, il s'est effondré au-dessus du bassin noir avec ses robinets

sous forme de serpents à bouche ouverte et a fermé ses yeux…,

Il glissait le long d'une rue de twilit.

Les bâtiments de chaque côté de lui ont eu la haute, pignons boisés ; ils ont ressemblé aux maisons

de pain d'épice. Il a approché l'un d'entre eux, a alors vu que les whitenes ((?))de ses propres

longfingered((?)) la main contre la porte. Il a frappé. Il a senti une excitation de support…. La porte

s'est ouverte ; Une femme riante se tenait là. Son visage est tombé en tant qu'elle regardé dans le

visage de Harry ; gon d'humeur, terreur le remplaçant….

« Gregorovitch ? » a dit une voix élevée et froide. Elle a secoué sa tête ; Elle essayait de fermer la

porte.

Une main blanche le tint doucement, l'empêchant de bouger « Je veux Gregorovitch. »

« Er wohn

hier mcht mehr! » pleura t'elle, secouant sa tête.

« Il ne vit pas ici ! Il ne vit pas ici ! Je ne le connais pas ! » Abandonnant sa tentative de fermer la porte, elle commença à revenir dans le hall sombre, et Harry les suivit, glissant vers elle, et sa main aux longs doigts avait dessiné avec sa baguette magique.

« Où est il ? » « Das welf ieh nieht !

Il se déplace ! Je sais pas, je sais pas ! » Il souleva sa baguette magique. Elle cria. Deux jeunes enfants vinrent, courant dans le hall. Elle essaya de les protéger de ses bras. Il y eut un flash de feu vert.

« Harry ! HARRY ! » Il ouvrit les yeux ; il était tombé sur le plancher. Hermione martelait sur sa porte.

« Harry, ouvre ! » Il avait crié dehors, il le sut. Il se leva et a dévérouilla la porte ; Hermione tomba

littéralement à l'intérieur immédiatement, regagna son équilibre, et regarda autour de manière

soupçonneuse. Ron était derrière elle, semblant affaibli en ayant dirigé sa baguette magique dans les

coins de la salle de bains fraîche.

Que faisais-tu ? « demanda Hermione. « Que pense-tu que je faisais ? »

Harry demanda avec le bravado faible.

«Tu hurlais au loin ! » dit Ron.

« OH je devais somnoler au loin ou -- »

« Harry, s'il te plaît n'insulte pas notre intelligence, » dit Hermione, reprenant profondément son souffle. « Nous connaissons ta cicatrice d'en bas (???), et tu es blanc comme une feuille. »

Harry s'assit sur le bord du bain. « J'ai juste vu Voldemort assassiner une femme. À présent, il a probablement tué sa famille entière. Et il n'a pas eu besoin. C'était Cedric encore une fois, ils

étaient juste là….«

« Harry, tu n'es pas supposé ne plus laisser ceci se produire ! » Hermione pleura, sa voix faisant écho par la salle de bains.

"Harry, tu ne doit pas laissé tout ça se produire !" Hermione pleurait tout en parlant, sa voix faisant

écho dans la salle de bain. "

Dumbledore voulait que t’entraine à fermer ton esprit! Il a pensé que le raccordement était dangereux - Voldemort peut s’en servir, Harry !

Qui a-t-il de bon de le voir tuer et torturer des gens?"

"Comme ça, je peux au moins savoir ce qu’il fait, ou il est" a dit Harry.

"Ainsi tu ne vas même pas essayer de fermer ton esprit ?"

"Hermione, je ne peux pas. Tu sais très bien que je suis nul en Occlumencie. Je n'ai jamais obtenu le

moindre résultat."

"Tu n’as jamais vraiment essayé !" dit-elle ardemment. "C’est pourquoi tu n’obtiens pas de résultat, tu te comporte comme si tu aimais ce raccordement, ce ralliement entre vous deux comme…comme… »

Elle hésita sous le regard noir que lui jetais Harry.

"Comme lui ?" dit-il tranquillement. "JE l’aime ?"

"Je - Non- je suis désolé, Harry. Je n’ai pas voulu dire ça - "

"Je le déteste, je déteste le fait qu’il peut être à l’intérieur de moi, qu’il peut me contrôler, que je

dois l'observer quand il tue une personne. Mais je me dois de l’employer."

"Dumbledore… "

"Oubliez un peu Dumbledore…C’est mon choix, pas le sien. Je veux savoir pourquoi il est après

Gregorovitch."

