samedi 28 juillet 2007

Chapitre 10

Chapitre 10

Le conte de Kreatur

H

arry se réveilla tôt le matin suivant, enveloppé dans son sac de couchage sur le sol du salon. Un bout de ciel était visible entre les rideaux lourds. Il était d'un bleu d'encre mouillé frais et clair, quelque part entre la nuit et l'aube, et tout était tranquille excepté la profonde et longue respiration de Ron et d'Hermione. Harry jeta un coup d'oeil sur les ombres foncé qu'ils projetaient sur le sol derrière eux. Ron avait eu un élan de galanterie et avait insisté pour qu'Hermione dorme sur les matelas du sofa, de sorte que sa silhouette s'élevait au-dessus de la sienne. Son bras pendait sur le plancher, ses doigts à quelque centimètre de ceux de Ron. Harry se demanda s'ils s'étaient tenu la main lorsqu'ils s'étaient endormis. L'idée lui donna l'étrange sensation d'être isolé.

Il leva les yeux vers le plafond ombragé, et la grande structure du lustre. Il y avait moins de vingt quatre heures il se tenait à la lumière du soleil a l'entrée du chapiteau, a attendre les invités du mariage. Cela semblait faire des lustres. Qu'allait se passer maintenant ? Il s'étendit sur le plancher et pensa aux Horcruxes, à la mission complexe et angoissante que Dumbledore lui avait laissée…

Dumbledore…

La peine qu'il ressentait depuis la mort de Dumbledore sonnait différemment maintenant. Les accusations qu'il avait entendues de Muriel au mariage semblaient s'être incrusté dans son cerveau comme du poison, infectant son souvenir du sorcier qu'il avait admiré. Dumbledore avait-il pu laisser de telles choses se produire ? Avait-il été comme Dudley, se contentant d'observer la maltraitance et l'abus sans être affecté? Pourrait-il avoir tourné le dos à une soeur qui était emprisonnée et cachée ?

Harry pensa à Godric' Hallows, au fait que Dumbledore ne l'ai jamais mentionné ; il pensa aux objets mystérieux laissé sans explication dans la volonté de Dumbledore, et son ressentiment enfla dans l'obscurité. Pourquoi Dumbledore ne lui avait-il pas dit ? Pourquoi ne lui avait-il pas expliqué ?

Dumbledore s'intéressait-il vraiment à Harry finalement ? Ou Harry n'avait-il été rien à d'autre qu'un outil propre et utile, non un confident en qui il avait confiance?

Harry ne pourrais pas rester là avec seule compagnie ses amères pensées. Désespérant de voir arriver quelque chose, une quelconque distraction, il se dégagea de son sac de couchage, repris sa baguette magique, et sorti furtivement de la salle. Lorsqu'il se trouva sur le palier il chuchota " Lumos

" et commença à grimper l'escalier à la lueur de sa baguette.

Au deuxième étage se trouvait la chambre ou lui et Ron avait dormis la dernière fois qu'ils étaient venus, il jeta un coup d'oeil à l'intérieur. Les portes de la penderie étaient restées ouvertes et la literie rejetée en arrière. Harry se souvenu de la jambe de troll du rez-de-chaussée. Quelqu'un avait il fouillé la maison depuis que l'Ordre l'avais abandonné, Rogue ?

Sirius est mort ? Le regard d'Harry déambula sur le portrait qui a parfois contenus le grand père de

Sirius, Phineas Nigellus Black, mais il était vide, ne montrant rien d'autre qu'un bout de rideau marron. Phineas Nigellus passait évidemment la nuit dans le bureau du directeur à Poudlard.

Harry continua de monter l'escalier, jusqu'a qu'il atteigne le plus haut palier de la maison, où il y avait seulement deux portes. Celle en face de lui arborait une plaque avec le nom de Sirius. Harry n'était jamais entré dans la chambre à coucher de son parrain auparavant. Il poussa la porte et l'ouvrit, maintenant sa baguette haute pour projeter la lumière de celle-ci aussi largement que possible.

La chambre était spacieuse et avait dû être belle au moins une fois. Il y avait un grand lit avec une

tête de lit en bois ouvragé, une grande fenêtre obscurcie par de longs rideaux en velours, un lustre

enveloppé d'un épais manteau de poussière avec des bougies.

Une fine pellicule de poussière recouvrait les images et la tête de lit, une toile d'araignée s'étendait

du lustre jusqu'au haut de la penderie en bois, tandis qu'il entrait plus profondément dans la

chambre, il surprit une course de souris.

Le Sirius adolescent avait tellement mis d'image et de posters que peu du mur de couleur gris

argenté restait visible. Harry pouvait simplement supposer que les parents de Sirius se sont avérés

incapable de défaire l'enchantement de glue perpétuelle que Sirius avait lancés aux posters et

images, parce qu'il était sur que ses parents n'appréciaient pas les gouts de leur fils aine en matière

de décoration. Sirius avait l'air d'avoir une longue expérience du comment embêter ses parents.

Il y avait plusieurs banderole des Gryfondor, écarlate et or un peu fanée, juste pour souligner sa

différence du reste de la famille qui eux avait appartenue à Serpentard . Il y avait aussi beaucoup

d'image de motos de moldu, et également ( Harry était obligé d'admirer le toupet dont Sirius avait

fait preuve ) plusieurs poster de fille moldu en bikini .

Harry pouvait affirmer que c'était des images moldu car les filles restaient parfaitement immobile

dans leur cadre, sourire défraîchis et yeux figés sur le papier.

La seule photographie magique sur le mur, contrastant avec le reste, était une image de quatre

étudiants de Poudlard, bras dessus-dessous, riant devant l'appareil photo.

