mardi 24 juillet 2007

Harry Potter et les reliques de la mort

Chapitre 1

La montée du seigneur des ténèbres

L

es deux hommes apparurent de nulle part, à quelques mètres l’un de l’autre, dans une ruelle étroite éclairée par la lune. Pendant une seconde, ils restèrent immobiles chacun pointant sa baguette sur l’autre. Puis, se reconnaissant, ils rangèrent leurs baguettes sous leurs manteaux et commencèrent à marcher dans la même direction.

- « Des nouvelles ? » demanda le plus grand des deux.

- « Des bonnes. » répondu Severus Rogue.

La ruelle était longée du coté gauche pas des buissons bas de mûres sauvages et du coté droit par une haute haie taillée de manière ordonnée. Les longs manteaux des hommes s’agitaient autour de leurs chevilles tandis qu’ils marchaient.

« J’ai bien failli être en retard, » dit Axley, son visage apparaissant et disparaissant au gré des branches d’arbres le surplombant qui rompait le clair de lune.

- « Il était un peu plus rusé que je ne l’avais prévu. Mais j’espère qu’il sera satisfait. Êtes vous sur d’être le bienvenu ?

Rogue inclina la tête mais ne répondit rien. Ils tournèrent à droite dans une large rue à la sortie de la ruelle. La haute haie tourna avec eux pour s’éloigner jusqu’ a un impressionnant portail en fer forgé.

Aucun des deux ne cessa d’avancer, ils levèrent leurs bras gauche en silence dans une espèce de salut et passèrent à travers le portail comme si c’était de la fumée.

Les haies d’if insonorisaient les bruits de leurs pas. Il y eu un bruissement à leur droite,

Axley sorti sa baguette et la pointa au dessus de la tête de son compagnon, mais il s’avéra que la source du bruit n’était qu’un paon qui se pavanait sur le dessus de la haie.

Axley remit sa baguette sous son manteau en reniflant.

Un somptueux manoir apparu quand une voiture l’éclaira, les fenêtres brillait sous la lumière. Quelque part dans le sombre jardin, au delà de la haie, une fontaine coulait. Les graviers crépitaient tandis que Axley et Rogue avançaient vers la porte principale, qui s’ouvrit a leur approche, bien que personne ne l’ai ouverte.

Le vestibule était grand, vaguement éclairé et somptueusement décoré avec un tapis couvrant presque toute le carrelage. Les portraits pâles accrochés au mur suivirent des yeux Rogue et Axley lorsqu’ils passèrent devant à grands pas. Les deux hommes s’arrêtèrent devant une grosse porte en bois donnant sur la pièce suivante, hésitèrent l’espace d’un battement de coeur, puis Rogue tourna la poignée de bronze.

Le salon était plein de gens silencieux, assis à une longue table ornée. Les meubles habituels de la pièce avaient étaient poussés négligemment contre le mur. La lumière venait d’un feu brulant dans une belle cheminée de marbre surmontée par un miroir doré. Rogue et Axley restèrent un instant sur le seuil. Leurs yeux s’habituant au manque de lumière, ils remarquèrent la chose la plus étrange de la scène : au dessus de la table, un corps humain apparemment inconsciente tournait lentement comme si elle était suspendue à une corde invisible et se reflétait dans le miroir et dans la surface polie de la table. Aucune des personnes présentes ne prêtait attention à cette scène singulière à part un jeune homme pale placé presque juste en dessous. Il semblait incapable de regarder vers le haut à chaque minute qui

passait.

- « Axley. Rogue, » dit une voix haute et claire qui venait du bout de la table. « Vous êtes presque en retard. »

L’orateur était assis directement devant la cheminée, c’est pourquoi il était difficile pour les nouveaux arrivants de discerner plus que sa silhouette. Cependant, s’étant rapprochés, ils virent se dessiner son visage qui brillait dans les ténèbres, il ressemblait a un serpent, chauve, des fentes à la place des narines et des yeux rouges luisants aux pupilles verticales. Il était si pale qu’il semblait émettre un aura nacré.

- « Severus, ici, » dit Voldemort en montrant le siège à sa droite. « Axley, à coté de

Dolohov. »

Les deux hommes prirent place. La plupart des yeux autour de la table suivirent

- Rogue et c’est à lui que Voldemort s’adressa en premier.

- « Alors ? »

- « Mon Seigneur, l’ordre du phénix à l’intention de déplacer Harry Potter de l’endroit où il se trouve actuellement Samedi prochain à la tombée de la nuit. »

L’intérêt que la conversation suscitait autour de la table était palpable, certains se sont raidis, d’autres ont remuée, mais tous regardaient Rogue et Voldemort.

- « Samedi… à la tombée de la nuit, » répéta Voldemort. Il fixa ses yeux rouges sur les yeux noirs de Rogue avec une telle intensité que certains observateurs eurent peur d’être eux même roussis par la férocité du regard. Rogue, cependant, regardait calmement le visage de Voldemort et, après un moment, la bouche sans lèvres de

Voldemort se tordit dans une sorte de sourire.

- « Bon. Très bon. Et ces informations viennent… »

- « … de la source dont nous avons discutés, »

- « Mon Seigneur » Axley s’était penché en avant pour regarder Voldemort et Rogue.

Tous les visages se tournèrent vers lui.

- « Mon Seigneur, je n’ai pas entendu la même chose. »

Axley attendit mais Voldemort ne parla pas, il continua :

- « Dawlish, l’auror, a laissé entendre que Potter ne serait pas déplacé avant le 30, la nuit de ses 17 ans. »

Rogue souriait.

- « Ma source m’a averti qu’il y aurait des fausse pistes rependus, ça doit en être une.

Un charme de confusion a sans doute été utilisé sur Dawlish. Ce ne serait pas la première fois, il est connu pour être susceptible. »

- « Je vous assure, Mon Seigneur, Dawlish semblait complètement certain, » dit Axley.

- « Si il a subit un sort de confusion, il est normal qu’il en soit certain. » dit Rogue.

- « Je vous l’assure Axley, le bureau des aurors ne prendra pas parti a la protection de

Harry Potter. L’Ordre croit que nous avons infiltré le Ministère. »

- « L’Ordre a donc obtenu des droits, hein ? » dit un homme courtaud assis près de

Axley. Il poussa un léger rire qui se répercuta le long de la table.

Voldemort ne ri pas. Son regard avait erré sur le corps qui tournait lentement au dessus de la table et il semblait être perdu dans ses pensées.

- « Mon Seigneur, » continua Axley, « Dawlish croit qu’une grande partie des aurors sera utilisé pour le transfert du garçon… »

Voldemort leva une grande main blanche et Axley s’assis immédiatement, regardant amèrement Voldemort se tourner vers Rogue.

- « Où vont-ils cacher le garçon ensuite ? »

- « Chez un membre de l’ordre, » dit Rogue. « L’endroit, selon la source, sera doté de toutes les protections que peuvent lui apporter l’Ordre et le Ministère réunis. Je pense qu’il y a peu de chances de l’avoir là-bas, Mon Seigneur, à moins que, bien sur, le

Ministère soit tombé avant Samedi prochain, ce qui nous permettrait de découvrir et de désactiver assez de sortilèges pour passer à travers les autres.

- « Bien, Axley ? » appela Voldemort, la lueur du feu brillant étrangement dans ses yeux rouges.

- « Le Ministère sera-t-il tombé Samedi prochain ? » De nouveau, toutes les têtes se tournèrent.

Axley haussa les épaules.

- « Mon Seigneur, j’ai de bonnes nouvelles à ce propos. J’ai, avec difficulté et beaucoup d’efforts, réussi à placer Pius Thicknesse sous l’emprise de l’Imperium. »

Beaucoup de ceux assis autour de Axley paraissaient impressionnés. Son voisin,

Dolohov, un homme avec une longue figure tordue, lui donna une tape dans le dos.

- « C’est un début, » dit Voldemort. « Mais Thicknesse n’est qu’un homme. Scrimgeour doit être entouré des nôtres avant que je n’agisse. Un attentat raté sur la vie du

Ministre me ramènerait longtemps en arrière.

- « Oui, Mon Seigneur, c’est vrai. Mais vous savez, à la tête du Département d’Application de la Loi, Thicknesse à régulièrement des contacts non seulement avec le Ministre mais aussi avec les chefs de tous les autres départements du

Ministère. Cela, je pense, sera facile maintenant que nous contrôlons des fonctionnaires de haut rang, de contrôler les autres et de les faire travailler ensemble pour abattre Scrimgeour.

- « Tant que notre ami Thicknesse n’est pas découvert avant d’avoir converti les autres, » dit Voldemort. « En tout cas, il est peu probable que le Ministère soit tombé avant Samedi prochain. Si nous ne pouvons toucher le garçon à sa destination, alors il faudra le faire pendant qu’il voyage. »

- « Nous avons un avantage, Mon Seigneur, » dit Axley, qui semblait décidé à recevoir une approbation. « Nous avons maintenant plusieurs personnes infiltrées au

Département des Transports Magiques. Si Potter transplane ou utilise le réseau de cheminés, nous le saurons immédiatement.

- « Il ne le fera pas, » dit Rogue. ‘L’Ordre évite n’importe quelle forme de transport contrôlée ou régulée par le Ministère. Ils ne font confiance a rien ni personne pour ce qui concerne l’endroit. »

- « Tant mieux, » dit Voldemort. « Il devra se déplacer à découvert. Il sera plus facile de l’avoir de loin. »

De nouveau, Voldemort avait levé les yeux sur le corps qui tournait lentement puis repris :

- « J’attaquerais le garçon en personne. Il y à eu trop d’erreur où Harry Potter est concerné. Certaines sont de ma faute. Que Potter vive est plus due à mes erreurs qu’à ses victoires.

La compagnie autour de la table regardait Voldemort avec appréhension, chacun d’entre eux, d’après leurs expressions, avaient peur d’être blâmé pour l’existence continue d’Harry Potter. Voldemort, cependant, semblait s’adresser plus a lui-même qu’à n’importe lequel d’entre eux, regardant toujours le corps inconscient qui tournait au dessus de lui.

- « J’ai été négligent, et tout a été contrecarré par la chance, tous mes plans sauf le mieux organisé qui a permis mon retour. Mais j’ai compris maintenant. Je comprends ces choses que je ne comprenais pas auparavant. Je dois être celui qui tuera Harry

Potter et je le serais. »

En réponse à ces mots, un gémissement soudain a retenti, un cri épouvantable, un cri de peine et de douleur. Beaucoup autour de la table parurent effrayés car le son semblait provenir de sous leurs pieds.

- « Queudver, » dit Voldemort, en restant calme, pensif et sans détourner les yeux du corps qui tournait au dessus.

- « Ne-t-avais je pas demander de garder notre prisonnier calme ? »

- « S-Si, Mon Seigneur, » haleta le petit homme au milieu de la tables, assis si bas dans sa chaise que l’on aurait pu la croire inoccupée. Il se leva et laissa derrière lui une étrange trainée argentée en quittant précipitamment la pièce.

- « Comme je le disait, » continua Voldemort, en regardant le visage tendu de ses mangemorts, « Je comprend mieux maintenant. J’aurais besoin d’emprunter une baguette à l’un d’entre vous avant d’aller tuer Potter. »

Les visages autour de lui ne montrait rien mais ils étaient choqués, il venait d’annoncer qu’il voulait emprunter une de leurs armes.

- « Aucun volontaire ? » demanda Voldemort.

- « Voyons… Lucius, Je ne vois aucune raison pour toi d’avoir une baguette désormais. »

Lucius Malefoy leva les yeux. Sa peau apparaissait jaunâtre et cireuse dans la lueur du feu, et ses yeux étaient larmoyants. Quand il parla sa voix était rauque.

- « Mon Seigneur ? »

- « Ta baguette, Lucius. Donne-moi ta baguette. »

- « Je… »

Malefoy regarda sa femme. Elle regardait fixement droit devant, aussi pâle que lui, ses longs cheveux blonds tombant en bas de son dos, mais en dessous de la table,

elle tenait la main de Lucius.

A son contact, il mit la main sous sa robe et sorti sa baguette pour la faire passer a

Voldemort qui la leva devant ses yeux rouges pour l’examiner de près.

- « En quoi est-elle ? »

- « En orme Mon Seigneur, » chuchota Malefoy

- « Et le coeur ? »

- « Dragon, veine de dragon. »

- « Bien, » dit Voldemort. Il sorti sa baguette et compara la longueur. Lucius Malefoy eu un geste involontaire, pendant une fraction de seconde, il sembla qu’il s’attendait à recevoir la baguette de Voldemort en Echange de la sienne. Ce geste n’échappa pas à Voldemort dont les yeux s’élargirent de fureur.

- « Tu veux ma baguette, Lucius ? Ma baguette ? »

Quelques personnes rirent discrètement.

- « Je t’ai rendu ta liberté, Lucius, ce n’est pas assez pour toi ? Mais j’ai remarqué que vous et votre famille étaient moins heureux qu’avant… Est-ce ma présence dans ta maison qui te dérange,

- Lucius ? »

- « Non, non Mon Seigneur ! »

- « Tu ne sais pas mentir, Lucius… »

La voix douce sembla siffler alors que la bouche cruelle avait arrêté de bouger. Un ou deux sorciers ne purent réprimer un frisson quand le sifflement devint plus fort, on pouvait entendre quelque chose de lourd glissant sur le plancher, sous la table.

L’énorme serpent apparu et commença à grimper sur le siège de Voldemort. Il eu l’air de monter indéfiniment et finit par rester sur les épaules de Voldemort : son cou était aussi gros que la cuisse d’un homme et ses yeux avec des fentes verticales pour pupilles semblait imperturbables. Voldemort commença à caresser distraitement la créature avec ses longs doigts minces, sans quitter Lucius Malefoy des yeux.

- « Pourquoi les Malefoy semblent ils si malheureux ? Mon retour, ma montée au pouvoir, n’est ce pas ce qu’ils ont prétendu attendre pendant tant d’années ? »

- « Bien sur, Mon Seigneur, » dit Lucius Malefoy. Sa main tremblant tandis qu’il essuyait la sueur de sa lèvre supérieure. « Nous l’avons vraiment désiré, nous le désirons encore. »

A la gauche de Malefoy, sa femme fit un signe de tête étrange et raide sans cesser de fixer Voldemort et le serpent. A sa droite, son fils, Drago, qui regardait le corps tournant, jeta un coup d’oeil rapide a Voldemort et détourna vite la tête par peur d’un contacte visuel.

- « Mon Seigneur, » dit une femme dans l’ombre vers le milieu de la table, sa voix serrée par l’émotion,

- « C’est un honneur de vous avoir ici, dans la maison de notre famille. Il ne peut pas y avoir de plus grand plaisir. »

Elle était assise à coté de sa soeur, mais ne lui ressemblait pas, avec ses cheveux brun et ses yeux aux paupières lourdes, elle n’avait pas non plus le même comportement. Narcissa était assise, rigide et impassible, Ballatrix penchait vers

Voldemort, car de simples mots ne pouvait pas démontrer son désir de proximité.

- « Pas de plus grand plaisir, » répéta Voldemort, sa tête inclinée de coté tandis qu’il considéré Bellatrix.

- « Cela signifie beaucoup pour vous, Bellatrix. »

Son visage s’inonda de couleurs et des larmes de plaisir lui montèrent aux yeux.

- « Mon Seigneur sait que je ne lui dit que la vérité ! »

- « Pas de plus grand plaisir… même comparé avec l’événement heureux que, j’ai entendu dire, a eu lieu dans votre famille cette semaine ? »

Elle le regardait fixement, la bouche ouverte, apparemment confondue.

- « Je ne voie pas de quoi vous parlez, Mon Seigneur. »

- « Je parle de ta nièce, Bellatrix. De la vôtre également, Lucius et Narcissa. Elle vient de se marier avec le loup-garou, Remus Lupin. Vous devez être si fiers. »

Il y eu une éruption de rires et de railleries autour de la table. Plusieurs personnes se penchaient en avant pour échanger des regards jubilatoires, d’autres tapaient des poings sur la table. Le serpent géant, n’aimant pas l’agitation, ouvrit sa large gueule et siffla de colère, mais les Mangemorts ne l’entendirent pas tellement ils riaient de l’humiliation de Bellatrix et des Malefoy.

Le visage de Bellatrix, si récemment rayonnant de bonheur devint triste et rouge.

- « Elle n’est pas notre nièce, » cria Bellatrix pour couvrir l’hilarité générale ?

- « Narcissa et moi n’avons eu aucun contact avec notre soeur depuis qu’elle a épousé ce sang-de-bourbe. Cette morveuse n’a rien à voir avec nous, ni l’animal qu’elle a épousé. »

- « Qu’est-ce-que tu dis Drago ? » demanda Voldemort qui, bien que sa voix soit calme, couvrit le tumulte des rires.

- « Garderez-vous les petits ? »

L’hilarité monta encore, Drago Malefoy regarda son père avec terreur, celui-ci avait les yeux baissés vers ses genoux, il regarda ensuite sa mère qui, l’espace d’un battement de coeur paru choquée avant de reprendre son air inexpressif en fixant le mur d’en face.

- « Assez, » dit Voldemort, caressant le serpent en colère. « Assez. »

Et les rires moururent immédiatement.

- « Beaucoup de nos arbres généalogiques les plus ancien deviennent malades avec le temps, » dit-il alors que Bellatrix le regardait, implorante.

- « Vous devez élaguer le votre, ne devez vous pas, le garder sain ? Il faut couper ses parties qui menacent la santé du reste de la famille. »

- « Oui, Mon Seigneur, » chuchota Bellatrix, ses yeux remplis de larmes de gratitude.

- « A la première occasion ! »

- « Vous l’aurez, » dit Voldemort

- « Et dans votre famille, ainsi que dans le monde entier, nous couperons l’ulcère qui nous infect jusqu'à ce que seul le Sang-Pur reste… »

Voldemort leva la baguette de Lucius Malefoy et la pointa sur le corps tournant suspendu au dessus de la table, il agita légèrement la baguette. Le corps se réveilla avec un gémissement et commença à lutter contre des liens invisibles.

- « Reconnaissez-vous notre invité, Severus ? » demanda Voldemort.

Rogue leva les yeux vers le corps. Tous les Mangemorts levaient les yeux maintenant qu’on leur avait donné la permission de se montrer curieux. Au moment ou elle fit face à la lueur du feu, la femme dit d’une voix terrifiée : « Severus ! Aide-moi ! »

- « Oh, oui, » dit Rogue tandis que la prisonnière continué de tourner.

- « Et toi, Drago ? » demanda Voldemort, caressant le museau du serpent avec sa main libre. Drago secoua la tête en signe de négation. Maintenant que la femme était réveillée, il semblait incapable de la regarder.

- « Mais, il est vrai que tu n’as pas suivi sa classe, » dit Voldemort.

- « Pour ceux d’entre vous qui ne la connaisse pas, notre invitée ce soir est Charity

Burbage qui, jusqu'à récemment, enseignait à l’école de sorcellerie de Poudlard.

Il y eu des murmures de compréhension autour de la table. Une femme large, bossue, avec des dents dans tout les sens caqueta :

- « Oui… Le professeur Burbage apprend aux enfants de sorciers que les Moldus de sont pas si différents de nous… »

Un Mangemort cracha sur le sol. Charity Burbage tourna pour faire face à Rogue de nouveau.

- « Severus… S’il vous plait… S’il vous plait… »

- « Silence, » dit Voldemort, il fit un autre mouvement avec la baguette magique de

Malefoy et Charity se tut, comme bâillonnée.

- « Non contente de corrompre et polluer l’esprit des jeunes sorciers, la semaine dernière, le professeur Burbage, a écrit un article passionné sur la défense des

Moldus dans la Gazette du Sorcier. Les sorciers, dit-elle, doivent accepter le vol de leurs connaissances de la magie. La diminution du Sang-Pur est, dit le professeur

Burbage, une heureuse circonstance… Elle pourrait tous nous rendre amis avec les

Moldus… Où, sans doute, avec les Loups-garous… »

Personne ne ria cette fois. Il n’y avait aucun doute sur la colère et le mépris de

Voldemort dans sa voix. Pour la troisième fois, Charity Burbage Tourna et fit face a

Rogue. Les larmes coulaient de ses yeux dans ses cheveux. Rogue lui jetait un regard impassible, elle s’était retournée à nouveau.

- « Avada Kedavra »

Le flash de lumière verte illumina chaque coin de la pièce. Charity tomba sur la table dans un fracas retentissant. Plusieurs Mangemorts reculèrent leur chaise. Drago tomba de la sienne pour finir par terre.

- « Ton dîner, Nagini, » dit doucement Voldemort, et le grand serpent glissa de ses épaules sur le bois poli de la table.

Chapitre 2 : En Mémoire

H

Arry saignait. Serrant sa main droite dans sa main gauche et jurant dans son souffle, il ouvrit d’un coup d’épaule la porte de sa chambre. Il y eut un bruit de porcelaine brisée : il venait de marcher sur une tasse de thé froid, posée sur le sol devant la porte de sa chambre.

- « Qu’est-ce que … »

Il regarda autour de lui ; le palier du 4, Privet Drive, était désert. La tasse de thé devait probablement être l’idée subtile de Dudley. Gardant sa main saignante levée, Harry ramassa les morceaux de tasse avec l’autre main et les jeta dans la poubelle déjà pleine à craquer juste à l’entrée de sa chambre. Il marcha ensuite jusqu’à la salle de bain pour mettre son doigt sous le robinet d’eau.

C’était stupide, injustifié, plus irritant qu’il ne l’aurait cru, d’avoir encore quatre jours à passer avant d’être capable de pouvoir pratiquer la magie … mais il devait admettre à lui-même que cette coupure dans son doigt allait la compromettre.

Il n’avait jamais appris comment guérir les blessures, et maintenant il venait d’y penser – comme éclairé par ses pensées – cela semblait être une grosse lacune dans son éducation magique. Notant mentalement de demander à Hermione comment c’était possible, il utilisa un large morceau de papier toilette pour éponger autant de thé que possible, avant de retourner dans sa chambre en claquant la porte derrière lui.

Harry avait passé la matinée à vider complètement sa malle d’école, pour la première fois depuis qu’il l’avait faite, six ans plus tôt. Au début des années d’étude, il se contentait simplement d’évacuer les trois quarts du contenu et de le remplacer ou de le mettre à jour, laissant plein de débris dans le fond du coffre – de vieilles cannettes, des yeux disséqués de coléoptères, une chaussette célibataire,

...

Quelques minutes plus tôt, Harry venait de plonger sa main dans ce fouillis, quand il ressentit une douleur poignardante sur le quatrième doigt de sa main droite, qu’il retira, pour découvrir une tonne de sang.

Il agissait maintenant un peu plus prudemment. A genoux près du coffre, il cherchait à tâtons au fond de celui-ci et, après avoir retrouvé un vieux badge qui clignotait faiblement entre VIVE CEDRIC DIGGORY et A BAT POTTER, un criquet, un Sneakoscope complètement usé et un médaillon d’or signé « R.A.B », il découvrit finalement le morceau pointu qui venait de le blesser. Il le reconnut immédiatement : c’était un morceau long de deux pouces, partie du miroir enchanté que Sirius, son parrain disparu, lui avait donné. Harry le posa sur le côté et continua à chercher dans la grosse malle de bois avec précaution, mais il ne trouva rien d’autre du dernier cadeau de son parrain, à l’exception d’un peu de verre en poudre, qui, accroché à la couche la plus profonde de débris, scintillait.

Harry s’assit et exmaina le morceau entaillé avec lequel il venait de se couper, ne voyant rien de plus que le reflet de ses yeux verts. Il mit ensuite le fragment sur La Gazette du Sorcier du matin même, qui reposait sur le lit sans avoir été encore lue, et il essaya de contenir le flux soudain d’amers souvenirs, les regrets et la nostalgie que la découverte du miroir cassé avait provoqué en lui. Il s’attaqua au reste des ordures présentes dans la malle. Cela prit encore une heure pour la vider complètement, jeter les choses inutiles et classer tout ce qu’il restait dans des piles, selon ce qu’il aurait encore besoin ou non. Les uniformes de l’école et de Quidditch, la bouilloire, les parchemins, les plumes et la majorité des livres d’école furent empilés dans un coin, pour être laissés de côté. Il se demanda ce que son oncle et sa tante feraient avec eux ; les brûler tard dans la nuit probablement, comme s’ils étaient la preuve d’un quelconque crime horrible. Ses vêtements moldus, sa cape d’invisibilité, son matériel pour favriquer des potions, quelques livres, l’album photos que Hagrid lui avait une fois offert, une pile de lettres et sa baguette, le tout venait d’être emballé récemment dans un vieux sac à dos.

Dans une poche avant se trouvait la Carte du Maraudeur et la reliquaire avec la note signée « R.A.B ».

Cette reliquaire avait reçu cette place d’honneur non pas pour sa valeur – il était complètement inutile pour quoi que ce soit – mais surtout vu ce qu’il lui avait coûté pour l’obtenir.

Il restait une pile considérable de journaux sur son bureau, à côté de Hedwige : un journal par jour que Harry a passé à Privet Drive durant l’été. Il se releva, s’étira et se dirigea vers son bureau.

Hedwige ne bougea pas lorsqu’il commença à déchirer les journaux, en les jetant aux ordures un à un. La chouette était endormie, ou faisait semblant ; elle était fâchée contre Harry vu le temps limité qu’elle a pu passer hors de sa cage. Alors qu’il arrivait à la fin de la pile de journaux, Harry ralentit, cherchant en particulier une édition qui, il le savait, était arrivée un court moment après son retour à

Privet Drive pour l’été ; il se souvint qu’il y avait eu une petite note sur la page principale à propos de l’abandon de Charity Burbage, le Professeur d’Etude des Moldus à Poudlard. Il le trouva enfin. Allant

à la page dix, il s’appuya à sa chaise de bureau et relut l’article qu’il cherchait.

Souvenirs d’Albus Dumbledore, par Elphias Dodge

J’ai rencontré Albus Dumbledore à l’âge d’onze ans, lors de notre premier jour à Poudlard. Notre attirance mutuelle était indéniable, due au fait que nous nous sentions tous les deux comme des étrangers. J’avais contracté pour ma part la fièvre du dragon peu avant mon arrivée à l’école, et même si je n’étais plus contagieuse, mon visage piqué et la couleur verte n’encourageaient pas beaucoup de gens à m’approcher. Pour sa part, Albus était arrivé à Poudlard avec le lourd fardeau d’une notoriété non souhaitée. Une année auparavant, son père, Percival, avait été condamné pour une attaque très plébicitée contre trois jeunes Moldus. Albus n’a jamais essayé de nier que son père (qui est mort à Azkaban), avait commis ce crime ; au contraire, quand j’ai pris mon courage à deux mains pour lui demander, il m’a assuré qu’il savait que son père était coupable. Indépendamment de ça, Dumbledore refusait de parler de cette sale affaire, bien que beaucoup aient essayé de le faire parler. Certains même, disaient qu’il faisait l’éloge de l’action de son père et ont assuré que Albus, aussi, était un anti-Moldus. Ils ne pouvaient pas avoir plus faux : comme n’importe qui qui connaît

Albus pourra dire pareil, il n’a jamais eu aucune tendance anti-Moldu. De plus, son soutien déterminé aux droits Moldus lui a apporté beaucoup d’ennemis au fil des années suivantes. Au cours des mois, par contre, la célébrité d’Albus a dépassé celle de son père. A la fin de sa première année, il ne voulait plus jamais être connu comme le fils d’un anti-Moldu, mais comme rien de plus ou de moins que le plus brillant élève jamais vu à l’école. Ceux qui comme moi ont eu le privilège d’être ses amis ont pu bénéficier de son exemple, sans oublier son aide et ses encouragements, dont il était toujours généreux. Il m’a confessé plus tard, qu’il avait toujours su que son plus grand plaisir serait l’enseignement. Il n’a pas seulement gagné tous les prix du mérite qu’offrait l’école, il était aussi en contact par correspondance avec les plus célèbres magiciens actuels, dont Nicolas Flamel, le célèbre alchimiste, Bathilda Bagshot, la célèbre historienne, et Adalbert Waffling, le théoricien magique.