"Qui ça ?"

"Il est un fabriquant de baguette magiques étranger "dit Harry. "Il a fait la baguette magique de

Krum, il dit qu’il est brillant"

"Mais selon toi" dit Ron, "Voldemort détient déjà Ollivender. S'il a déjà un fabriquant de baguettes

magiques, pourquoi cherche-t-il un autre?"

"Peut-être est-il d’accord avec Krum, qu’il croit que Gregorovitch est meilleur... ou bien pense-t-il

que Gregorovitch sait ce qui s’est passé quand il me poursuivait, pourquoi ma baguette s’est ainsi

comporté et a cassé la sienne."

Harry jeta un regard au miroir poussiéreux devant lui et aperçu Ron et Hermione qui s’échangeaient

des regards interrogatoires.

"Harry, tu continue à parler de ce que TA baguette a fait ," dit Hermione "mais c’est toi, et toi seul qui

a jeté ce sortilège! Pourquoi ne veut tu pas admettre que c’est toi qui a fait ça ?

"Puisque je sais que je n’ai rien fait…En tout cas, Hermione, Moi et Voldemort sont les seuls à avoir

vu ce qui s’est réellement passé »

Ses deux amis se regardèrent étrangement ; Harry su qu'il n'avait pas convaincu Hermione et qu'elle

rassemblait des arguments contre sa théorie sur sa baguette magique et le fait qu'il se permettait de

voir dans l'esprit de Voldemort. À son soulagement, Ron intervint :

"Laissez tomber," conseilla-t-il. "En tout cas, si nous devons aller demain au ministère, nous devons

penser à un plan, pas vrai?"

À contrecoeur, Hermione garda le silence, même si Harry était sur qu’elle attaquerait tôt ou tard.

Ensuite, le trio se dirigea vers la cuisine ou Kreature leur servit de la tarte au ragout.

Ils restèrent éveillés jusqu'à tard dans la nuit en discutant de leur plan. Harry, qui dormait

maintenant dans la chambre de Sirius, regardait attentivement une photo, grâce à la lumière d’un

Lumos ou les Maraudeurs souriaient tout en le fixant. Mais après quelques minutes, il éteignit sa

baguette, cependant, il ne pensait pas au polynectar, aux robes longues bleu marine de l'entretien

magique ou encore de ce qui allait se passer le lendemain ; mais il réfléchissait plutôt à combien de

temps pourraient-ils se cacher encore avant que Voldemort ne les trouvent, et à l’endroit ou pouvait

se trouver Gregorovitch maintenant.

"Tu semble fatigué » dit Ron en entrant de la chambre afin de réveiller Harry

"Pas pour longtemps, ne t’inquiète pas" répondit Harry en baillant.

En descendant, ils trouvèrent Hermione assise sur une chaise dans la cuisine. Elle s’était servie du

café et quelques toasts grillés façon Kreature. Elle avait une expression étrange sur son visage, la

même que celle qu’elle avait juste avant les B.U.S.E

"Voila de longues robes, du Polynectar, une cape d'invisiblité, des Détonations de Deeny (un objet

qui permet de faire une explosion) chaqu'un en prend deux juste au cas ou, des Pastilles

vomissantes, du Nougat Néansang et des oreilles à ralongs...» Lança Hermione en un seul souffle

Ils engloutirent d’un trait leur petit déjeuner, puis se preparerent en haut, Kreacher les accompagnant dehors leur promettant qu’il y aurait une tourte à la viande et aux rognons prêts pour eux quand ils reviendraient.

"Benissez le," dit Ron tendrement, "et quand vous pensez que j'avais l'habitude de fantasmer au

sujet de découper sa tête et de la coller sur le mur."

Ils sortirent aves une immanse precaution. Ils pouvaient voir deux ou trois mangemorts aux yeux bouffis observer la maison de l'autre côté de la place brumeuse. Hermione Transplana avec Ron d'abord, puis revint pour Harry.

Après la bref sensation habituelle d'obscurité et d'étouffement, Harry se retrouva dans l'allée minuscule où la première phase de leur plan était programmée pour avoir lieu. C’etait jusqu'ici désert, excepté le presence de deux ou trois lerges poubelles ; les premiers employés du ministère n’apparaissaient habituellement pas ici avant huit heures.

