mercredi 25 juillet 2007

Chapitre 7 Le testament d'Albus Dumbledore

Chapitre 7 Le testament d'Albus Dumbledore

I

l marchait le long d'une route de montagne dans la lumière bleue et fraîche de l'aube. Non loin de là,

enveloppée dans la brume, s’étendait l’ombre d’une petite ville. L'homme qu'il pouvait sentir d’ici,

l'homme dont il avait tellement besoin qu’il ne pouvait penser a rien d’autre, l'homme qui détenait la

réponse, la réponse à son problème… ?

« Ohé, réveille-toi. »

Harry ouvrit les yeux. Il était encore étendu dans le lit de camp de Ron. Le soleil ne s'était pas encore

levé et la chambre était encore sombre. Coquecigrue était endormie, sa tête sous son aile minuscule.

La cicatrice sur le front d’Harry picotait.

« Tu murmurais dans ton sommeil. »

« c’est vrai ? »

« Ouais. « Gregorovitch. » T’as pas cessé de dire « Gregorovitch. » «

Harry ne portait pas ses lunettes ; Le visage de Ron apparaissait légèrement brouillé.

« Qui est Gregorovitch ? »

« Sais pas » « C’est toi qui le disait »

Harry se frotta le front, réfléchissant. Il avait la vague impression d’avoir déjà entendu ce nom

auparavant, mais il n’aurait su dire où.

« Je pense Voldemort le cherche. »

« pauvre gars, » dit Ron vivement.

Harry se redressa, frottant toujours sa cicatrice, maintenant parfaitement éveillée. Il essaya de se

rappeler exactement ce qu'il avait vu dans le rêve, mais tout ce qui lui revenait étaient un horizon

montagneux et le contour du petit village au sein d’une vallée profonde.

« Je pense qu'il est à l'étranger. »

« Qui, Gregorovitch ? »

« Voldemort. Je pense qu'il est quelque part à l'étranger, en train de chercher Gregorovitch. Ca ne

ressemblait à aucun lieu en Grande-Bretagne. «

« Tu recommence encore a voir dans son esprit ? »

Ron paraissait inquiet.

« Fais-moi une faveur et ne le dit pas à Hermione, » dit Harry. « Alors qu’elle s’attend à ce que je

cesse de voir des truc dans mon sommeil… »

Il a regardé fixement vers le haut la petite cage de Coquecigrue, réfléchissant… pourquoi le nom de «

Gregorovitch » lui était familier ?

« Je pense, » il dit-il lentement, « il a quelque chose à voir dans le Quidditch. Il y a un certain lien,

mais je ne peux pas--Je ne peux pas dire lequel. «

« le Quidditch ? » dit Ron. « Tu ne pense pas à Gorgovitch ? »

« Qui ? »

« Dragomir Gorgovitch, poursuivant, transféré aux Canons de Chudley pour un salaire records depuis

2 ans. Le détenteur du record pour le plus grand nombres de buts de souafle en une saison. «

« non, » dit Harry. « Je ne pense certainement pas à Gorgovitch. »

« J'essaye pas à non plus, » dit Ron. « Bien, joyeux anniversaire de toute façon. »

« Wow -- c'est vrai, j'avais oublié ! J'ai dix-sept ans ! «

Harry saisit la baguette magique qui se trouvait près de son lit de camp, se dirigea vers le bureau

encombré où il avait laissé ses lunette, et dit, « Accio lunettes! » Bien qu'elles étaient a quelques

centimètre de distance, il y avait quelque chose de satisfaisant a la vue de las voir voler vers lui, du

moins jusqu'à ce qu’elles heurtent son oeil

« Trop facile, » renifla Ron.

Se révélant à la disparition de la Marque, Harry envoya les objet de Ron volé a travers la pièce,

réveillant Coquecigrue qui flotta enthousiasmé autour de sa cage. Harry essaya aussi de faire le

noeud de ses chaussures par magie (le noeud qui en résultat pris plusieurs minute à être défait) et,

purement pour le plaisir, changea les robes oranges du poster des Canons de Chudley en bleu vif.

« J’exécuterais tes vols a la main, mais bon » avisa Ron à Harry, riant sous cape quand Harry se

tourna vers lui. « Voila ton cadeau. Ouvre le loin des yeux de ma mère. «

« Un livre ? » dit Harry quand il prit le colis rectangulaire. « C’est un peu loin de la tradition, n'est-ce

pas? »

« Ce n'est pas un livre ordinaire, » dit Ron. « C’est de l’or pur : Douze manières fiables de charmer

des sorcières. Il explique tout ce que tu veux savoir des filles. Si seulement j'avais eu ça l’année

dernier j'aurais su exactement comment me débarrasser de Lavande et su comment sortir avec…

Bien, Fred et George m'ont donné un exemplaire, et j'en ai beaucoup appris. Tu serrais étonné, ce

n’est pas du tout au sujet du travail de baguette, non plus. «

Quand ils arrivèrent dans la cuisine ils trouvèrent une pile de cadeaux qui attendait sur la table. Bill et

Monsieur Delacour finissaient leurs petits déjeuners, alors que Mme. Weasley bavardait avec eux

par-dessus sa poêle à frire.

« Arthur m'a dit de te souhaiter un joyeux dix septième anniversaire, Harry, » dit Mme. Weasley,

rayonnante. « Il a dû partir tôt pour le travail, mais il sera de retour pour le dîner. C'est notre cadeau

qui est au dessus. «

Harry s'assit, prit le colis carré qu'elle lui avait indiqué, et le déballa. À l'intérieur il y avait une montre

très semblable a celle qu’ils avaient offerts pour les 17 ans de Ron ; elle était en or, avec des étoile

dans cadrant a la place des aiguilles.