Plusieurs de ses papiers ont été publiés dans Trasnfiguration Today, Challenges in Charming and The Pratical Potionneer.

La future carrière de Dumbledore semblait être « météorique », et la seule question qu’il restait était de savoir quand il allait devenir Ministre de la Magie. Toutefois, même s’il a été souvent prédit dans les années suivantes qu’il était sur le point de prendre ce poste, il n’a jamais eu des ambitions de Ministre.

Trois ans après que nous ayons commencé à Poudlard, le frère d’Albus, Aberforth, est arrivé à l’école.

Ils ne se ressemblaient pas ; Aberforth n’a jamais été charismatique et, contrairement à Albus, il préférait régler les conflits par des duels qu’avec une discussion raisonnée. Par contre, il est assez faux de dire, comme certains l’ont fait, que les frères n’étaient pas amis. Ils étaient aussi bien tous les deux que pourraient l’être deux garçons tellement différents. Pour être juste avec Aberforth, il faut admettre que vivre sous l’ombre de Dumbledore ne doit pas être une expérience très commode. Etre continuellement dans l’ombre était un risque en étant l’ami et le frère d’Albus. Quand Albus et moi avons quitté Poudlard, nous avons prévu de faire ensemble le dixième traditionnel tour du monde, pour visiter et observer les sorciers étrangers, avant de poursuivre nos carrières respectives.

Malheureusement, la tragédie a frappé. Au tout début de notre voyage, la mère d’Albus, Kendra, est morte, laissant Albus à la tête de toute la famille. J’ai post-posé mon départ assez longtemps pour présenter mes condoléances aux funérailles de Kendra, puis je suis partie pour ce qui était devenu maintenant un voyage solitaire. Avec un jeune frère et une soeur dont il devait s’occuper, et un rien d’or laissé à eux, il n’était plus question pour Albus de m’accompagner.

C’est à cette période de nos vies que nous avons perdu contact. J’ai écrit à Albus, lui décrivant, peutêtre insensiblement, les merveilles de mon voyage, des petites évasions à Chimaeras en Grèce, aux expériences des alchimistes égyptiens. Ses lettres m’en disaient un peu plus sur sa vie de tous les jours, qui je le supposais était assez frustrante pour un si brillant sorcier. Immergée dans mes propres expériences, c’est avec horreur que j’ai entendu, vers la fin de mon année de voyage, qu’une autre tragédie avait frappé la famille Dumbledore : la mort de sa soeur, Ariana.

Même si Ariana avait une mauvaise santé depuis longtemps maintenant, le drame, survenu si vite après la perte de leur mère, a eu un impact profond sur les deux frères. Tous les proches d’Albus – et j’en fais partie – sont d’accord de dire que la mort d’Ariana et le sentiment de culpabilité qu’Albus a ressenti (même s’il n’y avait pas de raison, évidemment), a laissé une marque à jamais sur cet homme.

Je suis retournée à la maison pour découvrir un jeune homme qui avait affronté plus de souffrance qu’une personne âgée. Albus était plus réservé qu’avant, et beaucoup moins allègre. Pour ajouter à son malheur, la perte d’Ariana avait provoqué, non pas un rapprochement entre Albus et Aberforth, mais bien un certain éloignement. Au fil du temps, ils auront cependant renoué contact, pas pour une relation très proche mais au moins une relation un temps soit peu cordiale. Par contre, à partir de ce moment-là, Albus parlait rarement de ses parents ou d’Ariana, et ses amis avaient appris à ne pas en parler.

D’autres trophées décriront les triomphes des années suivantes. Les innombrables contributions de Dumbledore à la connaissance de la magie, incluant notamment sa découverte des douze utilisations du sang de dragon, ont profité aux générations suivantes, tout comme la sagesse dont il a fait preuve dans tous ses jugements lorsqu’il était Chef du Mangemagot (à vérifier, haut de la page 24).

Ils le disent encore aujourd’hui, qu’aucun combat de sorcier n’a autant marqué que celui entre Dumbledore et Grindelwald en 1945. Ceux qui y ont assisté ont écrit des articles concernant la terreur et la crainte qu’ils ont ressenties alors qu’ils regardaient ces deux extraordinaires sorciers se battre. Dumbledore triompha et les conséquences qui en découlèrent pour le Monde des Sorciers ont été considérées comme un point clé dans l’Histoire de la Magie, pour marquer la naissance d’un Statut

International du Secret ou la chute de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom (à vérifier).

Albus Dumbledore n’a jamais été fier ou vantard ; il pouvait trouver quelque chose de bon en chacun, même s’il était apparemment insignifiant ou misérable, et je crois que les premières pertes qu’il a subies lui ont permis de faire preuve d’une grande humanité et d’une grande sympathie. Son amitié devrait me manquer plus qu’autre chose, mais la perte que je viens de subir n’est rien par rapport à celle du Monde des Sorciers. Qu’il était le plus inspiré et le plus aimé de tous les Professeurs de

Poudlard. Il est mort comme il a vécu : travaillant toujours pour le plus grand Bien, et, à sa dernière heure, toujours aussi disposé à tendre la main à un jeune garçon avec une fièvre de dragon que le jour où je l’ai rencontré.

Harry avait fini de lire mais continuait à fixer la photo accompagnant l’avis de décès. Dumbledore portait son sourire familier et chaleureux, mais, comme il regardait par-dessus ses lunettes en demilune, il donnait l’impression, même à travers le journal, de passer Harry au rayon X, chez qui la tristesse s’était mélangée à l’humiliation.

Il pensait connaître plutôt bien Dumbledore, mais déjà en lisant cet avis nécrologique, il était forcé de reconnaître qu’il ne le connaissait qu’à peine. Pas une fois il n’avait imaginé l’enfance ou la jeunesse de Dumbledore ; c’était comme s’il avait toujours été comme quand Harry l’avait connu, vénérable et grisonnant, et vieux. L’idée d’un Dumbledore adolescent était tout simplement impensable, comme si on imaginait une Hermione idiote ou un … (à vérifier).

Il n’avait jamais pensé à poser des questions à Dumbledore sur son passé. Sans doute serait-ce en partie étrange, impertinent même, mais après tout, son duel légendaire avec Grindelwald était connu de tous. Et Harry n’avait pas pensé à demander à Dumbledore à quoi cela avait ressemblé, ni ne s’était renseigné sur aucun autre de ses accomplissements célèbres.

Non, ils ne discutaient toujours que de Harry, de son passé, de son avenir, de ses plans … et Harry y repensait maintenant, malgré le fait que son avenir allait être si dangereux et si incertain, qu’il avait manqué des occasions irremplaçables de demander à Dumbledore plus à son sujet, bien que la seule question personnelle qu’il n’ait jamais demandée à son directeur soit aussi la seule à laquelle Harry soupsonnait Dumbledore de ne pas avoir répondu honnêtement :

- « Que voyez-vous quand vous regardez dans le miroir du Rised ? »

- « Moi ? Je me vois tenir une paire de chaussettes épaisses, en laine. »

Après plusieurs minutes de réflexion, Harry déchira la rubrique nécrologique de la Gazette, la replia soigneusement et la mit à l’intérieur du premier volume de son livre « La Pratique de la Magie

Défensive et son Utilisation Contre les Forces du Mal ». Puis, il jeta le reste du journal sur la pile d’ordures et se tourna, face à la pièce. C’était maintenant déjà beaucoup plus rangé. Les seules choses qu’il restait étaient la Gazette d’aujourd’hui, toujours étendue sur le lit, et le morceau de miroir cassé.

Harry se déplaça à travers la pièce, fit glisser le fragment de miroir de la Gazette et déplia le journal.

Il avait tout juste jeté un coup d’oeil au titre en prenant le journal roulé du hibou-livreur tôt ce matin, et l’avait mis de côté après avoir vu qu’il ne traitait pas de Voldemort. C’était seulement maintenant, donc qu’il vit ce qu’il avait manqué.

A mis chemin de la première page, un titre plus petit était placé au dessus d’une image de

Dumbledore, marchant à grands pas le long de cette image, le regard tourmenté :

DUMBLEDORE – ENFIN LA VERITE ?

A venir la semaine prochaine, l’histoire choquante du génie imparfait considéré par plusieurs comme étant le sorcier le plus grand de sa génération

En déshabillant loin l'image populaire du sage serein, a la barbe d'argent, Rita skeeter révèle l'enfance dérangée, la jeunesse illégale, les querelles perpétuelles et les secrets coupables que Dumbledore a emporté dans sa tombe. POURQUOI a-t-il été refusé de devenir ministre de la magie pour rester un simple directeur ? QUEL était le but réel de l'organisation secrète connue sous le nom de l'ordre du phénix ? COMMENT Dumbledore a vraiment rencontré sa fin ? Les réponses à ces questions et bien d’autres sont explorées dans la nouvelle biographie explosive "La vie et le mensonge d'Albus Dumbledore", par Rita Skeeter, exclusivement interviewé par Betty Braithwaite, page 13, à l'intérieur.

Harry ouvrit le journal et trouva la page treize. L'article était surmonté d'une image montrant un autre visage familier : une femme portant des verres parés de bijoux , des cheveux blonds, ses dents découvertes dans ce que l'on suppose être un sourire gagnant, agitant ses doigts vers le haut. En faisant de son mieux pour ignorer cette image écoeurante, Harry continua de lire.

En personne, Rita skeeter est beaucoup plus chaude et plus douce que dans ses portraits fameusement féroce. En me saluant dans le vestibule de sa maison confortable, elle me mèna directement dans la cuisine pour une tasse de thé, une tranche de gâteau et, cela va sans dire, un dégagement de vapeur du commérage le plus frais.

"Bien, bien sûr, dumbledore est le rêve de tout biographes," dit skeeter. "Une vie si longue, pleine. Je suis sûr que mon livre sera le premier de très loin." Skeeter était certainement rapide pour ecrire. Son livre de neuf-cents page a été achevé simplement quatre semaines après la mort mystérieuse de Dumbledore en juin. Je lui demande comment elle a géré cet exploit très rapide.

"Oh, quand vous avez été un journaliste aussi longtemps que moi, travailler dans de courts délais est une deuxième nature. Je savais que le monde de la sorcellerie réclamait à cor et à cri l'histoire complète et j'ai voulu être la première à répondre à ce besoin."

Je mentionne la récente remarque largement rendue publique de Elphias Doge, la conseillère spéciale au Magenmagot et l'amie de longue date d'Albus Dumbledore, "Le livre de Skeeter contient moins de fait qu'une carte de choco-grenouille."

Skeeter rejetta sa tête en arriere et rit.

"Darling Dodgy! Je me rappelle l'interviewer quelques années en arrière à propos de « merpeople », le bénissant. Complètement gaga, elle semblait penser que nous étions assis au fond du lac Windermere, à me dire de faire attention à la truite "

Et pourtant les accusations inexactes de Elphias Doge ont été entendues en de nombreux endroits.

Skeeter estime-t-elle vraiment que quatre courtes semaines ont été suffisantes pour gagner une image complète de la longue et extraordinaire vie de Dumbledore ?

"Oh, mon cher," rayonna Skeeter, me frappant affectueusement à travers les articulations, "vous savez aussi bien que moi que beaucoup d'informations peuvent être produites par un sac gras de gallions, un refus d'entendre le mot "Non" et un paquet de Citations agréables rapidement aiguisées !

Les gens mettaient en file d'attente les plats sales de Dumbledore, de toute façon. Tout le monde ne le trouvait pas merveilleux vous savez – il a marché sur un lot terrible d'orteils importants. Mais la vieille Dodgy Doge peut descendre de son grand hippogriffe, parce que j'ai eu accès à une source pour laquelle la plupart des journalistes échangeraient leurs baguettes magiques puisqu'elle provient de celle qui n'a jamais parlé en public auparavant et qui était près de Dumbledore pendant la phase la plus turbulente et inquiétante de sa jeunesse."

La publicité d'avance pour la biographie de Skeeter a certainement suggéré qu'il y ait des chocs dans les magasins pour ceux qui croient que Dumbledore a mené une vie irréprochable. Je lui demandai ce qui a était la plus grande surprise qu'elle a découverte.

"Maintenant, Betty, je ne donne pas tous les points croustillants avant que quiconque ait acheté le livre!", ria Skeeter. "Mais je peux promettre que quelqu'un qui pense toujours que Dumbledore était blanc comme sa barbe se dirige vers un réveil brutal. Disons juste que n’importe qui l'entendant en colère contre Vous-Savez-Qui aurait rêvé qu'il n'ait fait en amateur de la magie noir lui-même dans sa jeunesse! Et pour un magicien qui a passé à plaider tant d'années pour la tolérance, il n'était pas exactement aussi large d'esprit quand il était plus jeune! Oui, Albus Dumbledore avait un passé extrêmement obscur, pour ne pas mentionner cette famille très poissonneuse, qu'il a travaillée si durement pour la garder cachée."

Je demande si Skeeter se rapporte au frère de Dumbledore, Aberforth, dont la convocation par le magenmagot pour l'abus de la magie, a causé un scandale mineur il y a quinze ans. "Oh, Aberforth est juste le bout du tas de fumier," rit Skeeter. "Non, non, je parle de quelqu’un de beaucoup de plus mauvais qu'un frère avec un penchant pour jouer avec des chèvres, plus mauvais même que le père de Muggle-Muggle-maiming - Dumbledore ne pouvait pas les maintenir tranquille elles n’ont plus de toute façon, toutes les deux ont été condamnées par le magenmagot. Ce ne sont pas la mère et la soeur qui m'ont intrigués, et creusant à découvert a nid positif de méchanceté - mais, comme je dis, vous devrez attendre les chapitres neuf douze pour avoir les détails complets. Tout que je peux dire maintenant c’est qu’ il est loin d’être merveilleux ! par exemple Dumbledore n’a jamais parlé de la façon dont son nez s’est cassé."

Des squelettes de famille nonobstant, fait Skeeter, nient les brillantes découvertes magiques menées par Dumbledore ?

"Il a eu un cerveau," concède-t-elle, "bien que beaucoup doutent maintenant qu'il pourrait vraiment prendre le plein crédit de tout ses accomplissements supposés. Comme j'indique en chapitre seize, Ivor, que Dillonsby soutient, avait déjà découvert huit utilisations du sang de dragon quand Dumbledore "a emprunté" ses papiers."

Mais l'importance de certains des accomplissements de Dumbledore ne peut pas, j’ose, être niés. En particulier sa défaite célèbre de Grindelwald ?

"Oh, maintenant, je suis heureux vous ayez mentionné Grindelwald," dit Skeeter avec un sourire provoquant. "J'ai peur que pour ceux qui ont eu les larmes aux yeux en faveur de la victoire spectaculaire de Dumbledore, ce livre ne leurs fasses l’effet d’une bombe – ou peut-être une bombabouse. Affaire très sale en effet. Tout que je dirai c’est qu’il n’est pas sûr qu'il se soit vraiment produit un duel spectaculaire de légende. Après qu'ils aient lu mon livre, les gens ne peuvent qu’être forcés de conclure que Grindelwald a simplement créé un mouchoir blanc de l'extrémité de sa baguette magique et est revenu tranquillement !"

Skeeter refuse de donner plus de détails sur ce sujet intrigant, ainsi nous nous tournons à la place vers le rapport qui fascinera assurément ses lecteurs davantage que tout autre.

"Oh oui," dit Skeeter, inclinant la tête vivement, "je consacre un chapitre entier au tout Potter-Dumbledore-Dumbledore le rapport. Il s'est appelé malsain, même sinistre. Encore une fois, vos lecteurs devront acheter mon livre pour l'histoire entière, mais il n'y a aucune question sur le fait que Dumbledore ait pris un intérêt artificiel pour Potter. Si c'était vraiment dans les meilleurs intérêts du garçon - bien, nous verrons. C'est certainement un secret dévoilé que le Potter a eu une adolescence pour le moins préoccupante."

Je demande si Skeeter est toujours en contact avec Harry Potter, elle est tellement célèbre qu’elle interviewé l'année dernière : un morceau de percée dans lequel le Potter a parlé exclusivement de sa conviction selon laquelle Vous-Savez-Qui était revenu.

"Oh, oui, nous avons développé un lien plus étroit," dit Skeeter. Le "Potter des pauvres a peu de vrais amis, et nous nous sommes réunis à un des moments d'essai de sa vie - le tournoi des trois sorciers. Je suis probablement l'une des seules personnes vivantes qui peut indiquer qu'elles connaissent vraiment Harry Potter."

Ce qui nous mène d'une manière ordonnée aux nombreuses rumeurs circulant toujours au sujet des heures finales de Dumbledore. Skeeter croit-il que le Potter était là quand Dumbledore est mort ?

"Bien, je ne veux pas dire trop - il y a tout dans le livre - mais des témoins oculaires à l'intérieur de château de Poudlard ont vu le Potter courir à partir du moments que

Dumbledore soit tombé, sautés, ou ai été poussé. Potter plus tard a accusé Severus Rogue, un homme contre qui il a une rancune notoire. Est-ce que tout est ce qu'il y parait ? C'est pour que la communauté des sorciers s’en rendent comptes - une fois qu'elles auront lu mon livre."

Sur cette note intrigante, je prends mon congé. Il ne peut y avoir aucun doute que

Skeeter a des tuyaux pour un best-seller instantané. La légion d'admirateurs de Dumbledore, en attendant, pourra bien être secoué à propos de ce qui sera bientôt découvert au sujet de leur héros.

Harry avait fini de lire l'article, mais avait continué de regarder fixement la page.

Le revirement et la fureur montèrent en lui comme un haut-le-coeur ; il chiffonna le journal et le jeta, de toutes ses forces, contre le mur, où il rejoignit le reste des déchets autour de la poubelle.

Il commença à marcher, sans rien voir autour de lui, à travers la salle. Les tiroirs vides s'ouvraient et la reprise réserve pour les remplacer seulement sur les mêmes piles (à verifier), à peine conscient de ce qu'il faisait, car les expressions aléatoires de l'article de Rita avaient fait écho dans sa tête : Un chapitre entier au tout Potter-Dumbledore-Dumbledore le rapport... qu'il s'est appelé malsain, même sinistre... il a trempé dans les arts noirs lui-même dans sa jeunesse... j'ai eu accès à une source si fiable que la plupart des journalistes serait prêt a vendre leurs baguettes magiques pour...

"Mensonges !" Beugla Harry, et par la fenêtre il vit le voisin d'à côté, qui avait fait une pause pour remettre en marche sa tondeuse à gazon, recherchant nerveusement la cause du bruit.

Harry s’assit sur le lit dur. Le reste du miroir cassé avait dansé à côté de lui ; il le pris et le fit tourner dans ses doigts, en pensant, en pensant à Dumbledore et aux mensonges avec lesquels Rita Skeeter le diffamait...

Un flash du bleu des plus lumineux survînt. Harry gela, son doigt coupé glissant sur le bord déchiqueté du miroir une nouvelle fois. Il l'avait imaginé, il devait l’avoir rêvé. Il jeta un coup d'oeil au-dessus de son épaule, mais le mur était d’une couleur maladive de pêche que sa tante Pétunias choisissait : Il n'y avait rien de bleu là que le miroir puisse refléter. Il scruta de nouveau le fragment de miroir, et ne vit rien de plus que son propre œil vert clair.

Il l'avait imaginé, il ne pouvait y avoir aucune autre explication ; imaginé parce qu'il avait pensé à son directeur mort. Si quelque chose était certain, c'était que les yeux bleus lumineux d'Albus Dumbledore ne le traverserait plus jamais.

Le chapitre trois : Le départ des dursley

L

e bruit du claquement de la porte d’entée fit écho vers le haut des escaliers et une voix hurla,

« Oh !Toi ! »

Seize ans passées à être appelé ainsi ne laissait par conséquent à Harry pas de doute sur le fait que son oncle l’appelait, néanmoins, il ne répondit pas immédiatement. Il était toujours avec l’étroit fragment dans lequel, pendant une fraction de seconde, il avait cru apercevoir l’oeil de Dumbledore.

Ceci étant jusqu'à ce que son oncle crie, « MON GARÇON ! », Harry se leva lentement de son lit et se dirigea vers la porte de la chambre, faisant une pause pour ajouter le morceau de miroir cassé au sac à dos rempli des choses qu'il prendrait avec lui.

-Tu as pris ton temps ! hurla Vernon Dursley quand Harry apparu en haut des escaliers, Descends ici.

Je veux te dire un mot !

Harry descendit les marches, ses mains profondément enfouis dans les poches de son pantalon.

Quand il examina la salle de séjour il y trouva chacun des trois Dursleys. Ils étaient en tenue de voyage ; Oncle Vernon dans une vieille veste déchirée et Dudley, le grand, blond, musclé cousin d’Harry, dans sa veste en cuir.

-Oui ? demanda Harry.

-Assieds-toi ! dit oncle Vernon. Harry haussa les sourcils. « S’il te plaît ! » ajouta oncle Vernon, grimaçant légèrement comme si ce mot lui avait entaillé la gorge.

Harry s'assit. Il pensait connaître ce qui suivrait. Son oncle commença à arpenter la pièce de long en large, tante Petunia et Dudley, suivant son mouvement avec une expression anxieuse. Finalement, son gros visage pourpre se crispa avec concentration. Oncle Vernon s'arrêta devant Harry et parla.

- J'ai changé d'avis, dit-il.

- Quelle surprise, dit Harry.

- Ne prend pas ce ton la… commença tante Pétunia avec une voix aiguë, mais Vernon Dursley lui fit signe de se taire.

- C’est un tas de baratin, dit oncle Vernon, lançant à Harry des regards furieux depuis ses petits yeux porcins. « J'ai décidé de ne pas en croire un mot. Nous restons ici, nous n’irons nulle part. »

Harry leva les yeux vers son oncle et senti un mélange d'exaspération et d'amusement. Vernon

Dursley avait changé d'avis toutes les vingt-quatre heures depuis les quatre dernière semaines, chargeant et déchargeant et rechargent la voiture à chaque changement d’humeur. Le moment préféré de Harry avait été quand oncle Vernon, ignorant que Dudley avait ajouté ses haltères à sa valise depuis la dernière fois qu’il avait remplie, avait essayé de la hisser dans le coffre et s'était effondré avec un jappement de douleur et un paquet de jurons.

- Selon toi, dit Vernon Dursley réargentant maintenant la pièce de long en large, nous - pétunia,

Dudley, et moi - sommes en danger. – A cause de, de…

-…d'une partie des gens de « mon espèce » ? dit Harry

- Bien je ne le crois pas, répéta oncle Vernon, faisant encore une halte devant Harry. Je suis resté réveillée la moitié nuit, à réfléchir, et je crois que c'est un complot pour obtenir la maison.

- La maison ? répéta Harry. Quelle maison ?

- Cette maison ! s’écria oncle Vernon, la veine de son front commençant à palpiter. Notre maison !

Les prix de logements montent en flèche dans les environs ! Tu nous veux à l'écart pour faire un peu d'abracadabra et avant que nous le sachions, les contrats seront a ton nom…

- T’as perdu la tête ? demanda Harry. Un complot pour avoir cette maison ? Es-tu vraiment aussi stupide que tu y parais ?

- Je te défends…! Couina tante Petunia, mais encore une fois l’oncle Vernon lui fit signe de se taire.

Les insultes dans leur aspect personnel n’étaient apparemment rien comparées au danger qu’il avait repéré.

- Juste au cas où vous oublieriez, dit Harry, j'ai déjà une maison que mon parrain m’a léguée. Alors pourquoi je voudrais celle-là ? Pour les bons souvenirs ?

Il y eu un silence. Harry pensa qu'il avait plutôt impressionné son oncle avec cet argument.

- Tu prétends, dit oncle Vernon, commençant à faire les cents pas encore une fois, que ce Lord machin -

- Voldemort, dit Harry qui s’impatientait, et nous avons abordé ce sujet environ cent fois déjà. Ce n'est pas ce que je prétends, c’est un fait. Dumbledore vous l’a dit l’année dernière, et Kingsley et M.

Weasley -

Vernon Dursley voûta ses épaules de colère, et Harry devina que son oncle essayait de chasser les souvenirs de la visite inattendue, quelques jours pendant les vacances d'été d’Harry, de deux sorciers pleinement adulte. L'arrivée sur le seuil de Kingsley Shacklebolt et d'Arthur Weasley était apparue comme choc le plus désagréable pour les Dursleys. Harry dû admettre cependant qu’il ne pouvait pas s’attendre a ce que la réapparition de M. Weasley, qui avait par le passé démoli la moitié de la salle de séjour, détende oncle Vernon.

- Kingsley et M. Weasley l'ont expliqué tout aussi bien, poursuivit Harry impitoyablement, une fois que j'aurai dix-sept ans, le charme protecteur qui me garde sauf sera rompu, et cela vous expose autant que moi. L'ordre est sûr que Voldemort vous prendra pour cible, pour vous torturer pour essayer de découvrir où je suis, ou parce qu'il pense qu’en vous prenant en otage je viendrais et j’essayerai pour vous sauver.

Les yeux d’Harry et d’oncle Vernon se croisèrent. Harry était sûr qu’en cet instant il était tous deux en train de se demander la même chose. Dès lors oncle Vernon se remit en marche et Harry repris.

- Vous devez vous cacher et l'ordre veut aider. Il vous est offert une serieuse protection, la meilleure qui soit.

Oncle Vernon ne dit rien mais continua à faire les cents pas. Au dehors le soleil était bas à l’horizon au dessus des haies de Privet Drive. La tondeuse du voisin s’arrêta de nouveau.

- Je pensais qu’il y avait un ministère de la magie ? demanda Vernon Dursley abruptement.

- Il y en a un, dit Harry, étonné.

- Bien, alors, pourquoi ne peuvent-ils pas nous protéger ? Il me semble, en tant que victimes innocentes, coupables de rien plus que l’hébergement d’un homme marqué, nous devons bénéficier de la protection du gouvernement !

Harry ri ; il ne pourrait pas s'aider. Il était tellement typique de la part de son oncle de remettre ses espoirs dans la fonction publique, même si c’est dans le monde qu'il dédaigne et dont il se méfit.

- Vous avez entendu quel M. Weasley et Kingsley ont dit, répondit Harry. Nous pensons que le ministère a été infiltré.

Oncle Vernon marcha de nouveau vers la cheminée et il respira si fortement que sa grande moustache noire ondula sur sa face encore rouge de concentration.

- Bien, dit-il, s arrêtant devant Harry encore une fois. Très bien, disons que pour le plaisir de la discussion nous acceptons cette protection. Je ne vois toujours pas pourquoi nous ne pouvons pas avoir ce type Kingsley.

Harry était parvenu à ne pas rouler les yeux, mais avec la difficulté. Cette question avait également été posée une demi-douzaine de fois.

- Parce que je vous l’ai dit, dit-il les dents serrées, Kingsley protège le mol... je veux dire, votre premier ministre.

- Exactement - il est le meilleur ! dit oncle Vernon, se dirigeant vers l'écran blanc de télévision. Les

Dursleys avaient repéré Kingsley pendant les nouvelles, marchant au côté du premier ministre moldu pendant qu'il visitait un hôpital. Ceci, et le fait que Kingsley avait maîtrisé le talent de s'habiller comme un Moldu, pour ne pas mentionner un certain côté rassurant dans sa voix lente et profonde, faisaient se comporter les Dursleys avec Kingsley d'une manière dont elles ne l'auraient certainement jamais fait avec aucun autre sorcier, bien qu'il ait été vrai qu'ils ne l’avait jamais vu avec sa boucle d’oreille.