"Tres bien," dit Hermione, vérifiant sa montre. "elle doit être ici dans environ cinq minutes. Quand je

la Stupefixe - "

"Hermione, on sait,"dit Ron sévèrement. "Et je pensais qu’on était censé ouvrir la porte avant qu’elle

n’arrive ?"

Hermione couina.

"J'avais presque oublié ! Reculez - "

Elle dirigea sa baguette magique vers la porte coupe-feu cadnacée et fortement taguée près d’eux, qui s’ouvrit a la volée. Le couloir sombre derrière menait, comme ils avait pu soigneusement le verifié lors de leur precedent voyage, dans un théâtre desafecté. Hermione poussa la porte vers elle, pour donner l’impression qu’elle etait encore fermée.

"Et maintenant," dit-elle, se tournant, faisant de nouveau face au visage les deux autres dans l'allée,

"on remet la cape - "

"- et on attend," fini Ron, jetant cette derniere au-dessus de la tête de Hermione comme une couverture au-dessus d'une cage a oiseaux et roulant ses yeux en direction de Harry.

Un Peu plus qu'une minute plus tard, il y eu un crack minuscule et une petite sorcière du ministère aux cheveux gris apparu en face d’eux, sintillant un peu dans cet eclat soudain : le soleil venait juste de sortir de derrière un nuage. Elle eu à peine le temps d’apprécier cette chaleur inattendue, que, le charme renversant et silencieux d’ Hermione la frapper à la poitrine et le renversa.

"Joli, Hermione," dit Ron, émergeant de derrière une poubelle près de la porte du théâtre pendant que Harry enlevait la cape d'invisibilité. Ensemble ils portérent la petite sorcière dans le passage sombre qui l’a mené dans les coulisses. Hermione arracha quelques cheveux de la tête de la sorcière et les ajouta au flacon de Polynectar boueux qu'elle avait retiré du sac perlé. Ron fouilla dans le petit sac à main de la sorcière.

"C’est Mafalda Hopkirk," dit-il, lisant une petite carte qui identifiait leur victime en tant qu'Assistance dans le departement d’Usage Abbusif de la Magie. « Tu devrais prendre ca, Hermione, et voila le badge."

Il lui passa plusieurs petites pièces de monnaie d'or, avec les lettres M.O.M inscrites dessus, qu'il venait de prendre de la bourse de la sorcière.

Hermione bu le Polynectar, qui était maintenant d’une couleur pourpre plaisante, et quelques secondes plus tard,il y avait un double de Mafalda Hopkirk. Puis elle se baissa pour prendre les lunettes de la femme, Harry vérifia sa montre.

"Dépechons -nous, M. Magical Maintenance sera ici dans quelques secondes." Ils se dépêchèrent de

fermer la porte sur la vraie Mafalda ; Harry et Ron jetèrent la cape d'invisibilité sur eux mais Hermione resta en vue, attendant.Quelques secondes plus tard il y eut un autre bruit, et un petit,un sorcier à face de furet apparu.

"Oh, bonjour, Mafalda."

"Bonjour !" dit Hermione d’une voix tremblotante.

"Comment allez vous aujourd'hui ?"

"Pas tant que ça," répondit le petit sorcier, qui l’a regardé complètement abattu.

Comme Hermione et le sorcier se dirigeaient vers la route principale, Harry et Ron rampèrent derrière eux.

"Je suis désolé d’entendre que vous n’allez pas très bien" dit Hermione, parlant fermement au magicien qui essayait de lui exposer ces problèmes; puis, se souvenant de leur plan, elle demanda.

"Voulez-vous un bonbon ?"

"Hein ? Ah, non…non, merci !"

"J'insiste !"Dit Hermione agressivement, secouant le sac de pastilles vomissantes devant son visage.

Apeuré, le sorcier en pris un.

L'effet fut instantané. Juste au moment ou le bonbon toucha sa langue, qu’il commença à vomir tendit que Hermione arracha quelques poils de ses cheveux.

"Oh cher !" s’exclama-t-elle, "Peut-être devriez-vous prendre un jour de repos ?!"

"Non de non !" Répondit-il en essayant de continuer, ne pouvant se tenir droitement "Je dois - aujourd'hui - dois aller - travailler - important "

"Mais c'est simplement idiot !" dit Hermione, alarmé. "Vous ne pouvez pas aller travailler dans cet état - je pense que vous devriez vous asseoir, il y a une chaise au bout de la rue."