Avec un certain plaisir, Harry reconnu son père, ses cheveux noirs pointant désordonnés les même

que ceux de Harry, lui aussi portant des lunettes. Près de lui était Sirius, négligemment beau, son

visage légèrement arrogant tellement plus jeune et plus heureux qu'Harry ne l'avait jamais vu étant

vivant. A droite de Sirius se tenait Pettigrew, plus petit que sirius de plus d'une tête, dodus avec des

yeux humides, rouge de plaisir de son intrusion dans le groupe le plus cool. Avec les très admiré

James et Sirius. A la suite de James il y avait Lupin, un peu d'apparence minable, mais avec le même

air de surprise ravie, d'être aimé et intégré ou bien c'est seulement parce que Harry connaissait son

passé. Il essaya de la prendre du mur, elle était à lui maintenant après tout, Sirius lui avait laissé tout

ce qu'il possédait, mais elle ne bougea pas d'un pouce. Sirius n'avais laissé aucune opportunité en

prévention de la volonté de ses parent a redécorer sa chambre.

Harry regarda autour de lui. Le ciel à l'extérieur devenait de plus en plus lumineux. Une raie de

lumière révéla des papiers, des livres, et des petits objets dispersés sur le tapis.

Harry se baissa et ramassa quelque bout de papiers, et les examina. L'un deux était un morceau

d'une vieille édition de L'Histoire de la magie, par Bathilda Bagshot, un autre appartenant a un

manuel pour entretenir les motos, le troisième était un papier écris a la main et chiffonné. Il le

défroissa.

" Cher Patmol

Merci, Merci, pour le cadeau d'anniversaire de Harry! C'était son favori de loin. Un an et déjà qu'il

monte sur un balai en jouet, il a l'air si heureux avec. Je joins une image comme tu peux voir. Tu sais

qu'il est haut comme trois pommes mais il a presque tué le chat et casser l'horrible vase que Pétunia

m'a envoyé pour Noël (je ne m'en plain pas). Naturellement James a pensé que c'était très drôle, et

dit qu'il sera un grand joueur de Quidditch mais nous avons du éloigné tous les bibelots et s'assurer

que nous le perdons pas de vu quant il se déplace.

Nous avons eu un très tranquille gouter d'anniversaire, juste nous et la vieille Bathilda qui a toujours été adorable avec nous et qui adore Harry. Nous étions si désolé que tu ne puisses pas venir, mais l'ordre devait passer au premier plan, et Harry n'est pas assez vieux pour savoir que c'est son anniversaire de toute façon ! James devient frustré a rester enfermé ici, il essaye de ne pas le montrer mais je peux dire - d'ailleurs Dumbledore détient toujours sa cape d'invisibilité, donc pas de chance pour une petite excursion. Si tu pouvais venir, cela lui remonterait tellement le moral.

Queudver était ici le week-end dernier. Il semblait au plus bas de sa forme, mais c'était probablement a cause des nouvelles au sujet de McKinnons ; J'ai crié toute la soirée quand je les apprise.

Bathilda se lâche la plupart des jours, elle est incroyable lorsqu'il s'agit de raconter des histoires des plus étonnantes au sujet de Dumbledore. Je ne suis pas sûr qu'il serait content s'il le savait ! Je ne sais pas trop quoi croire, en fait parce qu'il semble incroyable que Dumbledore .. "

Les extrémités de Harry semblèrent s'être engourdies. Il restait debout calme, tenant le papier miraculeux entre ses doigts inertes tandis qu'à l'intérieur de lui une sorte d'éruption tranquille déversaient la joie et la peine à mesures égales dans ses veines. Vacillant vers le lit, il s'assit.

Il lu encore la lettre, mais n'arrivait plus à saisir de quoi il était question, et fut réduit à regarder fixement la lettre écrite a la main. Elle avait faisait ses " g " de la même façon dont il les faisait : il rechercha chacun d'entre eux dans la lettre, et chacun raisonna comme une douce vague glissant de derrière un voile. La lettre était un trésor incroyable, la preuve que le Lili Potter avait vécu, vraiment vécu, que sa main chaude s'était par le passé déplacée sur ce parchemin, traçant a l'encre ces lettres, ces mots, des mots a son sujet, Harry, son fils.

Chassant impatiemment l'humidité de ses yeux, il relu la lettre, cette fois se concentrant sur sa signification. C'est comme écouté une voix dont on se souvenait à moitié.

Ils avaient eu un chat… peut-être avait-il péri, comme ses parents à Godric's Hollow… ou bien s'était sauvé quand il n'y eu plus personne pour le nourrir… Sirius lui avait acheté son premier balai… Ses parents avaient connu Bathilda Bagshort ; Dumbledore les avaient-ils présentés ? " Dumbledore détient toujours sa cape d'invisibilité "… ça c'était quelque chose de drôle…

Harry fit une pause, considérant les mots de sa mère. Pourquoi Dumbledore avait-il pris la cape d'invisibilité de James ? Harry s'était distinctement rappelé son directeur lui dire des années auparavant, " je n'ai pas besoin d'une cape pour me rendre invisible " peut-être qu'un membre moins doué de l'ordre avait eu besoin de son aide, et Dumbledore avait-il agi en tant que porteur ? Harry laissa cela de coté…

" Queudver était la "… Pettigrew, le traitre, paraissait au plus bas de sa forme, hein? Se rendait-il compte qu'il voyait James et le Lilli vivants pour la dernière fois ?

Et enfin Bathilda encore, qui racontait des histoires incroyables au sujet de Dumbledore. " Il semble incroyable que Dumbledore.. "

Que Dumbledore quoi ? Mais il y avait un certain nombre de choses qui sembleraient incroyables au sujet de Dumbledore ; qu'il ait reçu par la passé le note la plus basse en Transplanage, par exemple ou ait jeté des sorts a des chèvres comme Aberforth…

Harry se mit sur pied et balaya le plancher du regard : Peut-être le reste de la lettre était-il ici quelque part. Il saisi des papiers, les triant avec ferveur, avec un peu de considération en tant que chercheur original, il ouvrait les tiroirs, secoua les livres, pris une chaise pour voir au dessus de la penderie, et rampa sous le lit et le fauteuil.