- Bien, il est pris, dit Harry. Mais Hestia Jones et Dedalus Diggle sont plus qu’au point dans ce travail…

- Si on avait pu voir les CVs… commença oncle Vernon, mais Harry perdit patience. Se levant, il avança vers son oncle, ne se dirigeant pas vers l'ensemble TV lui-même.

- Ces accidents ne sont pas des accidents – les crashs et les explosions et les déraillements et quelque soit ce qui s'est produit depuis que nous avons vu pour la dernière fois les nouvelles. Des gens disparaissent et meurent, et il est derrière tout ça - Voldemort. Je vous répète ça énième, il tue des

Moldus pour s’amuser. Même le brouillard - est provoqué par des détraqueurs, et si vous ne pouvez pas vous rappeler ce qu’ils sont, demandez à votre fils !

Les mains de Dudley jaillirent pour se mettre devant sa bouche. Sous le regard de ses parents et celui de Harry, il les abaissa lentement encore et demanda, « il y en a…plus que ça ? »

- Plus ? Harry ri. Plus que les deux qui nous ont attaqués, tu veux dire ? Naturellement il y a les centaines, peut-être même des milliers ces temps ci, voyant à mesure qu’ils s’alimentent de la crainte et du désespoir.

- Bien, bien, fanfaronna Vernon Dursley. Tu marques un point …

- J’espère bien, dit Harry, parce qu'une fois que j'aurais dix-sept ans, tous les mangemort, les Détraqueurs, peut-être même les Inferi - ce qui signifie les corps morts envoutés par un sorcier du mal - seront capable de vous trouver et vous attaqueront certainement. Et si vous vous rappelez la dernière fois où vous avez essayé de vous opposer à des sorciers, je pense vous conviendrez que vous avez besoin d'aide.

Il y avait un bref silence dans lequel l'écho éloigné de Hagrid fracassant une porte d’entrée en bois semblait se répercuter au cours des années qui s’étaient écoulées entre-temps. Tante Petunia regardait oncle Vernon ; Dudley regardait fixement chez Harry. Enfin oncle Vernon laissa échappé,

- Mais qu’en est-il de mon travail ? Qu’en est-il de l'école de Dudley ? Je ne pense pas que se genre de chose importe a une bande de sorciers feignants -

- Vous ne comprenez pas ? cria Harry. Ils vous tortureront et vous tueront comme ils l’ont fait avec mes parents !

- Papa, dit Dudley dans une voix forte, papa - je vais avec ces personnes de l’ordre.

- Dudley, dit Harry, pour la première fois de ta vie, tu dis quelque chose de censé.

Il a su que la bataille était gagnée. Si Dudley était assez effrayé pour accepter l'aide de l'ordre, ses parents l'accompagneraient. Il ne pouvait être question d’être séparer de leur dudlouney. Harry jeta un coup d'oeil sur la pendulette au dessus de la cheminée.

« Ils seront là d’ici cinq minutes, dit-il et au moment un des dursley allait répondre, il quitta la pièce.

La perspective du départ - probablement pour toujours - de sa tante, de son oncle, et de son cousin était quelque chose qu’il pouvait contempler gaiement mais il flottait néanmoins un certain gène dans l’air. Que diriez-vous à quelqu’un au bout de seize ans d’aversion ?

De retour dans sa chambre, Harry tripota distraitement son sac à dos puis pris deux noix pour hibou et les lança a travers les barreaux de la cage d’Hedwige. Ils tombèrent dans un son mat au fond de sa cage où elle les ignora.

- Nous partirons bientôt, vraiment bientôt, lui dit Harry. Et alors tu pourras voler de nouveau.

La sonnette tinta. Harry hésita, puis sortit de sa chambre et dévala les marches. Il était trop pour s'attendre à ce que Hestia et Dedalus fassent face au Dursleys tous seuls.

- Harry Potter ! Glapi une voix excitée, au moment où Harry avait ouvert la porte ; un petit homme avec un chapeau mauve qui se courba d’une basse révérence. « Un honneur comme toujours ! »

- Merci, Dedalus, dit Harry, accordant un petit sourire embarrassé vers la sombre chevelure d’Hestia.

C’est vraiment bien de votre part de faire ça… Ils sont part là, ma tante et oncle et cousin… »

- Bonjour a vous, les parents de Harry Potter ! » Dit Dedalus arpentant joyeusement la salle de séjour. Les Dursleys n’avaient pas l’air ravis d’être appelés de cette manière ; Une partie d’Harry avait attendu un autre changement de comportement. Dudley se resserra tout prés de sa mère à la vue de la sorcière et du sorcier.

- Je vois que vous êtes préparés et prêts. Excellent ! Le plan, comme vous l’a dit Harry, est simple, dit

Dedalus, sortant une énorme montre de poche hors de son gilet et l'examinant. Nous partirons avant

Harry. En raison du danger d'utiliser la magie dans votre maison - Harry n’ayent toujours pas l’âge requis cela pourrait fournir au Ministère une excuse pour l’arrêter- nous conduirons par exemple pendant 20 kilomètres avant de disparaitre vers l'endroit sûr que nous avons sélectionné pour toi.

Vous savez conduire, je présume ? demanda-t-il poliment à oncle Vernon.

« Savoir quoi- ? Evidement que je sais conduire ! Cracha oncle Vernon.

- Quelle intelligence, monsieur, quelle intelligence. Je serais personnellement serais tout à fait déboussolé par tous ces boutons et les boutons et manette, dit Dedalus. On avait clairement l’impression qu’il était en train de flatter Vernon Dursley, qui perdait visiblement confiance du plan à chaque mot de Dedalus.

- Ne peut pas même conduire, murmura-t-il dans un souffle, sa moustache ondulant avec indignation, mais heureusement ni Dedalus ni Hestia ne sembla l'entendre.

-Toi, Harry, continua Dedalus, « attends ici sur tes gardes. Il y a eu un changement dans l’organisation

- Que voulez-vous dire ? dit Harry immédiatement. Je croyais que Fol-OEil devait venir et me prendre par le transplanage d’escorte (merci lunatea ;) ?

-Peut pas l’faire, dit Hestia laconiquement, Fol-OEil t’expliquera.

Les Dursleys, qui avait tout écouté avec des regards d'incompréhension totale sur leurs visages, sursautèrent lorsqu’il qu’une voix sonore s’écria, « dépêchez-vous ! » Harry regarda tout autour de la pièce avant de réaliser que la voix provenait de la montre de la poche de Dedalus.

- Tout est bien, on est dans un programme très serré, dit Dedalus inclinant la tête vers sa montre et la remettant de nouveau dans son manteau. « Nous essayons de synchroniser ton départ de la maison avec la disparition de ta famille, par conséquent Harry lorsque le charme se rompra tu sera en sûreté Il se tourna vers les Dursleys, tout est emballé vous êtes prêts a y aller ?

Aucun d’eux ne lui répondit. Oncle Vernon regardait toujours fixement le renflement de la poche de

Dedalus.

- Peut-être devrions-nous attendre dehors dans le hall, Dedalus, murmura Hestia. Elle avait clairement sentit qu’il serait dépourvu de tact qu’ils restent dans la pièce pendant qu’Harry et les

Dursley échangeraient leur amour et peut leur adieux déchirant.

- C’n’est pas la peine, murmura Harry, mais oncle Vernon rendu toute autre explication inutile en s’exclamant,

- bien, c'est au revoir mon garçon.

Il lava son bras droit pour serrer la main de Harry, mais au dernier moment sembla incapable de lui faire face, et ferma simplement son poing et qu’il commença à balancer d’avant en arrière comme un métronome.

- Prêt, Diddy ? demanda Petunia, vérifiant de manière confuse l'agrafe de son sac à main afin d'éviter d’avoir à regarder Harry.

Dudley ne répondit pas mais se tint là, sa bouche légèrement entrebâillée, rappelant à Harry le géant, Graup.

- Allez maintenant, dit oncle Vernon.

Il avait déjà atteint la porte de la salle de séjour quand Dudley marmonna, - je ne comprends pas.

- Qu’est ce que tu ne comprends pas, Popkin ? demanda pétunia levant les yeux vers son fils.

Dudley souleva une grande main, telle un jambon pour se diriger vers Harry.

- Pourquoi ne vient-il pas avec nous ?

Oncle Vernon et tante Pétunia se figent sur place regardants fixement Dudley comme s'il venait juste d’exprimé le désir de devenir une ballerine.

- Quoi ? dit Vernon d’un ton fort.

- Pourquoi ne vient-il pas aussi ? demanda Dudley.

- Bien, -il ne le veut pas, dit oncle Vernon, jetant à Harry un regard menaçant et ajouta, tu ne le veux pas n’est-ce pas ?

- Pas le moins du monde, dit Harry.

- Voilà, dit oncle Vernon à Dudley. Maintenant nous sommes parti

Il sortit de la pièce. Ils entendirent la porte d’entrée s’ouvrir, mais Dudley ne bougea pas d’un yota et après quelque pas hésitants Pétunia s’arrêta aussi.

- Qu’est ce qu’il y a maintenant ? Aboya oncle Vernon, réapparaissant sur le pas de la porte.

Il semblait que Dudley luttait avec des idées trop difficiles à mettre en mots. Après plusieurs minutes de lutte interne apparemment douloureuse il dit, mais où va-t-il aller ?

Tante Pétunia et oncle Vernon échangèrent des regards. Il était clair que Dudley les effrayât. Hestia

Jones rompis le silence.

« Mais… vous savez sûrement où va votre neveu ? demanda-t-elle semblant déconcertée.

- Certainement nous le savons, dit Vernon Dursley. Il est en contact avec une partie des gens de votre espèce, n'est-ce pas ? Très bien, Dudley, va à la voiture, tu a entendu l'homme, nous sommes pressées.

Une fois encore, Vernon Dursley marcha jusqu’à la porte d’entrée, mais Dudley ne suivit pas.

- En contact avec une partie de « notre espèce » ?

Hestia sembla outragée. Harry avait déjà été confronté à l’attitude de sorcières et sorciers qui semblait étonné que la famille encore vivante de Harry ait si peu d’intérêt pour le célèbre Harry

Potter.

- Ca va » la rassura Harry. Ce n’est pas grave, honnêtement.

- Pas grave? répéta Hestia, sa voix s’élevant considérablement. Ces personnes ne réalisent-elles ce que tu as traversé ? Dans quel danger tu es ? La position unique que tu tiens au sein du mouvement anti-Voldemort ?

- Heu - non, ils ne la savent pas, dit Harry. Ils pensent je suis un gaspillage d’espace, en fait j’ai l’habitude…

- je ne pense pas que tu es un gaspillage d'espace

Si Harry n'avait pas vu le mouvement des lèvres de Dudley, il ne l’aurait pas cru. Il regarda fixement

Dudley pendant plusieurs secondes avant d'accepter le fait que c’était son cousin qui avait parlé ; pour fait, Dudley rougit. Harry était embarrassé et étonné.

- Bien… heu… merci, Dudley.

De nouveau, Dudley sembla s'attaquer a des pensées trop difficiles à mettre en mot avant de marmonner,

-tu m’as sauvé la vie,

- pas vraiment, dit Harry. C’était ton âme que le detraqueur aurait pris

Il regarda curieusement son cousin. Ils n'avaient eu pratiquement aucun contact pendant cet été ou le dernier, alors qu’Harry retournait a Privet Drive si brièvement et qu’il s’enfermait dans sa chambre ( a verifier). Maintenenant il vint a l’esprit de Harry que la tasse de thé froid sur laquelle il avait marché ce matin n’était peut être pas un piège du tout. Bien que plutôt touché il fut néanmoins soulagé que Dudley sembla avoir épuisé sa capacité à exprimer ses sentiments. Après avoir ouvert sa bouche une fois ou deux fois plus, Dudley écarlate garda le silence.

Tante Pétunia éclatât en sanglots. Hestia Jones lui jeta un regard d’approbation qui se changea en outrage pendant que tante Pétunia courrait embrasser Dudley au lieu de Harry.

- S-si bon, Duddlounet… sanglota-elle contre sa massive poitrine. t-tel adorable g-garçon… d-disant merci…

- Mais il n'a pas dit merci du tout ! s’indigna Hestia. Il a seulement dit qu’il ne pensait pas qu’Harry était un gaspillage d’espace !

- Ouais mais venant de Dudley c’est comme un « je t'aime, » dit Harry, déchiré entre l'ennui et un désir de rire pendant que tante Pétunia continuait à prendre Dudley comme s’il venait juste de sauver Harry d’un bâtiment en feu.

- On y va ou pas ? hurla oncle Vernon, réapparaissant encore une fois à la porte de salle de séjour. Je croyais que nous avions un programme serré!

- Oui - oui, on arrive, dit Dedalus Diggle, qui avait observé la scène d’un air perplexe et qui semblait maintenant se recomposer. Nous ne devons pas rester en contact. Harry...

Il s’avance et secoua la main de Harry entre les sienne.

- Bonne chance. J'espère que nous nous rencontreront encore. Les espoirs du monde de la Magie reposent sur tes épaules.

- L'Oh, dit Harry, c’est vrai. Merci.

- A bientôt, Harry, dit Hestia étreignant également sa main. Nos pensées t’accompagnent. »

- J’espère que tout ira bien, dit Harry avec un regard vers tante Pétunia et Dudley.

- Oh je suis sûr que nous finiront en meilleurs copain, (à vérifier) dit Diggle d’une voix légère, agitant son chapeau alors qu’il quittait la pièce. Hestia le suivi.

Dudley se libera doucement de l’emprise de sa mère et marcha vers Harry qui a dû réprimer l’envie de le menacer avec la magie. Alors Dudley lui tendit sa grosse main rose.

- Mince alors, Dudley, dit Harry alors que Tante Pétunia ravalait ses sanglots, Les détraqueurs ont-ils insufflé une personnalité différente en toi?"

-Dunno, marmonna Dudley, Au revoir, Harry.

-Ouai … dit Harry, serrant la main à Dudley. Peut-être. Faits attention, Big D.

Dudley esquissa un sourire. Ils avancèrent lourdement dans la pièce. Harry entendit ses pas lourds sur l’allée couverte de graviers, puis une porte de voiture claquer.

Tante Pétunia dont le visage avait été empêtré dans son mouchoir regarda autour d’elle, après le bruit. Elle ne pas semblait pas avoir pris en compte l’éventualité de se trouver seul avec Harry. À la hâte rangeant son mouchoir humide dans sa poche, elle dit,

- bon - au revoir et se dirigea vers la porte sans le regarder.

- Au revoir dit Harry.

Elle s’arrêta et regarda en arrière. Pendant un moment Harry a eu le sentiment très étrange qu'elle voulait lui dire quelque chose ; Elle lui jeta un regard étrange et timide et sembla sur le point de parler, mais ensuite, avec un peu de sa tête, elle sortit de la pièce après son mari et son fils.

Chapitre 4 : Les sept potters.

H

arry se retourna et couru vers sa chambre, arrivant à la fenêtre juste à temps pour voir la voiture des Dursley se dirigeant vers la sortie et commencer à remonter la route. Le chapeau supérieur de

Dédalus était évident entre sa tante Pétunia et Dudley sur la banquette arrière. La voiture tourna à droite à l'extrémité de la sortie de Privet Drive, Le soleil éblouissant les fenêtres pendant un instant et alors s’en alla.

Harry pris la cage de Hedwige, son Eclair de feu et son sac à dos, puis regarde sa chambre à coucher anormalement rangée d’un dernier regard rapide, puis descendit dans le hall où il déposa au pied de l’escalier, la cage d’Hedwige, son balai, ainsi que son sac au pied de l’escalier.

La lumière commençait à baisser, le hall était complètement sombre par le début de soirée, Il sentit une étrange sensation a resté ici dans le silence et de se dire qu’il était sur le point d’être dans cette maison pour la dernière fois.

Il y a bien longtemps, quand il avait été laissé seul tandis que le Dursley sortait pour s'amuser, les heures de solitude avaient été un festin rare.

Faisant une pause pour partir furtivement chercher à manger dans le réfrigérateur, il s'était précipité en haut pour jouer sur l'ordinateur de Dudley, ou pour mettre dessus la télévision et avait regarder les chaînes qui lui plaisait le plus.

Cela lui donna un sentiment de vide tout en se rappelant ces périodes ; c’était comme se rappeler un jeune frère qu’il avait perdu.

« Tu ne veux pas jeter un dernier coup d'oeil ici pour la dernière fois ? » il demanda à Hedwige, qui boudait toujours avec sa tête sous son aile.

« Nous ne serons plus jamais ici. Ne veux tu pas te rappeler toutes les bonnes choses ? Je veux dire, regarde cette natte. Quels souvenirs… Dudley a sangloté là-dessus après que je l'ai sauvé des détraqueurs… Il n’a pas été reconnaissant après tout, tu peux le croire ? Et l'été dernier, Dumbledore est entré par ici… «

Harry perdu dans le fil de ses pensées pendant un instant et Hedwige ne fit rien pour l'aider à se réveiller, mais continua à se reposer avec sa tête sous son aile. Harry tourna le dos à l'entrée principale.

« Et là dessous, Hedwige » - Harry tira la porte sous les escaliers - « C’est ici que j'avais l'habitude de dormir ! Tu ne m’as pas connu à cette époque puis – mince alors, il était petit, j’avais oublié… «

Harry regarda tout autour les chaussures et les parapluies empilés se rappelant comment il avait l'habitude de se réveiller chaque matin regardant vers le haut le dessous de l'escalier, qui le plus souvent était orné d’une une araignée ou deux.

Tels avaient été les jours avant qu’il ne su qu’elle était sa véritable identité ; avant qu'il ait découvert comment ses parents étaient morts ou pourquoi tant de choses étranges se produisaient autour de lui.

Mais Harry pouvait encore se rappeler les rêves qui l'avaient poursuivi, même en ces jours : rêves confus impliquant des éclairs de feu vert et une fois de l’oncle Vernon qui avait presque écrasé la voiture quand Harry avait racontée une histoire de moto volante…

Soudain un hurlement assourdissant venait d’être fait non loin d’ici. Harry se redressa vers le haut et se cogna la tête sur la basse armature de la porte. En faisant une pause pour employer des jurons de son oncle Vernon, il chancela de nouveau vers la cuisine, saisissant sa tête et regardant fixement par de la fenêtre dans le jardin.

L'obscurité semblait onduler, l'air lui-même tremblait.

Puis, des personnes commençaient à apparaître dans la rue pendant que le charme de désillusion se soulevait. La plus grand d’entre eux était Hagrid, portant un casque et des lunettes et se reposant à cheval sur une énorme motocyclette avec un side-car noir joint. Tout autour de lui d'autres personnes descendaient de leurs balais et deux autres d’un sombrals.

En ouvrant rapidement la porte de derrière, Harry dévala dans leur direction. Il y eu un cri général de salutation car Hermione lui sauta dessus, Ron lui tappa dans le dos, et Hagrid demanda, « Ca va,

Harry ? Tu es prêt à partir ? »

« Certainement, » dit Harry, souriant d’être avec eux.

« Mais je ne m'attendais pas à autant de personnes ! »

« Un changement du plan, » grogna FolOeil, qui tenait deux énormes sacs, et dont l'oeil magique tournait à toute vitesse pour faire le tour du jardin avec une rapidité vertigineuse. «Mettons-nous à couvert avant de parler de ça . »

Harry les fit entrer tous dans la cuisine où, riant et bruyant, ils s’assirent sur des chaises, posée sur le sol brillant, regardant les appareils ménagers ; Ron, avait grandi ; Hermione, avait ses cheveux

touffus attachés en arrière dans une longue tresse ; Fred et Georges, grimaçant identiquement ; Bill, balafré et aux cheveux longs ; Mr. Weasley , souriant le regardant, commençant à perdre ces cheveux, ses lunettes, un peu de travers ; FolOeil, fatigué, avec une jambe de bois, son oeil magique bleu lumineux tournant dans son orbite ;Tonks, dont les cheveux courts étaient de sa couleur préférée rose ; Lupin, plus gris, plus rayé ; Fleur, mince et belle, avec ses longs cheveux blonds argentés ; Kingsley, chauve et aux larges épaules; Hagrid, avec ses cheveux et sa barbe sauvage, se

tenant penché pour éviter de cogner sa tête sur le plafond ; et Mondingus Fletcher, petit, sale, et honteux, avec les yeux et les cheveux emmêlés comme un chien de ville. Le coeur de Harry semblait s’emballer de plus en plus :

Il se sentait vraiment heureux de les voir tous, même Mundingus, qu'il avait essayé d'étrangler la dernière fois où ils s’étaient rencontrés.

« Kingsley, je pensais que vous vous occupiez du premier ministre Moldu ? » l’appelant à travers la pièce.

« Il peut vivre sans moi pour une nuit, » dit Kingsley, « Vous êtes le plus important. »

« Harry, qu’est ce que c’est ? » dit Tonks en montrant la machine à laver, et elle agita sa main gauche

; un anneau y scintiller.

« Vous vous êtes mariés ? » dit Harry, en la regardant elle et lupin.

« Je suis désolé que tu ne sois pas venu Harry. »

« C’est formidable, mes félicitations «

« Bien, bien, nous aurons le temps pour rattraper tout cela plus tard, » hurla Maugrey par-dessus le tumulte et le silence tomba dans la cuisine. Maugrey laissa tomber ses sacs à ses pieds et se tourna vers Harry.

« Je suppose que Dedalus t’a probablement indiqué, que nous avons dû abandonner le plan A. Puis

Thicknesse surveille tout les transports, ce qui nous donne un grand problème. Il risque d’être averti

si nous relions cette maison au réseau de poudre de cheminette, ou en plaçant un Portoloin ici, ou en transplanant.

Tout à fait au nom de votre protection, pour empêcher Celui d’on on ne doit pas prononcer le nom pour en avoir après toi. Ce qui est injustifié, vu que le charme de votre mère fait déjà cela. Ce que l’on doit faire est de vous faire sortir d'ici sans risque. »

« Deuxième problème : Vous êtes mineur, donc l’utilisation de ces moyens laisse une trace. »

« Je ne sais pas « dit Harry.

« La trace, la trace ! » dit FolOeil impatiemment.

« Le charme qui permet de détecté l'activité magique d’un jeune sorcier de moins de 17 ans, est la manière dont le ministère se sert pour découvrir si un mineur à utiliser la magie ! Si toi, ou n'importe qui autour de toi, fait un sortilège pour vous sortir d'ici, Thicknesse le saura directement, ainsi que les mangemorts. »

« Nous ne pouvons pas attendre pour partir, parce que le jour de votre dix-septième anniversaire vous perdrez toute la protection que votre mère vous a donné. En bref, Puis Thicknesse pense vous avoir à l’oeil. »

Harry ne pourrait rien faire de peur de mettre au courant le Thicknesse inconnu.

« Alors comment allons nous faire ? »

« Nous allons employer le seul moyen de transport dont nous disposons, les seules traces qu’il ne peut détecter, parce que nous n'avons pas besoin de jeter des sorts pour les employer : balais, sombrals, et la moto volante de Hagrid

Harry le vit sortir des pailles ; cependant, il tenu sa langue pour donner à FolOeil la chance de les adresser.

« Maintenant, le charme de votre mère ne se cassera seulement qu’à deux conditions : quand vous aurez atteint votre majorité » - Maugrey fit des gestes autour de la cuisine lorsque tu ne considéreras plus cette maison comme tienne. Et que toi, ta tante et ton oncle avait décidé de ne plus vivre ensemble à partir de ce soir, correct ? »

Harry inclina la tête.

« Ainsi cette fois, quand tu partiras, le charme se cassera à partir du moment où tu deviendras majeur. Nous choisissons de la casser plutôt, parce que Vous savez qui attend ce moment pour venir vous chercher.

« L'une des chose que nous avons de notre côté est que Vous savez qui ne connaît l’endroit où nous vous emmenons ce soir. Nous avons donner une fausse piste au ministère : Ils pensent que tu ne partiras pas avant le 30. Cependant, nous ne pouvons pas compter sur lui pour croire à cette fausse piste ; il mettra deux ou trois mangemorts à patrouiller les cieux dans ce secteur, juste au cas où.

Ainsi, nous avons donné aux maisons une douzaine de sortilèges de protection différents pour que nous puissions nous défendre.

Ils étudient chaque endroit comme celui où nous allons te cacher, ils nous faut obtenir le tout par un certain raccordement avec l'ordre : ma maison, l'endroit de Kingsley, tante Muriel de l'aquarium populaire - vous avez l'idée. »

« Oui, » dit Harry, pas entièrement sincère, parce qu'il pourrait encore repérer un trou béant dans le plan.

« Vous irez chez les parents de Tonks, dit Maugrey. Une fois que vous êtes dans les limites des sortilèges protecteurs que nous avons mis au dessus de leur maison que vous pourrez employer un

Portoloin au terrier. Des questions ? »

« Heu - oui, » dit Harry. « Peut-être qu’ils ne sauront pas laquelle des douze maisons bloquées vers lesquelles je me dirige pour commencer, mais ils ne se feront pas avoir deux fois

« Oh, » dit Maugrey,

« j'ai oublié de mentionner le point clé. Quatorze de nous ne volera pas avec les parents de Tonks. Il y aura sept Harry Potter se déplaçant par les cieux ce soir, chacun d’eux avec un compagnon, chacun d’entre eux se dirigeant vers une maison sûre différente. »

De l'intérieur de son manteau Maugrey retira un flacon de ce qui ressemblé à de la boue. Il n'y avait aucun besoin pour lui d’en demander plus ; Harry avait compris le reste du plan immédiatement.

« Non ! » cria-t-il, sa voix sonnant dans la cuisine. « Il n’en est pas questions! »

« Je leur ai dit que tu ne serais pas d’accord, » dit Hermione avec satisfaction.

« Si vous pensez que je vais laisser six personnes risquer leurs vies -- ! »

« Parce que tu crois que c’est la première fois ? »Dit Ron.

« C'est différent, tu n’es pas moi idiot. «

« Bien, aucun de nous ne rigolent vraiment, Harry, » indiqua Fred sincèrement. « Imaginer que quelque chose ne se passe correctement et que vous soyez coincé dans un guet-apens. »

Harry ne sourit pas.

« Vous ne pouvez pas le faire si je ne coopère pas, vous avez besoin de moi pour que je donne quelques uns de mes cheveux. »

« Bien, le plan est fichu, » dit George. « Évidemment il n'y a aucune chance du tout que nous obtenions un peu de tes cheveux à moins que tu coopères. »

« Ouais, treize contre un type qui n'est pas permis d'employer la magie ; nous n'avons aucune chance, » dit Fred.

« Très drôle, » dit Harry, « vraiment amusant. »

« S'il doit venir par la force » Maugrey grogna, son oeil magique tournant un peu dans son orbite comme il avait briller chez Harry. « Chacun ici est volontaire, Potter, et ils sont tous prêt à prendre le risque. »

Mondingus gesticula et grimaça ; l'oeil magique fit un écart en longueur pour jeter un coup d'oeil sur lui à travers la tête de Maugrey.

« N'ayons pas plus d'arguments. Le temps s’écoulant. Je veux quelques uns de vos cheveux, jeune homme, maintenant. »

« Mais c'est fou, vous n’en avais pas besoin - «

« Pas besoin ! » gronda Maugrey. « Avec Vous Savez Qui et la moitié du ministère à ces côtés? Potter, si nous sommes chanceux il aura mordu à l’hameçon et il prévoira de vous attirer dans un guet-apens sur le trentième, mais il serait fou pour ne pas avoir un mangemorts ou deux empêchant de garder un oeil, et c’est ce que je ferais à sa place. Ils ne peuvent pas t’atteindre toi ou cette maison tandis que le charme de votre mère existe encore, mais il est sur le point de se casser et ils savent la position approximative de l'endroit. Notre seule chance est d'utiliser des leurres.

