samedi 28 juillet 2007

Chapitre 11

Chapitre 11

Le pot-de-vin

S

i Kreattur pouvait échapper à un lac plein d'Inferi, Harry était persuadé que la capture de

Mondingus prendrait plusieurs heures au maximum, et il rôdait dans la maison toute la matinée dans

un état de grande attente. Cependant, Kreattur n'était pas revenu dans la matinée ni dans l'aprèsmidi.

A la tombée de la nuit, Harry était découragé et anxieux, et un souper composé en grande

partie de pain moisi, sur lequel Hermione a essayé une multitude de sorts de métamorphose sans

succès, ne l'aidait pas.

Kreattur ne revint pas le lendemain, ni le surlendemain. Cependant, deux hommes dans de grandes

capes apparurent dans le square en face du numéro 12, et ils restèrent là toute la nuit, regardant

fixement dans la direction de la maison qu'ils ne pouvaient voir.

"Des mangemorts, sûrement," dit Ron, comme lui, Harry, et Hermione regardaient par les fenêtres su

salon. "Vous croyez qu'ils savent qu'on est ici ?"

"Je ne pense pas,' dit Hermione, bien qu'elle avait l'air effrayée, "ou ils auraient envoyés Rogue,

n'est-ce pas?"

"Vous croyez qu'il est venu ici et qu'il s'est fait clouer le bec par le sort de Maugrey ?"

"Oui," dit Hermione, " autrement il aurait pu leur dire comment entrer, n'est-ce pas ? Mais ils sont

probablement là pour voir si nous réapparaissons. Ils savent que c'est la maison de Harry, après

tout."

"Comment peuvent-ils… ?" commença Harry.

" Les dernières volontés magiques sont examinées par le Ministère, vous vous souvenez ? Ils savent

que Sirius t'as légué cet endroit."

La présence des mangemorts à l'extérieur intensifia l'humeur sinistre à l'intérieur du numéro 12. Ils

n'eurent aucune nouvelle de l'extérieur du square Grimmaurd depuis le patronus de Mr Weasley, et

la tension commençait à se ressentir. Agité et irritable, Ron avait pris l'habitude de jouer avec son

Eteignoir dans sa poche. Cette particularité exaspérée Hermione, qui passait le temps à attendre

Kreattur, à étudier Les contes de Beedle le Barde et n'appréciait pas que les lumières s'allument et

s'éteignent sans arrêt.

"Vas-tu arrêter ça!" cria t'elle lors de la troisième soirée d'absence de Kreattur, alors que toute les

lumières du salon étaient absorbées encore une fois.

"Désolé, désolé!" dit Ron, cliquant l'Eteignoir et restaurant les lumières. "Je ne me rendais pas

compte que je faisais ça!"

"Bon, peux-tu trouver quelque chose d'utile à faire pour t'occuper ?"

"Quoi, comme lire des histoires d'enfants ?"

"Dumbledore m'a légué ce livre, Ron…"

"…et il m'a légué l'Eteignoir, peut-être que je suis censé l'utiliser!"

Incapable de supporter cette dispute, Harry se glissa hors de la pièce inaperçue par les deux autres. Il

se dirigea en bas vers la cuisine, qu'il tenait à vérifier car il était sur que c'était là que Kreattur

préfèrerait réapparaître. Arrivé au milieu des escaliers du hall, cependant, il entendit un petit coup

sur la porte d'entrée, puis des cliquetis métalliques et le bruit d'une chaîne qui coulisse.

Tous les muscles de son corps se raidirent : Il sorti sa baguette, se plaça dans l'ombre à côté des têtes

d'elfes décapitées, et attendit. La porte s'ouvrit : Il entrevit le réverbère du square dehors, et une

silhouette en cape se glisser dans le hall et fermer la porte derrière elle. L'intrus fit un pas en avant,

et la voix de Maugrey demanda, "Severus Rogue ?". Alors la figure poussiéreuse émergea de

l'extrémité du hall et se rua vers lui, levant ses mains mortes.


"Ce n'est pas moi qui t'ai tué, Albus," dit une voix tranquille.

Le sort se brisa : la figure explosa encore une fois, et il était impossible de distinguer le nouvel

arrivant à travers le nuage gris que cela laissa.

Harry pointa sa baguette vers le centre du nuage.

"Ne bougez pas!" Il avait oublié le portrait de Mme. Black : Au son de son hurlement, les rideaux la

cachant s'ouvrirent à la volée, « Sang de bourbes et saleté déshonorant ma maison -»

Ron et Hermione deboulèrent des escaliers derrière Harry, baguettes pointant, comme la sienne,

l'homme inconnu, maintenant debout les bras levés dans le hall sous eux.

« Baissez vos baguettes, c’est moi Remus ! »

« OH, le ciel soit loué, » dit Hermione faiblement, dirigeant sa baguette magique vers Mme. Black à la

place, d’un coup, les rideaux de fermèrent d’un bruit sec et le silence retomba. Ron aussi abaissa sa

baguette magique, mais pas Harry.

« Montrez-vous ! » dit-il en arrière.

Lupin avanca à la lumière des lampes, les mains toujours tenu en l’air dans un geste de reddition.