« C’est une tradition d’offrir a un sorcier une montre lorsqu’il atteint l’âge, » dit Mme. Weasley,

l'observant anxieusement près de la cuisinière. « J'ai bien peur que celle-ci ne soit pas nouvelle

comme celle de Ron, elle appartenait a mon frère Fabian et il ne faisait pas attention du tout a ses

biens, elle est un peu bosselé sur le dessus, mais-- »

Sa phrase se perdit.

Harry se leva et l'étreignit. Il essaya de mettre beaucoup des choses qui étés inexprimées dans

l'étreinte, et peut être les as t'elle comprises , parce qu'elle tapota sa joue maladroitement lorsqu'il

la libéra, elle ondula alors sa baguette magique d'une manière légèrement aléatoire, causant la chute

de la moitié du packet de bacon de la poele sur le sol .

- " Joyeux anniverssaire, Harry ! " dit Hermione, s'empressant d'entrer dans la cuisine pour ajouter

son propre présent au dessus de la pile. " C'est pas grand chose mais j'espére que tu apréciera, que

lui a tu offert ? " ajouta t'elle à l'adresse de Ron, qui ne sembla pas l'avoir entendue .

- " Allez, ensuite , c'est à celui d'Hermionne ! " s'exclama Ron

Elle lui avait offert un nouveau Sneakoscope . Les autres packets contennait un rasoir magique

venant de Bill et Fleur ( " Ah oui , il te donnera le rasage le plus doux qui soit " lui assurait Monsieur

Delacour " , mais tu dois lui dire très clairement ce que tu veut.... sinon tu pourrait constater (

trouver ) que tu as un peu moins de cheveux que tu ne le voudrait " ) , des chocolats offert par les

parents Delacour et une enorme boite venant de la boutique de Fred et George .

Harry, Ron, et Hermione ne s'atardérent pas à table, car l'arrivée de Madame Delacour, Fleur, et

Gabrielle eu comme consséquence de surpeupler la cuisine .

-" J'emballerai ça pour toi, " dit Hermione brillament ( gaiement ? ), en prenant les cadeaux des bras

de Harry pendant que tout trois remontait à l'étage. " C'est presque fini, je doit juste attendre que le

reste de tes sous-vétement soit propre, Ron- ... "

Le bredouillement de Ron fut interrompu par l'ouverture d'une porte au premier étage .

-" Harry, tu veut bien entrer un instant ? "

C'était Ginny. Ron s'immobilisa subitement, mais Hermionne pris Harry par le coude et la poussa vers

le haut des escaliers . Se sentant nerveux, Harry suivi Ginny dans sa chambre.

Il n'était jamais entré auparavant. C'était petit, mais lumineux . Il y avait un grand poster du groupe

magique les Bizarr Sisters sur un mur, et une photo de Gwenog Jones, capitaine de l'équipe de

Quidditch les Harpies de Holyhead, sur l'autre . Un bureau se tenait en face de la fenêtre ouverte , de

laquelle on pouvait apercevoir le verger où lui et Ginny avaient par le passé joué un deux-contredeux

contre Ron et Hermionne, dans une partie de Quidditch. Et qui maintenant hébergeai un

majestueux chapitaux nacré de blanc . Le drapeau doré se trouvant au-dessus était au même niveau

que la fenétre de Ginny.

Ginny leva les yeux vers le visage de Harry, pris un souffle profond, et dit " Bon anniverssaire Harry "

-" Ouais...mercis "

Elle le regardait fixement, lui cepandant, trouvait dificile de lui retourner son regard, c'était comme si

il était observé dans une brillante lumiere ( je pense que ça ve dire qu'il se sentait abservé comme

être sous un spot sur une scéne :) ).

" Belle vue " dit il faiblement en montrant la fenêtre .

Elle l'ignora . Il ne pourrais pas la blâmer.

-"Je ne sais pas quoi t'offrir", dit-elle

-" Tu n'as pas besoin de m'offrir quoi que ce soit "

Elle ne tint pas compte de cette remarque aussi.

-" Je ne savais pas ce qui pourrait être utile. Rien de trop grand , parce que tu n'aurait pas pu le

prendre avec toi . "

Il pris le risque d'un coup d'oeil vers elle. Elle ne pleurait pas, c'était l'une des nombreuses qualités de

Ginny, elle n'était pas pleurnicharde. Il avait parfois pensé qu'avoir six frères avait dû la renforcer .

Elle se raprocha un peu plus de lui .

-" Donc j'ai pensé , je voudrais que tu aie quelque chose qui te rapelle moi, tu sais, si tu rencontre

une quelconque vélanes lorsque tu ira faire tout ce que tu as à faire "

« Je pense que tu auras beaucoup de belles occasions de le faire, pour etre honete . »

« C’est l’occasion en or que je cherchait, chuchota-t-elle, et alors elle l'embrassa comme elle ne

l'avait jamais embrassé auparavant, et Harry l'embrassait en retour, et c'était le plus divin état

d’oubli que le Whisky pur feu ; elle était la seule vraie chose dans le monde, Ginny, son odeur, dans

son dos et leur longueur, l'odeur agréable de ses cheveux--

La porte s’ouvrit a la volée et ils sauterent loi l’un de l’autre.

« Oh, » dit Ron de façon singlante. « Désolé. »

« Ron ! » Hermione était juste derrière lui, legerement hors d’haleine. Il y eu un silence tendu, alors

que Ginny dit d’une petite voix plate,

« , joyeux anniversaire de toute façon, Harry. »

Les oreilles de Ron étaient écarlate ; Hermione semblait nerveuse. Harry voulu leur claquer la porte

au visage, mais elle se sentit comme si il avait une douche froide lorsque la porte s’était ouverte, et

son instant brillant avaient eclaté comme une bulle de savon. Toutes les raisons du monde de finir sa

relation avec Ginny, pour rester loin d’ elle, semblaient avoir fondu dans cette chambre avec Ron, et

tout ses souvenir heureux était parti.