Enfin, face contre terre sur le sol, il remarqua ce qui semblait être un bout de papier sous la commode. Lorsqu'il l'extirpa, il reconnu ce qui devait être la photo dont Lili parlait dans sa lettre. Un bébé aux cheveux noirs allait et venait dans la photo sur un balai minuscule, hurlant de rire, et une paire de jambes qui devait appartenir a James courrait après lui. Harry rangea la photographie dans sa poche avec la lettre de Lili et continua à chercher la deuxième feuille.

Après un autre quart d'heure, il fut toutefois contraint d'admettre que le reste de la lettre de sa mère n'était plus la. S'était-elle simplement perdue depuis les seize années qui s'étaient écoulées depuis qu'on l'avait écrite, ou avait-elle été prise par celui qui avait fouillé la chambre ? Harry lu la première feuille encore, cette fois à la recherche d'indices qui aurait pu lui indiqué ce que contenait la deuxième feuille. Son balai en jouet aurait difficilement pu être considéré comme intéressant par les mangemorts… La seule chose potentiellement utile qu'il pouvait y voir était l'information possible sur

Dumbledore. " Il semble incroyable que Dumbledore.. "

- quoi?

" Harry ? Harry ? Harry ! "

" Je suis la ! " cria-t-il, " qu'est ce qui se passe ? "

Il y eu un bruit de pas derrière la porte, et Hermione déboula à l'intérieur.

" Nous nous sommes réveillé et nous ne savions pas ou tu étais ! " dit-elle à bout de souffle. Elle se retourna et cria par dessus son épaule,

" Ron ! Je l'ai trouvé "

La voix lointaine de Ron fit écho depuis plusieurs étage en dessous :

" Bon ! Dis lui de ma part que c'est un con ! "

" Harry ne disparait pas comme ça, je t'en pris, nous étions terrifiés ! Pourquoi es-tu monté ici de toute façon ? " Elle regarda tout autour d'elle la chambre mise a sac. " Qu'est ce que tu étais en train de faire? "

" Regarde ce qui j'ai juste trouvé "

Il sortit la lettre de sa mère. Hermione la pris et la lut tandis que Harry l'observait. Quand elle atteint

la fin de la page elle leva les yeux vers lui.

" Oh Harry… "

" Oui et il y a aussi ça "

il lui remit la photographie déchirée, et Hermione souri au bébé qui allait et venait sur le balai en

jouet.

" J'ai cherché le reste de la lettre, " dit Harry, " mais elle n'est pas ici "

Hermione jeta un coup d'oeil autour.

" Tu as mis tout ce désordre ou c'était déjà comme ça en arrivant ici ? "

" Quelqu'un avait fouillé avant moi, " dit Harry.

" Je le pensais aussi. Chaque pièce que j'ai examinée en montant avait été dérangée. Qu'est ce qu'ils

cherchaient a ton avis ? "

"Des informations sur l'ordre, si c'était Rogue "

" Mais tu ne pense pas qu'il aurait eu déjà tous ce dont il a besoin. Je veux dire il était dans l'ordre,

n'est ce pas ? "

" Bon, " dit Harry, impatient de discuter de sa théorie, " que dis-tu de l'information sur Dumbledore ?

La deuxième page de la lettre, par exemple. Tu sais que ma mère a mentionné Bathilda, tu sais qui

elle est ? "

" Qui ? "

" Bathilda Bagshort, l'auteur de - "

" L' Histoire de Magie, " dit Hermione, semblant intéressé. " Ainsi tes parents l'ont connue ? Elle était

une historienne magique incroyable "

" et elle est encore vivante, " dit Harry, " et elle vit à Godric's Hollow. La Tante Muriel de Ron parlait

d'elle au mariage. Elle connaissait la famille de Dumbledore aussi. Ca s'rait rudement intéressant de

lui parler, n'est ce pas ? " Il y avait un peu trop de compatissance dans le sourire de Hermione a son

gout. Il récupéra la lettre et la photographie et les rangea à l'intérieur de la pochette autour de son

cou, pour ne pas avoir à la regarder et se trahir lui même.

" Je comprends pourquoi tu aimerez lui parler au sujet de ta maman de ton papa, et de Dumbledore

aussi, " dit Hermione. " Mais cela ne nous aiderait pas vraiment dans notre recherche des Horcruxes,

il ? " Harry ne répondit pas, et sauta sur l'occasion, " Harry, je sais que tu veux vraiment aller a

Godric's Hollow, mais je suis effrayée... Je suis effrayée par la façon dont les mangemorts nous ont si

facilement retrouvés hier. Et cela me fait encore plus penser que nous devons éviter l'endroit ou tes

parents sont enterrés, je suis sûr qu'ils s'attendent a ce que tu y ailles. "

" Ce n'est pas juste ça, " dit Harry, évitant toujours de la regarder, " Muriel a dit des trucs au sujet de

Dumbledore au mariage. Je veux savoir la vérité… "

Il dit a Hermione tout ce que Muriel lui avait dit. Quand il eu fini, Hermione dit, " Bien sur, je peux

comprendre que cela t'ai bouleversé, Harry - "

" je ne suis pas bouleversé, " mentit-il, " je voudrais juste si c'est vrai ou - "

" Harry penses-tu vraiment que tu obtiendras la vérité d'une vieille femme malveillante comme

Muriel, ou de Rita Skeeter ? Comment peux-tu les croire ? Ne connaissais-tu pas Dumbledore ! "

" Je le croyais, " murmura-t-il.