« Je suis Remus John Lupin, loup-garou, quelques fois connu sous le nom de Lunard, un des quatre

créateurs de la carte du maraudeur, marié à Nymphadora, habituellement connu sous le nom de

Tonks, et je t'ai enseigné comment créer un Patronus, Harry, qui prend la forme d'un cerf. »

« OH, c’est vrai, » dit Harry, abaissant sa baguette, « mais je devais vérifier, n’est ce pas ? »

« Parlant en tant que ton ex-professeur de Défenses Contre les Forces du Mal, je suis tout à fait

d’accord que tu devais vérifier. Ron, Hermione, vous ne devriez pas être si rapide à abaisser vos

défenses. »

Ils descendèrent des escaliers vers lui. Enveloppé dans un manteau de voyage noir épais, il semblait

épuisé, mais heureux de les voir.

« Aucun signe de Severus, encore ? » demanda-t-il.

« non, » dit Harry. « Qu’est ce qu’il se passe ? Est-ce que tout le monde va bien ?'

« Oui, » dit lupin, « mais nous sommes surveillés. Il y a un couple de mangemorts dans le Square

dehors -»

« on sait -»

« j'a dû transplaner avec précision sur le seuil de la porte pour qu’ils ne me voyent pas. Ils ne peuvent

pas savoir que vous êtes ici ou je suis sûr qu'il y aurait plus de personnes dehors. Ils repèrent tous

ceux qui ont un quelconque lien avec toi, Harry. Allons en bas, j’ai beaucoup de choses à vous dire, et

moi je veux savoir ce qu’y s’est passé quand vous avez quitté le Terrier. » Ils descendirent dans la

cuisine, où Hermione pointa sa baguette sur le foyer. Un feu surgit immédiatement. Il donnait une

illusion de confort aux pierres nues du mur, et éclairait toute la longue table.

-" J'aurait pu être ici il y à trois jours mais j'ai dû me débarrasser des Mangemorts qui me

poursuivaient " Dit Lupin " Donc, vous êtes venus directement ici après le mariage ? "

-" Non " répondit Harry "seulement après que nous ayons rencontré un couple de Mangemort dans

un café sur la route de la cour de justice de Tottenham."

Lupin renversa la majeure partie de sa bièraubeurre devant lui.

-" Quoi? "


Ils expliquèrent ce qui c'était passé, et quand il eurent finis, Lupin sembla consterné.

-" Mais comment ont ils fait pour vous retrouver si rapidement ? Il est impossible de suivre une

personne ayant transplané, à moins de le saisir pendant qu'elle disparai "

-" Et ce n'est pas comme si il se promenait du coté de la cour de Tottenham " dit Harry

-" Nous nous sommes demandés, " intervint Hermione non sans hésitations " Si Harry pouvait encore

être sous l'éffet de l'enchantement ? "

-" Impossible " dit Lupin. Ron sembla satisfait, et Harry se sentis énormément soulagé. " A part ça, ils

auraient su obligatoirement que Harry était ici s'il a toujours la trace sur lui, pas vrai ? Mais je ne vois

pas comment il ont fait pour vous retrouver dans la rue de la cour de Tottenham, c'est inquietant,

vraiment inquietant. "

Il paraisait ébranlé, mais en ce qui concerne Harry, la question pouvait attendre.

-" Dîtes nous ce qui est arrivé après que nous partions, nous n'avons eu aucune nouvelle depuis que

le père de Ron nous a dit que toute la famille était sauve "

-" Et bien, Kingsley nous a sauvé " dit Lupin, " Grâce à son alerte la plupart des invité du mariage ont

été en mesure de transplaner avant qu'ils n'arrivent "

-" C'était les mangemort ou les gens du ministère ? " intervint Hermione.

-" Un mélange des deux, mais par leur but et leurs raison d'être il sont identique maintenant " dit

Lupin. "Il y avait environ une douzaine d'entre eux, mais ils ne savaient pas que tu étais là, Harry.

Arthur a entendu une rumeur comme quoi ils auraient torturé Scrimgeour pour connaitre l'endroit

avant de le tuer, si c'est la vérité, il ne t’a pas vendu. "

Harry regarda Hermionne et Ron, leurs expressions reflétaient le choc et la gratitude que Harry

ressentait.

Il n'avait jamais vraiment beaucoup aimé Scrimgeour, mais si Lupin disait la vérité, les actes final de

cet homme fut finalement d'essayer de protéger Harry. "

-" Les mangemorts ont fouillé le Terrier de font en comble " continua Lupin " Ils ont trouvé la goule,

mais n'ont pas voulu trop s'approcher. Ils ont alors interrogé ceux qui étés restés pendant des

heures. Ils essayaient d'obtenir des informations sur toi, Harry, mais bien sûr à part les membres de

l'ordre personne ne savait que tu étais ici. "

-En même temps qu'ils faisaient irruption au mariage, d'autres mangemorts ont forcé les autres

maisons ayant un lien avec l'ordre dans le pays, pas de mort " ajouta t'il rapidement, anticipant la

question ", mais ils ont été cruels. Ils ont brulé la maison de Delagus Digle, mais comme vous le savez

il n'était pas là, et ils ont utilisé le sortilége Doloris sur la famille Tonks. Encore une fois, pour savoir


où tu étais allé après être passé chez eux. Ils vont bien -secoués évidement -mais le reste est ok. "

-" Ils sont passé à travers les charmes protecteurs ? "

Demanda Harry, se rappelant combient ils avaient été éfficace la nuit où il s'était écrasé dans le

jardin des Tonks.