Il regarda Ginny, voulant dire quelque chose, bien qu'il su a peine quoi, mais elle lui avait tourné le

dos. Il a pensé qu'elle pouvait avoir cédé, pour une fois, aux larmes. Il ne pourrait faire rien la

soulager devant Ron.

« Je te verrai plus tard, » dit-il, et suivi les deux autres deux hors de la chambre.

Ron descendit les escaliers, traversa l’etroite cuisine et la cour, suivi par Harry qui avait gardé la paix

pendant tout le trajée, Hermione trottinant derrière semblant effrayée.

Une fois qu'il atteignait la retraite de la pelouse fraîchement tondu, Ron s’en prit a Harry.

« Vous l'a trainé dans la boue. Qu’est ce que tu fait maintenant, à la chambouler ? «

« Je ne la chamboule pas, » dit Harry, alor qu’Hermione les rattrappait.

« Ron-- »

Mais Ron leva une main pour lui faire signe de se taire.

« Elle était vraiment aneanti quand tu as rompu-- »

« Comme je l’ai été. Tu sais pourquoi je arrêté ca, et ce n’était pas parceque je le voulais. «

« Ouais, mais tu vas encore la remettre dans tous ses etats maintenant alors qu’elle recommencait a

trouver de l’espoir-- »

« Elle n'est pas idiote, elle sait que ca ne peut pas se produire, elle ne s’attend pas a ce que nous—

nous finissions marriés, ou-- »

Alors qu’il disaot ca, une image vivante se forma dans l’esprit de Harry de Ginny dans une robe

blanche, épousant un étranger grand, sans visage, et désagréable.

Dans un moment d’etourdissement cela sembla le frappé : Son futur était libre et non chargé, tandis

que sien… il ne pouvait rien voir d’autre que Voldemort.

« Tu as laissé passé toutes les chances avec elle-- »

« Cela ne se reproduira plus, » dit durement Harry. C’était un jour sans nuages, mais il se sentait

comme si le soleil s’en était allé. « Ok ? »

Ron sembla moitié irrité moitié contrarié ; il chancela en arriere et se balanca sur ses pieds pendant

un moment, et dit, « Très bien, bon, c’est… ouais. »

Ginny ne chercha pas un autre tete a tete avec Harry durant le reste de la journée, elle ne montra

pas non plus par un quelconque regard ou attitude qu’ils avaient eu une conversation plus que poli

dans sa chambre. Néanmoins, l'arrivée de Charlie apparu comme un soulagement pour Harry. Cela

lui procura une distraction, de voir Mme Weasley forcer Charlie a s’asseoir dans une chaise, levant sa

baguette magique menacante, et annoncant qu'il était sur le point d'avoir enfin une coupe de cheveu

digne de ce nom.

Pour le dîner d’anniversaire d’ Harry la cuisine du Terrier avait été tiré a son maximun brisant ses

limites (a verifier c peut etre un contre sens) avant même l'arrivée de Charlie, de Lupin, de Tonks, et

de Hagrid, plusieurs tables avaient été dressées d ‘un bout a l’autre du jardin. Fred et George ont

enchantèrent a certain nombre de lanternes pourpres toutes affichant le nombre 17, pour danser

dans le ciel au dessus des invités. Grace aux soins de Mme Weasley, la blessure nette et propre, mais

Harry n'était pas encor habitué au trou sombre sur le côté de sa tête, en dépit des nombreuses

plaisanteries des jumeaux à ce sujet.

Hermione fit emmerger des flammes or et pourpre a l’extremité de sa baguette et se disperserent

artistiquement au-dessus des arbres et des buissons.

« Joli, » dit Ron, alors que le bouquet final fesait eruption au boud de sa baguette, Hermione fit se

changer en or les feuilles d’un pommier sauvage. « Tu as vraiment le don pour ce ganre de chose. »

« Merci, Ron ! » ldit Hermione, semblants tous deux heureux et confus. Harry se retourna, souriant à

lui-même. Il avait la drole d’impression qu'il trouverait un chapitre sur les compliments quand il

trouverait le moment de lire son exemplaire de « Douze manières fiables pour charmer des sorcières

» ; il attira l'attention de Ginny et lui sourrit avant à elle avant de se rappeler sa promesse à Ron et

commenca à la hâte une conversation avec Monsieur Delacour.

« Place, place ! » chanta Mme. Weasley, passant par la porte avec ce qui semblait être un géant pif

(au sens de nez) de la taille d’un ballon de plage flottant devant elle. Quelques secondes plus tard

Harry se rendut compte que c'était son gâteau d'anniversaire, que Mme. Weasley fesait voler avec sa

baguette, plutôt que de prendre le risque de le transporter marchant sur un sol irregulier. Quand le

gâteau atterri finalement au milieu des invités, Harry dit,

« C’est impressionnant, Mme. Weasley. «

« Oh, c’est rien, mon cheri, » dit-elle tendrement. Au-dessus de son épaule, Ron leva son pouce vers

Harry en signe d’encouragement, Bon signe.

A sept heures tous invités étaient arrivés, conduit dans la maison par Fred et George, qui les avaient

attendus à l'extrémité de la ruelle. Hagrid avait honoré l'occasion en portant son meilleur, et

horrible, costume marron et velu. Bien que le lupin ait souri pendant qu'il secouait la main de Harry,

Harry pensa qu’il avait l’air plutot malheureux. C’était vraiment etrange ; Tonks, près de lui, semblait

simplement radieuse.

« Joyeux anniversaire, Harry, » dit-elle, l'étreignant etroitement.