Le magicien s'était effondré, mais il rampa, se dirigeant vers la rue principale.

"Vous ne pouvez pas aller travailler dans cet état !" S’écriant Hermione, apeuré. « C’est du pur suicide »

Enfin, il sembla accepter le fait qu’il soit vraiment malade. Il s’agrippa à Hermione afin de se lever, fit demi-tour et disparu ne laissant rien derrière lui. Cependant, Ron avait pu saisir son sac qui contenait son badge et ces affaires avant qu’il ne transplane.

"Beurk » s’exclama Hermione en voyant sa longue robe remplis de vomi. "Ca aurait été plus facile de le stupéfixier…."

"Ouais," dit Ron, sortant de sous la cape d’invisibilité, "mais je pense comme même que tout un tas de corps évanoui aurait attiré l’attention sur nous » Et après qu’il ait jeté les poils pris par Hermione dans un flacon de Polynectar, il le but.

En moins de deux minutes, Ron se tenait devant eux, aussi petit et febrile que le sorcier malade, et enfila la longue robe bleu marine qui était pliée dans son sac.

"Étrange qu’il ne la portait pas aujourd'hui, hein, vous avez vu à quel point il voulait y aller ? Quoi qu'il en soit, je suis Reg Cattermole, selon l'étiquette dans son dos."

"Attends ici maintenant," dit Hermione à Harry, qui était toujours sous la cape d'invisibilité, "et nous serons de retour avec quelques cheveux pour toi."

Il dû attendre dix minutes, mais qui semblerent beaucoup plus longue a Harry, seul fesant les cents pas dans l'allée boueuse près de la porte cachant Mafalda Stupefixée. Enfin Ron et Hermione réapparurent.

"Nous ne savons pas qui il est," dit Hermione, donnant à Harry plusieurs cheveux noirs bouclés, "mais lui est rentré chez lui avec un saignement de nez epouventable ! Ceci dit, il est assez grand, tu auras besoin de plus grandes robes ..."

Elle retira un ensemble des vieilles robes que Kreacher avait lavé pour elles, et Harry retira sienne pour prendre la potion et se changer.

Une fois que la douloureuse transformation fut complète il fesait plus de six pied de haut et, de ce qu'il pouvait voir ses bras était long et musclés. Il avait également une barbe. Rangeant

la cape d'invisibilité et ses lunettes à l'intérieur de sa nouvelle robe, il rejoint les deux autres.

"Mince alors, ca fait peur," dit Ron, levant les yeux vers Harry, qui maintenant le dominait.

"Prend un des badges de Mafalda," dit Hermione a Harry, "et allons –y il est preque neuf heures."

Ils marcherent dans l’allée ensemble. Quarante metres au bout du trottoir etriqué se trouvaient deux balustrades noirs et aiguisées qui fanquaient deux volées de marche l’une indiquant

« Dames » et l’autre « Mesieurs ».

"On se voit dans un moment," dit Hermione nerveusement, et elle chancela outre vers les escalier ou etait indiqué DAMES. Harry et Ron rejoinirent un certain nombre d'hommes curieusement habillés descendant dans ce qui semblait être des toilettes publiques souterraines ordinaires, carrelé en noir et blanc encrassé.

"B’jour, Reg !" appela un autre sorcier dans une robe bleu marine alors qu’il rentrait dans la cabine inserant un jeton en or. "On a d’la peine a venir, hein ? Nous forcer tous venir travailler de cette facon ! A qui s’attende il a voir débarquer , Harry Potter ?"

Le sorcier eclata de rire a sa propre blague. Ron du prendre un rire forcé.

"Ouais," dit-il , "stupide, n'est-ce pas?"

Et lui et Harry entrairent dans la cabine contigu.

De la gauche et la droite de Harry parvenurent des bruit de chasse d’eau. Il s'accroupi sur le sol de la cabine, juste à temps pour voir une paire de pieds grimper dans la cuvette des toilette dans la cabine d’a coté. Il regarda à sa gauche et vit Ron cligné des yeux.

"Nous devons rentrer dedans ?" chuchota-t-il.

"Ca en a bien l’air," lui chuchota Harry en retour; sa voix sonna profonde et caillouteuse.

Ils se redresserent tous les deux. Se sentant particulièrement idiot, Harry grimpa dans les toilettes.