-" Tu doit comprendre, Harry, que maintenant les mangemorts ont la pleine puissance du ministére

derrière eux. " Dit Lupin. " Ils ont le pouvoir d'utiliser de puissantes formules magiques, sans craintes

d'être identifiés ou arrétés. Ils sont parvenus à pénétrer chaque charme que nous avions posé pour

les contrer, une fois à l'intérieur il étaient libre de faire ce pour quoi ils étaient venu. "

-" et ont t'il pris la peine de trouver une excuse pour avoir torturé des gens pour trouver l'endroit ou

se cachait Harry ? " Demanda Hermionne d'une petite voix.

-" Et bien," Dit Lupin hésitant, il sortit alors un exemplaire plié de la Gazette du sorcier .

-" Ici " la faisant glisser sur la table vers Harry tu le sauras tôt ou tard de toute façon. C'est leur

prétexte pour te pourchasser."

Harry déplia le journal, une énorme photo de son propre visage, était en premiere page. Il lu le titre

juste en desous de celle ci.

RECHERCHE POUR INTEROGATOIRE AU SUJET DE LA MORT D'ALBUS DUMBLEDORE

Ron et Hermione crièrent d'outrage, mais Harry ne dit rien. Il éloigna le journal, il ne voulait pas en

lire davantage : Il savait ce que ça dirait. Personne d’autre qu’eux avaient été sur la tour quand

Dumbledore mouru et ne savait qui l'avait vraiment tué et, comme Rita Skeeter l’avait déjà dit au

monde magique, Harry avait été vu entrain fr s’enfuir de cet endroit après que Dumbledore soit

tombé.

« Je suis désolé, Harry, » dit Lupin.

« Ainsi les mangemorts se sont aussi emparé de La Gazette du Sorcier ? » Demanda Hermione

furieuse.

Lupin inclina la tête.

« Mais les gens réalisent surement ce qu’il ce passe ? »

« L’opération a été lisse et pratiquement silencieuse, » dit lupin.

« La version officielle du meurtre de Scrimgeour est qu'il a démissionné, il a été remplacé par Pius

Thicknesse, qui est sous l’emprise de l'Imperius. »

« Pourquoi Voldemort ne s'est-il pas déclaré ministre de la magie ? » Demanda Ron.

Lupin rit.

« Il n'a pas besoin, Ron. En fait, il est le ministre, mais pourquoi devrait-il se reposer derrière un

bureau au ministère ? Sa marionnette, Thicknesse, prend soin des affaires journalières, laissant

Voldemort libre pour étendre sa puissance au delà du ministère.

« Naturellement beaucoup de gens ont déduit ce qui s'est produit : Il y a eu un changement si

dramatique de la politique du ministère ces derniers jours, et beaucoup chuchotent que Voldemort

doit être derrière ça. Cependant, c'est ça le probleme : Ils chuchotent. Ils n’osent ne pas se fier les


uns aux autres, ne sachant pas en qui faire confiance, ils sont trop effrayés pour parler dehors, au cas

où leurs soupçons seraient vrais et que leur famille soient visées. Oui, Voldemort joue à un jeu très

intelligent. Déclarant sa force il aurait provoquer une rebellion. Restant caché il créé la confusion,

l'incertitude, et la crainte. »

« Et ce changement dramatique de la politique de ministère, » dit Harry, « implique d'alerter la

population contre moi plutot que Voldemort? »

« Oui cela en fait certainement partie, » dit lupin, « et c’est un fin stratagème. Maintenant que

Dumbledore est mort, toi -le garçon qui a survécu – est certainement le symbole et point de

rassemblement pour n'importe quelle résistance contre Voldemort. Mais en suggérant que tu ait eu

ta part à voir avec la mort d’un héros, Voldemort a non seulement fixé un prix sur ta tête, mais semé

le doute et la crainte parmi beaucoup de ceux qui t’aurait défendu.

« En attendant, le ministère a commencé à se dresser contre les enfants de Moldus. » Lupin se

dirigea vers la Gazette du Sorcier.

« Regardez la page deux. »

Hermione tourna les pages avec plus ou moins la même expression du dégoût qu'elle avait eu en

manipulant « Les Secrets des forces du Mal » (NB le livre sur les horcruxses qui a plusieurs nom selon

les trad).

« Le registre des nés Moldu ! » Lu-t-elle à haute voix. « Le ministère de la magie entreprend une

archive des ainsi nommé « nés Moldu » le meilleur moyen de comprendre comment ils sont

parvenus à posséder des pouvoirs magiques. »

« La récente recherche entreprise par le Département des Mystères indique que la magie peut

seulement se transmettre suite a l’union de deux sorciers. Là où aucune ascendance prouvée de

Magie n'existe, donc, le prétendu Enfant de moldu est susceptible d'avoir obtenu la puissance

magique par vol ou force.