" Mais tu sais combien il y avait de vérité dans ce qu'écrivait Rita à ton sujet ! Doge a raison,

comment oses-tu laissez ces personnes ternir tes souvenirs de Dumbledore ? "

Il détourna les yeux, essayant de ne pas trahir le ressentiment qu'il éprouvait. C'était encore la :

Choisir quoi croire. Il voulait la vérité. Pourquoi tout le monde était-il tellement convaincu qu'il ne

l'obtiendrait pas?

" On descend à la cuisine ? " suggéra Hermione après une petite pause. " Trouver quelque chose pour

le déjeuner ? "

Il accepta, mais à contrecoeur et la suivi dehors sur le palier et devant la seconde porte qui donnait

dessus. Il y avait les marques profondes d'éraflure dans la peinture au-dessous d'un petit panneau

qu'il n'avait pas remarqué dans l'obscurité. Il fit une pause en haut des escaliers pour le lire. C'était

une petite pancarte pompeuse avec des lettres soigneusement écrites a la main de sorte que Percy

Weasley aurait très bien pu l'accroché sur la porte de sa chambre.

Ne Pas Entrer

Sans L'Express Permission de

Regulus Arcturus Black

L'excitement fourmilla dans le corps de Harry, bien qu'il ne su pas immédiatement pourquoi. Il lu

encore la pancarte. Hermione dévalait déjà les marches au dessous de lui.

" Hermione, " dit-il, et il s'étonna que sa voix fut si calme. "Reviens ici. "

" Qu'y a-t-il ? "

" R.A.B. Je pense que je l'ai trouvé. "

Il y eu un halètement avant qu'Hermione se re-précipite vers les escaliers.

" Dans la lettre de ta maman ? Mais je n'ai pas vu - "

Harry secoua la tête, indiquant la pancarte de Regulus. Elle la lu, et saisi le bras de Harry si fort qu'il

grimaça.

"Le frère de Sirius ? " chuchota-t-elle.

" C'était un mangemort, " dit Harry. " Sirius m'a parlé de lui, il s'est joint à eux lorsqu'il était vraiment

jeune et après a eu la trouille et a essayé de partir - donc ils l'ont tué. "

" Justement ! " haleta Hermione. " S'il était un mangemort il a eu accès à Voldemort, et a été

désenchanté lorsqu'il a voulu faire tomber Voldemord ! "

Elle libéra Harry, se pencha au-dessus de la rampe, et cria, " Ron ! RON ! Monte ici, vite ! "

Ron apparu, haletant, une minute plus tard, sa baguette magique prête dans sa main.

" Quoi de neuf ? Si c'est encore des araignées géantes je veux prendre mon petit déjeuner avant de…

"

Il fronça les sourcils à la vision de la porte de Regulus, vers laquelle Hermione se dirigeait

silencieusement.

" Quoi? C'était le frère de Sirius, n'est-ce pas? Regulus Arcturus… Regulus… R.A.B. ! Le médaillon -

vous ne comptez pas -- ? "

" C'est ce que nous allons voir, " dit Harry. Il poussa la porte : Elle était verrouillée. Hermione dirigea

sa baguette magique vers la poignée et dit, " Alohamora. " Il y eu un déclic, et la porte s'ouvrit.

Ils se déplacèrent sur le seuil ensemble, regardant fixement autour. La chambre de Regulus était

légèrement plus petite que celle de Sirius, bien qu'elle ait eu la même trace de son ancienne

splendeur. Alors que Sirius avait cherché à afficher sa différence au reste de la famille, Regulus avait

tâché de souligner l'opposé. Les couleurs vert émeraude et argent de Serpentard étaient partout,

drapant le lit, les murs, et les fenêtres. L'emblème de la famille des Black avait été soigneusement

peint au-dessus du lit, avec sa devise, " toujours pur " (marqué en français dans le livre !). En dessous

il y avait une collection de découpages jaunis de journaux, tous assemblés ensembles en un collage

misérable. Hermione s'avança dans la pièce pour les examiner.

" Ils sont tout au sujet de Voldemort, " dit-elle. " Regulus semble avoir été un admirateur pendant

quelques années avant de rejoindre les mangemorts… "

Un petit souffle de poussière s'éleva du couvre-lit alors qu'elle s'asseyait pour lire las coupures.

Harry, en attendant, avait remarqué une autre photographie : une équipe de Quiditch de Poudlard

souriait s'agitait hors du cadre. Il se rapprocha et vi l'emblème d'un serpent sur leur poitrine :

Serpentard. Regulus était immédiatement reconnaissable comme le garçon assis au milieu de la

rangée de devant : Il avait les mêmes cheveux foncés et le regard légèrement hautain de son frère,

bien qu'il ait été plus petit, plus mince, et plutôt moins beau que Sirius l'avait été.

"Il jouait comme attrapeur, dit Harry.

" Quoi? " dit Hermione distraitement ; elle était encore immergée dans les coupures de presse sur

Voldemort.

" Il est assis au milieu de la rangée de devant, la où se trouve l'attrapeur… peu importe, " dit Harry, se

rendant compte que personne ne l'écoutait. Ron était à quatre pattes, cherchant sous la penderie.

Harry regarda autour de la pièce à la recherche de cachettes potentielles et s'approcha du bureau.

Encore une fois, quelqu'un y était passé avant eux. Le contenu du tiroir avait été retourné

récemment, la poussière dérangée, mais il n'y avait rien de valeur ici : de vieilles cannettes, des

manuels démodés qui attestaient de leur rude manipulation, une bouteille d'encre récemment

cassée, un résidu collant couvrant le contenu du tiroir.

" Il y a une manière plus facile, " dit Hermione, alors que Harry essuyait ses doigts noirs d'encre sur

son jeans. Elle souleva sa baguette et dit, " Accio Medaillon ! "

Rien ne se produit. Ron, qui avait cherché dans les plis des vieux rideaux, sembla déçu.