Il su immédiatement qu'il avait fait la bonne chose ; alors qu’il semblait etre dans l'eau, ses chaussures, ses pieds, et sa robe resterent tout à fait secs. Il se redressa, tira la chaîne, et le moment suivant glissa le long dans long toboggan, émergeant d'une cheminée au Ministère de la magie.

Il se leva maladroitement ; il possedait beaucoup plus de corps que ce a qui il etait habitué. Le grand

Atrium semblait plus somble que dans son souvenir. Autrefois une fontaine d'or reposait au centre du hall, fesant miroité la lumiere au-dessus du plancher et sur les murs en bois polis. Maintenant une statue colossale de pierre noire a dominé la scène. Elle etait plutôt effrayante, cette vaste sculpture

sur laquelle une sorcière et d’un sorcier était assis sur les trônes dans un style très ornementé, regardant vers le bas les employés du ministère se renverser hors des cheminées au-dessous de elles.

Été gravés en lettres en majuscule à la base de la statue les mots

LA MAGIE PRIME SUR LA FORCE

Harry reçu un coup fort dans les jambe. Un autre sorcier venait juste de voler hors de la cheminée derrière lui.

"Hors de mon chemin, vous ne pouvez - oh, désolé, Runcorn."

Clairement effrayé, le sorcier tranblant se depecha de s’en allé. Apparemment l'homme que Harry incarnait, Runcorn, était intimidant.

"Psst !" dit une voix, et il regarda autour de lui pour trouver une petite sorcière aux cheveux clairsemés et un sorcier febrile de la Maintenance Magique lui faire des gestes près de la statue.

Harry s’empressa de les joindre.

"Tu as reussi à rentrer, hein ?"Chuchota Hermione à Harry.

"Non, il est encore coincé dans les chiottes," dit Ron.

"Oh, très drôle... c’est horrible, n'est-ce pas?" dit-elle à Harry, qui regardait fixement vers la statue.

"Vous avez vu sur quoi ils reposent?"

Harry regarda plus attentivement, et s’aperçut que ce qu’il croyait être des trônes décoratifs découpés étaient, au fait, des restes de corps humains: des centaines de corps d’hommes, de femmes et d’enfants nus, au visage stupide et laid, étaient tordus et pressés ensemble pour soutenir le poids de la grande statut.

"Des Moldus," dit Hermione, "C’est vraiment abominable…Bon allons-y."

Ils rejoignirent alors l’assemblements de sorciers qui se dirigeait vers les portes en or du hall d’entrée.

Quand ils eurent traversé la grande porte dorée, ils virent une longue file d’attente devant l’ascenseur principale. "Cattermole, viens la!"

Le trio se retourna et Harry sentit son estomac se noué. Un des mangemorts qui se trouvait à

Poudlard le jour de la mort de Dumbledore était là. Les sorciers se trouvant juste devant eux se turent en un instant, baissant leurs yeux vers le sol tellement ils avaient peur.

L'homme au visage légèrement brut regarda froidement Ron tout en se dirigeant vers lui. Au même moment, un sorcier au milieu la file s’écria "Bonne journée, Yaxley !" Mais ce dernier l’ignora et lança à Ron :

"Quelqu’un de l’entretien magique doit s’occuper de mon bureau, Cattermole. Il pleut toujours dedans »

Ron regarda autour de lui espérant que quelqu'un d'autre interviendrait, mais personne ne parla.

"Pleuvant... dans votre bureau ? C’est que le temps est mauvais aujourd’hui…"

Ron donna un rire nerveux et les yeux de Yaxley s’élargirent.

"Vous pensez que c’est drôle, Cattermole?"

Une dizaine de personne sortirent de la file et entrèrent dans l’ascenseur. "Non" répondit Ron, inquiet "naturellement, non - "

"Vous vous rendez compte que je vais interroger votre épouse dans quelques instants, Cattermole ?

En fait, je suis tout étonné que vous ne soyez avec elle alors qu’elle va être interrogée. Mais c’est sage de votre part de vous occuper de votre travail avant tout.

En tout cas, la prochaine fois, mariezvous à une sang-pure, ça sera nettement plus facile pour vous."

Sous le choc, Hermione dut laisser entendre un couinement d’horreur ce qui détourna le regard de

Yaxley vert elle. Elle toussa faiblement et s’en alla loin d’eux.

"Je – j’ai - "bégaya Ron.