« Le ministère est déterminé à déraciner ces usurpateurs de puissance magique, et à cet effet a

publié une invitation à chaque prétendu Né-Moldu pour se presenté à une entrevue executée par la

Commission d’Enregistrement des Nés-Moldu nouvellement désignée. ' »

« Les gens ne laisseront pas cela se produire, » dit Ron.

« Ca se produit, Ron, » dit lupin. « Les « Nés-Moldus » sont en train d’être réunis à l’heure ou nous

parlons. »

« Mais comment peuvent-il prétendre qu’ils possede une magie « volée »`? » Dit Ron. « C’est à en

perdre la boule, si on pouvait voler la magie il n’y aurai aucun Crackmol, n’est ce pas ? »

« Je sais, » dit Lupin. « Néanmoins, à moins qu’on puisse montrer qu’on possède au moins un proche

parent sorcier, on est a présent considéré comme ayant obtenu notre puissance magique

illégalement et on devra recevoir une punition. »

Ron jeta un coup d'oeil à Hermione, puis dit, « Qu’est ce qui se passe si des sangs purs et des sangs

mélés possede un Né-Moldu dans leur famille ? Je dirai à tout le monde que Hermione est ma

cousine -» la main de Ron se posa sur celle d’Hermone et la serra.

« Merci, Ron, mais je ne pourrais pas te laisser-»

« Tu n’aurais pas le choix, » dit Ron violemment, saisissant le dos de sa main. « Je te dirai tout sur

l’arbre généalogique de ma famille comme ça tu pourra répondre à toute les questions. »

Hermione fut prise d’un rire nerveux.

« Ron, nous somme en fuite avec Harry Potter, la personne la plus recherchée du pays, je ne pense

pas que ça importe. Si on retournait à l'école ce serait différent. Qu’est ce que Voldemort réserve à

Poudlard ? » Demanda-t-elle à Lupin.


« L’école est maintenant devenue obligatoire pour chaque jeune sorcière et sorcier, » répondit-il. «

Cela a été annoncé hier. C'est un changement, parce que cela n'a jamais été obligatoire avant.

Naturellement, presque chaque sorcière et sorcier a reçu son enseignement à Poudlard, mais leurs

parents avaient droit de leur enseigner à la maison ou de les envoyer à l'étranger s'ils préféraient. De

cette façon, Voldemort aura l’oeil sur toute la population magique depuis le plus jeune âge. Et c'est

également une autre manière de retirer les Né-Moldu, parce que les étudiants devront donner le

statut de leur Sang – la preuve donné au Ministere qu’ils ne sont pas de descendance moldu -avant

qu'ils ne soient autorisé à être présents. »

Harry se sentait malade et fâché : En ce moment, les jeunes enfants de onze ans étudiaient à fond

des piles de livres nouvellement achetés, ignorants qu'ils ne verraient jamais Poudlard, ne reverront

peut-être jamais leurs familles les un les autres.

« C'est… C'est… » murmura t il, luttant pour trouver les mots qui iraient le mieux avec l'horreur de

ses pensées.

Mais Lupin disant en hésitant tranquillement, « je le savais. »

Je comprends que ne peux pas croire ceci, Harry, mais l'ordre est sous l'impression et Dumbledore t'a

laissé une mission. »

« Oui » répondit Harry, « et Ron et Hermione sont dedans et ils viennent avec moi. »

« Peux tu me confier à moi ce qui est la mission ? »

Harry regarda le visage prématurément ridé de Lupin, avec ces cheveux gris, et souhaitait qu'il

pourrait renvoyer une réponse différente.

« Je ne peux pas, Remus, je suis désolé. Si Dumbledore ne le voulait pas je ne le ferais pas. »

« Je savais que tu dirais ça, » dit Lupin, semblant déçu. « Mais je pourrais encore être utile

certainement pour toi. Tu sais de quoi je suis capable. Je pourrais venir avec toi pour assurer ta

protection. Il n'y aurait aucun besoin de me dire exactement jusqu'ou nous irions. »

Harry hésita. C'était une offre très tentatrice, bien qu'ils pouvaient maintenir leur mission secrète

avec Lupin s'il étaient avec eux toute l'heure il ne pouvait pas l'imaginer.

Hermione, cependant, sembla perplexe.

« Mais que diriez-vous de Tonks ? » demanda t elle.

« A elle ? » dit Lupin.

« Bien sur » dit Hermione, fronçant les sourcils, « vous êtes mariés ! Comment réagirait-elle si elle

savait que vous partiez avec nous ? »

« Tonks sera parfaitement, d'accord » dit Lupin, « Elle sera à la maison avec ses parents. »

Il y avait quelque chose d'étrange dans la tonalité de la voix de Lupin, elle était presque froide.

Il y avait également quelque chose de bizarre dans l'idée de voir Tonks demeurant cachée chez ses

parents ; elle était, après tout, une membre de l'ordre et, dans la mesure où Harry le savait, elle était

susceptible de vouloir être dans le feu de l'action.

« Remus » dit Hermione à titre d'essai, « Vous allez… vous savez…vous pouvez tout nous dire entre

nous »

« Tout va très bien, merci, » dit Lupin d'une voix aigu.