Même Vous Savez Qui ne peut pas se couper en sept. »

Harry attira l'attention d’Hermione et regarda loin immédiatement.

« Ainsi, Potter – il me faut quelques uns de vos cheveux, s’il vous plaît. »

Harry jeta un coup d'oeil à Ron, qui grimaça en le regardant.

« Maintenant ! » dit Maugrey, agaçé.

Avec tous les regards sur lui, Harry saisi le dessus de ces cheveux et en arracha quelques uns.

« Bon, » dit Maugrey, boitant en avant pendant qu'il tirait le taquet hors du flacon de breuvage magique. « Directement dedans ici, s’il vous plaît. »

Harry laissa tomber les cheveux dans le liquide de polynectar. Au moment où ils touchèrent la surface, le breuvage magique commença à mousser et à fumée, puis, d'un coup, devint or clair et lumineux.

« Oh, regarde il a l’air beaucoup plus savoureux que celui de Crabbe et Goyle, Harry, » dit Hermione, avant qu’elle s’aperçoive que Ron haussait des sourcil , rougissant légèrement, et disant, « oh, tu sais ce que je veux dire - le breuvage magique de Goyle avec le goût de chiottes . »

« Bon, les faux potters s’alignent ici, s’il vous plaît, » dit Maugrey.

Ron, Hermione, Fred, George, et Fleur s’alignèrent devant l'évier brillant de tante Petunia.

« Nous sommes pas assez » dit Lupin.

« Ici, » dit Hagrid bourru, et il a souleva Mondingus par la peau du cou et le laissa tomber vers le bas près de Fleur, qui rida son nez aigu et se déplaça pour changer de position entre Fred et George.

« Je suis un soldat, mais je serais plus tôt un protecteur, » dit Mondingus.

« La ferme » grogna Maugrey.

« Car je vous ai déjà dit, vers invertébré, tous les mangemorts qui nous courent après veulent capturer Potter, et ne pas le tuer. Dumbledore a toujours indiqué que Vous Savez Qui voudrait tuer

Potter lui-même. Ce sont les protecteurs qui doivent s'inquiéter, car les mangemorts voudront les tuer. » .

Mondingus n'avait pas l’air en particulier rassuré, mais Maugrey tirait déjà une demi-douzaine de verres de l'intérieur de son manteau, qu'il distribua, avant de verser un petit breuvage magique de

Polynectar dans chacun.

« Tout à fait, puis… «

Ron, Hermione, Fred, George, Fleur, et Mondingus burent. Tous haletants ou grimaçants pendant que le breuvage magique passaient dans leurs gorges ; Immédiatement, leurs morphologies commençaient à bouillonner et à se tordre comme de la cire chaude. Hermione et Mondingus grandissaient ; Ron, Fred, et George étaient craintifs ; leurs cheveux obscurcissaient, Hermione et

Fleur semblant tirer vers l'arrière dans leurs crânes.

Maugrey, tout à fait insouciant, détachait maintenant les cravates des grands sacs qu'il avait apportés avec lui. Quand il se redressa, il y avait six Harry Potter devant lui.

Fred et George tournés entre eux et disaient ensemble, « wouah - nous sommes identiques ! »

« Je pense, bien que je suis encore plus beau, » dit Fred, examinant sa réflexion dans la bouilloire.

« Bah, » dit Fleur, se vérifiant dans la porte de micro-onde, « Bill, ne me regarde pas, J’ai l’air idiote. »

« Ceux qui ont des vêtements qui sont un peu spacieux, j'ai plus petit ici »dit Maugrey, indiquant le premier sac, et vice versa. Ne pas oublier les verres, il y a six paires de lunettes dans la poche latérale. Et quand vous êtes habillés, il y a des bagages dans l'autre sac. »

Le vrai Harry pensa que ceci pourrait juste être la chose la plus bizarre qu'il avait jamais vue, et pourtant il avait vu des choses extrêmement bizarres.

Il observa ses six sosies fouillés dans les sacs, retirant des ensembles des vêtements, mettant des lunettes. Il voulait leur demander de montrer un peu plus de respect pour l'intimité pendant qu’ils commençaient à se décoller par l'impunité, clairement plus à l'aise à montrer son corps que s’ils avaient été dans les leurs.

« J'ai savais que Ginny se trompait au sujet de ce tatouage, » dit Ron, regardant son torse nu.

« Harry, ta vue est vraiment terrible, » dit Hermione, car elle mis ces lunettes.

Une fois 'habillé, les faux Harry prirent des sacs à dos et des cages de hibou, chacun contenant un hibou couleur neige, du deuxième sac.

« Bon, » dit Maugrey, car les sept se sont habillés, À lunettes, et Harry bagage chargé lui a fait face. «

Les paires seront comme suit : Mondingus voyagera avec moi, par le balai - «

« Pourquoi je suis avec toi ? » grogna le Harry le plus près de la porte arrière.

« Puisque vous êtes celui qui a besoin d’observer, » grogna Maugrey, et d’être sure, son oeil magique regardant Mondingus pendant qu'il continuait, « Arthur et Fred - «

« Je suis Georges, » dit le jumeau à qui Maugrey parlait. « Ne pouvez vous-même pas nous dire à part quand nous sommes Harry ? »

« Désolé, Georges - «

« Je tire seulement votre baguette magique, je suis Fred vraiment - «

Assez « Ca suffit ! » Maugrey grogna. « L'autre - George ou Fred ou celui que vous êtes - vous êtes avec Remus. Mlle Delacour - «

« Je prends Fleur sur un sombral, » dit Bill. « Elle n'est pas très adeptes des balais. »

Fleur marcha vers lui, lui donnant un regard mou et servile qu’Harry espéra avec tout son cœur n’apparaîtrai jamais sur son visage.

« Mlle Granger avec Kingsley, encore par sombral - «

Hermione sembla rassuré pendant qu'elle rendit un sourire à Kingsley ; Harry savait qu’Hermione n’était pas non plus à l’aise sur un balai.

« Ce qui laisse toi et moi, Ron ! » dit Tonks brillamment, en frappant au dessus d’une rangée de tasse.

Ron n'a pas regardé aussi heureux que Hermione.

« Et tu es avec moi, Harry. Tout est ok? » Indiqua Hagrid, regardant peu un impatient. « Nous serons sur la moto, vu que balais et sombrals ne peuvent pas me prendre vu mon poids. Pas beaucoup de pièces d'or sur le siège avec moi là-dessus, bien que tu sois dans le side-car. »

« C’est d’accord »dit Harry, pas tout à fait sincère.

« Nous pensons que les mangemorts s'attendront à ce que tu sois sur un balai, » dit Maugrey, qui sembla deviner comment Harry se sentait. « Severus a eu l'abondance de leur dire tout à ton sujet qu’il n'avait jamais mentionné avant, ainsi si nous rencontrons par hasard des mangemorts, nous sommes pariant eux choisirons un des Potter qui vont vers une maison sur un balai.

Bien puis, il continua, rangeant dans le sac les vêtements des faux Potter et se dirigea de nouveau vers la porte, « je laisse trois minutes jusqu'à ce que nous soyons censés partir. Aucun ne ferme à clef la porte arrière, elle n'empêchera pas les mangemorts d’entrée quand ils viendront regarder. Venez sur… »

Harry se dépêcha pour prendre son sac à dos, son éclair de feu et la cage d’Hedwige et suivi le groupe à l’arrière du jardin.

De chaque côté les balais sautaient dans des mains ; Hermione était déjà monté sur un grand sombral noir avec Kingsley, Fleur sur l'autre par Bill. Hagrid se tenait près de la moto, lunettes sur les yeux.

Est-ce que « c'est elle ? Est-ce la moto de Sirius ? »

« Ce sont les mêmes, » dit Hagrid, rayonnant regardant vers le bas Harry. « Lorsque que le yeh de la fois passée était là-dessus, Harry, je pourrais adapter le yeh dans une main ! »

Harry ne pouvait pas aider mais sentir humilié pendant qu'il entrait dans le side-car. Il l'a placé autrement plusieurs pieds au-dessous de tout le monde : Ron souri d'un air affecté à sa vue s'asseyant là comme un enfant dans une voiture de butoir. Harry bourra son sac à dos et son balai vers le bas de ses pieds et enfonça le cage de Hedwige entre ses genoux.

Il était extrêmement inconfortable.

« Arthur fait un tour de surveillance rapide » dit Hagrid, tout à fait inconscient du malaise de Harry. Il se mettait à cheval sur la moto, qui grinça légèrement et descendit de quelques pouces vers le sol. «

Elle a quelques tours pour monter de ses douilles maintenant. Ta une idée. » Il dirigea un doigt épais sur un bouton pourpre près du tachymètre.

«Faites attention, Hagrid. » dit Mr.Weasley, qui se tenait près d’eux, tenant son balai. « Je ne suis toujours pas sûr que ce soit recommandé et il doit certainement être employé seulement dans les urgences. »

« Bien. » dit Maugrey. « Chacun est prêt, SVP. Je veux que nous tous partions exactement au même moment ou au point de dispersement. »

Tout le monde fit un signe de tête.

« Reste prêt de moi, Ron, » dit Tonks, et Harry vu le geste forcé de Ron, regardant d’un air coupable lupin avant de placer ses mains de chaque côté de sa taille. Hagrid donna un coup de pied la motocyclette démarra : Elle hurla comme un dragon, et le side-car commença à vibrer.

« Bonne chance, chacun, » cria Maugrey. « On se revoit tous dans environ une heure au terrier.

Attention à trois. Un… deux. TROIS. »

Il y eu un grand hurlement de la moto, et Harry senti le side-car donner une embardée méchante. Il se levait vers les airs rapidement, ses yeux pleurant légèrement à cause du vent, des cheveux fouettés dégagent son visage. Autour de lui les balais étaient ascendants montant aussi ; la longue queue noire d'un sombral l’effleurant. Ses jambes, bloquées dans le side-car par le cage d’Hedwige et son sac à dos et ces jambes commençait déjà à s’engourdit et lui faire mal.

Si grand était son malaise qu'il avait presque oublié de prendre un dernier aperçu de la rue Privet du numéro quatre. Avant qu'il n’ai regardé par-dessus le side-car il ne pouvait plus dire où il était.

Et puis, de nulle part, l’air de rien ils étaient entourés au moins d’une trentaine de personnages avec un capuchon suspendu dans les airs en formant un large cercle dont les membres de l’ordre s’étaient levés, inconscient.

Des cris perçants, une flamme de feu vert de chaque côté: Hagrid poussa un hurlement et la moto alla plus vite. Harry perdu son sens de l’orientation. Les réverbères défilèrent au-dessus de lui, des hurlements autour de lui, il s'accrochait au side-car, pendant ce moment. La cage d'Hedwige, l'éclair de feu, et son sac à dos glissèrent sous ses genoux –

« Non, au secours »

Le balai tourna aussi, mais il était juste parvenu à saisir la courroie de son sac à dos et le dessus de la cage pendant que la moto remontait en hauteur.Un soulagement d'une seconde, et puis un éclat différent de feu vert. Le hibou poussa des cris perçants et tomba au plancher de la cage.

« NON, NON » dit Harry.

La moto bourdonna en avant ; Harry aperçu les mangemorts dispersait comme Hagrid soufflé par leur cercle.

« Hedwige - Hedwige - »

Mais le hibou immobile étendu par terre comme un jouet sur le plancher de sa cage. Il ne pouvait pas le prendre dedans, et sa terreur pour les autres était primordiale.

Il jeta un coup d'oeil par dessus de son épaule et vu une masse de personnes se déplaçant, jets de lumières vertes, deux paires de personnes sur des balais montant au loin dans la distance, mais lui ne pouvait pas dire qui ils étaient -

« Hagrid, nous devons retourner, nous devons retourner ! » il hurla au-dessus de l'hurlement assourdissant du moteur, retirant sa baguette magique, enfonçant le cage d'Hedwige dans le plancher, refusant de croire qu'elle était morte. « Hagrid, TOURNENT AUTOUR ! »

« Mon travail c'est que tu y arrives sûr, Harry ! » beugla Hagrid, et il ouvrit la commande de puissance.

« Arrête - ARRÊTE ! » Harry cria, mais pendant qu'il regardait en arrière encore deux jets de lumières vertes passèrent près de son oreille gauche : Quatre mangemorts avaient quittés le cercle et les poursuivaient, visant le large dos de Hagrid.

Hagrid fit un écart, mais les mangemorts suivaient la moto ; et leurs lançait le sort maudit sur eux,

Harry dû descendre bas dans le side-car pour les éviter. se tortillant autour à pleuré, « Stupéfix! » et un jet rouge sorti de sa propre baguette magique, fendant un espace entre les quatre mangemorts comme ils ont dispersé pour l'éviter.

« Tire dessus, Harry, ceci suffira pour eux ! » Hagrid hurla, et Harry réagissa juste à temps pour voir

Hagrid claquer un doigt épais dans un bouton vert près de la mesure de carburant.

Un mur, un mur noir plein, éclaté hors du pot d'échappement. Tendant le cou, Harry le vit augmenter dans le ciel. Trois des mangemorts firent un écart et l’évitèrent, mais le dernier n'était pas aussi chanceux ; Il disparu de la vue et le vit tomber contre un rocher derrière, son balai divisé en morceaux.

Un de ses camarades ralenti jusqu'à lui, mais eux et le mur aéroporté furent avalés par l'obscurité pendant que Hagrid se penchait au-dessus du guidon et accélérait.

Plusieurs sorts impardonnables volèrent autour de la tête de Harry des deux baguettes magiques des mangemorts restants ; elles visaient Hagrid. Harry répondit avec d'autres charmes de stupéfiction :

Le sort rouge et vert s'heurtèrent dans le ciel dans une explosion d'étincelles multicolores, Harry pensa d'une manière extravagante aux feux d'artifice, et au moldu au-dessous qui n'aurait aucune idée de ce qui se produisait –

« Ici encore, Harry, tire dessus ! » Hagrid hurla, et il enfonça un deuxième bouton. Cette fois un grand filet éclata de l'échappement de la moto, mais les mangemorts étaient prêts pour lui. Non seulement ils firent un écart pour l'éviter, mais le compagnon qui avait ralenti pour sauver son, ami sans connaissance avait rattrapé. Il a fleuri soudainement hors de l'obscurité et maintenant trois d'entre eux poursuivaient la motocyclette, tous les sortilèges volant autour d’elle.

« Cela va suffire, Harry, tire fort dessus ! » Hagrid hurlait, et Harry le vit claquer sa main entière sur le bouton pourpre près du tachymètre.

Avec un hurlement beuglant indubitable, le feu d’un dragon éclata de l'échappement, blanc et bleu, et la moto partie comme une balle avec un bruit de métal d'arrachement. Harry vit les mangemorts faire un écart hors de la vue pour éviter la traînée mortelle de la flamme, et en même temps il senti le side-car se balancer :

: Ses raccordements en métal à la moto s'étaient brisés avec la force de l'accélération.

« Ca va allez, Harry ! » beugla Hagrid, apparemment tirer vers l'arrière par la montée subite de la vitesse ; personne ne suivait maintenant, et le side-car commençait à tordre violemment dans le sillage de la moto.

« Je suis là, Harry, pas de soucis ! » hurla Hagrid, et de l'intérieur de sa poche veste il tira son parapluie rose fleuri.

« Hagrid ! Non ! Laisser ! » dit Harry.

« REPARO ! »

Il y eu un coup assourdissant et le side-car se cassa à partir de la moto. Harry fut expédié en avant, propulsé par l'impulsion du vol de la moto, puis le side-car commença à perdre de l'altitude -

Dans le désespoir Harry dirigea sa baguette magique au side-car et cria, « Wingardium Leviosa ! »

Le side-car se leva comme un liège, non tiré mais au moins encore aéroporté. Il eu un soulagement de second instant, car cependant, car aucun sortilège n'était après lui : Les trois mangemorts ne les voyaient pas.

« Je reviens, Harry ! » Hagrid hurla alors dans l'obscurité, mais Harry pouvait sentir le side-car commencer à descendre encore : Se tapissant aussi bas qu'il pourrait, il se dirigea vers les figures approchantes et hurla, « Impedimenta ! »

Le sort frappa le mangemort à la poitrine ; Pour un instant l'homme semblait étourdit comme s'il avait frappé une barrière invisible : Un de ses camarades s'était presque heurté à lui -

Alors le side-car commença à tomber sérieusement, et le mangemort restant tira un sort si proche d'Harry qu'il dû se pencher au-dessous de la jante du side-car, se cassant une dent sur le bord de son siège - « je suis de retour, Harry, je suis de retour! »

Une main énorme saisi le dos de la robes longue d'Harry et le leva hors du side-car descendant ;

Harry tira son sac à dos avec lui comme si il traînait sur le siège de la moto et se trouva dos à dos avec Hagrid. Comme ils montaient vers le haut, à partir des deux mangemorts restants, Harry cracha le sang hors de sa bouche, dirigea sa baguette magique au side-car en baisse, et hurla, « Confringo ! »

Il sentit une douleur redoutable. Le mangemort le plus près d’Hedwige fut éjecter de son balai et tomba hors de vue ; son compagnon tomba en arrière et disparu.

« Harry, je suis désolé, je suis désolé, » Hagrid gémi, « la réparation de la moto est de ma faute – je n'ai obtenu aucune pièce - »

« Ce n'est pas un problème, juste vol de subsistance ! » cria Harry en arrière, car deux mangemorts supplémentaires avaient émergé hors de l'obscurité, dessinant plus étroitement.

Pendant que les sorts passaient à travers l'espace d'écart, Hagrid fit un écart et zigzagua: Harry su qu'Hagrid n'avait pas osé l'utilisation du bouton du dragon feu, Harry s'assit non plus rassuré.

Harry renvoya le charme renversant leurs poursuivants, les tenant à peine au loin. Il leur lança un autre sort de blocage. Le mangemort le plus maigre fit un écart pour l'éviter et son capuchon glissa, et par la lumière rouge de son prochain charme renversant, Harry vit le visage étrangement blanc de

Stanley Shunpike - Stan -

« Expelliarmus ! » hurla Harry.

«C’est lui, il est lui, il est le vrai ! »

Le cri du mangemort atteint Harry même au-dessus du tonnerre du moteur de la motocyclette : Le moment prochain, les deux poursuivants étaient tombés en arrière et avaient disparu de sa vue.

« Harry, qu'est ce qui a? » beugla Hagrid. « Où les avoir allés ? »

« Je ne sais pas ! »

Mais Harry avait peur : Le mangemort avait crié, « il est le vrai ! » Il regarda autour de lui l'obscurité apparemment vide et senti fixement une menace. Où étaient-ils ?

Il grimpa autour du siège pour faire face en avant et saisi la prise du dos de la veste de Hagrid.

« Hagrid, appuie sur le bouton du dragon feu encore, sortons d'ici ! »

« Appuie dessus fort, Harry ! »

Il y eu un nouvelle hurlement, poussant des cris perçants et le feu blanc-bleu explosa hors de l'échappement : Harry se senti glisser vers l'arrière outre duquel peu du siège où il était. Hagrid jeta un coup d'oeil derrière lui, tenant à peine sa poignée sur le guidon –

« Je pense que nous les avons semés Harry, je penses que nous l'avons fait ! » hurla Hagrid.

Mais Harry n’était pas convaincu ; La crainte enroulée en lui pendant qu'il regardait de gauche à droite il était sûr qu'ils reviendraient. …. Pourquoi les avoirs laisser tomber? L'un d'entre eux avait toujours eu une baguette magique. …. Il est lui. Il est le vrai. …. Ils l'avaient dit à droite après qu'il ait essayé de désarmer Stan. ….

« Nous y sommes presque, Harry, nous l'avons presque fait ! » cria Hagrid.

Harry senti la moto se laisser tomber, cependant le duvet léger au sol semblé toujours distant comme les étoiles.

Alors la cicatrice sur son front brûla comme le feu : pendant qu'un mangemort apparaissait de chaque côté de la moto, deux avada kedavra manquèrent Harry à quelques millimètres -

Et alors Harry le vu. Voldemort volait comme la fumée sur le vent, sans balai ou sombral pour le tenir, son visage de serpent brillant hors de la noirceur, ses maladies de Raynaud soulevant sa baguette magique encore -

Hagrid laissa dehors un beuglement de crainte et orienta la moto dans un piqué vertical.

S'accrochant dessus pour sa vie, Harry envoya des charmes de stupéfaction au hasard dans la nuit de tourbillonnement. . Il a vu un corps voler après lui et il su qu'il avait frappé l'un d'entre eux, mais d'autre part il entendit des étincelles d'un coup et de scie du moteur ; la moto se développée en spirales, complètement hors de commande -

Des lumières vertes après eux encore. Harry n'eu aucune idée de la manière de s'en débarrasser:

Sa cicatrice brûlait toujours ; il comptait mourir à n'importe quelle seconde. Un mangemort à capuchon sur un balai était à quelques mètres de lui, il le vit soulever son bras -

« NON ! »

Avec un cri de fureur Hagrid se lança outre de la moto sur le mangemort ; à son horreur, Harry vit

Hagrid et le mangemort, tombant hors de vue, leur poids combiné trop pour le manche à balai -

À peine saisissant la moto descendant avec ses genoux, Harry entendu le cri perçant de Voldemort,

« mine ! »

Elle était terminée : Il ne pourrait pas voir ou entendre où Voldemort était ; il aperçu un autre mangemort à l'écart et entendu, « Avada - »

« Hagrid ! »Appela Harry, se tenant au dessus de la moto. « Hagrid - Accio Hagrid ! »

La moto accéléra, fonçant vers la terre. Se tenant au niveau du guidon, Harry pouvait ne rien voir mais les lumières s'éloignées presque et presque s'élevant : Il allait se briser et il n'y avait rien qu'il pourrait faire à son sujet. Derrière lui venait un autre cri perçant, « votre baguette magique, Selwyn, donnez moi votre baguette magique ! »

Il senti Voldemort avant qu'il l'ait vu. Regardant derrière-lui, il regarda dans les yeux rouges et su qu'ils seraient la dernière chose qu'il ne verrais jamais: Voldemort se prépara à laisser le sort de la mort -

Et alors Voldemort disparu. Harry regarda vers le bas et vu Hagrid au sol au-dessous de lui. Il tira dur sur le guidon pour éviter de le heurter, chercha à tâtons le frein, mais avec une vitesse à crever le tympan, accident contre de la terre, il s'écrasa contre un étang boueux.

Chapitre 5: La chute du combattant

H

agrid? "

Harry lutta pour se dégager des débris de cuir et de métaux qui l'engouffraient. Il plongea la main dans plusieurs profondeurs d'eaux boueuses, essayant tant bien que mal de garder l'équilibre. Il ignorait où était parti Voldemort. Il s'attendait à le voir surgir des ténèbres à tout moment. Quelque chose de chaud et d'humide ruisselait sur son visage, lui brouillant la vue. Harry rampa péniblement hors de l'étang, puis trébucha contre la masse sombre et informe que formait la silhouette inconsciente de Hagrid.

" Hagrid ! Hagrid, parlez moi ! "

Toutefois, la masse gigantesque ne réagit pas.

" Qui est là ? Est-ce Potter ? Es-tu Harry Potter ? "

La voix de cet homme était inconnue de Harry. Ensuite, ce fut une voix de femme qui s'éleva .

" Ils se sont écrasés ! Ted ! Ils se sont écrasés dans le jardin ! "

Harry se sentait vertigineux, son cerveau lui semblait brumeux. .

" Hagrid ! " répéta-t-il bêtement. Ses genoux fléchirent et il tomba étendu sur le dos, victime d'une douleur cuisante aux côtes et aux bras droit. Sa cicatrice lui picotait désagréablement.

" Hagrid ? "

Harry ouvrit les yeux et constata qu'il était couché sur un canapé, dans un salon qui lui était totalement inconnu. Son sac à dos se trouvait à quelques mètres de lui, trempé et boueux. Un homme à la chevelure blonde et au ventre généreux le regardait avec inquiétude.

" Hagrid va bien, mon garçon. " dit l'homme d'une voix qui se voulait paternelle.

La femme l'observait aussi, à présent.

" Tu te sens bien ? Rien d'autre de casser ? J'ai réparé tes côtes ainsi que tes dents, puis j'ai ressoudé ton bras. Je suis Ted, en passant, Ted Tonks. "

" Le père de Nymphadora ! " ajouta-t-il.

À ces mots, Harry se leva si précipitamment que des lumières dansèrent devant ses yeux. Il se sentit alors incroyablement faible et étourdie.

" Voldemort ... "

" Tout va bien, maintenant. " dit Ted en posant la main sur l'épaule de Harry, avant de le repousser délicatement sur les coussins du canapé.

" C'est tout un accident que vous avez eu. Que s'est-il passé ? Un problème avec la moto ? Arthur

Weasley à encore surestimé les objets moldus. "

" Non. " dit Harry tandis qu'un élan douloureux parcourait sa cicatrice, lui donnant l'impression qu'elle s'était ouverte. " Les Mangemorts, bon nombre d'entre eux. Nous avons été traqués, puis pousuivis. "

" Les Mangemorts ?! " s'exclama brusquement ledit Ted. " Tu en es sûr ? Je pensais qu'ils ignoraient que ton transfert s'effectuait ce soir ! "

" Ils l'ont appris, de toute évidence. " répondit Harry d'un air sinistre.

Ted Tonks regarda le plafond, comme s'il arrivait à y voir au travers.

" Au moins, nous savons maintenant que le sortilège mis en place fonctionne. Ils ne peuvent pas s'approcher d'ici à moins de cent yards à la ronde ! "

Désormais, Harry comprenait pourquoi Voldemort s'était volatilisé ainsi. Ils avaient cessé d'être vulnérable à la minute où la motocyclette avait franchi la limite du sortilège mis en place par l'ordre.

Harry souhaitait ardemment que le charme continuait d'agir, il ne cessait de s'imaginer Voldemort,

100 yards au-dessus, réfléchissant aux moyens de briser et, par le fait-même, de pénétrer leur défense.

Harry bascula les jambes et entreprit de se lever du canapé. Il voulait voir Hagrid. Il ne croirait qu'il était vivant que lorsqu'il l'aurait constaté de ses propres yeux. Il s'était tout juste levé qu'une porte s'ouvrit, laissant apparaître Hagrid, le visage couvert de sang et de boue, légèrement clopinant, mais miraculeusement en vie.

" Harry ! "

Renversant au passage deux tables basses et un aspidistra, Hagrid traversa l'espace qui le séparait de

Harry en tout juste deux pas. Il tira Harry, l'attira vers lui, puis lui fit une étreinte qui faillit lui briser les côtes, tout juste reconstituées.

" Dieu du ciel, Harry, comment as-tu fait pour te sortir d'une telle situation ? Je croyais que c'était la fin pour nous deux ! "

" Oui, moi aussi ! Je n'arrive pas à y croire ! " dit Harry, tandis qu'il se défaisait de l'étreinte de

Hargrid. Il venait tout juste de remarquer la femme qui avait pénétré la pièce, derrière Hagrid.

" Vous ! " hurla-t-il, fouilla aussitôt sa poche à la recherche de sa baguette magique. Cependant, celle-ci était vide.

" Ta baguette est ici, mon garçon. Elle est tombée près de toi, je l'ai donc ramassée. Et c'est sur ma femme que tu hurles. "

" Oh ! Je - Je suis désolé. "

Tandis que Mrs Tonks s'approchait, la ressemblance entre sa soeur Bellatrix et elle devenait moins prononcée. Effectivement, ses cheveux étaient d'un brun plus clair, puis ses yeux étaient plus larges et plus aimables que ceux de sa soeur. Cependant, elle avait regardé Harry du même regard hautain lorsqu'il avait hurlé.

" Qu'est-il arrivé à notre fille ? " demanda-t-elle.