« Dix-sept ans, hein ! » dit Hagrid alors qu’il acceptait le verre de vin de la taille d’un tonneau que

Fred lui tendait . « Six ans depuis l’jour ou nous sommes rencontré, Harry, tu t’rapelle ? »

« Vaguement, » dit Harry, lui souriant. « N’as-tu pas exploser la porte d’entrée, donner à Dudley une

queue de cochon, et revelé que j’étais un sorcier ? »

« tu forge l’detail, » gloussa Hagrid. « Ca va, Ron, Hermione ? »

« Nous allons bien, »dit Hermione. « Et vous ? »

« Ar, pas trop mal. Les casiers occupés, nous avons obtenu des nouveaux-nés de Licorne. J’te

montrerai quand tu r’viendra --« Harry evita les regarde fixe de Ron et d’Hermione pendant qu’

Hagrid fouillait dans ses poches. « La. Harry – me d’mande pas comment j’lai obtenu, mais jme suis

rappelé d’ca. « Il retira un petit, leger etui en fourure avec une cordelette, évidemment prévue pour

être porté autour du cou. « Peaubouricot (Mokeskin ?) . Cache quelque chose la-d’dans et personne

d’autre que l’proprietaire ne pourra le reccuperer. Ils sont rares, eux. «

« Hagrid, merci ! »

« D’rien », » dit Hagrid d’un vague mouvement de sa main de la taille d’un couvercle de poubelle. «

et c’est Charlie! L’ai Toujours aimé lui -- hé ! Charlie ! «

Charlie s' approcha, fesant courir sa main doucement de maniere attristée, sur sa nouvelle et brutale

coupe de cheveux. Il était plus petit que Ron, trapu, avec un certain nombre de brûlures et

d'éraflures en haut de ses bras musclés.

« Salut, Hagrid, quoi de neuf ? »

« Casiers plein « write fer ages). Comment va Norbert? «

« Norbert ? »ri Charlie. « Le norvégien a longue queue (a verifier )? Nous l’appelons Norberta

maintenant. «

« Que… Norbert est une fille. ? »

« Oh ouais, » dit Charlie.

« Comment peut tu le savoir ? »demanda Hermione.

« Elles sont beaucoup plus méchantes, » dit Charlie. Il regarda au-dessus de son épaule et baissa la

voix. « Priez pour que papa de depeche et rentre ici. Maman s’enerve de plus en plus. «

Ils tous vers Mme. Weasley. Elle essayait de parler à Madame Delacour tout en jetant des coups d'oeil

vers la porte a plusieurs reprises.

« Je pense que nous devrions commencer sans Arthur, » dit-elle dans toute la largeur du jardin après

un moment ou deux. « Il a du etre retenu-- l'Oh ! »

Ils le virent tous en même temps : une strie de lumière vola à travers la cour et sur la table, où elle

tourna sur elle-même se materialisant en une brillante fouine argentée , qui se tenait sur ses pattes

arrieres et parla avec la voix de M. Weasley.

«le Ministre de magie vient avec moi. »

Le Patronus se dissout dans l'air mince, laissant la famille de Fleur se regardant d’un air dubitatif

l’endroit ou il se trouvait.

« Nous ne devrions pas être ici, » dit Lupin immédiatement. « Harry -- Je suis désolé – Je t’expliquerai

ça a un autre moment-- »

Il a saisi le poignet de Tonk et l' écarta ; ils ont atteignirent la barrière, s’élevèrent au-dessus d’ elle,

et disparurent du champs de vision Mme. Weasley sembla déconcerté.

« Le ministre -- mais pourquoi--? Je ne comprends pas--«

Mais ce n’était plus le moment de discuter de cela ; une seconde plus tard, M. Weasley apparu hors

de l’air mince de la porte, accompagnée de Rufus Scrimgeour, immédiatement reconnaissable à sa

crinière de cheveux grisonnant.

Les deux nouveaux venus marchèrent dans la cour en direction du jardin et de la table éclairée de

lanterne, où tout le monde était assis dans le silence, les observant plus méticuleusement. Alors

Scrimgeour arriva dans les limites de la lumiere des lanternes. Harry vit qu'il paraissait beaucoup plus

âgé que la dernière fois qu’ils s'étaient rencontrés, maigre et sinistre.

« Désolé pour intrusion, » dit Scrimgeour, alors qu’il boitait vers la table avant de faire une halte. «

Particulièrement alors que je me rand compte que j’interromps une fête. »

Ses yeux s’attarderent un moment sur le gateau en forme de pif.

« Meilleurs voeux. »

« merci, » dit Harry.

« J'ai besoin de te dire un mot en privé, » Continua Scrimgeour. « En outre avec M. Ronald Weasley

et Mlle Hermione Granger. «

« Nous ? » dit Ron, paraissant étonnét. « Pourquoi nous ? »

« Je vous le dirai lorsque nous serons dans un endroit plus privé, » dit Scrimgeour. « Y a-t-il un tel

endroit ? exigea-t-il a M. Weasley.

« Oui, naturellement, » dit M. Weasley, qui semblait nerveux. « , Heu, le salon, pourquoi ne pas

l’utiliser ? »

« Vous pouvez montrer le chemin, »dit Scrimgeour à Ron. "Vous n’aurez pas besoin de nous

acompagner, Arthur."

Harry vit Mr. Weasley echangé un regard inquiet avec Mme. Weasley alors que lui, Ron, et Hermione

se levaient. Pendant qu’il remontaient le chemin dela maison, Harry su que les deux autres pensaient

a la même chose que lui ; Scrimgeour devait, d’une façon ou d'une autre, appris qu’eux trois

projetaient se laisser tomber Poudlard.

Scrimgeour ne parla pendant qu'ils traversaient la cuisine tout sale et le salon du Terrier. Bien que le

jardin ait été plein de lumiere dorées du soir, il fesait deja sombre ici; Harry effleura de sa baguette

des lampes a huile pendant qu'il entrait et elles illuminerent la sale miserable mais confortable.

Scrimgeour s'assit dans le fauteuil affaissé normalement occupé par M. Weasley, laissant Harry, Ron,

et Hermione se serrer côte à côte sur le sofa. Une fois qu'ils furent tous installé, Scrimgeour parla.