Hermione rougit. Il y eu un silence embarassant, et alors Lupin indiqua, avec l'air de se forcer pour

admettre quelque chose de désagréable, « Tonks va avoir un bébé. »

« Oh mais c'est merveilleux ! » couina Hermione.

« Génial ! » dit Ron avec enthousiasme.

« Mes félicitations, » dit Harry.


Lupin donna un sourire artificiel qui était plutôt une grimace, puis dit, « ainsi… acceptez-vous mon

offre ? Trois deviendraient-ils quatre ? Je ne peux pas croire que Dumbledore aurait désapprouvé, il

m'a nommé comme votre professeur contre les forces du mal, après tout. Et je dois dire que je crois

que dans la magie bon nombre d'entre nous n'ont jamais rencontrer ou même imaginer.»

Ron et Hermione regardèrent tout deux Harry.

« Juste mais juste pour être vraiment sûr, » dit il. « Vous voulez vraiment laisser Tonks à la maison de

ses parents et venir au loin avec nous ? »

« Elle sera parfaitement en sécurité là bas, ils s'occuperont bien d'elle, » dit Lupin. Il parla avec une

finalité semblant sonner comme de l'indifférence : « Harry, je suis sûr que James aurait voulu que je

sois avec toi. »

« Bien, » dit Harry lentement, « je ne sais pas. Je suis assez sûr que mon père aurait voulu savoir

pourquoi tu ne veux pas rester pour la naissance de votre propre enfant. »

Le visage de Lupin changa de couleur. La température dans la cuisine semblait avoir changer de dix

degrés. Ron regardait fixement autour de la salle comme s'il voulait la mémoriser, alors que les yeux

d'Hermione pivotaient en arrière et regardait Harry et Lupin.

« Vous ne comprenez pas, » dit Lupin enfin.

« Expliquez vous, alors » dit Harry.

Lupin avala.

« Je -J'ai fait une erreur grave en me mariant avec Tonks. Je l'ai fait contre mon meilleur jugement et

je l'ai regretté beaucoup chaque jours depuis. »

« Je vois » dit Harry, « Donc vous allez l'abandonner en la laissant seule avec votre enfant et vous

viendriez avec nous ? »

Lupin se mit d'un coup debout, sa chaise culbuta en arrière, et son visage changa tellement que ça

leur sauta tous aux yeux et qu'Harry vit pour la première fois, une expression réel de loup sur son

visage humain.

« Ne comprenez-vous pas ce que j'ai fait à mon épouse et à mon futur enfant? Je devrais ne jamais

l'avoir épousée, je devrais être un banni ! »

Lupin se donna un coup de pied sur le côté de la chaise qui se retourna.

« Vous ne m'avez jamais vu hors de l'ordre, ou sous la protection de Dumbledore quand j'étais à

Poudlard ! Vous ne savez pas que la majeure partie du monde des Sorciers voit des créatures comme

moi ! Quand ils savent mon histoire, ils peuvent à peine me parler ! Ne voyez-vous pas ce que j'ai

fais?

Même sa propre famille est dégoûtée par notre mariage, quels parents veulent que leur fille se marie

avec un loup-garou ? Et l'enfant...l'enfant... »

Lupin se saisit ces cheveux dans ses propres mains ; le regard complètement dérangé.

« Ma race ne se multiplient pas habituellement ! Il sera comme moi, je suis convaincue de ça comment

est-ce que je peux me pardonner, alors que j'ai risqué consciemment de passer mon état

sur mon propre enfant innocent ?

Et si, par miracle, il n'est pas comme moi, puisse cela arrivait, ça lui serai plus facile, cent fois mieux,

alors que son père devra toujours avoir honte ! »

« Remus ! » chuchota Hermione avec des larmes dans ses yeux. « Ne dites pas ça -comment

n'importe quel enfant pourrait avoir honte de toi ? »

« Oh, je ne sais pas, Hermione, » indiqua Harry. « J'ai assez honte de lui. »

Harry ne su pas d'où venait cette fureur, mais elle était sorti ainsi de lui. Lupin le regarda comme si

Harry l'avait frappé.


« Si le nouveau régime pense que les enfants moldus sont mauvais, » dii Harry « que feront-ils avec

un père de moitié-loup-garou faisant parti de l'Ordre? Mon père est mort en essayant de protéger

ma mère et moi, et vous comptez vous abandonner votre enfant pour aller à l'aventure avec nous ? »

« Comment -comment oses tu ? » dit Lupin. « Ce n'est pas au sujet d'un désir pour le danger ou la

gloire personnelle -comment peux tu croire que je viendrais pour le défi?»

« Je pense que tu te sens un peu casse-cou, » dit Harry « ta fantaisie semblant ridicule dans la maison

de Sirius »

« Harry, non ! le pria hermione, mais il continua à briller dans le visage blème de Lupin.

« Je n'aurais jamais cru ceci, » dit harry. « L'homme qui m'a enseigné à combattre les détraqueurs est

un lâche. »

Lupin sortit sa baguette magique tellement rapidement que Harry avait à peine atteint la sienne; il

sentit un coup fort et se senti voler en arrière; et il se claqua contre le mur de cuisine et glissa sur le

plancher , il aperçu la queue du manteau du lupin disparaissant autour de la porte.