" Hagrid a dit que vous avez été attirés dans une embuscade, où est Nymphadora ? "

" Je ne le sais pas, nous ignorons totalement ce qui est arrivé aux autres. "

Ted et elle échangèrent un regard accablé. Un mélange de crainte et de culpabilité s'empara alors de

Harry. Et si l'un des autres étaient morts ? Il était coupable, totalement coupable. Il avait consenti au plan. Il avait fourni les cheveux.

" Le portoloin ! " dit-il, retrouvant soudainement la mémoire.

" Nous devons retourner au Terrier, on doit savoir... une fois là-bas on sera en mesure de vous envoyer un mot, ou Tonks va... si elle... "

" Dora va bien, Andromeda. " l'interrompit Ted. " Elle sait se débrouiller. Elle doit constamment faire face à ce genre de situation, c'est une Auror. Le portoloin est ici, " ajouta-t-il à l'adresse de Harry. " Si vous désirez le prendre, Hagrid et toi, il part dans trois minutes. "

" Oui, c'est ce que nous allons faire. "

Il saisit alors son sac à dos, puis le posa sur son épaule.

" Je ... "

Il regarda Mrs Tonks, désireux de lui faire des excuses pour l'état de crainte dans lequel il l'avait plongée. Il se sentait infiniment coupable. Cependant, aucun mot de réconfort d'une quelconque profondeur ne lui vint en tête.

" Je dirai à Tonks, Dora, d'envoyer un mot quand elle... Merci de nous avoir raccommodés, merci pour tout, je ... "

Harry fut content de quitter la salle pour suivre Ted Tonks à travers un petit vestibule qui conduisait à une chambre à coucher. Hagrid arriva peu après eux, se penchant pour éviter de se cogner la tête contre le linteau de la porte.

" Et voilà, mon garçon, c'est le portoloin. "

Ted désigna une brosse à cheveux, étalée sur la commode.

" Merci. " dit Harry, avançant difficilement jusqu'à l'objet, sur lequel il posa l'index, prêt à partir.

" Attend un instant, Harry. Où est Hedwige ? " demanda-t-il tout en jetant des coups d'œil frénétiques autour de la chambre.

" Elle.... Elle a été touchée... " ses propres mots résonnèrent en lui, péniblement.

Il se sentait honteux tandis que ses yeux s'emplissaient de larmes tièdes. La chouette avait été son

unique compagnon, son lien d'espoir avec le monde de la magie, chaque fois qu'il avait été contraint de retourner chez les Dursley. Hagrid déploya une main énorme et tapota douloureusement l'épaule de Harry.

" Ne t'en fais pas. " dit-il, dans un grognement. " Ne t'en fais pas. Elle a eu une vie longue, heureuse et comblée. "

" Hagrid ! " avertit Ted Tonks, tandis que la brosse s'animait d'une lueur bleutée.

Hagrid eut tout juste le temps de poser le doigt sur l'objet. Dès lors, la sensation d'être entraîné de force dans le néant par un crochet invisible envahit Harry. Il ressentit l'habituelle secousse au niveau du nombril, avant d'être emporté, loin de Ted Tonks, dans un tourbillon de sons et de couleurs, tournant inlassablement, son doigt collé au portoloin. Quelques secondes plus tard, les pieds de

Harry fléchit au contact du sol dure de la cour du Terrier. Harry entendit des cris perçants, tandis qu'il jetait la brosse à cheveux, redevenue normale. Légèrement chancelant, Harry se remit sur ses

pieds avant d'apercevoir Mrs Weasley et Ginny qui couraient vers lui. Hagrid, à côté de lui, s'était aussi redressé.

" Harry ? Es-tu le vrai Harry ? Que s'est-il passé ? Où sont les autres ? " sanglota Mrs Wealsey.

" Que voulez-vous dire ? Ils ne sont pas revenus ? " haleta Harry.

Le teint blafard et l'expression de profonde angoisse qu'on pouvait lire sur le visage de Mrs Weasley vinrent confirmer les pires appréhensions de Harry..

" Les Mangemorts nous attendaient, " lui dit Harry. " Nous avons été encerclés dès que nous avons rompu la formation. Ils savaient que ça se passait ce soir. J'ignore ce qui est arrivé aux autres. Quatre des Magemorts nous ont pourchassés ! Nous avons fait ce que nous pouvions pour nous échapper, mais Voldemort nous a rattrapés. " raconta Harry, d'un ton où perçait le désespoir.

Il se sentait obligé de se justifier de ne pas savoir où se trouvait ses fils. Un cuisant sentiment de culpabilité lui oppressait la poitrine.

" Dieu merci, vous êtes sains et saufs ! "

" Tu n'aurais pas un peu d'eau-de-vie, Molly ? " demanda Hagrid, d'une voix mal-assurée. " À fin médicinale, bien sûr. "

Elle aurait pu obtenir l'objet en utilisant un sortilège, toutefois, tandis qu'elle entrait dans la maison biscornue, Harry constata qu'elle désirait cacher son visage.

Harry se tourna vers Ginny qui répondu à la question muette de Harry.

" Ron et Tonks auraient dû être les premiers à revenir, mais ils ont raté le portoloin. Il est revenu sans eux. " dit-elle tout en désignant un vieux bidon d'huile qui se trouvait à proximité. " Et ça, " continuat- elle en se dirigeant vers une chaussure antique. " devait être celui de Fred et de Papa, ils étaient les seconds. Hagrid et toi étiez les troisièmes et " elle regarda sa montre, " s'ils prennent leur portoloin,

George et Lupin devraient arriver dans moins d'une minute. "

Mrs Weasley réapparu, une bouteille d'eau-de-vie à la main. Elle la tendit à Hagrid, qui la vida d'uns seul trait.

" Maman ! " cria Ginny en fixant un point à quelques mètres de là.

Effectivement, une lumière bleutée venait de jaillir de l'obscurité. La source lumineuse s'élargit, puis

George et Lupin apparurent, tournant légèrement avant de s'effondrer. Harry sut tout-de-suite que quelque chose n'allait pas. Lupin soutenait la silhouette, visiblement inconsciente, de George, dont le visage ruisselait de sang. Harry se précipita pour aider Lupin à transporter George à l'intérieur, où ils le déposèrent sur le canapé. Lorsque la lampe illumina la tête de George, Ginny gémit, tandis que l'estomac de Harry se retourna. Une des oreilles de George avait été arrachée et une large entaille qui allait de sa tête jusqu'à son cou laissait échappé un flot torrentiel de sang écarlate.

Mrs Weasley venait tout juste de se pencher sur son fils quand Lupin saisit brusquement le bras de

Harry, puis l'entraîna dans la cuisine où Hagrid se trouvait toujours, essayant vainement de passer son corps gigantesque à travers la porte sans tout détruire.

" Hey ! " s'indigna Hagrid. " Laisse le tranquille ! Laisse le tranquille ! "

Lupin l'ignora.

" Quelle créature se trouvait dans mon bureau, la première fois que tu as visité mon bureau, à

Poudlard ? " demanda-t-il en secouant Harry. " Répond ! "

" Un strangulot dans ... un aquarium. "

Lupin poussa un soupir de soulagement et relâcha Harry.

" Qu'est-ce que ça signifie, tout ça ? " grogna Hagrid.

" Je suis désolé Harry, je devais vérifier. " dit Lupin sur un ton d'excuse. " Nous avons été trahis.

Voldemort a su que ton transfert était ce soir ! Les seules personnes au courant étaient celles qui étaient directement impliquées dans le plan. Tu aurais pu être un imposteur. "

" Pourquoi moi tu ne m'as pas questionné ? " demanda Hagrid qui luttait toujours pour franchir la porte.

" Vous êtes un demi-géant, Hagrid. " expliqua Lupin, en levant la tête pour regarder Hagrid. " Le polynectar est conçu pour les humains uniquement. "

" Personne de l'ordre n'a dit à Voldemort qu'on se déplaçait ce soir ! " hurla Harry à qui l'idée d'une trahison d'un des membres de l'ordre paraissait redoutable.

" Voldemort m'a pourchassé uniquement à la fin ! Au début, il ignorait lequel j'étais. S'il avait eu connaissance du plan, il m'aurait attaqué dès le départ, car il aurait su que j'étais celui avec Hagrid. "

" Voldemort t'a pourchassé ? " s'exclama brusquement Lupin. " Que s'est-il passé ? Comment vous êtes-vous échappés ? "

Harry lui expliqua comment les Mangemorts qui les poursuivaient avaient semblé le reconnaître comme étant le vrai Harry et comment ils avaient abandonné la poursuite après avoir appelé

Voldemort, qui était apparu juste avant que Hagrid et lui-même eurent atteint la propriété des parents de Tonks.

" Ils t'ont reconnu ? Comment c'est possible ? Qu'est-ce que tu as fait ? "

" Heu, j'ai ... " dit Harry qui essayait de se mémoriser les évènements.

Le voyage, dans son ensemble, lui avait semblé nébuleux et confus.

" J'ai vu Stan Rocade. Vous savez, le contrôleur du Magicobus. J'ai essayé de le désarmer au lieu de ...

Bah, il ne savait pas ce qu'il faisait, n'est-ce pas ? Il doit être sous l'Imperium. "

Lupin sembla consterné.

" Harry, le temps de désarmer est révolu. Ces personnes tentent de te capturer et de te tuer ! Si tu n'es pas disposé à tuer, il faut au moins les assommer ! "

" On était à cent pieds au-dessus du sol ! Stan n'était pas lui-même. Si je l'avais assommé, il serait tombé, puis il serait mort ! Le même résultat que si j'avais utilisé l'Avada Kedavra ! Expelliarmus m'a sauvé de Voldemort, il y a deux ans. " ajouta Harry, agacé.

L'attitude de Lupin lui rappelait Zacharias Smith, un garçon arrogant de Poufsoufle qui s'était plaint lorsque Harry avait voulu enseigner le sortilège de désarmement à l'Armée de Dumbledore.

" Oui, Harry. " rétorqua Lupin. " Plusieurs Mangemorts en ont été témoins. Pardonne-moi Harry.

C'est simplement que c'était une réaction peu commune sous la menace imminente de la mort et de la répéter ce soir, devant les Mangemorts, était suicidaire. "

" Vous pensez donc que j'aurais dû tuer Stan Rocade ? " demanda Harry avec colère.

" Bien sûr que non. " dit Lupin. " Néanmoins, les Mangemorts s'attendaient apparamment à ce que tu contre-attaques de cette façon. Expelliarmus est un sort utile, mais les Mangemorts semblent le considérer comme ta signature et je te conseille fortement que ça ne le devienne pas. "

Harry se sentait stupide, mais il demeurait en lui un grain de bravade.

" Je ne vais pas écarter de mon chemin tous les gens que je rencontre ! C'est le travail de Voldemort !

"

Lupin ne répliqua pas, de toute évidence, il ne trouvait plus d'arguments. Pendant ce temps, Hagrid avait finalement réussi à franchir la porte et s'était assis sur une chaise, qui avait cédé sous son poids.

Ignorant le flot d'excuses confus que Hagrid déversait, Harry s'adressa de nouveau à Lupin.

" George va-t-il s'en sortir ? "

La tension entre Lupin et Harry sembla se dissiper, lorsque Harry posa la question.

" Je le pense. Cependant, il n'y a aucun moyen de remplacer son oreille, puisqu'elle a été arrachée à l'aide d'un maléfice.

Il y eut des mouvements à l'extérieur et Lupin se précipita vers la cour. Harry sauta pardessus les jambes de Hagrid et courra dans le jardin, ou deux silhouettes étaient apparues. Tandis qu'il courait vers elles, il reconnut Kingsley et Hermionne, tenant un vieux cintre rouillé. Hermione, qui avait

retrouvé son apparence habituelle, se jeta dans les bras de Harry, mais Kingsley ne montra aucun signe démontrant qu'il était heureux de les voir. Pardessus l'épaule de Hermione, Harry le vit pointer sa baguette sur la poitrine de Lupin.

" Quelles sont les dernières paroles qu'Albus Dumbledore nous a dit ? "

" Harry est notre espoir. Il faut lui faire confiance. " répondit calmement Lupin.

Kinglsey tourna systématiquement sa baguette vers Harry, mais Lupin l'arrêta.

" Ça va, j'ai déjà vérifié. "

" Parfait, c'est parfait. " dit-il en rangeant sa baguette dans une poche intérieure de son manteau. "

Mais quelqu'un nous a trahis. Ils savaient, ils savaient que c'était ce soir ! "

" En effet. " répondit Lupin. " Mais ils ignoraient qu'il y aura sept Harry. "

" Qui d'autre est arrivé ? "

" Harry, Hagrid, George et moi uniquement. "

Hermione gémit, la tête enfouit dans les bras.

" Qu'est-ce qui vous est arrivé ? " questionna Lupin.

" Cinq nous ont suivis, deux ont été blessés et peut-être un tué. " marmonna Kingsley.

" Nous avons vu Tu-sais-qui, aussi. Il a rejoint la bataille lorsqu'on était à mi-chemin, mais il est reparti subitement. Rémus, il arrive à ... "

" Voler. " l'interrompit Harry. " Je l'ai vu aussi, il nous suivait, Hagrid et moi. "

" C'est pour ça qu'il est parti, pour te suivre ! " s'exclama Kingsley. " Je ne comprenais pas pourquoi il était parti si vite ! Mais pourquoi a-t-il changé subitement de cible ? "

" Harry a été un peu trop clément avec Stan Rocade. " expliqua Lupin.

" Stan Rocade ? " répéta Hermione. " Je croyais qu'il était à Azkaban ! "

Kingsley émit un rire sans joie.

" Hermione, c'est évident qu'il y a eu une évasion massive d'Azkaban que le ministère n'a pas révélée

! La cagoule de Travers est tombée lorsque je lui ai jeté un sort, lui aussi est supposé être emprisonné. Rémus, que t'est-il arrivé à toi ? Où est George ? "

" Il a perdu une oreille. " dit Lupin.

" Une oreille ? " s'exclama Hermione d'une voix totalement intelligible.

" C'est de la faute de Rogue. " ajouta Lupin.

" Rogue ! Vous ne l'aviez pas dit ! " cria Harry.

" Sa cagoule est tombée durant la bataille. SectumSempra a toujours été une spécialité de Rogue. Je peux dire, en quelque sorte, que je lui ai renvoyé la balle, mais c'est tout ce que j'ai pu faire. Je faisais déjà tout mon possible pour garder George sur le balai, après qu'il eut été blessé. Il perdait beaucoup de sang.

Le silence s'installa tandis qu'ils regardaient le ciel. Il n'y avait aucun mouvement, les étoiles restaient immobiles, impassibles et indifférentes au sort des autres. Où pouvait bien être Ron ? Mr Weasley et

Fred ? Bill, Fleur, Tonks, Fol Oeil et Mondigus ? "

" Harry ! Viens donc nous donner un coup de main ! " rugit Hagrid de la porte, dans laquelle il était de nouveau coincé.

Heureux de pouvoir se rendre utile, Harry se rendit au salon, où Mrs Weasley et Ginny se trouvaient aux côtés de George. Mrs Weasley avait stoppé l'hémorragie. Néanmoins, à la lueur des lampes,

Harry aperçu un trou béant où, normalement, l'oreille de George aurait dû se trouver.

" Comment va-t-il ? "

Mrs Weasley jeta un regard implorant autour de la pièce.

" Je ne peux pas la faire repousser, puisqu'elle a été arrachée par magie noire. Mais cela aurait pu être pire ! Au moins, il est vivant. "

" Oui. " dit Harry. " Remercions le ciel. "

" J'ai entendu des bruits dans la cour, d'autres personnes sont arrivées ? " demanda Ginny.

" Hermione et Kingsley. " répondit Harry.

" Dieu merci. " murmura Ginny.

Son regard croisa celui de Harry. Il éprouvait un intense désir de l'étreindre, la prendre dans ses bras, la caresser, ça lui importait peu que Mrs Weasley soit là. Toutefois, avant de céder à cette délicieuse impulsion, un fracas sonore s'éleva de la cuisine.

" Je te prouverais qui je suis quand j'aurais vu mon fils, Kingsley ! Maintenant, tu as intérêt à me laisse passer ! "

Jamais Harry n'avait entendu Mr Weasley crier de la sorte. Quelques secondes plus tard, il fit irruption dans le salon, le front ruisselant de sueur, les lunettes de travers. Fred se trouvait derrière lui. Tous deux étaient très pâles, mais ils ne semblaient pas blessés.

" Arthur ! " sanglota Mrs Weasley. " Oh ! Merci ! Merci ! "

" Comment va-t-il ? " demanda Mr Weasley tandis qu'il se laissait choir aux côtés de George. Pour la première fois depuis que Harry le connaissait, les mots semblaient manquer à Fred. Lorsqu'il aperçut la blessure de son jumeau, il ouvrit la bouche, stupéfait. Il donna l'impression de ne pas croire ce qu'il voyait. Peut-être était-ce dû au bruit de l'arrivée de Fred et de son père, mais George remua.

" Comment te sens-tu, George ? " chuchota Mrs Weasley.

George se caressa le côté de la tête.

" Eh Bien, " marmonna-t-il à l'adresse de sa mère qui continuait de pleurer torrentiellement. " maintenant tu pourras nous différencier, Fred et moi. "

Il observa les alentours.

" Harry ! Tu vas bien ? "

" Oui, ça va pour moi. " dit Harry en s'approchant du canapé.

" Pourquoi Bill, Fleur et Ron ne sont pas à mon chevet ? "

" Ils ne sont toujours pas revenus, George. " révéla Mrs Weasley.

Le visage de George se renfrogna. Harry croisa le regard de Ginny, puis lui fit signe de l'accompagner à l'extérieur. Tandis qu'ils traversaient la cuisine, Ginny lui fit part de son inquiétude.

" Ron et Tonks devraient déjà être revenus ! Tante Murielle n'habite pas si loin, ils n'avaient pas un long voyage à parcourir ! "

Harry ne répondit pas. Depuis qu'il était arrivé au Terrier, il avait tenté de camoufler ses propres appréhensions, mais, maintenant, elles semblaient l'envelopper, embrouiller son cerveau et lui oppresser la poitrine. Tandis qu'ils sortaient dans le jardin sombre, Ginny lui pris la main. Kingsley semblait fébrile tandis qu'il observait frénétiquement le ciel, en faisant les cents pas. Harry eut un vague souvenir de l'oncle Vernon arpentant le salon, bien des années auparavant. Hagrid, Lupin et

Hermione se tenaient côtes à côtes, guettant le moindre signe en provenance du ciel. Ils ne firent aucun geste lorsque Harry et Ginny se joignirent à leur vigile silencieuse. Les minutes s'écoulaient tranquillement. Le moindre bruissement les sortaient de leur torpeur. Ils guettaient chaque arbre, chaque buisson, dans l'espoir que l'un des membres absents de l'ordre puisse en sortir. Après ce qui aurait pu être des heures, un balai se matérialisa au-dessus d'eux, avant d'entreprendre d'atterrir.

" Ce sont eux ! " s'écria Hermione.

Tonks atterrit brusquement, projetant sur eux de la terre et des cailloux.

" Rémus ! " pleura Tonks avant de se jetter dans ses bras. Celui-ci garda un visage impassible, quoiqu'étonnament blafard. Il semblait incapable de parler.

Ron avança d'une démarche incertaine vers Harry et Hermione.

" Vous allez bien ? " marmonna-t-il avait d'être étroitement étreint par Hermione.

" J'ai pensé, j'ai pensé ... "

" Je vais bien ! " dit-il en lui tapotant le dos. " Tout va bien. "

" Ron a été fantastique ! " dit Tonks, le visage rayonnant, abandonnant sa prise sur Lupin."

Stupéfixier des Mangemorts, droit à la tête, sur des balais volants, c'est quelque chose ! "

" Tu as fait ça ? " demanda Hermione en regardant Ron, les mains autour de son cou.

" Je suis plein de surprise. " dit-il d'une voix sarcastique en se libérant de l'étreinte d'Hermione. "

Sommes-nous les derniers arrivés ? "

" Non, " répondit Ginny. " Nous attendons toujours Bill, Fleur, Fol Oeil et Mondigus. Je vais avertir

Maman et Papa que tu es de retour. " ajouta-t-elle en courant à l'intérieur.

" Pourquoi arrivez-vous si tard, qu'est-ce qui vous a retenus ? " demanda Lupin à Tonks, comme s'il était en colère.

" Bellatrix. " indiqua Tonks. " Elle m'en veut presque autant qu'elle en veut à Harry ! Elle a essayé de me tuer avec beaucoup d'ardeur. Je souhaite l'avoir touchée. Mais, chose certaine, nous avons blessé

Rodolphus. Quand nous sommes arrivés chez la tante de Ron, nous avions manqué le départ du portoloin. "

Un muscle tressaillit dans la mâchoire de Lupin. Il inclina la tête, mais fut incapable de parler.

" Et que vous est-il arrivé, à vous ? " demanda Tonks, observant Hermione, Kingsley et Harry.

Ils racontèrent leur voyage respectif, cependant l'absence de Bill, Fleur, Fol Oeil et Mondigus planait au-dessus d'eux comme la menace d'un gigantesque oiseau, dont l'attaque glaciale laissait une souffrance pénétrante, qui s'amplifiait de minutes en minutes, et qui était, de surcroît, de plus en plus dure à ignorer.

" Je vais devoir retourner Downing Street. J'aurais du m'y trouver il y a déjà une heure. " dit finalement Kingsley, lançant un dernier regard furtif au ciel étoilé. " Faites le moi savoir, lorsqu'ils seront de retour. "

Lupin hocha la tête. Après avoir salué les autres, Kingsley disparut dans la nuit. Harry cru entendre un faible bruit qui signifiait que Kingsley venait de transplaner, hors des limites du Terrier. Mr et Mrs

Weasley sortirent de la maison, puis parcoururent le jardin au pas de course, Ginny derrière eux.

Tous deux enlacèrent leur fils, avant de se tourner vers Lupin et Tonks.

" Merci. " dit Mrs Weasley. " Merci pour nos fils. "

" Ne soit pas idiote, Molly. " s'empressa de répondre Tonks.

" Comment va George ? " interrogea Lupin.

" Qu'est-ce qu'il a ? " s'inquiéta Ron.

" Il a perdu ... "

Toutefois, la phrase de Mrs Weasley fut interrompu par un tumultueux vacarme. Un sombral venait tout juste de se poser, à quelques mètres d'eux. Bill et Fleur se laissèrent glisser de l'animal, visiblement secoués, mais indemnes.

" Bill ! Dieu merci ! "

Mrs Weasley couru enlacer son fils, mais celui-ci ne la serra que brièvement. Il regardait son père.

" Fol Oeil est mort. " dit-il.

Plus personne ne parla, plus personne ne bougea. Harry sentit que quelque chose en lui se détachait de son corps, puis le quittait pour toujours.

" Nous l'avons vu. " dit Bill.

Fleur approuva d'un signe de tête. Des traces de larmes brillaient sur ses joues.

" Ça s'est produit juste après que la formation soit brisée. Fol Oeil et Ding étaient tout près de nous, ils volaient vers le nord, eux aussi. Vous-savez-qui s'est précipité sur eux en volant. Ding a paniqué, je l'ai entendu pleurer et gémir. Fol Oeil a essayé de le calmer, mais il a fini par transplaner. Le maléfice de Vous-savez-qui l'a touché directement au visage. Il est tombé de son balai, on ne pouvait rien faire, on avait déjà une demi-douzaine de Mangemorts collée aux basques. " expliqua Bill d'une voix brisée.

" Vous ne pouviez rien faire. " approuva Lupin.

Tous se regardaient, la mine déconfite. Harry n'arivait pas à y croire. Fol Oeil ne pouvait pas être mort, c'était impossible. Lui qui était si dure, si brave, l'éternel survivant ... Un sentiment de profonde tristesse semblait naître en chacun d'eux, bien que personne n'en parlait. L'attente dans le jardin étant devenue inutile, ils suivirent Mr et Mrs Weasley à l'intérieur du Terrier. Ils entrèrent au salon, où Fred et George riaient.

" Qui a-t-il ? " demanda Fred en balayant d'un regard perplexe leurs visages troublés. " Qu'est-il arrivé ? Qui est ... "

" Fol Oeil, " souffla Mr Weasley. " Fol Oeil est mort. "

Le visage des jumeaux se contracta en une grimace de douleur. Personne ne semblait savoir quoi faire. Tonks pleurait silencieusement dans son mouchoir. Harry savait que Fol Oeil et elle avaient toujours été proches, l'un de l'autre. Au Ministère, elle avait été sa favorite, sa protégée. Hagrid, assis dans le coin le plus grand de la pièce, s'épongeait les yeux à l'aide d'un mouchoir de la taille d'une nappe. Bill se dirigea vers le buffet, où il sortit une bouteille de whisky pur feu, ainsi que plusieurs verres.

" Tenez. " dit-il avant d'envoyer, d'un coup de baguette, les douze verres à leur destinataire. Il tenait le treizième en l'air.

" À Fol Oeil ! "

" À Fol Oeil" répétèrent-ils, avant de boire le contenu de leur verre.

" À Fol Oeil " hoqueta Hagrid, un peu en retard.

Le whisky qu'il avalait l'emplissait de sentiments nouveaux. Son sens des réalités revenait peu à peu et Harry se sentait plus conscient de son corps et de son esprit.

" Ainsi, Mondigus a transplané ? " demanda Lupin, qui avait vidé son verre d'un seul trait.

L'atmosphère changea radicalement. Tous regardaient Lupin, le visage tendu. Ils étaient visiblement avides d'en entendre davantage, bien que légèrement effrayés de ce qu'ils pourraient apprendre.

" Je sais ce que vous pensez. " affirma Bill. " Moi-même je me suis posé des questions, sur le chemin de retour. Après tout, ils semblaient nous attendre, non ? Mais les sept Harry les ont confus, ils ne s'y attendaient pas. Pourquoi Mondigus ne leur aurait pas dévoilé le point essentiel du plan ? Il ne peut pas nous avoir trahis. C'est lui qui a proposé ce tour d'embrouille, vous vous souvenez ? Je pense qu'il a simplement paniqué. Il ne voulait pas venir, en premier lieu, c'est Fol Oeil qui l'y a poussé. De plus,

Vous-savez-qui s'est dirigé droit vers eux. C'était suffisant pour faire paniquer n'importe qui. "

" Vous-savez-qui a agi exactement comme Fol Oeil l'avait prévu. " dit Tonks entre deux sanglots. " Il m'a dit que Vous-savez-qui penserait sûrement que Harry se trouvait avec le plus redoutable d'entre nous, l'auror le plus habile. Il a d'abord chassé Fol Oeil et quand Mondigus s'est éclipsé, il s'est rué sur Kingsley. "

" Tout ça c'est très bien, mais on ne sait toujours pas comment ils ont pu savoir que nous transférions

Harry ce soir. " dit Fleur. " Enfin, c'est insensé ! Quelqu'un a dû laissé échapper l'information ! C'est la seule explication ! Sinon comment auraient-ils eu connaissance de la date, mais pas du reste du plan?"

Elle attendit une quelconque protestation qui ne vint pas. Le seul son venant briser le silence étaient

les sanglots de Hagrid. Harry lui jeta un regard en biais. Hagrid venait de risquer sa vie pour sauver la sienne. Harry aimait Hagrid, il avait confiance en lui. Toutefois, dans le passé, Hagrid avait révélé involontairement des informations cruciales à Voldemort en échange d'un oeuf de dragon.

Le whisky pur feu semblait avoir amplifié le volume de sa voix.

" Non ! " cria Harry, s'attirant tous les regards.

" Je veux dire, si quelqun a fait une erreur, s'il a laissé échapper un brin d'information, je sais que ce n'était pas volontaire. Il ne l'a certainement pas fait exprès ! " Continua-t-il d'une voix un peu plus forte que d'habitude.