« J'ai quelques questions pour vous trois, et je pense que se serait bien mieux si nous le faisons

individuellement. Si vous deux " -- il se dirigea vers Harry et Hermione -- « pouvez attendre en haut,

je commencerai par Ronald. »

« Nous n'allons nulle part, » dit Harry, alors qu’ Hermione inclinait la tête vigoureusement. « Vous

pouvez nous parler a nous ensemble, ou pas du tout. »

Scrimgeour lanca un regard à froid à Harry et l’évalua. Harry a eu l'impression que le ministre se

demandait à quel moment il ouvrirait les hostilités.

« Très bien alors, ensemble, » dit-il, gesticulant. Il se racla la gorge. « Je suis ici, je suis sûr que vous le

savez, en raison de la volonté d'Albus Dumbledore. »

Harry, Ron, et Hermione se regarderent l’un l’autre.

« Une surprise, apparemment ! Vous ne vous rendiez pas compte que Dumbledore vous avait laissé

quelque chose ? «

« Un…a nous trois ? » dit Ron, « moi et Hermione aussi ? »

« Oui, à vous tr…. »

Mais Harry l’interrompu.

« Dumbledore est mort il y a deja un mois. Pourquoi cela vous a-t-il pris tant de temps pour nous le

dire? “

“N’est ce pas evident?„ dit Hermione, avant que Scimgeour ait pu repondre. « Ils ont voulu examiner

ce qu’il nous a laissé. Vous n'aviez aucun droit de faire cela ! « dit-elle, sa voix tremblannt

légèrement.

« J'ai tous les droits, » dit Scrimgeour avec dedain. « Le décret de la Confiscation Justifiable donne au

ministère la pouvoir confisquer tout ce qu’il… »

« Cette loi a été créée pour arrêter des sorciers qui faisaient passé des objets du mal, » dit Hermione,

« et le ministère est censé avoir la preuve incontestable que les biens du défunt sont illégaux avant

de les saisir ! Ne ma dites pas que vous avez pu penser que Dumbledore quelque chose de mauvais ?

«

« Avez l’intention de poursuivre une carrière en Droit magique, Mlle Granger ? » demanda

Scrimgeour.

« Non, je n’en ai pas l’intention, » repliqua Hermione. « J'espère faire un certain bien dans le monde !

»

Ron ri. Les yeux de Scrimgeour cillerent vers lui et encore lorsque Harry pris la parole.

« Alors pourquoi avez-vous decidé de nous les remettre maintenant ? Vous n’avez pas reflechi a un

pretexte pour les garder ? «

« Non, c’st parce que le delai de trente et un jour est passé, » dit Hermione immédiatement. « Ils ne

peuvent pas garder ces objets plus longtemps à moins qu'ils se soient averés dangereux. N’est ce pas

? «

« Auriez vous dit que vous etiez proche de Dumbledore, Ronald ? » demanda Scrimgeour, ignorant

Hermione. Ron sembla effrayé.

« Je ? Pas -- pas vraiment… C'était toujours Harry qui… «

Ron regarda dans la direction de Harry et Hermione, pour voir Hermione lui adresser une sorte de «

arrete-de-parler-tout-de-suite » regard, mais le mal était deja fait ; Scrimgeour le regarda comme s'il

avait entendu exactement ce qu'il comptait entendre. Il sauta comme un oiseau de proie sur la

réponse de Ron.

« Si vous n'étiez pas très proche de Dumbledore, comment expliquez-vous le fait qu'il se soit souvenu

de vous dans son testament ? Il a fait exceptionnellement peu de legs personnels. La grande majorité

de ses possessions -- sa bibliothèque personnelle, ses instruments magiques, et d'autres effets

personnels -- ont été laissés à Poudlard. Dans quel but pensez-vous avoir été choisi ? «

« Sais pas je……, » dit Ron. « I… quand je dis nous n'étions proches… je veux dire, je pense qu’il

m’aimait bien… »

« Tu es modeste, Ron, » dit Hermione. « Dumbledore était vraiment affectueux avec toi. »

Ceci tirait la vérité a son point d’arrêt ; dans la mesure où Harry savait que, Ron et Dumbledore

n'avaient jamais été seuls ensemble, et les contact direct entre eux pouvaient se compter sur les

doigts d’une main. Cependant, Scrimgeour ne sembla pas écouter. Il a mis sa main à l'intérieur de son

manteau et en sortit une pochette en fourrure beaucoup plus grande que celle que Hagrid lui avait

donné. D’elle, il en tira un rouleau de parchemin qu'il déroula et a lu à haute voix.

« « La derniere volonté et le testament d'Albus Percival Wulfric Brian Dumbledore »… Oui, nous y

sommes… « À Ronald Bilius Weasley, je laisse mon « Deluminateur », dans l'espoir qu'il se rappelle

de moi quand il l’utilisera. » «

Scrimgeour pris du sac un objet que Harry avait deja vu avant : Il ressemblait a quelque chose près a

un briquet argenté brillant, mais il avait, il le savait, la pouvoir d’absorber toute la lumière d'un

endroit, et de la restitué, en un simple clic. Scrimgeour se pencha en avant et donna le Deluminateur

à Ron, qui le pris et le fi tourner entre ses doigts semblant abassourdi.

« C’est un objet de valeur, » dit Scrimgeour, observant Ron. « Il est peut etr même unique.

Certainement de la propre conception de Dumbledore. Pourquoi t’aurait-il laissi un objet si rare? «

Ron secoua la tête, semblant déconcerté.

« Dumbledore doit avoir enseigné à les milliers d'étudiants, »persista Scrimgeour . “Pourtant les

seules personnes dont il se souvient dans son testament c’est de vous trois. Pourquoi ça ? Quelle

utilisation pensait-il que vous en ferez, M. Weasley ? «

« Eteindre les lumières, j’suppose, » marmonna Ron. « Quoi d’autre pourrais-je en faire ? »

Évidemment Scrimgeour n'a eu aucune suggestion. Après avoir louché vers Ron pendant un moment

ou deux, il se tourna de nouveau vers la volonté de Dumbledore.