" Alors c'est ça ? Il n'est pas ici ? "

" Oh, il pourrait être encore ici, mais sous des Contres-Sortilèges, " dit Hermione. " Des charmes pour

l'empêcher d'être appelée par la magie, vous savez. "

" Comme celui que Voldemort a installé sur le bassin en pierre dans la caverne, " dit Harry, se

rappelant comment il n'avait pas pu appeler à lui le faux médaillon.

" Comment sommes nous supposé le trouver alors ? " demanda Ron.

" En cherchant à la main, " dit Hermione.

" Quelle bonne idée, " dit Ron, roulant ses yeux, et il reprit son examen des rideaux.

Ils passèrent au peigne fin chaque centimètre de la chambre, mais durent admettre finalement, que le médaillon n'était pas là.

Le soleil s'était levé maintenant ; sa lumière les éblouissait même à travers les fenêtres encrassées de l'étage.

" Il pourrait être autre part dans la maison, bien que, " dit Hermione dans un ton de ralliement alors qu'ils descendaient les escaliers. Car alors qu'Harry et Ron se décourageaient, elle paraissait de plus en plus déterminée. " Qu'il soit parvenue à le détruire ou non, il voulait le tenir loin de Voldemort, n'est ce pas ? Rappelez-vous toutes ces choses terribles dont nous avons du nous débarrasser la dernière fois que nous sommes venu ici? Cette horloge qui envoyait des boulons à tout le monde et ces vieilles robes longues qui ont essayé d'étrangler Ron ; Regulus pourrait les avoir mis là pour protéger la cachette du médaillon, quoique nous ne l'ayons pas réalisée à… à… "

Harry et Ron la regardèrent. Elle se tenait avec un pied a mis chemin entre ciel et terre, avec le regard stupéfait de quelqu'un qui vient de subir le charme d'Oubli: Ses yeux étaient même sortis de leur orbites.

" … à temps " finit-elle dans un souffle.

" Quelque chose qui va pas ? " Demanda Ron.

" Il y avait un médaillon. "

" Quoi ? " dirent Harry et Ron d'une même voix.

" Dans le coffret dans le salon. Personne ne pourrait l'ouvrir. Et nous… nous… "

Harry sentis comme si une brique avait glissé vers le bas de sa poitrine dans son estomac. Il s'était souvenu. Il avait même manipulé la chose pendant qu'ils se la passaient tour à tour, chacun essayant

à tour de rôle de l'ouvrir. Il avait jeté tout droit dans envoyé parmi les déchets, avec la tabatière de

Poudre de Verrue et la boîte à musique qui avait rendu tout le monde somnolent… "

" Kreacher récupérait un paquet de chose derrière notre dos, " dit Harry. C'était la seule chance, le seul mince espoir qui s'offrait encore a eux, et il allait s'y accrocher avant d'être forcé à le laisser tomber. " Il avait une cachette entièrement rempli de trucs dans son placard dans la cuisine. V'nez. "

Il descendit les escaliers en courant prenant deux respirations à chaque pas, les deux autres le suivant dans sa course. Ils firent tellement de bruit qu'ils réveillèrent le portrait de la mère de Sirius pendant qu'ils traversaient le hall.

"Ordures ! Sang de Bourbe ! Écume !" cria t'elle, ils ce précipitèrent dans la cuisine au sous-sol et claquèrent la porte derrière eux. Harry couru le long de la salle, et fit une halte devant la porte de

Kreatur, qu'il faillie arracher en l'ouvrant. Il y avait un nid et de vieilles couvertures sales dans lesquelles l'elfe de maison avait dormi auparavant, mais ils n'y avaient aucuns des objets que Kreatur avait récupérés. La seule chose qu'il y avait était une vieille copie de " Noblesse de la nature " : " Une généalogie de sorcier ". Il n'en croyait pas ses yeux, Harry saisi les couvertures et les secoua. Une souris morte tomba et roula lugubrement sur le sol. Ron gémi pendant qu'il se jetait sur une des chaises de la cuisine et Hermione ferma les yeux.

" Je n'ai pas encore dit mon dernier mot " dit Harry, et il cria, "Kreatur !"

Il y eu une forte odeur, et l'elfe de maison dont Harry avait hérité à contrecoeur de Sirius, apparu

hors de nulle part, devant la cheminée froide et vide : minuscule, à moitié humain, sa peau pâle laissant apparaître de nombreux plis, des cheveux blancs qui avaient copieusement poussé sur ses oreilles. Il portait toujours le même chiffon dégoûtant, comme lorsqu'ils l'avaient rencontré la première fois, et le regard méprisant qu'il portait sur Harry prouvait que son attitude envers son nouveau maître de maison n'avait pas plus changé que ses vêtements.

Le "maître," coassa Kreatur avec une voix de grenouille mugissante, et il s'inclina ; murmurant à ses genoux, " dans la vieille maison de ma maîtresse avec le traître à son sang Weasley et le Sang de bourbe.

" Je t'interdit d'appeler n'importe qui traître à son sang ou Sang de bourbe " dit Harry.

« Oui, maître, » dit Kreacher, se baissant encore bien bas. Harry a vu ses lèvres bouger sans

emmettre de son, assurément en train de prononcer les insultes qu’il lui était a present interdites d’utiliser.

« Il y a deux ans », dit Harry, son coeur martelant dans sa poitrine, « il y avait un grand lmedaillon en or dans le salon en haut. Nous l'avons jeté. L’as tu volé derriere nous ? »

Il y eu un moment de silence, pendant lequel Kreacher se redressa pour faire face au visage de Harry.

Alors il dit, « oui. »

« Où est il maintenant ? » demanda Harry réjoui alors que Ron et Hermione semblaient allegres.

Kreacher ferma ses yeux comme s'il ne pourrait pas soutenir de voir leurs réactions à son prochain mot.

« Parti. »

« Parti ? » fit echo Harry, l’exaltation glissant hors de lui, « Qu’est ce que tu veux dire par là, il est partu? »

L'elfe trembla. Il se balanca.