" Nous devons nous faire confiance mutuellement. J'ai confiance en chacun de vous, je suis sûr que personne dans cette salle ne m'aurait vendu volontairement à Voldemort. "

Un profond silence suivit ces mots. Tous le regardaient. Harry se sentit fiévreux et but de longues gorgés de whisky. Tandis qu'il buvait, il pensait à Fol Oeil. Fol Oeil avait toujours été exaspéré par la confiance que Dumbledore acceptait à chacun.

" Bien dit, Harry ! " affirma inopinément Fred.

Lupin regardait Harry avec une drôle d'expression, qui ressemblait à la pitié.

" Vous pensez que je suis un imbécile ? " ironisa Harry.

" Non, je pense que tu es comme James. " expliqua Lupin. " Lui aussi considérait que de se méfier de ses amis était le comble du déshonneur. "

Harry savait que Lupin faisait référence à la trahison de Peter Petigrow envers James Potter. Il se sentit fâché d'une telle allusion. Il voulut argumenter, mais Lupin lui avait tourné le dos, afin de poser son verre vide sur la table.

" Il y a du travail à faire. " dit-il à Bill. " Je peux demander à Kingsley si .. "

" Non. " l'interrompit Bill. " Je le ferai, je viendrai."

" Où allez vous ? " demandèrent Fleur et Tonks à l'unisson.

" Le corps de Fol Oeil. " expliqua Lupin. " Nous devons le récupérer. "

" Ça ne peut pas ... " commença Mrs Weasley, implorant son fils du regard.

" Attendre ? " l'interrompit Bill. " Non, à moins que quelqun souhaite que les Mangemorts le récupèrent avant nous. "

Personne ne répondit. Après avoir dit au revoir, Bill et Lupin partirent. Les autres les avaient regardé

partir, puis tous, excepté Harry qui était demeuré debout, s'étaient effondrés sur la chaise la plus proche. Tous, excepté Harry, qui était demeuré debout. La mort planait de nouveau au-dessus d'eux, comme une présence malsaine.

" Je dois y aller aussi. " dit Harry tandis que dix paires d'yeux effrayés se tournaient vers lui.

" Ne soit pas stupide, Harry." lança Mrs Weasley.

" Je ne peux pas rester ici. "

Il se frotta le front, sa cicatrice avait recommencé à lui faire mal. Elle ne lui avait pas été si douloureuse depuis plus d'un an.

" Vous êtes tous en danger quand je suis là ! Je ne veux pas ... "

" Harry ne soit pas si stupide, voyons ! " répéta Mrs Weasley. " Notre bût, ce soir, c'était de te ramener ici, sain et sauf, et remercie le ciel que cela ait fonctionné ! De plus, Fleur a accepté de se marrier ici plutôt qu'en France, de façon à ce que l'on reste ici, tous ensemble, à veiller sur toi. "

Elle ne comprenait pas. Elle le faisait sentir encore plus mal, si c'était possible.

" Et si Voldemort découvre que je suis ici ? "

" Comment ferait-il ? " répondit Mrs Weasley. " Il y a des douzaines de maisons dans lesquelles tu pourrais être. "

" Il n'a aucun moyen de savoir où tu te trouves, Hary. " le rassura Mr Weasley.

" Ce n'est pas pour moi que je m'inquiète ! " hurla Harry.

" Nous savons cela. " rétorqua calmement Mr weasley. " Mais si tu pars, tu rendras nos efforts de ce soir particulièrement futiles. "

" Tu n'iras pas nulle part, Harry ! " gronda Hagrid. " Après tout ce que nous avons enduré pour t'amener ici ! "

" J'ai sacrifié une oreille, pour toi ! " dit George en se redressant sur ses coussins. " je sais que ce n'est pas ce que.... Fol Oeil aurait voulu. "

" JE SAIS ! " beugla Harry.

Il se sentait oppressé et manipulé. Ils pensaient qu'il ignorait tout ce qu'ils avaient fait pour lui, alors

que c'était précisément pour ça qu'il désirait partir, plutôt que de leur causer des souffrances supplémentaires. Il y eut un long et douloureux silence durant lequel la cicatrice de Harry lui brula, comme si elle avait été chauffée à blanc.

" Où est Hedwige ? " demanda Mrs Weasley, rompant ainsi le silence. " Nous pouvons la monter avec

Coquecigrue et lui donner quelque chose à manger. "

Les entrailles de Harry se contractèrent douloureusement. Il but le reste de son verre de whisky pur feu, s'évitant ainsi de répondre.

" Il faut que tu nous racontes, Harry, " grogna Hagrid. " comment tu as pu lui échapper, l'attaquer alors qu'il se trouvait au-dessus de nous. "

" Ce n'était pas moi. " répondit Harry d'un ton catégorique. " C'était ma baguette magique ! Ma baguette a agi d'elle-même, de sa propre initiative. "

" Harry, c'est impossible ! Tu veux dire que tu aurais fait de la magie sans le vouloir ? Tu as réagi par instinct, voilà tout. " répliqua Hermione avec diplomatie.

" Non. " s'obstina-t-il. " La moto tombait, je ne savais pas où était Voldemort, mais ma baguette le savait, elle ! Elle s'est mise à tourner, puis elle a trouvé Voldemort et lui a lancé un sort, dont j'ignore la nature ! Je n'ai jamais produit de flammes dorées, auparavant ! "

" Parfois, " expliqua Mr Weasley. " dans une situation dangereuse, il est possible de produire de la magie qu'on ne peut même pas imaginer. Les enfants, avant leurs études, expérimentent souvent ce genre de magie. "

" Ce n'était pas ça ! " s'indigna Harry.

Sa cicatrice lui brûlait et il se sentait incompris. Il détestait l'idée que les autres puissent imaginer qu'il avait le pouvoir d'égaler Voldemort. Plus personne n'émit d'objections. Harry savait qu'ils ne le croyaient pas. Maintenant qu'il y pensait, Harry n'avait jamais entendu parler d'une baguette capable d'agir seule. Sa cicatrice était déssechée par la douleur, il faisait tout son possible pour ne pas gémir à haute voix. Marmonnant au sujet d'un besoin d'air frais, Harry posa son son verre vide, puis il sortit de la salle.

Tandis qu'il traversait le jardin, il vit le sombral brouter paisiblement. Quand l'animal l'aperçu, il déploya deux ailes immenses, semblable à celles d'une chauve-souris. Harry s'arrêta devant la porte du jardin. Il observait les mauvaises herbes tout en lissant sa cicatrice, qui le faisait souffrir. Il pensait à Dumbledore. Dumbledore l'aurait cru, il le savait. Dumbledore aurait su comment et pourquoi la baguette de Harry avait agi de façon si inattendue, car Dumbledore avait toujours toutes les réponses. Il savait tout à propos des baguettes magiques, c'était lui qui avait expliqué à Harry le lien étrange qui unissait sa baguette à celle de Lord Voldemort. Pourtant, Dumbledore, comme Fol Oeil, comme Sirius, comme ses parents et comme sa pauvre chouette, étaient partis dans un endroit où

Harry ne pourraient plus jamais leur parler. Il sentit un picotement dans sa gorge qui n'avait rien à voir au whisky pur feu.

Soudain, sans aucun signe avant-gardiste, la cicatrice de Harry fut parcouru d'un élan particulièrement douloureux. Tandis qu'il fermait les yeux et saisissait son front de ses mains fébriles, des cris résonnèrent dans sa tête.

" Vous aviez dit que le problème serait résolu si j'utilisais la baguette d'une autre personne ! "

La vision d'un vieil homme maigre et émacier, effondré sur un tas de chiffon recouvrant un sol de pierre brute s'insinua dans on esprit. L'homme criait, hurlait, suppliait.

" Je vous en prie, je vous en supplie ! " implora-t-il

" tu as menti à Lord Voldemort, Ollivander. "

" Non, je le jure ! Je n'ai pas ... "

" Tu espérais aider Potter, l'aider à m'échapper ! "

" Non, c'est la vérité ! Je vous en prie ! J'ai cru qu'avec une baguette magique différente ça fonctionnerait ! "

" Alors, explique-moi pourquoi la baguette de Lucius a été détruite ! "

" Je ne n'arrive pas à comprendre ... Le raccordement… devrait seulement exister entre vos deux baguettes magiques ! "

" Mensonges ! "

" Je vous en prie, il faut me croire. "

Puis Harry vit une main aux doigts longs et blanchâtres soulever une baguette magique, avant de sentir l'irruption subite de cruauté de Voldemort. L'homme frêle gigotait sur le sol, au bord de l'agonie.

" Harry ? "

Ça l'avait pris fin aussi subitement que c'était arrivé. Harry se tenait debout, chancelant, dans l'obscurité. Son coeur battait très vite et sa cicatrice le lancinait encore.

Cela prit un moment avant que Harry s'aperçoive de la présence de Ron et Hermione à ses côtés.

" Harry, rentre à l'intérieur. " chuchota Hermione. " Tu ne penses plus partir, n"est-ce pas ? "

" Tu dois rester, mon vieux ! " lui dit Ron en lui tapant le dos.

" Harry, tu vas bien ? " demanda Hermione, maintenant qu'elle était assez près pour voir son visage.

" Tu as une mine épouvantable ! "

" En tout cas, " répondit-il, faiblement. " je vais mieux qu'Ollivander. "

Quand il eut finit de raconter ce qu'il venait de voir, Ron semblait consterné, mais Hermione était totalement horrifiée.

" Ça ne devait plus se produire ! Tu ne devais plus voir ce genre de choses ! Il ne faut pas laisser le lien s'ouvrir de nouveau ! Harry, Dumbledore voulait que tu fermes ton esprit ! "

Il ne répondit pas.

" Harry, Voldmort a réussi à infiltrer le ministère, les journaux et la moitié du monde de la magie ! Ne le laisse pas infiltrer ta tête aussi ! "

Chapitre 6 La goule dans des pyjamas

Le choc du Fol-Oeil perdant a accroché au-dessus de la maison en jours cela suivi ; Harry a continué à compter le voir stumping dedans par la porte arrière aiment les autres membres d'ordre, à qui a passé dedans et dehors nouvelles de relais. Harry a estimé que rien mais l'action ne soulagerait ses sentiments de culpabilité et peine et cela qu'il doit viser sur sa mission pour trouver et détruire Horcruxes aussitôt que possible.

« Bien, vous ne pouvez faire rien au sujet du » - Ron a dit le mot Horcruxes- « jusqu'à ce que vous ayez dix-sept ans.

Vous avez toujours la trace sur toi. Et nous pouvons projeter ici aussi bien que n'importe où, n'est-ce pas ?

Ou, » il a laissé tomber sa voix à un chuchotement, « d' que vous vous comptez savez déjà où Vous-Connaître-Ce qui est être ? » Le « non, » Harry a admis. « Je pense Hermione faisant un peu de recherche, » a dit Ron. « Elle a dit qu'elle était économie il pour quand vous avez obtenu ici. » Ils se reposaient à la table de déjeuner ; M. Weasley et Bill a eu la gauche juste pour le travail. Mme Weasley était allée en haut réveiller Hermione et Ginny, alors que Fleur avait dérivé au loin pour prendre un bain.

« La trace se cassera sur le trente et unième, » a dit Harry.

« Ce signifie que je dois seulement rester ici quatre jours. Alors je peux »

« Pendant cinq jours, » Ron l'a corrigé fermement.

« Nous devons rester pour le mariage.

Ils nous tueront si nous le manquons. »

Harry compris « ils » pour signifier Fleur et Mme Weasley.

« C'est d'un jour supplémentaire, » a dit Ron, quand Harry a semblé révolté.

« Ils ne se rendent pas compte comment important ? »

« ' Cours ils pas, » a dit Ron.

« Ils n'ont pas un indice. Et maintenant vous le mentionnez, je voulez te parler à ce sujet. » Ron a jeté un coup d'oeil vers la porte dans le hall pour vérifier que Mme Weasley était ne retournant pas encore, alors penché dedans plus près de Harry.

« Maman essayant de l'obtenir hors de Hermione et de moi. À ce que nous ne sommes pas en ligne . Elle vous jugera après, ainsi s'attacher.

Ve tous les deux de papa et de lupin le' nous a demandé qu'aussi bien, mais quand nous avons dit Dumbledore vous a indiqué ne pas dire n'importe qui excepté nous, ils laissé tomber lui. Pas maman, cependant. Elle a déterminé. » La prévision de Ron est venue vrai dans des heures. Peu avant déjeuner, Mme Weasley Harry isolé des autres en lui demandant d'aider à identifier un seul homme cogner qu'elle a pensé pourrait' ve sortent de son sac à dos. Une fois qu'elle l'avait acculé dans l'arrière-cuisine minuscule de la cuisine, elle a commencé.

« Ron et Hermione semblent penser que les trois de toi se laissent tomber hors de Hogwarts, » elle a commencé dans une lumière, tonalité occasionnelle.

Le « OH, » a indiqué Harry.

« Bien, ouais. Nous sommes. »

L'essoreuse a tourné de sa propre entente dans un coin, extorquant à ce qui ressemblé un de gilets de M. Weasley's.

« Mai je demande pourquoi vous abandonnez votre éducation ? » dite Mme Weasley.

« Bien, Dumbledore m'a laissé… la substance pour faire, »

Harry marmonné. « Ron et Hermione savent à son sujet, et ils veulent venir aussi. »

« Quelle sorte de' substance' ? »

« Je suis désolé, je ne peux pas - »

« Bien, franchement je pense qu'Arthur et moi ont un droit à savoir et je suis M. sûr. et Mme Granger conviendrait ! » dite Mme Weasley.

Harry avait eu peur de l'attaque « est concerné parent ».

Il s'est forcé pour regarder directement dans elle des yeux, notant comme il a fait qu'ils étaient avec précision la même nuance du brun que Ginny' S. Ceci n'a pas aidé.

« Dumbledore n'a pas voulu qu'autrement n'importe qui sût, Mme Weasley. Je suis désolé, Ron et Hermione ne doivent pas venir, il est leur bien choisi »

« Je ne vois pas que vous devez aller l'un ou l'autre ! » elle s'est cassée, laissant tomber tout le pretense maintenant.

« Vous êtes à peine de l'âge, n'importe lequel de toi ! C'est non-sens total, si Dumbledore avait besoin de travail faisant, il a eu l'ordre entier à sa commande !

Harry, vous devez l'ont mal compris. Il vous disait probablement que quelque chose qu'il a voulue fait, et vous l'avez pris pour vouloir dire qu'il vous a voulu »

« Je n'ai pas mal compris, » a dit Harry catégoriquement.

« Il doit être moi. » Il lui a remis en arrière les actions simples qu'il a été censé identifier, ce qui a été modelé avec les bulrushes d'or.

« Et ce n'est pas à moi, je ne soutiennent pas Puddlemere uni. »

Le « OH, naturellement pas, » a indiqué Mme Weasley avec un soudain et affaiblir plutôt revenir à sa tonalité occasionnelle.

« Je devrais avoir réalisé. Bien, Harry, alors que nous vous avons toujours ici, ne vous occuperez-vous pas d'aider avec les préparations pour Bill et le mariage de Fleur, vous ?

Il reste tellement faire. »

« Aucun-JE-de course pas, » a dit Harry, déconcerté par ce changement soudain de sujet.

« Bonbon de toi, » elle a répondu, et elle a souri à gauche en tant qu'elle l'arrière-cuisine. À partir de ce moment dorénavant, subsistance Harry de Mme Weasley, Ron, et Hermione ainsi occuper avec des préparations pour le mariage qu'ils à peine ont eu n'importe quand pour penser. L'explication la plus aimable de ce comportement aurait été cette Mme Weasley a voulu les distraire tous des pensées de Fol-Oeil et des terreurs de leur voyage récent. Après deux jours de nettoyage direct de couverts, des faveurs couleur-correspondantes, rubans, et des fleurs, de De-gnoming le jardin et la Mme aidante Weasley faire cuire les vastes séries de canap´es, cependant, Harry commencé pour la suspecter d'un motif différent. Tous travaux qu'elle a distribuerés semble le garder, Ron, et Hermione loin les uns des autres ; il n'avait pas eu une chance de parler aux deux d'entre eux seulement depuis la première nuit, quand il leur avait dit au sujet de Voldemort torturant Ollivander.

« Je pense que la maman pense que si elle peut arrêter les trois de toi se réunissant et projetant, elle pourra vous retarder partant, »

Harry dit par Ginny dans un dertone, comme ils ont étendu la table pour le dîner la troisième nuit de son séjour.

« Et puis ce qui elle pense aller se produire ? » Harry murmuré.

« Quelqu'un d'autre pourrait tuer outre de Voldemort tandis qu'elle nous tient faisant ici vol.-auvents ? »

Il avait parlé sans pensée, et le visage de Ginny de scie blanchissent.

« Ainsi c'est vrai ? » Elle a dit,

« qu'est ce que vous essayez de faire ? »

« I-not-I plaisantait, » a dit Harry evasively.

Ils ont regardé fixement l'un l'autre, et il y avait quelque chose davantage que le choc dedans L'expression de Ginny. Soudainement Harry s'est rendu compte que c'était la première fois qu'il avait été seul avec elle depuis leurs heures volées dans les coins reculés des au sol de Hogwarts. Il était sûr qu'elle se rappelait les aussi. Tous les deux de ils ont sauté pendant que la porte s'ouvrait, et M. Weasley, Kingsley, et facture a marché po. Ils ont été souvent joints par d'autres membres d'ordre pour le dîner maintenant, parce que le creuser avait remplacé le numéro douze, endroit de Grimmauld comme sièges sociaux. M. Weasley avait expliqué qu'après la mort de Dumbledore, leur Secret-Garde, chacun du peuple à qui Dumbledore s'était confié Grimmauld Ont placé l'endroit était devenu un peuple secret à leur tour.

« Et car il y a autour de vingt de nous, cela dilue considérablement la puissance du charme de Fidelius.

Vingt fois autant d'occasions pour les mangemort à obtenir le secret hors de quelqu'un.

Nous ne pouvons pas nous attendre à ce qu'il se tienne beaucoup plus longtemps. »

« Mais sûrement Snape aura indiqué à ce jour aux mangeurs de la mort l'adresse ? »

Harry demandé.

« Bien, Fol-Oeil a établi un couple des malédictions contre Snape au cas où il tournerait vers le haut de là encore. Nous espérons qu'elles seront assez forts des deux pour l'enpêcher d'entrer et lier sa langue s'il essaye de parler de l'endroit, mais nous ne peut pas être sûr. Il aurait été aliéné de continuer à employer l'endroit comme sièges sociaux maintenant que son la protection est devenue si précaire. »

La cuisine était ainsi serré que la soirée était difficile de manoeuvrer des couteaux et fourchettes. Harry s'est trouvé fourré près de Ginny ; les choses inexprimées cela avait juste passé entre elles lui a fait le souhait qu'elles avaient été séparées par a peu de plus de gens. Il essayait à dur d'éviter de se brosser le bras qu'il pourrait couper à peine son poulet.

« Aucune nouvelles au sujet de Fol-Oeil ? » Harry a demandé Bill.

« Rien, » n'a répondu Bill.

Ils n'avaient pas pu tenir un enterrement pour déprimé, parce que Bill et lupin n'avait pas récupéré son corps. Il avait été difficile de savoir où il pourrait sont tombés, donné l'obscurité et la confusion de la bataille.

« Le prophète quotidien n'a pas dit un mot au sujet de lui mourant ou au sujet de la conclusion le corps, » Bill a continué.

« Mais cela ne signifie pas beaucoup. Il garde beaucoup la tranquillité de nos jours. »

« Et ils n'ont toujours pas appelé une audition au sujet de toute magie d'underage que j'ai employé échapper aux mangemort ? »

Harry a appelé à travers la table à M. Weasley, qui a secoué sa tête.

« Puisqu'ils savent je n'ai eu aucun choix ou parce qu'ils ne veulent pas que je le dise le monde Voldemort m'a attaqué ? »

« Le dernier, je pense. Scrimgeour ne veut pas admettre ce Vous-Connaître-qui est aussi puissant qu'il est, ni cet Azkaban vu une évasion de masse. »

« Ouais, pourquoi dire au public la vérité ? » dit Harry, serrant son couteau ainsi étroitement que les cicatrices faibles sur le dos de sa main droite se sont tenues dehors, blanc contre sa peau : Je ne dois pas dire de mensonges.

« N'est pas n'importe qui au ministère prêt à se tenir jusqu'à lui ? »

Ron demandé en colère.

« Naturellement, Ron, mais les gens sont terrifiés. »

M. Weasley a répondu,

« a terrifié qu'ils seront à côté de disparaissent, leurs enfants à côté de soient attaqués ! Il y a des rumeurs méchantes circulant ; I

pour un ne croient pas le professeur d'études de Muggle chez Hogwarts démissionné. Elle n'a pas été vue pendant des semaines maintenant.

En attendant Restes de Scrimgeour fermés dans son bureau toute la journée. J'espère juste qu'il travaille dessus un plan. Il y avait une pause dans laquelle Mme Weasley magicked ses plats vides sur la surface de travail et la pomme servie au goût âpre.

« Nous devons décider le' ow que vous serez déguisés,' Arry, » a dit Fleur, une fois que chacun avait le pudding.

« Pour le mariage de ze, » elle a ajouté, quand il a semblé confus.

« De courir, aucun de nos invités n'est des mangemort, mais nous ne pouvons pas garantir le zey de zat ne pas laisser quelque chose glisser aev' champagne après zey' d'annonce. »

De ceci, Harry s'est réuni qu'elle suspectait toujours Hagrid.

« Oui, point positif, » a dit Mme Weasley à partir du dessus de la table, où elle reposés, les lunettes étés perché sur l'extrémité de son nez, balayant une immense liste des travaux qu'elle a eus scribbled sur un morceau de parchemin très long.

« Maintenant, Ron, vous ont nettoyé votre pièce encore ? »

« Pourquoi ? » Ron hurlé, claquant sa cuillère vers le bas et brillant à sa mère.

« Pourquoi ma pièce doit-elle être nettoyée ?

Harry et moi sont deux amende avec elle la manière elle est ! »

« Nous tenons le mariage de votre frère ici temps en quelques jours', jeune homme »

« Et sont ils se mariant dans ma chambre à coucher ? »

Ron demandé furieusement.

« Non ! Ainsi pourquoi au nom de la gauche saggy de MERLIN »

« Pas vous entretien à votre mère comme cela, » a dit M. Weasley fermement, « et faire comme vous êtes dits. »

Ron scowled aux deux ses parents, puis repris sa cuillère et attaqué dernières bouchées de sa pomme au goût âpre.

« Je peux aider, une partie de elle est mon désordre. »

Harry a dit la coupe de Ron, mais de Mme Weasley à travers lui.

« Non, Harry, cher, je beaucoup plutôt que vous avez dépanné le fumier d'Arthur les poulets, et Hermione, je serais toujours si reconnaissant si vous changeriez les feuilles pour Monsieur et Madame Delacour, vous sais qu'elles arriveront à onze demain matin. »

Mais car il s'est avéré, il y avait très peu à faire pour les poulets,

« Il n'y a aucun besoin, heu, le mentionnent au Molly, »

M. Harry dit Weasley, bloquant son accès dans la cage,

« mais, heu, Ted Tonks m'a envoyé plus de de ce qu'était à gauche Le vélo de Sirius, et, heu, moi suis cacher-quest dire, garder-il dedans ici. Substance fantastique ! I

l y a un gaskin d'échappement, comme je crois qu'il a appelé, la batterie la plus magnifique, et ce sera une grande occasion de découvrir comment les freins fonctionnent. Je vais l'essayer et remettre tout ensemble encore quand le moyen du not-I du Molly, quand j'ai 85 temps obtenu. »

Quand ils sont revenus à la maison, Mme Weasley était nulle part pour être vue, ainsi Harry glissé en haut à la chambre à coucher du grenier de Ron.

« Je la fais, je fais ! Ah, c'est toi, » a dit Ron dans le soulagement, car Harry est entré dans la salle. Ron se remettent vers le bas sur le lit, qu'il évidemment avait juste évacué. La salle était comme malpropre juste que c'avait été toute la semaine ; le seul changement était celui Hermione se reposait maintenant dans le coin lointain, son chat pelucheux de gingembre, Crookshanks, à ses pieds, assortissant des livres, certains dont Harry identifié en tant que ses propres, dans deux énormes piles.

« Bonjour, Harry, » elle a dit, car il s'est assis sur son lit de camp.

« Et comment vous êtes parvenus à partir ? »

Le « OH, la maman de Ron a oublié qu'elle a demandé à Ginny et à moi de changer les feuilles hier, » a dit Hermione.

Elle a jeté Numerology et Grammatica sur un empiler et se lever et automne des arts foncés sur l'autre.

« Nous étions Fol-Oeil parlant juste, » Ron dit Harry.

« Je le compte pourrais ont survécu. »

« Mais la facture l'a vu frappé par la malédiction de massacre, » a dit Harry.

« Ouais, mais la facture était soumise aux attaques aussi, » a dit Ron.

« Comment peut il être sûr ce qui il a vu ? »

« Même si la malédiction de massacre manquait, l'oeil fol tombait toujours environ mille pieds, » a dit Hermione, pesant maintenant Quiddi tch Teams of Britain and Ireland in her hand. “He could have used a Shield Charm—”

« Fleur dit sa baguette magique a été soufflé hors de sa main, » a dit Harry.

« Bien, tout droit, si vous voulez qu'il soit mort, » a dit Ron grumpily, poinçonnant son oreiller dans une forme plus confortable.

« Naturellement nous ne voulons pas qu'il soit mort ! » ledit Hermione, semblant choqué.

« Il est redoutable qu'il soit mort ! Mais nous sommes réalistes ! » Pour la première fois, Harry a imaginé le corps des Fou-Yeux, cassé comme Dumbledore avait été, pourtant avec cet un oeil siffler toujours dans sa douille. Il a senti un coup du revirement mélangé à un désir bizarre de rire.

« Les mangemorts ont probablement rangé après eux-mêmes, celui est pourquoi personne trouvé lui, » a dit Ron sagement.

« Ouais, » a dit Harry.

« Comme Barty se tapir, transformé en os et enterré dedans Le jardin avant de Hagrid. Ils transfigured probablement déprimé et bourrés lui »

« Pas ! » Hermione couinement.

Effrayé, Harry regardé plus de juste à temps de voir son éclat dans des larmes au-dessus de sa copie du Syllabary de Spellman.

« Non de l'OH, » a dit Harry, luttant pour se lever du vieux lit de camp.

« Hermione, Je n'essayais pas de déranger »

Mais avec grand grincer des sommiers rouillées, Ron a bondi outre du lit et y arrivé d'abord. Un bras autour de Hermione, il a pêché dans sa poche de jeans et a retiré un mouchoir révolter-regardant qu'il avait l'habitude de nettoyer plus de plus tôt. À la hâte retirant son baguette magique, il l'a dirigé au chiffon et a dit,

« Tergeo. »

La baguette magique a siphonné la majeure partie de la graisse. Regarder plutôt heureux avec lui-même, Ron ont remis le mouchoir légèrement de tabagisme à Hermione.

« Mercis de l'OH…, Ron. …. Je suis désolé. … »

elle a soufflé son nez et a hoqueté.

« Il est si awf-ful simplement, n'est-ce pas?

R-droit après Dumbledore….

Le n-never du j-just I a imaginé le Fol-Oeil le mourir, de façon ou d'autre, a semblé si dur ! » « Ouais, je sais, » a dit Ron, lui donnant une compression.

« Mais vous savez ce qu'il dire à nous s'il était ici ? » « ' vigilance C-constante, »' a dit Hermione, l'essuyant des yeux.

« Qui est exact, » a dit Ron, inclinant la tête.