« « À Mlle Hermione Jean Granger, je laisse à mon exemplaire des « Contes de Beedle le barde »,

dans l'espoir qu'elle le trouvera amusant et instructif. » «

Scrimgeour retira a present du sac un petit livre qui semblait aussi antique que celui Des Secrets des

arts sombres resté en haut. Sa reluire était sale et écailée par endroits. Hermione le pris sans un mot

à Scrimgeour. Elle tint le livre par sa couverture et le regarda fixement. Harry a vu que le titre était en

runes ; il n'avait jamais appris à les lire. Pendant qu'il regardait, une larme éclaboussa les symboles

de relief.

« Pourquoi pensez vous que Dumbledore vous a laissé ce livre, Mlle Granger ? » demanda

Scrimgeour.

« Il… il savait que j'aimais les livres, « dit Hermione dans une pateuse, s'essuyant les yeux dans sa

manche.

« Mais pourquoi ce livre en particulier ? »

« Je ne sais pas. Il doit avoir pensé que je l'apprécierais. «

« Avez-vous deja discuté de code, ou de tout moyens pour transmettre des messages secrets, avec

Dumbledore ? »

« Non, jamais, » dit Hermione, continuant a s’essuyer les yeux dans sa manche.

. « Et si le ministère n'a trouvé aucun code caché dans ce livre en trente et un jours, je doute que j’y

parviendrai. »

Elle ecrasa une larme. Ils étaient sérré l’un contre l’autre tellement étroitement que Ron eu des

difficultés à extraire son bras pour le mettre autour des épaules de Hermione. Scrimgeour retourna

au testament.

« À Harry James Potter, » lut-il, et les entrailles de Harry de contracterent avec un soudain

excitement, » « je laisse le vif d’or qu'il a attrapé dans son premier match de Quidditch a Poudlard,

en rappele des recompenses de la perseverance et de l’habileté. » «

Alors que Scrimgeour retirait la miniscule sphere en or de la taille d’une noix, ses ailes argentées

s’agitèrent plutôt faiblement, et Harry ne pouvait pas s’empecher de definir le sens d’une chute (a

verifier.

« Pourquoi Dumbledore t’a-t-il laissé ce vif d’or ? » demande Scrimgeour.

« Aucune idée, » dit Harry. « Pour les raison que vous avez enumeré a haute voix, je presumme…

pour me rappeler ce qu’on peut obtenir si on… persévére et peu importe quoi d’autre. «

« Vous pensez danc que ceci est un simple souvenir symbolique ? »

« Je suppose oui, » dit Harry. « Qu’est ce pourrait etre d’autre ? »

« Je pose les questions, » dit Scrimgeour, décalant son fauteuil plus près du sofa. Le crépuscule

tombait vraiment a l’exterieur a present ; le chapiteau au delà des fenêtres dominait d’un balnc

fantomatique au dessus de la haie.

« J’ai remarqué que la forme de votre gateau d’anniversaire etait celle d’un vif-d’or (nb : et non pas

de pif dsl), » dit Scrimgeour à Harry. « Pourquoi ca ? »

Hermione eu un rire dérisoire.

« OH, ce n’est pas une reference que Harry est un grand attrapeur, c’est evident, » dit-elle. « Il doit y

avoir un message secret de Dumbledore caché dans le glaçage ! »

« Je ne pense pas qu'il y ait quelque chose de caché dans le glaçage, » dit Scrimgeour, « mais voyez

vous un vif d’or serait une très bonne cachette pour un petit objet. Vous savez pourquoi, je n’en

doute pas ? «

Harry gesticula, Hermione, cependant, répondi : Harry pensa que repondre correctement a une

question etait si profondement ancré en elle, qu’elle ne pourrait pas s’en debarrasser.

« Parce que les vifs d’or ont des mémoires de chair, » dit-elle.

« Quoi ? » dirent Harry et Ron ensemble ; tous deux consideraient la connaissance en Quidditch de

Hermione derisoire.

« Correct, » a dit Scrimgeour. « Un vif-d’or n’est pas toucher par une peau nue avant qu’il ne soit

libéré, ni par celui qui la fabriqué, même avec des gants. Il porte un enchantement grace auquel il

peut identifier le premier humain, qui l’a attrapé avec ses main, en cas de capture contestée. Ce vif

d’or" -- il pris la minuscule sphere en or -- « se rappellera de votre contact, Potter.

Ce que je ne comprends pas c’est pourquoi Dumbledore, qui a eu la compétence magique

prodigieuse, qui avait une prodigieue competence magique, aurrait pu ensorcellé ce vif d’or pour que

toi seul puisse l’ouvrir. »

Le coeur de Harry s’accelera. Il était sûr que Scrimgeour avait raison. Comment pouvait-il éviter de

prendre le vif d’or a main nue devant le ministre ?

« Vous ne dites rien, » dit Scrimgeour. "peut etre savez pourquoi ce que ce vif d’or contient"

"Non," dit Harry, se demandant encore comment faire semblant de prendre le vif d’or sans vraiment

le toucher. Si seulement il connaissait le Legilimencie, il le saveit il aurait pu lire l’esprit d’Hermione ;

il pourrait pratiquement entendre son cerveau siffler près de lui.

« Prenez-le, » dit Scrimgeour tranquillement.

Harry rencontra les yeux jaunes du ministre et su qu’il n’avait pas d’autre option que d’obeir. Il tendi

sa main, et Scrimgeour se pencha en avant encore et placa le vif d’or, lentement et délibérément,

dans la paume de Harry.

Rien ne s'est produit. Quand Harry referma ses doigts autour du vif d’or, ses ailes fatiguées s’agitant

faiblement encore. Scrimgeour, Ron, et Hermione continuérent à regarder fixement avide la boule

partiellement dissimulé à present, comme s’ils esperaient qu’il allait se transformer d’une maniere

ou d’une autre.