« Kreacher, » dit Harry violemment, « Je te donne l’ordre de –

« Mundungus Fletcher, » croassa l'elfe, ses yeux toujours fortement fermés. « Mundungus Fletcher a tout volé ; Les images de Mlle Bella's et de Mlle Cissy's, les gants de ma maîtresse, l'ordre de MERLIN, première classe, les gobelets avec l’embleme de la famille, et - et - «

Kreacher retint sa respiration : Sa poitrine creuse se soulevant et s’abaissant rapidement, puis ses yeux s’ouvrirent et il poussa un cri perçant a faire glacer le sang.

« - et le medaillon, le medaillon de maitre Regulus.

Kreacher a fait du tort, Kreacher échoué aux ordres ! »

Harry réagi instinctivement : Pendant que Kreacher se précipitait vers le tisonnier se tenant dans la grille, il se lanca sur l'elfe, l'aplatissant au sol. Le cri perçant de Hermione se melangea a celui de

Kreacher mais Harry beugla plus fort que les deux autre : « Kreacher, je t’ordonne de rester ici ! »

Il senti l’elfe se figer et le libéra. Kreacher s'étendit à plat sur le plancher en pierre froid, des larmes jaillissant de ses yeux affaissés.

« Harry, lache le ! » chuchota Hermione.

« Comme ca il pourra se frapper avec le tisonnier ? » reifla Harry , se mettant à genoux près de l'elfe.

« Il n’en ai pas question. Bien. Kreacher, je veux la vérité : Comment sais-tu que Mundungus Fletcher a volé le medaillon ? »

« Kreacher l'a vu ! »haleta l'elfe alors que des larmes versées coulaient le long de son museau et dans sa bouche au dents completement ebrechées. « Kreacher l'a vu sortir du placard de Kreacher ses mains pleines des trésors de Kreacher. Kreacher a dit au sale voleur de s'arrêter, mais Mundungus

Fletcher a ri et est p-parti en c-courant… «

« Tu as appelé le medaillon « celui du maitre Regulus » dit Harry. « Pourquoi ? D'où venait-il ? Qu’est ce que Regulus voulait faire avec lui ? Kreacher, assieds toi et dis moi tout ce que tu sais au sujet du medaillon et tout ce Regulus voulait faire avec lui ! »

L'elfe se redressa, plié en boule, placa son visage humide entre ses genoux, et commenca a se balancer d’avant en arriere. Quand il parla, sa voix était assourdi mais tout à fait distincte dans la cuisine silencieuse et faisant écho.

« Maitre sirius s’est enfuis, bon débarras, c’était un mauvais garçon et a brisé le coeur de ma maîtresse avec ses manières anarchiques. Mais maitre Regulus etait une fierté ; Il connaissait la valeur des Black et à la dignité de son sang pur. Pendant des années il a parlé de Lord Voldemort, qui allait mettre en valeur les sorciers en abolissant les regles au sujet des moldus et leur enfants … et lorsqu’il a eu 16 ans, Maitre Regulus a rejoint le seigneur des tenebres. Si fier, si fier, si heureux de servir… et un jour, une année après qu'il l’ait rejoint, Maitre Regulus est descendu à la cuisine pour voir

Kreacher. Maitre Regulus a toujours aimé Kreacher. Et maître Regulus a dit… il a dit… »

Le vieil elfe se balanca plus rapidement que jamais.

« … il a dit que le seigneur des ténebres avait besoin d'un elfe. »

« Voldemort avait besoin d'un elfe ? » regardant Harry, regardant tour a tour Ron et Hermione, qui

le regarderent stupefait comme lui-même l’était.

« OH oui, » gémi Kreacher. « Et Maitre Regulus avait proposé Kreacher. C'était un honneur, disait

Maitre Regulus, un honneur pour lui et pour Kreacher, qui devait faire tout ce que le seigneur des tenebres lui ordonnait de faire… et puis il est venu a la maison. »

Kreacher se balancait toujours plus rapidement, son soufle se melant aux sanglots.

« Ainsi Kreacher est allé au seigneur des tenebres. Le seigneur des tenebres n'a pas dit a Kreacher ce qu'ils allaient de faire, mais a pris Kreacher avec lui dans une caverne près de la mer. Et au delà de la caverne était une autre caverne, et dans la caverne était un grand lac noir… « les poils du cou de Harry se herriserent. La voix croassante de Kreacher lui parvenir depuis l’autre coté de l’eau sombre. Il voyait ce qui s'était produit clairement comme s'il avait été présent.

« … Il y avait un bateau… »

Naturellement il y avait eu un bateau ; Harry connaissait ce bateau, vert et minuscule fantomatiques, enchanté afin de porter un sorcier et une victime vers l'île au centre. C’était comme ça, alors, que

Voldemort avait examiné les défenses entourant le Horcruxse, en empruntant une créature jetable, un elfe de maison…

« Il y avait un b-bassin rempli de potion sur l'île. Le seigneur D-des tenebres l'a faite boire à

Kreacher… »

L'elfe trembla de la tête au pied.

« Kreacher a bu, et pendant qu'il buvait il voyait de terribles choses…Kreacher brûlait de l’intérieur…… il a pleuré pour que Maitre Regulus le sauve, il a pleuré pour sa maîtresse Black, mais le seigneur des tenebre a seulement ri… a fait boire à Kreacher toute la potion… il a laissé tomber un medaillon dans le bassin vide… il l'a rempli de plus de potion. »

« Et alors le seigneur des tenebres a navigué loin, laissant Kreacher sur l'île… »

Harry pouvait anticiper la suite. Il imagina le visage blanc de serpent de Voldemort, disparaissant dans l'obscurité, ces yeux rouges fixés sans pitié sur le moins que rien elfe dont la mort se produirait dans quelques minutes, alors qu’il allait succomber et l’intengible soif que le poison brûlant causait a sa victime… mais ici, l'imagination de Harry ne pouvait aller plus loin, parce que il ne voyait pas comment Kreacher s'était échappé.