« Il nous dirait d'apprendre de ce qui est arrivé à lui. Et ce que n'est pas j'ai appris pour faire confiance à ce petit squit lâche, Mundungus. »

Hermione a donné un rire précaire et s'est penché en avant pour prendre deux davantage livres. Une seconde plus tard, Ron avait saisi son dos de bras de autour de elle des épaules ; elle avait laissé tomber le livre de monstre des monstres sur son pied. Le livre a eu cassé librement de sa ceinture retenante et cassé viciously à la cheville de Ron.

« Je suis désolé ! Je suis désolé ! » Hermione a pleuré pendant que Harry arrachait le livre de La jambe de Ron et retied l'a fermé.

« Ce qui sont toi faisant avec tous ces livres de toute façon ? » Ron a demandé, boitant de nouveau à son lit.

« Juste essayant de décider que pour prendre avec nous, » a dit Hermione.

« Quand nous recherchons le Horcruxes. »

Le « OH, naturellement, » a dit Ron, battant une main à son front.

« J'ai oublié que nous serons chasse avaler Voldemort dans une bibliothèque mobile. »

« Ha ha, » a dit Hermione, regardant vers le bas le Syllabary de Spellman.

« Je me demande … nous doivent traduire des runes ? C'est possible. …. Je pense que nous devrions le prendre, pour être sûrs. » Elle a laissé tomber le syllabary sur le plus grand des deux piles et a repris Hogwarts, une histoire.

« Écouter, » a dit Harry. Il s'était assis vers le haut directement. Ron et Hermione l'ont regardé avec semblable mélanges de démission et de défit.

« Je vous connais dit après l'enterrement de Dumbledore avec lequel vous avez voulu venir je, »

Harry a commencé.

« Ici il va, » Ron dit à Hermione, roulant ses yeux.

« Pendant que nous savions il, » elle sighed, tournant de nouveau aux livres.

« Vous savez, Je pense que je prendrai Hogwarts, une histoire.

Même si nous ne retournons pas là, I ne pas penser que je me sentirais exact si je ne l'avais pas avec »

« Écouter ! » dit Harry encore.

« Non, Harry, vous écoutez, » a dit Hermione.

« Nous venons avec toi. C'était il y a-années décidées de mois, vraiment. »

« Mais » « Fermé vers le haut, » Ron l'a conseillé.

« - êtes vous sûr vous avez pensé ceci à travers ? »

Harry a persisté. « Voyons, » a dit Hermione, claquant voyage avec des trolls sur jetés pile avec un regard plutôt féroce. « J'avais emballé pendant des jours, ainsi nous sommes prêts à partir à la notification d'un moment, que le For Your Information a inclus faire de la jolie magie difficile, pour ne pas mentionner les actions entières des Fou-Yeux de contrebande du juste de breuvage magique de Polyjuice sous le nez de la maman de Ron.

« Je mémoires ai également modifié mes parents des' de sorte qu'ils soient convaincus cela ils s'appellent vraiment Wendell et Monica Wilkins, et celui l'ambition de la leur vie est se déplacer en Australie, qu'elles ont maintenant faite. C'est de la faire davantage difficile pour que Voldemort les dépiste vers le bas et de les interroge environ -ou vous, parce que malheureusement, je leur ai dit tout à fait un peu au sujet de toi.

« Supposant je survis notre chasse pour le Horcruxes, je trouverai la maman et le papa et soulever le sortilège. Si je pas - bien, je penser que j'ai moulé un assez bon charme pour les maintenir sûrs et heureux. Wendell et Monica Wilkins ne savent pas cela ils ont une fille, vous voyez. » Les yeux de Hermione nageaient avec des larmes encore. Ron obtenu dégagent le lit, mettre ses bras autour de elle une fois de plus, et a froncé les sourcils chez Harry comme si reprochant il par manque de tact. Harry ne pourrait pas penser à n'importe quoi dire, pas mineurs parce qu'il était fortement peu commun pour que Ron enseigne à n'importe qui le tact d'autre.

« I-Hermione, je suis désolé-Je pas - »

« Ne s'est pas rendu compte que Ron et moi connaissent parfaitement le puits ce qui pourrait se produire si nous venez avec toi ?

Bien, nous. Ron, exposition Harry ce que vous avez fait. »

« Nah, il est mangé juste, » a dit Ron.

« Continuent, il doit savoir ! »

Le « OH, bien. Harry, viennent ici. »

Pour la deuxieme fois que Ron a retiré son bras de autour de Hermione et stumped plus d'à la porte.

« C' lundi. »

« Pourquoi ? »

Harry a demandé, après Ron hors de la salle sur l'atterrissage minuscule.

« Descendo, » a murmuré Ron, dirigeant sa baguette magique au plafond bas.

Une trappe ouvert bien au-dessus de leurs têtes et d'une échelle a glissé vers le bas à leurs pieds. Un horrible, moitié-suçant, le demi, gémissant bruit est sorti du trou carré, avec odeur désagréable comme les drains ouverts.

« Qui est votre goule, n'est-ce pas? » Harry demandé, qui avait rencontré jamais réellement créature qui parfois a perturbé de nuit le silence.

« Ouais, il est, » a dit Ron, montant l'échelle.

« Venir aller voir lui. » Harry a suivi Ron vers le haut des quelques étapes de short dans l'espace minuscule de grenier. Sien la tête et les épaules étaient dans la chambre avant qu'il ait attrapé la vue de la créature courbé vers le haut de quelques pieds de lui, endormi rapide dans la tristesse avec sa grande bouche grand ouvert. « Mais il… qu'il regarde… font des pyjamas d'usage de goules normalement ? » le « non, » a indiqué Ron. « Ni les avoir a habituellement obtenu les cheveux rouges ou ce nombre de pustules. » Harry a contemplé la chose, légèrement révoltée. Elle était humaine dans la forme et la taille, et portait ce qui, maintenant que les yeux de Harry sont devenus utilisés au l'obscurité, était clairement une vieille paire des pyjamas de Ron. il était également ce sûr des goules étaient généralement plutôt gluants et chauves, plutôt que distinctement velu et couvert dans des boursouflures pourpres fâchées.

« Il est moi, voient ? » dit Ron.

Le « non, » a indiqué Harry.

« Je pas. »

« Je l'expliquerai en arrière dans ma chambre, l'odeur m'arrivant, » a indiqué Ron.

Ils se sont élevés avalent en arrière l'échelle, que Ron a renvoyée au plafond, et ont rejoint Hermione, qui assortissait toujours des livres.

« Une fois que nous sommes partis, la goule allant descendre et vivre ici dans ma chambre, » a dit Ron.

« Je pense qu'il attend avec intérêt vraiment lui-bien, il est difficile de dire, parce que tout qu'il peut faire est de gémir et radoter-mais il incline la tête beaucoup quand vous le mentionnez. Quoi qu'il en soit, il va être moi avec le spattergroit.

Bon, hein ? »

Harry a simplement regardé sa confusion.

« Elle est ! » dit Ron, clairement frustré que Harry n'avait pas saisi le brillant du plan. « Regarder, quand nous trois ne tournons pas vers le haut chez Hogwarts encore, chacun aller penser Hermione et moi doit être avec toi, droit ?

Ce qui signifie Les mangemort iront chercher directement nos familles pour voir s'ils ont l'information sur où vous êtes. »

« Mais si tout va bien elle regardera comme je suis parti avec la maman et le papa ; beaucoup de Muggle-borns parlent de l'entrée dans se cacher à l'heure actuelle, » a dit Hermione. « Nous ne pouvons pas cacher ma famille entière, elle regardera trop de poisson et ils ne peuvent pas tous laisser leurs travaux, » a dit Ron.

« Ainsi nous allons eteindre l'histoire que je suis sérieusement malade avec le spattergroit, qui est pourquoi je ne peux pas aller de nouveau à l'école. Si n'importe qui vient appelant pour étudier, la maman ou le papa peut montrer alors la goule dans mon lit, ered dans les pustules. Spattergroit vraiment contagieux, ainsi eux ne vont pas vouloir aller près de lui. Il n'importera pas qu'il ne puisse dire rien, non plus, parce que apparemment vous ne pouvez pas une fois que le mycète s'est écarté à votre luette. »

« Et votre maman et papa sont dedans sur ce plan ? » Harry demandé.

Le « papa est. Il a aidé Fred et George pour transformer la goule.

Maman… bien, vous avez vu comme ce qu'est elle. Elle ne nous acceptera pas vont jusqu'à ce que nous soyons allés. »

Il y avait silence dans la chambre, cassée seulement par des sons mats doux comme Hermione suite pour jeter des livres dans une pile ou l'autre. Ron reposé l'observant, et Harry a regardé d'un à l'autre. Les mesures qu'ils avaient pris pour se protéger leurs familles l'ont incité à réaliser, plus que toute autre chose pourraient avoir fait, cela elles vraiment allaient venir avec lui et cela elles ont su exactement dangereux qui seraient. Il a voulu leur dire ce qu'a signifié cela à lui, mais il simplement n'a pas pu trouver des mots assez importants. Par le silence sont venus les bruits insonorisés des cris de Mme Weasley de quatre planchers ci-dessous. « Ginny laissé probablement un point de la poussière sur un anneau de serviette de poxy, » a indiqué Ron. « Dunno d'I pourquoi le Delacours doivent venir deux jours avant les mariages. » La « soeur' demoiselle d'honneur de Fleur de SA, elle doit être ici pour la répétition, et elle est trop jeune pour venir toute seule, » a dit Hermione, car elle a étudié à fond indecisively au-dessus de la coupure avec une dame blanche. « Bien, les invités ne vont pas aider les niveaux de l'effort de la maman, » a dit Ron. « ce que nous devons vraiment décider, » a dit Hermione, jetant magique défensif Théorie dans le casier sans deuxièmes regard et cueillette vers le haut d'une évaluation de L'éducation magique en Europe, « est où nous allons après que nous partions ici. Je sais que vous dit t'avez voulu aller à la cavité de Godric d'abord, Harry, et je comprends pourquoi, mais… bon… ne devrions pas nous faire au Horcruxes notre priorité ? » « Si nous savions où l'un des Horcruxes étions, je serais d'accord avec toi, » dit Harry, qui n'a pas cru que Hermione a vraiment compris son désir à la cavité de Godric. Ses tombes de parents étaient seulement une partie de l'attraction : Il a eu un fort, bien qu'inexplicable, estimant que l'endroit a tenu des réponses pour lui. Peut-être il était simplement parce que c'était là qu'il a eu Voldemort survécu Tuer la malédiction ; maintenant qu'il relevait le défi de répéter l'exploit, Harry a été dessiné à l'endroit où il s'est produit, voulant comprendre. « Vous ne pensez pas là est possibilité un ce Voldemort exerçant une surveillance sur la cavité de Godric ? » Hermione a demandé. « Il pourrait prévoir que vous à retourner et pour visiter vos parents' tombes une fois que vous êtes libre pour aller là où vous aimez ? » Ceci ne s'était pas produit à Harry. Tandis qu'il luttait pour trouver un argument contraire, Ron a parlé vers le haut, évidemment suivant son propre train de pensée. « Cette personne de R.A.B., » il a dit, « savez-vous, celle qui a volé le vrai locket ? » Hermione a incliné la tête. « Il a dit dans sa note qu'il allait la détruire, pas il ? » Harry a traîné son sac à dos vers lui et a retiré le Horcrux faux dedans quelle note de R.A.B. était encore pliée. « `Je volerai le vrai Horcrux et ai l'intention de le détruire dès que je bidon,' » Harry donné lecture. « Bien, ce qui s'il le finissait ? » ledit Ron. « Ou elle. » Hermione interposé. « Celui que, » a dit Ron, « il' d soit un moins pour que nous fassent ! » « Oui, mais nous allons toujours devoir essayer et tracer le vrai locket, ne pas être nous ? » a dit Hermione, « le découvrir si a détruit. » « Et une fois que nous mettons la main sur lui, comment vous détruisez un Horcrux ? » Ron demandé. « Bien, » ai dit Hermione, « j'avais recherché cela. » « Comment ? » Harry demandé. « Je n'ai pas pensé qu'il y avait tous les livres sur Horcruxes dans la bibliothèque ? » « Il n'y avait pas, » a dit Hermione, qui avait tourné le rose. « Dumbledore les a enlevés tous, mais -il ne les a pas détruits. » Ron s'est reposé vers le haut directement, large-observé. « -il ne volait pas ! » ledit Hermione, regardant de Harry à Ron avec un genre de désespoir. « Ils étaient les livres immobiles de bibliothèque, même si Dumbledore avait pris les outre des étagères. Quoi qu'il en soit, s'il vraiment ne voulait pas que n'importe qui atteignît ils, je suis sûr qu'il l'aurait rendu beaucoup plus dur » « Obtenir au point ! » ledit Ron.

« Bon… il était facile, » a dit Hermione dans une petite voix.

« J'ai juste fait un charme convoqué. Vous connaissez-Accio. Et. ils ont bourdonné hors du juste de fenêtre de l'étude de Dumbledore dans les filles' dortoir. » « Mais quand vous avez fait ceci ? » Harry demandé, concernant Hermione avec un mélange d'admiration et d'incrédulité. « Juste aprés le son-Dumbledore's-enterrement, » a dit Hermione dans une voix encore plus petite. « Droit après que nous ayons convenu nous partirions de l'école et irions rechercher le Horcruxes. Quand j'ai retourné en haut pour obtenir mes choses que -il s'est juste produites à moi que plus nous connaissions elles, plus cela serait meilleur… et j'était seul dans là… ainsi j'a essayé… et il a fonctionné. Elles ont volé directement dedans par la fenêtre ouverte et II les a emballées. » Elle a avalé et alors a dit en priant, « je ne peux pas croire que Dumbledore aurait été fâché, il n'est pas comme si nous allons employer l'information pour faire un Horcrux, est lui ? » « Pouvez vous nous entendre nous plaindre ? » ledit Ron. « Où sont ces livres de toute façon ? » Hermione a fouillé pendant un moment et alors extrait à partir de la pile un de large volume, limite en cuir noir fané. Elle a regardé écoeuré et jugé lui en tant que délicatement comme si il étaient quelque chose récemment morte. « C'est celui qui donne des instructions explicites sur la façon dont faire un Horcrux. Des secrets du plus foncé Art-il est un livre horrible, vraiment terrible, plein de la magie mauvaise. Je me demande quand Dumbledore l'a enlevé de la bibliothèque. …. S'il ne le faisait pas jusqu'à ce qu'il ait été directeur, j'ai parié que Voldemort a obtenu toute instruction qu'il a eue besoin d'ici. » « Pourquoi il a dû demander à Slughorn comment faire un Horcrux, puis, s'il avait déjà lu cela ? » Ron demandé. « Il a seulement approché Slughorn à découvrent ce qui se produirait si vous coupiez votre âme en sept, » a dit Harry. « Dumbledore était sûr que l'énigme a déjà su faire un Horcrux mais le temps où il a demandé Slughorn sur eux. Je pense que vous avez raison, Hermione, que pourrait facilement avoir été où il a obtenu l'information. »

« Et plus que j'ai eu connaissance de eux, » a dit Hermione, « le plus horrible ils semblent, et moins je peux croire qu'il ai fait réellement six. Il avertit en ce livre comment instable vous faites le reste de votre âme en le déchirant, et c'est juste en faisant un Horcrux ! » Harry s'est rappelé quel Dumbledore avait indiqué au sujet de Voldemort se déplaçant là-bas « mal habituel. » « N'y a pas il aucune manière de se remonter arrière ? » Ron demandé. « Oui, » a dit Hermione avec un sourire creux, « mais lui être atrocement douloureux. » « Pourquoi ? Comment vous le faites ? » Harry demandé. Les « remords, » ont indiqué Hermione. « Se sentir vous devez vraiment ce que vous avez fait. Il y a une apostille. Apparemment la douleur de elle peut vous détruire. Je ne peux pas voir Voldemort l'essayer de façon ou d'autre, pouvez vous ? » « Non, » a dit Ron, avant que Harry pourrait répondre. « Ainsi il indique comment détruire Horcruxes en ce livre ? » « Oui, » a dit Hermione, tournant maintenant les pages fragiles comme si examinant des entrailles de décomposition. « parce qu'il avertit les magiciens foncés comment fort ils doivent faire sortilèges sur eux. De tous ce que j'ai lus, quel Harry a fait à l'énigme le journal intime était l'une des manières vraiment indéréglables de détruire un Horcrux. » « Ce qui, le poignardant avec un croc de basilic ? » Harry demandé. Le « OH bien, chanceux nous avons un si grand approvisionnement en crocs de basilic, puis, » a dit Ron. « Je me demandais ce que nous allions faire avec eux. » « Ce ne doit pas être un croc de basilic, » a dit Hermione patiemment. « Il doit être quelque chose si destructive que le Horcrux ne peut pas se réparer. Le venin de basilic a seulement un antidote, et il est incroyablement rare » « - Phoenix déchire, » a dit Harry, inclinant la tête. « Exactement, » a dit Hermione, « notre problème est que sont très peu de substances aussi destructives que le venin de basilic, et il est toutes dangereuse les porter autour avec toi. C'est un problème que nous allons devoir résoudre cependant, parce que la déchirure, casser, ou écraser d'un Horcrux ne feront pas le tour. Vous devez le mettre au delà de la réparation magique. » « Mais même si nous détruisons la chose qu'elle vit dedans, » a dit Ron,

« pourquoi ne peut pas le l'âme dans elle juste entrent et vivent dans autre chose ? »

« Puisqu'un Horcrux est l'opposé complet d'un être humain. »

Voyant que Harry et Ron ont regardé complètement confus, Hermione s'est dépêché sur, le « regard, si je prenais une épée en ce moment, Ron, et vous a couru à travers avec lui, je n'endommagerait pas votre âme du tout. »

« Qui serait un vrai confort à moi, je suis sûr, » a dit Ron.

Harry a ri.

« Il devrait être, réellement ! Mais mon point est que celui qui arrive au votre le corps, votre âme survivra intact, » a dit Hermione.

« Mais c'est le contraire avec un Horcrux. Le fragment de l'âme à l'intérieur qu'il dépend de lui est récipient, son corps enchanté, pour la survie, lui ne peut pas exister sans lui. »

« Cette sorte de journal intime de mort quand je l'ai poignardée, » a dit Harry, se rappelant l'encre versant comme le sang des pages perforées, et les cris perçants du morceau de L'âme de Voldemort comme elle a disparu.

« Et une fois que le journal intime était correctement détruit, le peu de l'âme a emprisonné dans lui a pu plus n'exister.

Ginny a essayé de se débarasser du journal intime avant que vous, le rinçant loin, mais évidemment il est revenu bon comme nouveau. »

« Accrocher dessus, » a dit Ron, fronçant les sourcils.

« Le peu de l'âme en ce journal intime possédait Ginny, n'est-ce pas?

Comment effectue ce travail, puis ? »

« Tandis que le récipient magique est encore intact, le peu de l'âme à l'intérieur il peut déménager dans et hors de quelqu'un s'ils obtiennent trop près de l'objet. Je ne veux pas dire le tenir pour long, il n'est rien à faire avec le toucher, »

elle me suis ajouté avant que Ron pourrait parler.

« Je veux dire étroitement avec émotion. Ginny a versé son coeur dehors dans ce journal intime, elle fait incroyablement vulnérable. Vous avez des ennuis si vous obtenez trop affectueux de ou personne à charge sur le Horcrux. »

« Je me demande comment Dumbledore a détruit l'anneau ? » ledit Harry.

Est-ce que « pourquoi je ne lui ai pas demandé ?

I jamais vraiment… »

Sa voix a coupé la queue loin : Il pensait à toutes choses qu'il devrait avoir Dumbledore demandé, et derrière de la façon dont, puisque le directeur était mort, il semblé Harry qu'il avait gaspillé tant d'occasions quand Dumbledore avait été vivant, pour découvrir plus… pour découvrir tout….

Le silence a été brisé pendant que la porte de chambre à coucher volait ouvert avec une mur-secousse accident. Hermione a poussé des cris perçants et a laissé tomber des secrets de l'art le plus foncé. Crookshanks strié sous le lit, sifflant avec indignation ;

Ron a sauté outre du lit, ensaboté sur un emballage jeté de grenouille de chocolat, et claqué sa tête sur l'opposé mur ; et Harry a instinctivement plongé pour sa baguette magique avant de se rendre compte qu'il était regarder vers le haut Mme Weasley, dont les cheveux étaient disheveled et dont le visage était contorted avec fureur.

« Je suis si désolé de casser vers le haut ce confortable peu qui recueille, » elle a dit, sa voix tremblant. « Je suis sûr vous tout le besoin votre repos… mais il y a des présenux de mariage été empilé dans ma chambre qui a besoin trier et moi a sous l'impression cela vous avez eu êtes d'accord sur l'aide. »

Le « OH oui, » a dit Hermione, regardant terrifié pendant qu'elle sautait sur ses pieds, envoyant des livres volant dans chaque direction,

« nous volonté… nous sommes désolés… »

Avec un regard suffri le martyre chez Harry et Ron, Hermione, s'est dépêché hors du pièce après Mme Weasley.

« Elle est comme être un maison-elfe, » s'est plainte Ron dans une voix basse, massant toujours sa tête comme lui et Harry ont suivi.
« Excepté sans la satisfaction professionnelle. Plus tôt le ce mariage plus de, plus je serai heureux. »

« Ouais, » a dit Harry,

« alors nous n'aurons rien à faire excepté la trouvaille Horcruxes. ….

Il aura lieu comme des vacances, pas il ? » Ron a commencé à rire, mais à la vue de l'énorme pile du mariage présents les attendant dans la pièce de Mme Weasley's, arrêtés tout à fait abruptement.

Delacours est arrivé le matin suivant à onze heures. Harry, Ron, Hermione, et Ginny se sentaient tout à fait irrités vers la famille de Fleur près cette fois, et lui était avec la grace malade que Ron stumped en arrière en haut pour mettre dessus les chaussettes assorties, et le Harry ont essayé d'aplatir ses cheveux. Une fois qu'elles avaient tous considéré assez futé, elles se sont assemblées dehors dans l'arrière-cour ensoleillée pour attendre les visiteurs. Harry n'avait jamais vu l'endroit regarder si rangé. Les chaudrons rouillés et de vieilles initialisations de Wellington qui portée habituellement les étapes par la porte arrière ont été allées, remplacé par deux nouveaux buissons de Flutterby tenant l'un ou l'autre côté de la porte dans grand les pots, bien qu'il n'y ait eu aucune brise, les feuilles ont ondulé paresseux, donnant un attrayant effet de ondulation. Les poulets avaient été fermés loin, le yard avaient été balayés, et le jardin voisin avait été taillé, a plumé, et généralement s'est paré vers le haut, bien que Harry, qui l'a aimé dans son état envahi, pensée qui elle a regardé plutôt désespéré sans son habituellement contingent des gnomes capering. Il avait perdu la voie de combien de perfectionnements de sécurité avaient été placés au moment le creuser par l'ordre et le ministère ; tout qu'il a su était qu'il était plus possible pour que quiconque voyage par magie directement dans l'endroit. M. Weasley était donc allé rencontrer Delacours sur une colline voisine, où ils devaient arriver par Portkey. Le premier bruit de leur approche était exceptionnellement rire aigu, qui s'est avéré venir de M. Weasley, qui apparu aux moments de porte plus tard, chargé avec le bagage et mener un beau femme de blonde dans de longues, feuille-vertes robes longues, qui pourraient seulement être la mère de Fleur. « Maman ! » Fleur pleuré, se précipitant en avant pour l'embrasser. « Papa ! » Monsieur Delacour était nulle part près aussi attirant que son épouse ; il était a plus courts principaux et laissent tomber extrêmement, avec une petite, dirigée barbe noire. Cependant, il a semblé de bonne composition. Rebondissant vers Mme Weasley sur des initialisations haut-gîtées, il l'a embrassée deux fois sur chaque joue, la laissant agitée.

« Vous' avenue étée à beaucoup d'ennui, » il a dit dans une voix profonde.

« Fleur nous vous indique' avenue fonctionnant très' l'ard. »

Le « OH, il n'a été rien, rien » trilled Mme Weasley.

« Aucun ennui du tout. »

Ron a soulagé ses sentiments en visant un coup-de-pied un gnome qui dévisageait dehors par derrière des nouveaux buissons de Flutterby.

« Chère dame ! » dit Monsieur Delacour, main de Mme Weasley's se tenante immobile entre ses deux et rayonner dodus.

« Nous sommes plus honorés à l'approche union de nos deux familles ! Me laisser présenter mon épouse, Apolline. » Madame Delacour glissée en avant et penchée pour embrasser Mme Weasley aussi.

« Enchant´ee, » elle a dit. »

Votre' usband' comme nous disant de telles histoires amusantes ! »

M. Weasley a donné un rire maniaque ; Mme Weasley l'a jeté un regard, au moment ce qu'il est devenu immédiatement silencieux et assumé une expression appropriée au sickbed d'un ami étroit.

« Et, naturellement, vous' avenue avez rencontré ma fille de leetle, Gabrielle ! » ledit Monsieur Delacour. Gabrielle était Fleur en miniature ; onze années, avec la taille des cheveux de longueur de blonde pure et argentée, elle a donné à Mme Weasley un sourire de briller et étreint lui, a alors jeté Harry un regard rougeoyant, maniant la batte ses cils. Ginny dégagé sa gorge fort.

« Bien, COM dedans ! » dite Mme Weasley brillamment, et elle ont conduit le Delacours dans la maison, avec des beaucoup de

« non, svp ! » s et « après toi ! » s et

« pas à tous ! » s.

Le Delacours, car il a bientôt transpiré, étaient les invités utiles et plaisants. Ils étaient heureux avec tout et vif d'aider avec les préparations pour mariage. Monsieur Delacour a prononcé tout du plan d'allocation des places aux demoiselles d'honneur' montre « Charmant ! » Madame Delacour faisait au ménage orthographie et a fait nettoyer correctement le four dans un trice ; Gabrielle suivi sa soeur plus âgée autour, essayant de l'aider de quelque façon pourrait et jabbering loin dans le Français rapide.

En baisse, le creuser n'a pas été établi pour adapter à tant de personnes. M. et Mme Weasley dormaient maintenant dans le salon, ayant crié des protestations vers le bas de Monsieur et de Madame Delacour's et exigé ils prennent le leur chambre à coucher. Gabrielle dormait avec Fleur dans la vieille pièce de Percy, et la facture partagerait avec Charlie, son meilleur homme, une fois que Charlie arrivait de Roumanie. Les occasions de faire des plans sont ensemble devenues pratiquement inexistantes, et elle était dans le désespoir que Harry, Ron, et Hermione ont pris à offrir pour alimenter poulets juste pour échapper à la maison surchargée.

« Mais elle ne nous laissera toujours pas seuls ! » Ron grondé, en tant que leur deuxième tentative de réunion en cour a été contrecarré par l'aspect de Mme Weasley portant a grand panier de blanchisserie dans elle bras.

Le « OH, bon, vous avez alimenté les poulets, »

elle avez appelé comme elle les a approchés.

« Nous devrions les fermer loin encore avant que les hommes arrivent demain…

pour mettre vers le haut la tente pour le mariage, »

qu'elle a expliqué, faisant une pause au maigre contre le poulailler.

Elle a semblé épuisée. « Les chapiteaux magiques de Millamant… ils sont très bon. Facture les escortant. …. Vous devriez rester l'intérieur tandis qu'ils sont ici, Harry. Je dois dire qu'il complique organiser un mariage, ayant tout ces derniers la sécurité orthographie autour de l'endroit. » « Je suis désolé, » a dit Harry humblement.

Le « OH, ne sont pas idiot, cher ! » ladite Mme Weasley immédiatement.

« Je pas signifie-bien, votre sûreté beaucoup plus importante ! En fait, j'avais voulu te demander comment vous voulez célébrer votre anniversaire, Harry.