« Remus, Remus, revenez ! » pleura Hermione, mais Lupin ne répondit pas. Un instant plus tard ils

entendirent le claquement de la porte d'entrée principale.

« Harry ! » pleura Hermione. « Comment as tu osais? »

« C'était plutôt facile» dit Harry. Il se leva, il pouvait sentir un gonflement de bosse sur sa tête qui

avait frappé le mur. Il secoua sa tête toujours complètement en colère.

« Ne me regarde pas comme cela écarte toi ! » dit il à l'adresse d'Hermione.

« Ne recommence pas avec elle ! » gronda Ron.

« NON,NON nous ne devons pas nous battre ! » dit Hermione, se mettant entre eux.

« Tu ne devais pas dire ça à Lupin, » indiqua Ron à Harry.

« Il l'a vu venir » dit Harry. Les images cassées s'emballaient par son esprit : Sirius tombant par le

voile ; Dumbledore suspendu, mort, entre le ciel et la terre ; un flash de cris de sa mère priant par

pitié et lumières vertes.

« Les parents » dit Harry, « ne devraient pas laisser leurs enfants à moins qu'ils le doivent vraiment. »

« Harry -« dit Hermione, l'attrapant d'une main consolante, mais il gesticulait au loin et marchait

loin, posant ses yeux sur le feu qu'Hermione avait créé. Il avait par le passé parlé à Lupin par cette

cheminée, cherchant la réassurance au sujet de James, et Lupin l'avait consolé. Maintenant le visage

blanc torturé de Lupin a semblé nager dans ces pensées. Il sentit une montée subite écoeurante de

remords. Ni Ron, ni Hermione ne parla, mais Harry était sur qu'ils le regardaient l'un l'autre derrière,

communiquant silencieusement.

Il les contourna à la hate et se mit à réfléchir

« Je sais que je n'aurais pas du lui dire que c'était un lâche. » dit il.

« Non, tu n'aurais pas du » dit immédiatement Ron.

« Mais il agit comme un... » dit Harry.

« Tous les mêmes… » dit Hermione.

« Je sais, » dit Harry. « Mais si je l'incite à retourner voir Tonks, c'est pour son bien, vous ne

comprenez pas? »

Il ne pouvait pas garder cette réplique dans sa gorge. Hermione semblait sympathique, Ron incertain.

Harry regardait le bout de ses pieds, pensant à son père. Est-ce que James aurait soutenu Harry dans

ce qu'il avait dit à Lupin, ou aurait il été fâché contre la façon dont son fils avait traité son vieil ami?

La cuisine sembla silencieuse avec le choc de la scène récente et avec des reproches blessants de Ron

et d'Hermione.


Le Gazette du Sorcier que Lupin avait amené se trouvait toujours sur la table, le propre visage de

Harry regardant fixement le haut du plafond de la première page. Il marcha vers celui ci et s'assit, il

ouvrit le journal au hasard, et feint de le lire. Il ne pourrait pas rentrer les mots ; son esprit était

toujours trop plein de la rencontre avec Lupin. Il était sûr que Ron et Hermione avaient repris leurs

conversations silencieuses de l'autre côté du journal.

Il tourna la page d'un coup sec, et le nom de Dumbledore lui sauta aux yeux. Il mit un moment avant

qu'il ne comprenne la signification de la photographie, qui était montrer une photo de famille. Sous

la photographie était écrit: Le famille de Dumbledore, de gauche à droite : Albus ; Percival, tenant

Ariana bébé ; Kendra, et Aberforth.

Son attention se porta desuus, et Harry examina l'image plus soigneusement.

Le père de Dumbledore, Percival, était un homme beau avec des yeux qui semblé scintiller même sur

cette vieille photographie fanée. Le bébé, Ariana, était un peu plus longue qu'un bout de pain. La

mère, Kendra, avait des cheveux noirs tirés. Son visage était d'une très bonne qualité sur le sujet.

Harry pensait à des photos des Natifs américains qu'il avait vu pendant qu'il étudiait ses yeux foncés,

hautes paumettes, et nez droit, formellement composé au-dessus d'une robe en soie de haute

qualité.

Albus et Aberforth portaient des vestes colletées de dentelle assorties et avaient des coiffures

identiques et plutôt bien battu. Albus sembla avoir plusieurs années de plus, mais autrement les

deux garçons se ressemblait beaucoup, parce que c'était avant que le nez d'Albus ne soit cassé et

avant qu'il est commencé à porter des lunettes.

Le famille le regardait tous heureux, souriants et sereins vers le haut du journal. Le bras d'Ariana

bébé bougeait vaguement hors de son châle. Harry regarda au-dessus de l'image et vit le titre :

EXTRAIT EXCLUSIF DE LA PROCHAINE

BIOGRAPHIE D'ALBUS DUMBLEDORE

par Rita Skeeter

La pensée de lui pourrait à peine l'inciter à se sentir plus mal qu'il a déjà fait, Harry a commencé à lire

:

Fier et hautain, Kendra Dumbledore ne pu supporter de rester dans le Mould-on-the-Wold après

l'arrestation de son mari publiquement et son emprisonnement à Azkaban. Elle décida donc de faire

déménager la famille et de s'installer à Godric's Hallows, le village qui plus tard gagna en renommée

comme scène de l'étrange attaque sur Harry Potter qui a survécu.