« Kreacher a eu besoin d'eau, il a rampé au bord de l'île et il a bu du lac noir… et des mains, des mains mortes, sont sorties de l'eau et ont entraîné Kreacher en dessous… «

« Comment t’en es-tu sorti ? »Demanda Harry, et il ne s’etonna pas de s'entendre chuchoter.

Kreacher leva sa tete affreuse vers Harry et regarda Harry de ses grands yeux injectés de sang. dit-il.

« Je sais - mais comment tu as échappé aux Inferi ? »

Kreacher ne sembla pas comprendre.

« Maitre Regulus a dit à Kreacher de revenir, » repeta-t-il

« Je sais, mais - «

« bien, c’est evident, n'est ce pas, Harry ? » dit Ron.

« Il a Transplané ! »

« Mais… vous ne peut pas Transplaner dans cette caverne, » dit Harry,

« Autrement Dumbledore …«

« La magie des Elf n'est pas comme la magie des sorciers, n’est ce pas ? » dit Ron,

« je veux dire, eux ils peuvent apparaître et disparaître a l’interieur de Poudlard quand nous ne le pouvons pas. »

Il y eu un silence durant lequel Harry digera cela. Comment Voldemort pourrait-il avoir fait une telle erreur ? Mais pendant qu'il pensait ca, Hermione parla, et sa voix était glaciale.

« Naturellement, Voldemort a consideraient les elfes de maison comme des moins que que rien… et

il ne lui serait jamais venu a l’esprit qu’ils pourraient avoir une magie qu’il n’avait pas. »

« La plus grande loi d’un elfe de maison c’est celle de son maitre, » dit Kreacher.

« Kreacher a été appelé à venir à la maison, ainsi Kreacher est venu à la maison…

« Bien, puis, tu as fait ce qu’on t’as dit de faire, n’est ce pas ? » dit Hermione avec bonté.

«Tu n’as pas désobéi aux ordres du tout ! »

Kreacher secoua sa tête, se balancant plus vite que jamais.

« Ainsi qu’est ce qu’il s’est pssé quand tu est revenu ? » demanda Harry.

« Qu’est ce que Regulus a dit quand tu lui a raconté dit ce qui s'etait produit ? »

« Maitre Regulus était vraiment inquiet, vraiment inquiet, » croassa Kreacher.

« Maitre Regulus a dit a Kreacher de se caché et de ne pas sorrtir de la maison. Et alors… c'était un petit moment plus tard… Maitre Regulus est venu trouver Kreacher dans son placard une nuit, et le maître Regulus était étrange, pas comme il était habituellement, son esprit était derrangé, Kreacher pourrait dire… et il a demandé a Kreacher de l’ammener à la caverne, la caverne où Kreacher etait allé avec le seigneur des tenebres …

« et ainsi ils y étaient allés. Harry pouvait clairement les visualiser, le vieil elfe effrayé et l’attrapeur mince et sombre qui avait tant ressemblé à Sirius…

Kreacher savait ouvrir l'entrée dissimulée dans la caverne souterraine, et soulever le bateau minuscule : cette fois c'était son Regulus adoré qui avait navigué avec lui vers l'île avec son bassin de poison…

« et il t’ as incité à boire le poison ? » dit Harry, dégoûté.

Mais Kreacher secoua sa tête et pleura. Les mains de Hermione sautérent vers sa bouche : Elle sembla avoir compris quelque chose.

« Le M-Maître Regulus a pris de sa poche un medaillon comme celui que le seigneur de tenebres avait» dit Kreacher, larmes coulant de chaque côté de son nez en forme de groin. « Et il a dit

Kreacher de le prendre et, quand le bassin serait vide, d’interchanger les medaillons… »

Les sanglots de Kreacher étaient assorti de grand rale a present ; Harry dû se concentrer pour le comprendre.

« Et il a ordonné … à Kreacher de partir sans lui. Et il a dit Kreacher – d’aller à la maison …et de ne jamais dire ma maîtresse … ce qu'il avait fait … mais de détruire le premier medaillon. Et il a bu toute la potion et Kreacher a permuté les medaillons - et a regardé… pendant que Maitre Regulus… était traîné sous l'eau… et… «

« Oh, Kreacher ! » cria Hermione, qui pleurait. Elle se laissée tomber à genoux près de l'elfe et essaya de l'étreindre. Immédiatement il se mit sur ses pieds, se tapissant loin d’elle, évidemment tout à fait révulsé.

« La sang-de -bourbe a touché Kreacher, il ne le permettra pas, qu’est ce que sa maitresse dirait ? »

« Je t’ai dit de ne pas l’appeler son Sang de bourbe ! » gronda Harry, mais l'elfe se punissait déjà. Il tomba à la terre et a frappa son front sur le plancher.

« Arrête-le - arrête-le ! » cria Hermione.

« OH, Tu ne vois pas maintenant comment il est malade à la facon dont il doit obeir ? »

« Kreacher - arrête, arrête ! » cria Harry.

L'elfe s'allongea sur le plancher, haletant et tremblant, du mucus vert scintillant autour de sa truffe, une contusion fleurissant déjà sur son front pâle où il s'était frappé, ses yeux gonflé et injecté de sang , baignant dans les larmes. Harry n'avait jamais rien vu de si pitoyble.