"Moi, si mon épouse était une née Moldue" commença Yaxley, "- Je dis cela, mais bon, vous savez que c’est impossible…je l’aurai tué sinon- et que le chef de la police magique avait besoin de moi, j’en ferai ma priorité, Cattermole. Vous me comprenez ?"

"Oui," chuchota Ron.

"En tout cas, occupez vous de mon bureau, et si vous n’avez pas finit d’ici une heure, le statut du sang de votre épouse sera encore plus en doute...Vous me comprenez j’espère !"

La grille en or devant eux s’ouvrit en cliquettant. Avec un sourire entendu et désagréable vers Harry, qui était évidemment censer apprécier ce traitement envers Cattermole, Yaxley se dirigea vers un autre ascenseur. Harry, Ron, et Hermione entrerent dans le leur, mais personne ne les suivis : c’etait comme s’ils etaient contagieux. Les grilles fermérent avec une sonnerie et l'ascenseur commenca a monter.

"Qu’est ce que j’vais faire ?"demanda Ron aux deux autres immédiatement ; il semblait en détresse.

"Si je n’y vais pas, mon épouse... que je veux dire, l'épouse de Cattermole - "

"Nous viendrons avec toi, nous devrons rester ensemble - "commenca Harry, mais Ron secoué frenetiquement sa tête.

"C’est de la folie, nous n'avons pas beaucoup de temps. Vous deux trouvez Ombrage, je vais y aller et arreter le sort dans le bureau de Yaxley - mais comment je fais pour arreter la pluie ?"

"Essaye Finite Incantatem,"dit Hermione immédiatement, "ca devrait arrêter la pluie si c'est un sortilège ou une malédiction ; si rien ne se passe c’est que quelque chose ne va pas avec le Sort d’Atmosphere, ce sera plus difficile à arranger, mais essai Impervius en attendant pour protéger ses affaires –

"Dit le encore, lentement - "dit Ron, cherchant désespérément dans ses poches une plume, mais à ce moment l'ascenseur s’arreta en trépidant. Une voix de femme désincarnée dit, le "niveau quatre,

Departement de contrôle et de regulation des creatures magiques, sections des animaux, etres et esprits, Bureau de liaison des gobelins, Agence de conseil contre les nuisibles"

et les grilles s’ouvrirent encore, laissant penetrer deux ou trois sorciers et plusieurs avions de papier

de couleur violet pâle qui voletaient autour de la lampe au plafond de l'ascenseur.

"B’jour, Albert," dit un homme au cheveux lisses et clairsemés, souriant à Harry. Il jeta un coup d'œil en direction de Ron et Hermione pendant que l'ascenseur montait en grincant une fois de plus ;

Hermione chuchotait maintenant des instructions frénétiques à Ron. Le sorcier se pencha vers Harry, avec un regard mauvais, et dit "Cette crasse de Cresswell, hein ? De la liaison des gobelins? Le bon gars, Albert. Je suis assez sur d’obtenir son travail maintenant !"

Il fit un clin d’oeuil. Harry lui sourit en retour, espérant que cela suffirait. L'ascenseur s’arreta ; les grilles s’ouverirent une fois de plus.

"Niveau deux, Departement de la justice magique, incluant Le bureau des usages abbusif de la Magie, quartier general des Aurors, et Services administratifs du Magenmagot," dit la voix désincarnée de la sorcière.

Harry vit Hermione donner à Ron un petit coup en avant et il se dépêcha de sortir l'ascenseur, suivi par les autres sorciers, laissant Harry et Hermione seuls. Au moment où la porte en or se refermait

Hermione dit, très rapidement, "en fait, Harry, je crois que je ferrai bien mieu de le suivre, je ne pense pas qu’il sait que ce qu'il fait et qu'il ai bien tout compri - "

"Niveau un, ministre de la magie et personnel de support."

Les grilles en or glisserent encore pour s’ouvrir et Hermione retint son soufle. Quatre personnes se tenaient devant eux, deux d'entre elles profondement absorbées dans une conversation : un sorcier aux cheveux longs portant une magnifique robe noir et or et une trapue ressemblant a un crapeau portant un neud en velour dans ses cheveux courts et tenant un bloc note contre sa poitrine.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

longfingered= a long doigt
whiteness= blancheur
sinon la traduction est pas mal, meme si quelque passage sont maladroit^^

Anonyme a dit…

c'est bizarre je ne vois pas la traduction du chapitre 12 !
possibilité de l'héberger ailleurs ou de l'envoyer par mail ?