Malgré tout Mould-on-the-Wold fut remplacer par Godric's Hallows par un bon nombre de familles

de Sorciers, mais Kendra n'en voulut aucune, elle se serait épargnée la curiosité du sujet du crime de

son mari qu'elle avait fait face dans son ancien village. En repoussant à plusieurs reprises les avances

amicales de ses nouveaux voisins sorciers, elle s'assura bientôt que sa famille était seul pour de bon.

« Elle m'a claqué la porte au nez quand j'ai suis venue pour lui souhaiter la bienvenue avec des

gâteaux faits par moi même » dit Bathilda Bagshot.

« La première année où ils se sont installés je ne voyais que les deux garçons.Je n'aurais pas su

qu'elle avait une fille si un jour, je n'étais pas allez cueillir des Plangentines en hiver après qu'ils se

soient développés, et voyais Kendra étant avec Ariana dehors dans le jardin arrière. Marchant en

rond sur la pelouse une fois, gardant une poignée ferme sur elle, puis l'a rapportée à l'intérieur. Ne

sachant pas quoi faire d'elle. »


Il semble que Kendra pensa que leur venue à Godric's Hallows était l'occasion parfaite de cacher

Ariana une fois pour toute, quelque chose qu'elle avait probablement prévue pendant des années. La

synchronisation était significative. Ariana avait à peine sept ans quand elle a disparu, et c'est à sept

ans l'âge par lequel la plupart des experts conviennent que la magie se serait prononcée. Personne

maintenant de vivant ne se rappelle d'Ariana démontrant qu'elle n'eu jamais le plus léger signe de

capacité magique.

Il semble clair, donc, que Kendra a pris une décision pour cacher l'existence de sa fille plutôt que de

souffrir de la honte d'admettre qu'elle avait produit un cracmol. L'éloignement des amis et des

voisins qui ils urent pour Ariana, naturellement, firent comme un emprisonnement sur elle. Le faible

nombre de personnes qui ont dorénavant eu connaissance de l'existence d'Ariana pourrait garder le

secret, y compris ses deux frères, qui avaient braqué à des questions maladroites avec la réponse que

leur mère leur avait enseignées.

« Ma soeur est trop frêle pour l'école. »

La semaine prochaine : Albus Dumbledore à Poudlard -les prix et le prétexte.

Harry avait eu tort : Ce qu'il avait lu lui avait en effet rendut une sensation pas agréable. Il regarda

derrière la photographie de famille apparement heureuse. Était-ce vrai? Comment pourrait-il

découvrir? Elle a voulu aller à Godric's Hallows, même si Bathilda était dans aucun état de lui parler :

Elle a voulu visiter l'endroit où lui et Dumbledore ont tous deux perdu des êtres chers.

Il était en train d'abaisser le journal, pour demander les avis de Ron et de Hermione, quand un

claquement assourdissant fit un écho autour de la cuisine.

Pour la première fois en trois jours Harry avait oublié tous au sujet de Kreattur. Sa pensée immédiate

était que Lupin avait éclatait de nouveau dans la salle, et pendant une fraction de seconde, il ne

rentra pas dans la masse dans l'ensemble des membres de l'Ordre qui étaient apparut plutot mince

près de sa chaise.

Il arriva vers lui pendant que Kreattur se démêlait et il regarda Harry, et coassa, « Kreattur est revenu

avec le voleur Moondingus Fletcher, maître. »

Mondingus se releva et sortit sa baguette magique; Hermione, cependant, était trop rapide pour lui.

« Expelliarmus ! » dit-t-elle.

La baguette magique de Mondingus s'envola dans les airs, et Hermione l'attrapa. Les yeux farouches,

Mondingus plonga vers les escaliers. Ron plaqua Mondingus sur le plancher en pierre avec un

craquement insonorisé.

« Qui êtes vous? » beugla-t-il, essayant de se libérer de l'étreinte de Ron. « Comment as tu fais ? Sale

elfe de maison, je te saignerai plus tard comme un mouton, comment m'a-t-il fait disparaître?. »

« Vous n'êtes pas en position pour lancer des menaces, » dit Harry. Il jeta de côté le journal, marcha

dans la cuisine, et se metta à genoux près de Mondingus, qui cessa de lutter et semblait terrifié. Ron

se leva, haletant, et observait comment Harry dirigait sa baguette magique délibérément sur le nez

de Mondingus. Mondingus puait la fumée, de sueur et de tabac. Ses cheveux étaient emmêlés et ses

vêtements souillé.

« Kreattur fait des excuses pour le retard pour ammener le voleur, maître, » coassa l'elfe.

« Fletcher essayer d'éviter la capture, beaucoup de fausses pistes et de complices. Néanmoins,

Kreattur a attrapait le voleur à la fin. »

« Tu as bien travailler, Kreattur, » dit Harry, et l'elfe s'en alla.

« Alors, nous avons quelques questions pour toi, » dit Harry à Mondingus, qui cria immédiatement.