« Ainsi tu as rapporté à la maison le maidaillon, » dit-il impitoyablement, parce qu’il était déterminé

à connaître la pleine histoire. « Et tu as essayé de le détruire ? »

« Rien de ce que Kreatur a fait n’a marché, » gémi l'elfe. « Kreacher tout essayé, tout qu'il ce qu’il savait, mais rien, rien ne marcahait… tant de puissant sorts sur son couvercle, Kreacher était sûr que

la manière de le détruire se trouvait à l'intérieur de lui, mais il ne s’ouvrait pas… Kreacher s'est puni, il a essayé encore, il s'est puni, il a essayé encore. Kreacher n'a pas obéi aux ordres, Kreacher n'a pas pu détruire le medaillon ! Et sa maîtresse était folle de peine, parce que Maitre Regulus avait disparu et Kreacher ne pouvait pas lui dire ce qui s'était produit, non, parce que Maitre Regulus l-l-lui avait interdit de dire à sa f-f-famille ce qui s'etait produit dans la c-caverne… »

Kreacher commenca à sangloter tellement fort qu'il n'y avait plus aucun mot distinct. Des larmes roulerent sur les joues d’ Hermione pendant qu'elle observait Kreacher, mais elle n'osa pas le toucher encore. Même Ron, qui n'était en aucun cas u adepte de Kreacher, semblait desolé. Harry se raposa sur ses talon et se secoua la tête pour reflechir.

« Je ne te comprends pas, Kreacher »

« Voldemort a essayé de te tuer, Regulus est mort pour détruire Voldemort, mais tu étais encore heureux de trahir Sirius pour Voldemort ? Tu étais heureux d'aller avec Narcissa et avec Bellatrix, passer l'information à Voldemort...

« Harry, Kreacher ne pense pas comme ça » a dit Hermione, essuyant ses yeux sur le dos de sa main.

« C'est un esclave ; des elfes de maisons subissent d'infames traitements ; ce que Voldemort a fait à

Kreacher n'était pas très différent de ce qu'il subit habituellement. Que les guerres de magicien signifient-elles pour un elfe comme Kreacher ? Il est fidèle aux gens qui sont aimables avec lui, et

Mme Black doit l'avoir été, et Regulus l'était certainement, ainsi il les a servi volontairement et partageait leur croyance. Je sais ce que tu vas dire, » dit-elle quand Harry commençait à protester,

« il semble que Regulus ai changé d'avis… mais il ne semble pas avoir expliqué cela à Kreacher ?

Et je pense que je sais pourquoi. La famille était ce qu'il y avait de plus important pour Kreatcher et

Regulus. Il essayait de tous les protéger tous. »

« Sirius - «

« Sirius était horrible avec Kreacher, Harry, tu sais que c'est vrai. Kreacher a été seul tout le temps quand Sirius est venu pour vivre ici, et il était probablement affamé d'un peu d'affection. Je suis sûr

Mlle Cissy et Mlle Bella étaient adorables avec Kreacher quand il a tourné vers le haut, ainsi il leur a fait une faveur et leur a dit tout qu'elles ont voulu savoir. J'ai dit tout le long que les magiciens payeraient la façon dont ils traitent les elfes de maison. Voldemort … et Sirius. »

Harry n'a eu aucune objection. Car il a observé Kreacher remuer sur le plancher, et s'est rappelé ce que Dumbledore lui avait indiqué, quelques heures après la mort de Sirius : Je ne pense pas que

Sirius n’a jamais vu Kreacher comme un être avec des sentiments humains …

« Kreacher, » indiqua

Harry après un moment

« Quand tu te sens mieux, repose-toi en haut.» plusieurs minutes avant que Kreacher ne coupe le silence. Alors il s'est assis dans une position reposante, frottant ses yeux avec le poing omme un petit enfant.

« Kreacher, je vais te demander de faire quelque chose pour moi » a dit Harry.

Il jeta un coup d'oeil à

Hermione pour lui demander de l'aide. Il voulait lui donner l'ordre avec bonté, mais en même temps,

il ne pourrait pas feindre que ce n'était pas un ordre. Cependant, le changement de sa tonalité sembla avoir gagné son approbation : Elle sourit d'une manière encourageante.

« Kreacher, je veuxque tu ailles trouver Mundungus Fletcher. Nous devons découvrir où le locket - où le locket principal de Regulus est. C'est vraiment important. Nous voulons finir le travail que ton maître

Regulus avait commencé, nous voulons - heu - nous assurer qu'il n'est pas mort en vain. » Kreacher a laissé tomber ses poings et a regardé Harry vers le haut.

« Trouver Mundungus Fletcher ? - croassa t'il - Et l'apporter ici, à l'endroit de Grimmauld, » dit Harry.

« Tu pourrais faire ça pour nous ? » Pendant que Kreacher inclinait la tête à ses pieds, Harry eut une inspiration soudaine. Il retira la bourse de Hagrid et sortit le faux Horcruxe, le locket de remplacement dans lequel Regulus avait placé la note à Voldemort.

« Kreacher, tu dois avoir ceci, » dit-il, serrant le locket dans la main de l'elfe. « Ceci a appartenu à

Regulus et je suis sûr il voudrait qu'il t'appartienne, comme marque de grattitude envers de toi. «

« c'est trop » indiqua Ron pendant que l'elfe jetait un coup d'oeil au locket, laissant sortir un hurlement de choc et de misère, et se jetant en arrière. Cela leur a pris presque une demi-heure avant que Kreacher ne se calme. Il était ainsi tellement bouleversé de posséder un héritage noir de sa famille qu'il était trop faible pour se tenir correctement. Quand finalement il put regagner son compartiment, ils l'observèrent remplier le haut du locket dans des ses couvertures sales, leur assura qu'il ferait de sa protection sa première priorité tandis qu'il était parti. Il a alors fait deux basses salutations à Harry et à Ron, et a même donné un petit spasme très drôle dans la direction de Hermione qui pourrait avoir été une tentative de salut respectueux, avant de disparaître de la manière habituelle.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

remarquable travail !!!!!
rien d autre a dire merci beaucoup
ca doit etre un super travail de faire cela

merci merci merci


cordialement un fan de HP

Anonyme a dit…

C vraiment Cool! G acheté le livre en anglais mais quand G la flemme de mettre mon cerveau en mode "english", jviens faire 1 tour ! LOL