« C’est dramatique, » dit Harry d’une decontraction insolente. Ron et Hermione rirent.

«Ce sara tout maintenant n’est ce pas ? » demanda Hermione, au prises avec le sofa.

« Pas tout à fait, » dit Scrimgeour, qui avait un regard mauvais a present. « Dumbledore t'a laissé un

deuxième legs, Potter. »

« Qu’est ce que c’est ? » demanda Harry, reveillant son excitation.

Scrimgeour ne pris pas la peine de lire le reste du testament.

« L'épée de Godric Gryffindor, » dit-il. Hermione et Ron tous deux se raidirent. Harry rearda en

attendant un signe de la poignée incrsté de rubis, mais Scrimgeour ne retira l'épée de la poche en

cuir, qui semblait de toute facon trop petite pour la contenir.

« Alors ou est-elle ? » demanda Harry soupçonneux.

« Malheureusement, » dit Scrimgeour, « Il n’appartenait pas a Dumbledore de donner l’épée. L'épée

de Godric Griffondor est un objet artefact historique important, et comme telle, appartient--«

« Elle appartient à Harry ! » dit Hermione avec ferveur. « Elle l'a choisi, il était celui qui l'a trouvé, Elle

est venu à lui hors du choixpeau magique-- »

« Selon des sources historiques fiables, l'épée peut se présentée d’elle a n’importe qui de la maison

de Griffondor, » dit Scrimgeour. « Ce qui n’en fait pas la propriété exclusive de M. Potter, quoi que

Dumbledore ait pu décidé. « Scrimgeour a frotta sa joue mal rasée, examinant Harry. « Pourquoi

pensez-vous-? »

« -- que Dumbledore a voulu me donner l'épée ? » dit Harry, luttant pour garder son calme. « Peutêtre

il a pensé qu'elle ferait joli sur mon mur. »

« Ce n'est pas une plaisanterie, Potter ! » grogna Scrimgeour. « Était-il parce que Dumbledore croyai

que l’épée de Godric Griffondor pouvait detruire l’heritier de Serpentard ? Est-ce qu'il a souhaité te

donner cette épée, Potter, parce qu'il a cru, comme beaucoup, que tu est celui destiné a detruire

Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom ? «

« Théorie intéressante, » dit Harry. Quelqu’un a-t-il deja essayer d’enfoncer une épée dans

Voldemort? Peut-être que le ministère devrait mettre quelque personne sur le cou , au lieu de

perdre leur temps à demonter entierement des Deluminateurs ou a dissimuler les évasions

d'Azkaban. Ainsi c’est ce que vous essayiz de faire, ministre, enfermé dans votre bureau, essayant

d’ouvrir a tout prix un vif d’or? Des gens meurent – j’ai failli etre l’un d’entre eux - Voldemort m'a

poursuivit a travers trois region, a tué Maugrey Fol-Oeil, mais Y a-t-il eu un mot a ce sujet de la part

du ministere depuis lors? Et vous vous attendez à ce que je coopere avec vous ! «

« Vous allez trop loin ! » cria Scrimgeour , se levant : Harry sauta sur ses pieds aussi. Scrimgeour boita

vers Harry et enfoncé sa baguette magique violement dans sa poitrine ; Il brula légèrement le t-shirt

d’harry comme un trou de cigarette.

« Ohé ! » dit Ron, sautant sur pied et élevant sa propre baguette magique, mais Harry dit,

« non ! Veux tu vraiment lui donner une excuse pour nous arreter ? «

« Vous vous etes souvenu que vous n’etiez plus l’ecole, n’est ce pas ? » dit Scrimgeour son souffle

dur dans le visage de Harry. « vous vous etes souvenu que je ne suis pas Dumbledore, qui a pardonné

votre insolence et insubordination ? Vous pouvez porter cette cicatrice comme une couronne, Potter,

mais il n'appartient pas à un garçon de dix sept ans de me dire comment faire mon travail ! Il est

temps pour d’apprendre ce qu’est le respect ! «

« Il serait temps que vous le meritiez. » dit Harry.

Le plancher trembla ; il y eu un bruit de pas preceipités, puis la porte du salon s’ouvrit a la volée et

M. et Mme. Weasley entrèrent.

« Nous --- nous avons pensé entendre -- » commenca M. Weasley, regardant complètement alarmé

de Harry et le ministre pratiquement nez a nez.

“- des voies s’elevaient,„ haleta Mme Weasley.

Scrimgeour recula deux pas de Harry, jetant un coup d'oeil sur le trou qu'il avait fait dans le T-shirt de

Harry. Il semblaa regretter la perte de son sang froid.

« Ce .. ce n’est rien, » grogna-t-il. « Je deplore… votre attitude, » dit-il, regardant Harry dans les yeux

une fois de plus. « Vous semblez penser que le ministère ne desire ce que vous -ce que Dumbledoredesirait.

Nous devons travailler ensemble. «

« Je n'aime pas vos méthodes, M. le ministre, »dit Harry. « Vous vous en souvenez ? »

Pour la deuxième fois, il a souleva son poing droit et montra à Scrimgeour la cicatrice qui montrait

toujours sur le dos de sa main, l’expression « je ne dois pas dire de mensonge ». Le visage de

Scrimgeour se durci. Il se tourna sans dire un mot et boita dans la salle. Mme. Weasley se dépêcha

après lui ; Harry entendi son arret a la porte de derriere. Après quelques minutes elle signala , « il est

parti ! »

Que voulait-il ? « demanda M. Weasley , regardant tour a tour Harry, Ron, et Hermione alors Mme.

Weasley se precipitait de nouveau à eux.