« J'ai paniqué, d'accord? Je n'ai jamais voulu venir, j'étais forcer par mon compagnon, mais je n'ai


jamais voulu offrir ma vie pour toi, Vous-savez-qui volait derrière moi, n'importe qui aurait eu peur à

ce moment là. Et je disais pendant tous le long que je ne voulais pas le faire -»

« Pour ton information, tu aurais bien plus transplaner avant de venir avec nous » indiqua Hermione.

« Bien, vous êtes un groupe d'héros, pas moi, mais je ne voulais pas rester là haut pour me faire

massacrer. »

« Nous ne sommes pas intéressés pour la raison que vous avez laisser mourrir, FolOeil, » dit Harry,

déplaçant sa baguette magique plus près de Mondingus, ses yeux était injectés de sang. « Nous

avons déjà su que vous étiez un déserteur. »

Est-ce que « bon puis, pourquoi l'aune de `j'étant `unted suis du réduit par des ouse-elfes de `? Ou

est-ce que c'au sujet de eux est des gobelets encore ? Je n'ai pas rien la fin de support de `à gauche,

ou vous pourriez fin de support de `d'avenue de `-»

« Elle n'est pas au sujet des gobelets non plus, bien que vous obteniez le réchauffeur, » a dit Harry.

« Fermé vers le haut et écouter. »

Il s'est senti merveilleux pour avoir quelque chose à faire, quelqu'un de qui il pourrait exiger une

certaine petite partie de vérité. La baguette magique de Harry était maintenant si proche du pont du

nez de Mondingus quece dernier en tenait compte.

« Quand vous avez nettoyé cette maison dirons nous » commenca Harry, mais Mondingus

l'interrompit encore.

« Sirius ne s'est jamais inquiété de perdre des objets de sa famille. »

Il y eu moment de crispation, une flamme de cuivre brillante, d'une sonnerie faisant écho, et d'un cri

perçant d'agonie ; Kreattur couru vers Mondingus et l'avait frapper au-dessus de la tête avec une

casserole.

« Faites le sortir, faites le sortir, il devrait être enfermé à clef en haut! » cria Mondingus, se

recroquevillant quand Kreattur souleva la casserole pour le frapper encore.

« Kreattur, non ! » cria Harry.

Les bras minces de Kreattur tremblaient sous poids de la casserole, toujours tenu en hauteur.

« Juste encore une fois, maître Harry, s'il vous plait? »

Ron rit.

« Nous avons besoin de lui conscient, Kreattur, mais si on a besoin de le persuader, nous ferons appel

à toi » dit Harry.

« Merci beaucoup, maître, » dit Kreattur avec un grand sourrire, et il se recula un peu en arrière, ses

grands yeux pâles fixait toujours Mondingus avec répugnance.

« Quand vous avez volé cette maison de tous les objets de valeur qu'aviez vous trouver? »

commenca Harry encore, « tu as pris un groupe de substance du compartiment de la cuisine. Il y

avait un médaillon là. » La bouche d'Harry était soudainement sèche: Il pouvait sentir Ron et la

tension et l'excitation d'Hermione aussi. « Et qu'avez fait de lui ? »

« Pourquoi ? » demanda Mondingus. « C'était une affaire? »

« Vous l'avez toujours ! » pleura Hermione.

« Non, il ne l'a pas, » dit Ron astucieusement. « Il se demande s'il devrait avoir demandé un prix plus

élevé. »

« Plus? » dit Mondingus. « Cela mettait difficile de le vendre ? Je ne l'ai pas vendu car je n'avais pas le

choix. »

« Que voulez vous dire ? »

« Je vendais dans la ruelle de Diagon et une femme me demanda si j'avais un permis pour vendre des

objets magiques. Elle allait me dénoncer, mais elle a pris une fantaisie ressemblant à un médaillon et


m'a dit qu'elle le prendrait et me laisserai remballer tout ça au plus vite, j'ai étais chanceux. »

« Qui était ce femme ? » demanda Harry.

« Je crois, une certaine sorcière du ministère. »

Muondingus chercha pendant un instant, puis fronça son front.

« Petite femme. Assez dodu. »

Il fronca les sourcils et puis ajouta, « Elle ressemblait à un crapaud. »

Harry laissa tomber sa baguette magique : Il frappa Mondingus au nez et les étincelles rouges sur ses

sourcils, y mirent le feu.

« Aquamenti ! » cria Hermione, et un énorme jet d'eau sortit de sa baguette magique, engloutissant

un Mondingus surprit et étonnait.

Harry vu sa propre stupefaction dans les visages de Ron et de Hermione. Les cicatrices sur le dos de

sa main droite semblaient tinter encore.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

je te remercie de tout coeur pour la publication de cette traduction d'Harry Potter. Je suis un fan de la premiere heure et je suis soulagé de ne pas avoir a attendre la sortie francaise du septieme tome pour en conaitre le denouement meme si de toute je sais sans aucun doute que je me le procurerait des sa sortie. Encore merci.

Anonyme a dit…

MERCI BEAUCOUP C'EST VRAIMENT GENIAL

Anonyme a dit…

Merci pr tt mm si je compte acheter la version francaise...