« Nous donner ce que Dumbledore nous a léguer, » dit Harry. « Ils nous a juste revelé le contenu de

sa volonté. »

A l'extérieur dans le jardin, au-dessus des tables de dîner, les trois objets que Scrimgeour leur avait

donné passé de main en main. Chacun se prononcant sur le Deluminator et « des contes de Beedle le

barde » et déplora le fait que Scrimgeour avait refusé de donner l’épée, mais aucun de eux ne

trouvant une explication valable sur la raison pour laquelle Dumbledore avait laissé a Harry un vieux

vif d’or. Comme M. Weasley examinait l’Etegnoir pour lla troisieme fois sur quatre, Mme. Weasley dit

à titre d'essai, « Harry, mon cheri, chacun de nous est terriblement affamé et nous n'avons pas aimé

commencer sans toi… Je sers le dîner maintenant ? »

Ils mangerent tous à la hâte et une chanson precipitée de « joyeux anniversaire » et beaucoup

d'engloutissement de gâteau, la soirée se termina. Hagrid, qui avait été invité au mariage le jour

suivant, mais qui était trop encombrant pour passer la nuit au Terrier deja competement occupé, vit

se faire construire une tente pour lui tout seul dans le terrain voisin.

« On se voit la haut, » chuchota Harry à Hermione, alors qu'ils aidaient Mme. Weasley à remmetre le

jardin dans son etat normal. « Après que tout le monde soit allé au lit. »

De retour dans sa chambre au granier, Ron examina son Eteignoir, et Harry rempli la bourse du

Peubouricot de Hagrid, pas avec de l'or, mais avec des objets qui lui étaient chers, apparement sans

valeur bien que certains d'entre eux aient été la carte du maraudeur, le morceau du miroir enchanté

de Sirius, et le medaillon de R.A.B. Il tira fortement sur la corde et glissa la bourse autour de son cou,

puis s’assit tenant le vif d’or et regardent ses ailes qui battaient faiblement. Enfin, Hermione tapa à la

porte et avanca sur la pointe des pieds à l'intérieur.

« Muffiato, » chuchota-t-elle, agitant sa baguette magique en direction des escaliers.

« pensais que tu n’aprouvais pas ce sort ? » dit Ron.

« Les temps changent » dit Hermione. « Maintenant, montre-nous cet Eteignoir. »

Ron s’executa immédiatement. Le Tenant haut devant lui, il cliqua. La seule lampe qui était allumée

s’éteind.

« Le truc c’est que, » chuchota Hermione dans l'obscurité, « on aurait pu egalement faire ca avec la

Poudre Peruvienne Instantanée d’obscurité. »

Il y eu un petit clic, et la boule de la lumière de la lampe vola de nouveau au plafond et elle les

illumina tous une fois de plus.

« C’est quand même cool, » dit Ron, un peu sur la défensive. « Et de ce qu'ils ont dit, Dumbledore l'a

inventé lui-même ! »

« Je sais mais, sûrement qu’il n’aurait pas mis sa dans sa volonté juste pour nous aider à etteindre les

lumières ! »

« Tu crois qu’il savait que le Ministere nous confisquerait ce qu’il nous a laissé dans le but de les

examiner ? » Harry demandé.

« Certainement, » dit Hermione. « Il ne pouvait pas nous dire dans son testament pourqui il nous

laissé ces choses, mais ça n'explique pas… »

« … pourquoi il ne nous l’a pas dit quand il était vivant ? »demanda Ron.

« et Bien oui, exactement, » dit Hermione, effleurant maintenant « les contes de Beedle le barde ». «

Si ces choses sont assez importantes pour passer sous le nez du ministere, on pourrait penser qu’il

nous a laisser a nous la charge de savoir pourquoi… à moins qu'il ait pensé que c’etait évident ? »

« Alors il a mal pensé, n’est ce pas ? » dit Ron. « J’ai toujours dit qu’il perdait la boule. Brillant et tout,

mais cinglé. Laisser à Harry un vieux vif d’or – que diable cela signifie? «

« J’en n'ai aucune idée, » dit Hermione. « Quand Scrimgeour te l’a fait prendre, Harry, j'étais si sûr

que quelque chose allait se produire ! »

« Ouais, bien, » dit Harry, son poul s’accelerant pendant qu'il levait le vif-d’or entre ses doigts. « Je

n'allais pas essayer de me forcer devant Scrimgeour ? »

« Que veux-tu dire ? » demanda Hermione.

« Le vif-d’or que j'ai attrapé durant mon premier match de Quidditch ? » dit Harry. « Vous ne vous

rappelez pas ? »

Hermoine le regarda simplement stupéfaite. Ron, cependant, haleta, pointa tour a tour le vif d’or et

Harry a toute vitesse et encore jusqu’à ce qu’il retrouve sa voie.

« C’est celui que ta presque avaler ! »

« Exactement, » dit Harry, et son coeur battant rapidement, il serra le vif- d’or dans sa bouche.

Il ne s’ouvrit pas. L'anéantissement et la déception amère ont jaillirent en lui: Il abaissa la sphère

d'or, mais alors Hermione s’ecria.

« l’Écriture ! Là c’est écrit dessus, vite, regardes ! « Il avait presque laissé tomber le vif d’or dans la

surprise et l'excitation. Hermione avait tout a fait raison. Gravé sur la surface d'or douce, où

quelques lsecondes auparavant qu'il n'y avait rien, étaient écrits cinq mots dans l'écriture mince et

inclinée que Harry identifié comme celle de Dumbledore :

« j’ouvre a la fermeture ». (meilleur taduc svp?? I open at the close)

Il les avait à peine lus quand les mots disparurent.

« J’ouvre a la fermeture…. » Qu'est-ce que c'est censé signifier ? «

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ben, merci bcp pour ta traduc

Mais je verrais plutot

"j'ouvre lorsque tout se ferme..."

A toi de voir mnt

bye et continue ^-

Anonyme a dit…

Je verrai plutot "Je m'ouvre au terme.". Enfin c'est ce qu'il y a dans la version française.