Dix-sept, après tout, c'est un jour important. … »

« Je ne veux pas une agitation, » a dit Harry rapidement, envisageant l'addition tendent ceci les mettrait dessus tous.

« Vraiment, Mme Weasley, juste un dîner normal serait très bien. ….

C'est le jour avant le mariage. … »

Le « OH, bien, si vous êtes sûr, cher. J'inviterai Remus et Tonks, je ?

Et que diriez-vous de Hagrid ? » « Qui' d soit grand, » a dit Harry.

« Mais veuillez ne pas aller aux charges de l'ennui. »

« Pas du tout, pas du tout…. Ce n'est aucun ennui. … » elle a regardé lui, un long, recherchant le regard, puis a souri peu tristement, redressé vers le haut, et a marché loin. Harry observé comme elle a ondulé sa baguette magique près de la ligne de lavage, et l'humidité les vêtements se sont levés dans l'air pour s'accrocher vers le haut, et soudainement il a senti un grand vague des remords pour le dérangement et la douleur il la donnait.

Chapitre 7 Le testament d'Albus Dumbledore

I

l marchait le long d'une route de montagne dans la lumière bleue fraîche de aube. Loin ci-dessous, enveloppée en brume, était l'ombre d'un petit ville. Était l'homme qu'il a cherché vers le bas là, l'homme il a eu besoin ainsi mal il pourrait penser peu à autrement, l'homme qui a tenu la réponse, la réponse à son problème… ?

« Oi, se réveillent, » Harry a ouvert ses yeux. Il se trouvait encore sur le lit de camp dans Ron terne pièce de grenier. Le soleil ne s'était pas encore levé et la salle était encore ombragée. Pigwidgeon était endormi avec sa tête sous son aile minuscule. la cicatrice sur Harry le front prickling.

« Vous murmuriez dans votre sommeil. »

« Était I ? »

« Ouais. `Gregorovitch.' Vous avez continué à dire le `Gregorovitch. »'

Harry ne portait pas ses lunettes ; Le visage de Ron a semblé légèrement brouillé.

« Qui est Gregorovitch ? » « Dunno d'I, je ?

Vous étiez celui le disant. »

Harry a frotté son front, pensant. Il a eu une idée vague qu'il avait entendu le nom avant, mais lui n'a pas pu penser où.

« Je pense Voldemort le recherchant. »

Le « pauvre type, » a dit Ron ardamment. Harry s'est assis vers le haut, frottage immobile sien cicatrice, maintenant au loin éveillée. Il a essayé de se rappeler exactement ce qu'il avait vu dans le rêve, mais tout qui est revenu étaient un horizon montagneux et le contour du petit village bercé dans une vallée profonde.

« Je pense qu'il est à l'étranger. »

« Qui, Gregorovitch ? »

« Voldemort. Je pense qu'il est quelque part à l'étranger, recherchant Gregorovitch. Il n'a pas ressemblé n'importe où dedans à la Grande-Bretagne. »

« Vous vous comptez revoyiez dans son esprit ? » Ron a retenti inquiété.

« Me faire une faveur et ne pas dire Hermione, » a dit Harry.

« Bien que comment elle s'attend à ce que je cesse de voir la substance dans mon sommeil… »

Il a regardé fixement vers le haut le camp de peu de Pigwidgeon, pensant. Pourquoi était le nom Familier de « Gregorovitch » ?

« Je pense, » il a dit lentement, « il a quelque chose faire avec Quidditch. il y a un certain raccordement, mais je ne peux pas - je ne peux pas penser ce qu'est il. » « Quidditch ? » ledit Ron. « Sûr vous ne pensez pas à Gorgovitch ? »

« Qui ? » « Dragomir Gorgovitch, chasseur, transféré aux canons de Chudley pour a honoraires record il y a deux ans. Le détenteur du record pour la plupart de Quaffle se laisse tomber dans une saison. »

« Non, » a dit Harry, « je ne dois certainement pas penser à Gorgovitch. »

« J'essaye pas à non plus, » a dit Ron.

« Bien, joyeux anniversaire de toute façon. »

« Défaut de la reproduction sonore-qua raison, j'a oublié !

J'ai dix-sept ans. » Harry a saisi la baguette magique se trouvant près de son lit de camp, dirigé lui au encombré bureau où il avait laissé ses verres, et « verres d'Accio ! »

Bien qu'ils aient été seulement autour d'un pied de distance, il y avait quelque chose satisfaisant immensément environ les voyant bourdonner vers lui, ou du moins jusqu'à ce qu'ils l'ont poussé dans l'oeil.

« Lisse, » a reniflé Ron.

Reveling dans le déplacement de sa trace, Harry a envoyé voler des possessions de Ron autour de la salle, faisant réveiller Pigwidgeon le flottement avec enthousiasme autour du sien camp. Harry également jugé attachant les lacets de ses entraîneurs par magie (le noeud résultant a pris plusieurs minutes pour délier à la main) et, purement pour le plaisir de lui, a tourné les robes longues oranges sur le bleu droit d'affiches de canons de Chudley de Ron.

« Je ferais votre mouche à la main, bien que, » Harry conseillé par Ron, riant sous cape quand Harry l'a immédiatement vérifié.

« Voici votre présent. Le dérouler vers le haut ici, il n'est pas pour les yeux de ma mère. » « Un livre ? » ledit Harry comme il a pris le colis rectangulaire.

« A mordu d'un départ à la tradition, n'est-ce pas? »

« Ce n'est pas votre livre moyen, » a dit Ron.

« C'est or pur : Douze manières fiables de charmer des sorcières. Explique tout que vous devez savoir des filles. Si seulement j'avais eu cette dernière année où j'aurais su exactement se débarasser de la lavande et je n'aurais pas su obtenir allant avec. Bien, Fred et George m'a donné une copie, et j'ai appris beaucoup. Vous seriez étonnés, il n'est pas tout au sujet de wandwork, non plus. »

Quand ils sont arrivés dans la cuisine ils ont trouvé une pile des présents attendant dessus la table. La facture et le Monsieur Delacour finissaient leurs déjeuners, alors que Mme Weasley s'est tenue causante à eux l'excédent la poêle. « Arthur m'a dit que pour te souhaiter un dix-septième heureux, Harry, » a dit Mme Weasley, rayonnant à lui. »

Il a dû partir tôt pour le travail, mais il sera de retour pour le dîner. C'est notre présent sur le dessus. »

Harry assis, a pris le colis carré qu'elle avait indiqué, et non emballé il. À l'intérieur de était une montre très comme un M. et Mme Weasley avait donné Ron pour son dix-septième ; c'était or, avec tient le premier rôle entourer autour du visage au lieu des mains.

« Il est traditionnel pour donner à un magicien une montre quand il vient de l'âge. » dite Mme Weasley, l'observant impatiemment de près du coin.

« J'ai peur qu'on ne soit pas nouveau comme Ron, il étais réellement mon frère Fabian et il ne faisait pas attention terriblement avec ses possessions, c'est un peu bosselé sur le dos, mais » Le reste de son discours a été perdu ; Harry a eu vers le haut et l'a étreinte, il a essayé pour mettre beaucoup de choses inexprimées dans l'étreinte et peut-être elle les a comprises, parce qu'elle a tapoté son contrôle maladroitement quand il l'a libérée, alors l'a ondulée baguette magique d'une manière légèrement aléatoire, causant la moitié par paquet de lard hors de faire frire casserole sur le plancher.

« Joyeux anniversaire, Harry ! » dit Hermione, se dépêchant dans la cuisine et ajouter son propre présent au dessus de la pile.

« Elle n'est pas beaucoup, mais j'espère que vous l'aimez.

Ce qui vous l'a obtenu ? » elle a ajouté à Ron, qui a semblé ne pas l'entendre. »

« Avancent, puis, Hermione ouvert ! ledit Ron. Elle l'avait acheté un nouveau Sneakoscope. Les autres paquets ont contenu rasoir enchanté de facture et de Fleur. (« Ampèreheure oui, les zis te donneront le ze le rasage le plus doux que vous la veille' avenue, » Monsieur Delacour l'a assuré, « mais vous devez le dire que clairement ce qui vous voulez… l'ozzerwise vous pourriez vous trouver' avenue un leetle moins de cheveux zan vous voudriez. … »), chocolats du Delacours, et une énorme boîte marchandises de Wheezes de magicien de plus défunt Weasleys' de Fred et de George. Harry, Ron, et Hermione ne se sont pas attardés à la table, comme arrivée de Madame Delacour, Fleur, et Gabrielle a fait la cuisine inconfortablement serrée. « J'emballerai ces derniers pour toi, » Hermione dit brillamment, prenant les présents de Harry hors de ses bras comme les trois d'entre eux se dirigent en arrière en haut.

« Je suis presque fait, je suis juste attendant le reste de votre slip pour sortir du lavage, splutter de Ron- » Ron ai été interrompu par l'ouverture d'une porte sur le premier-plancher atterrissage. « Harry, volonté vous venez dans ici un moment ? » C'était Ginny, Ron est venu à une halte brusque, mais Hermione l'a pris par coude raboteux il sur vers le haut des escaliers. Se sentant nerveux, Harry a suivi Ginny dans sa pièce. Il n'avait jamais été à l'intérieur de elle avant. Elle était petite, mais lumineuse. Il y avait d'a grande affiche de la bande de Wizarding de soeurs étranges sur un mur et une image de Gwenog Jones, capitaine de l'équipe de Quidditch de tout-sorcière le Holyhead Harpies, de l'autre. Un bureau s'est tenu faisant face à la fenêtre ouverte, qui a regardé dehors au-dessus du verger où lui et Ginny avaient par le passé joué le deux-un-côté Quidditch avec Ron et Hermione, et qui a maintenant logé un grand, nacré chapiteau blanc. Le drapeau d'or sur le dessus était de niveau avec la fenêtre de Ginny.

Ginny recherché dans le visage de Harry, a pris un souffle profond, et a indiqué, « heureux dix-septième. »

« Ouais. merci. »

Elle le regardait solidement ; il, cependant, trouvé lui difficile à regarder en arrière à elle ; il était comme regarder dans une lumière brillante.

« Vue de Nice, » il a dit faiblement, étant dirigé vers la fenêtre. Elle a ignoré ceci. Il ne pourrait pas la blâmer,

« Je ne pourrais pas penser quoi vous obtenir, » elle ai dit.

« Vous n'avez pas dû m'obtenir quelque chose. »

Elle a négligé ceci aussi.

« Je n'ai pas su ce qui serait utile. Rien trop grand, parce que vous ne pourriez pas le prendre avec toi. »

Il a risqué un regard à elle. Elle n'était pas tearful ; c'était un de beaucoup de choses merveilleuses au sujet de Ginny, elle était rarement weepy. Il a eu parfois pensé qu'avoir le frère six doit l'avoir durçie vers le haut. Elle a pris une mesure plus près de lui.

« Tellement puis pensée d'I, je voudrais que vous ayez quelque chose se rappeler me près, vous savoir, si vous rencontrez un certain veela quand vous êtes outre de faire quoi que vous fassiez. »

« Je pense que datant des occasions vont être assez légèrement sur la terre, d'être honnête. » « Il y a la doublure argentée que j'avais recherchée, » elle a chuchoté, et alors elle l'embrassait comme elle ne l'avait avant jamais embrassé, et Harry l'embrassait en arrière, et c'était oublie heureux mieux que firewhisky ; elle était la seule vraie chose dans le monde, Ginny, le sentir de elle, une main à elle de retour et une dans son long, les cheveux d'odeur agréable le derrière ouvert frappé par porte elles et eux ont sauté à part.

Le « OH, » a indiqué Ron de façon tranchante.

« Désolé. » « Ron ! » Hermione était juste derrière lui, légèrement hors du souffle. Il y avait d'a tendu silence, alors Ginny a indiqué dans une petite voix plate,

« Bien, joyeux anniversaire de toute façon, Harry. »

Les oreilles de Ron étaient écarlate ;

Hermione a semblé nerveux. Harry a voulu claquer la porte dans leurs visages, mais lui s'est sentie comme si le drain froid d'I avait écrit quand la porte est apparue, et son moment brillant avait sauté comme une bulle de savon. Toutes raisons de finir son rapport avec Ginny, pour rester bien loin de elle, semblé avoir le slunk à l'intérieur de la salle avec Ron, et tout heureux le manque de mémoire a été allé. Il a regardé Ginny voulant dire quelque chose, bien qu'il ait à peine su ce qui, mais elle l'avait tournée en arrière sur lui. Il a pensé qu'elle pourrait avoir succombé, pour une fois, aux larmes. Il ne pourrait faire rien la soulager devant Ron.

« Je vous verrai plus tard, » il a dit, et a suivi les autres deux sur la chambre à coucher. Ron a marché en bas, par la cuisine encore-serrée et dans le yard, et le Harry ont suivi lui toute manière, Hermione trottant le long derrière eux semblant effrayés. Une fois qu'il atteignait la retraite fraîchement de la pelouse de fauchage, Ron a arrondi dessus Harry.

« Vous l'avez entourée de fossés. Ce qui sont vous faisant maintenant, la salissant autour de »

« Je ne la dérange pas, » a dit Harry, car Hermione s'est rattrapé par rapport à ils.

« Ron- » Mais Ron a retardé une main pour l'amortir.

« Elle a été vraiment coupée vers le haut de quand vous l'avez fini »

« Était ainsi l'I. Vous savez pourquoi je l'ai arrêté, et il n'était pas parce que j'ai voulu à. » « Ouais, mais vous allez snogging la maintenant et elle est aller juste lui obtenir des espoirs vers le haut encore »

« Elle n'est pas une idiote, elle sait qu'il ne peut pas se produire, elle ne nous attend pas à-à l'extrémité vers le haut mariée, ou »

« En tant que He a dit lui, une image vive formée en esprit de Harry de Ginny dans une robe blanche, épousant un étranger grand, sans visage, et désagréable. Dans un moment se développant en spirales elle a semblé le frapper : Son futur était libre et non encombré, tandis que sien… il pourrait ne voir rien mais Voldemort en avant.

« Si vous continuez à chercher sa chaque chance vous obtenez »

« Elle ne se produira pas encore, » a dit Harry durement. Le jour était sans nuages, mais lui senti comme si le soleil a eu le po allé « correct ? »

Ron a semblé demi de timide irrité et demi ; il a basculé en arrière et vers l'avant sur ses pieds pendant un moment, alors dits,

« droit alors, bien, qui est… ouais. »

Ginny n'a pas cherché une autre réunion linéaire avec Harry pour le reste de le jour, ni par n'importe quel regard ou geste elle prouvent qu'ils avaient partagé plus que la conversation polie dans sa chambre. Néanmoins, l'arrivée de Charlie est venue comme soulagement à Harry. Elle a fourni une distraction, observant la force Charlie de Mme Weasley dans une chaise, soulève sa baguette magique threateningly, et annonce qu'il était sur le point d'obtenir une coupe appropriée. Car le dîner de l'anniversaire de Harry aurait épuisé la cuisine de creuser à point d'arrêt même avant l'arrivée de Charlie, lupin, de Tonks, et de Hagrid, plusieurs tables étaient extrémité placée à l'extrémité dans le jardin. Fred et George ont enchanté un certain nombre de lanternes pourpres, tout décorées avec un grand numéro 17, pour accrocher dedans entre le ciel et la terre au-dessus des invités. Grâce aux services de Mme Weasley's, La blessure de George était ordonnée et nettoie, mais Harry n'a pas été encore employé à l'obscurité trou dans le côté de sa tête, en dépit des jumeaux beaucoup de plaisanteries à son sujet. Les flammes de pourpre faites par Hermione et d'or éclatent de l'extrémité de sa baguette magique et se draper artistiquement au-dessus des arbres et des buissons. « Nice, » a dit Ron, comme avec une finale s'épanouir de sa baguette magique, Hermione a tourné les feuilles sur l'arbre de crabapple à l'or.

« Vous avez vraiment un oeil pour cette sorte de chose. »

« Merci, Ron ! » ledit Hermione, regardant heureux et peu un confus. Harry s'est tourné loin, souriant vers se. Il a eu une notion drôle qui il trouverait un chapitre sur des compliments quand il a trouvé l'heure de lire attentivement sa copie de Douze manières fiables de charmer des sorcières ; il a attiré l'attention de Ginny et a grimacé à elle avant de se rappeler sa promesse à Ron et frapper à la hâte vers le haut d'une conversation avec Monsieur Delacour. « Le `à l'écart et à l'écart de ¡ a chanté Mme Weasley, venant par porte avec ce qui a semblé être un géant, pif plage-boule-classé flottant devant elle. Les secondes plus tard Harry se sont rendues compte que c'était son gâteau d'anniversaire, que Mme Weasley suspendait avec sa baguette magique, plutôt que risque la portant au-dessus du la terre inégale. Quand le gâteau avait finalement débarqué au milieu de la table, Harry a dit, « Ce regarde étonnant, Mme Weasley. »

Le « OH, il n'est rien, cher. » elle a dit tendrement. Au-dessus de son épaule, Ron a donné Harry les pouces-vers le haut et celui dits et bons du bout des lèvres. Par sept heures tous invités étaient arrivés, mené dans la maison par Fred et George, qui les avait attendus à l'extrémité de la ruelle. Hagrid avait honoré l'occasion en portant son meilleur, et horrible, velu costume de front. Bien que lupin souri car il a secoué la main de Harry, Harry a pensé qu'il a regardé plutôt malheureux. Il était tout très impair ; Tonks, près de lui, a regardé simplement radiant. « Joyeux anniversaire, Harry, » elle a dit, l'étreignant étroitement. « Dix-sept, hein ! » ledit Hagrid comme il a accepté un verre seau-classé de vin de Fred. « Six ans de ter le jour où nous avons rencontré, Harry, d' yeh se rappellent le ? » « Vaguement, » a dit Harry, grimaçant vers le haut à lui. « Pas que vous le fracas avalent l'avant la porte, élasticité Dudley la queue d'un porc, et m'indiquent que j'étais un magicien ?' « Je forge' les détails, » Hagrid Chortled. « Tout le righ', Ron, Hermione ? » « Nous sommes très bien, » a dit Hermione. « Qui sont toi ? » « Ar, non mauvais. Casier occupé, nous avons obtenu quelques unicorns nouveau-nés. Je montrerai le yeh quand le yeh récupèrent » Ron évité par Harry et les regards fixes et le Hagrid de Hermione fouillés dans sa poche. « Ici, Harry-couldn' pensent ce que le ter obtiennent à yeh, mais puis I s'est rappelé ceci. » Il a retiré une petite, légèrement à fourrure poche de cordon avec une longue corde, évidemment prévue pour être porté autour du cou. « Mokeskin. Peau l'anythin' dans là' un personne mais le propriétaire peut l'obtenir dehors. Ils sont rares, ils. » « Hagrid, merci ! » « ' S' nothin', » a dit Hagrid avec une vague d'une main poubelle-couvercle-classée, « ' là est Charlie ! toujours aimé lui-hé ! Charlie ! » Charlie s'est approché, courant sa main légèrement de manière attristante au-dessus de son nouveau, brutalement coupe courte. Il était plus court que Ron, trapu, avec un certain nombre de brûlures et les éraflures lèvent le sien muscly des bras. « Bonjour, Hagrid, comment est il allant ? » « Ter de meanin de casier le' écrivent des âges de maintenance. Va comment le doin de Norbert »'

« Norbert ? »

Charlie ri. « Le norvégien à créte ?

Nous appelons son Norberta maintenant. »

« Wha-Norbert' fille de SA ? »

Le « OH ouais, » a indiqué Charlie.

« Comment pouvez vous dire ? » Hermione demandé

« Ils sont beaucoup plus méchants. » ledit Charlie. Il a regardé au-dessus de son épaule et a laissé tomber sa voix. « Souhaiter que le papa se dépêche vers le haut et obtienne ici. Obtenir de la maman énervé. » Ils tout ont regardé plus de Mme Weasley. Elle essayait de parler à la Madame Delacour tout en jetant un coup d'oeil à plusieurs reprises sur la porte. « Je pense que nous devrions commencer sans Arthur, » elle avons appelé au jardin dans son ensemble après un moment ou deux. « Il doit avoir été l'à-OH supporté ! » Ils tous l'ont vu en même temps : une strie de lumière qui est venue vol à travers le yard et sur la table, où elle s'est résolue en weasel argenté lumineux, quel tenu sur ses jambes et rai de derrière avec la voix de M. Weasley's. « Ministre de magie venant avec moi. » Le Patronus s'est dissous dans l'air mince, laissant la famille de Fleur dévisageant dans l'étonnement où il avait disparu.

« Nous ne devrions pas être ici, » a dit le lupin immédiatement. « La volonté désolée-Je de Harry-Je AM expliquent un autre temps » Il a saisi le poignet de Tonks et l'a écartée ; atteint la barrière, montée au-dessus de elle, et disparu de la vue. Mme Weasley a semblé déconcertée. « Ministre-mais pourquoi ? Je ne comprends pas » Mais il n'y avait plus de temps pour discuter du point ; une seconde plus tard, M. Weasley était apparu hors de l'air mince à la porte, accompagnée de Rufus Scrimgeour, immédiatement reconnaissable par sa crinière de grizzled des cheveux. les deux venus ont marché à travers la cour vers le jardin et lanterne-a allumé la table, où tout le monde s'est assis dans le silence, les observant dessiner plus étroitement. As Scrimgeour a relevé de la marge de la lumière de lanterne, Harry a vu qu'il a regardé beaucoup plus vieille que la dernière fois ils s'étaient réunis, maigre et sinistre. « Désolé de s'imposer, » a dit Scrimgeour, car il a boité à une halte avant la table.

« Particulièrement car je peux voir que je suis porte se brisant une partie. »

Ses yeux se sont attardés pendant un moment sur le gâteau géant de pif.

« Beaucoup de retours heureux. »

Les « mercis, » ont indiqué Harry.

« J'ai besoin d'un mot privé avec toi, » Scrimgeour ai continué.

« En outre avec M. Ronald Weasley et Mlle Hermione Granger. »

« Nous ? » ledit Ron, retentissant étonnant,

« pourquoi nous ? »

« Je te dirai que quand nous sommes quelque part plus privés, » a dit Scrimgeour.

« Y a il un tel endroit ? » il a exigé de M. Weasley.

. « Oui, naturellement, » a dit M. Weasley, qui a semblé nerveux.

« , Heu, se reposant pièce, pourquoi pas vous l'utilisation qui ? »

« Vous pouvez mener la manière, » Scrimgeour dit à Ron.

« Il n'y aura aucun besoin de vous pour nous accompagner, Arthur. »

Échange de M. Weasley de scie de Harry un regard inquiété avec Mme Weasley en tant que He, Ron, et Hermione tenu vers le haut. Comme ils ont mené la manière de nouveau à la maison dans le silence, Harry a su que les autres deux pensaient les mêmes qu'il était : Scrimgeour doit avoir appris, de façon ou d'autre, que les trois d'entre eux projetaient lâcher de Hogwarts. Scrimgeour n'a pas parlé pendant qu'ils traversaient tout la cuisine malpropre et dans le salon de creuser. Bien que le jardin ait été plein du doux lumière d'or de soirée, il était déjà foncé dedans ici. Harry a effleuré sa baguette magique à les lampes d'huile pendant qu'il entrait et elles ont illuminé la salle minable mais confortable. Scrimgeour s'est reposé dans le fauteuil de fléchissement ce M. Weasley normalement occupé, laissant Harry, Ron, et Hermione pour serrer côte à côte sur sofa. Une fois qu'ils avaient fait ainsi, Scrimgeour a parlé,

« J'ai quelques questions pour les trois de votre et je pense qu'il sera le meilleur si nous le faire individuellement.

Si vous deux « - il s'est dirigé chez Harry et Hermione- » peut attendre en haut, je commencera par Ronald. »

« Nous n'allons pas n'importe où, » a dit Harry, alors que Hermione inclinait la tête vigoureusement.

« Vous pouvez nous parler ensemble, ou pas du tout. »

Scrimgeour a donné à Harry un regard à froid et évaluant. Harry a eu l'impression que le ministre se demandait l'était des hostilités valables d'ouverture ceci tôt.

« Très bien puis, ensemble, » il a dit, gesticulation. Il a dégagé sa gorge.

« Je suis ici, car je suis sûr vous savez, en raison de la volonté d'Albus Dumbledore. »

Harry, Ron, et Hermione ont regardé un un autre.

« Une surprise, apparemment ? Vous ne vous rendiez pas compte le ce Dumbledore étiez partis vous quelque chose ? »

« Un-tout de nous ? » ledit Ron.

« Moi et Hermione aussi ? »

« Oui, tous de » Mais Harry s'est interrompu.

« Dumbledore est mort au-dessus il y a d'un mois. Pourquoi le fait prendre ce long pour nous donner ce qu'il nous a laissé ? »

« N'est pas il évident ? » ledit Hermione, avant Scrimgeour a pu répondre.

« Ils a voulu examiner celui qu'il nous ait laissé. Vous n'avez eu aucun droit de faire cela ! » elle a dit, et sa voix a tremblé légèrement.

« J'ai eu chaque droit, » a dit Scrimgeour dismissively. « Le décret pour la confiscation justifiable donne au ministère la puissance de confisquer le contenu d'a volonté » « Cette loi a été créée pour arrêter des magiciens passant sur les objets façonnés foncés, » dit Hermione, « et le ministère est censé avoir une évidence qui le défunt les possessions sont illégales avant de le saisir !

Êtes vous me disant que vous pensée Dumbledore essayait de nous passer quelque chose maudite ? » « Êtes vous planification pour suivre une carrière dans la loi magique, Mlle Granger ? » demandé Scrimgeour.

« Non, je ne suis pas, » Hermione répliqué.

« J'espère le faire un certain bien dans le monde ! »

Ron a ri, les yeux de Scrimgeour ont clignoté vers lui et loin encore As Rai de Harry. « Tellement pourquoi avez-vous décidé nous laissez-vous avoir nos choses maintenant ? Ne pouvez pas vous penser à un prétexte pour les garder ? »

« Non, il sera parce que les trente et un jours sont en hausse, » a dit Hermione immédiatement. « Ils ne peuvent pas maintenir les objets plus longs que c'à moins qu'ils puissent s'avérer ils sont dangereux. Droite ? »

« Vous vous diriez étiez près de Dumbledore, Ronald ? »

Scrimgeour demandé, ignorer Hermione. Ron a semblé effrayé.

« Je ? Aucun-non vraiment….

C'était toujours Harry qui… »

Ron a regardé autour Harry et Hermione pour voir Hermione lui donner a arrêter-parler-maintenant !

la sorte de regard, mais les dommages a été faite : Scrimgeour regardé comme s'il avait entendu exactement ce qu'il avait compté, et avait voulu, pour entendre. Il swooped comme un oiseau de proie sur la réponse de Ron.

« Si vous n'étiez pas très près de Dumbledore, comment vous expliquez le fait qu'il s'est rappelé vous dans le sien ? Il a fait exceptionnellement peu de legs personnels. La grande majorité de sa possession-sa bibliothèque utilisateur, sienne magique des instruments, et d'autres personnels effet-ont été laissés à Hogwarts.

Pourquoi vous faire penser que vous avez été choisis ? »

« I. le dunno, » a indiqué Ron,

« I. quand je dis nous n'étions pas étroits…. Je veux dire, je pense qu'il m'a aimé. … »

« Vous êtes modeste, Ron, » a indiqué Hermione.

« Dumbledore était très affectueux de vous. » Ceci étirait la vérité aux points d'arrêt dans la mesure où Harry a su, Ron et Dumbledore n'avait jamais été seul ensemble, et contact direct entre ils avaient été négligeables.

Cependant, Scrimgeour n'a pas semblé écouter. Il a mis sa main à l'intérieur de son manteau et a dessiné dehors une poche de cordon beaucoup plus grande que l'un Hagrid avait donné Harry. De lui, il a enlevé un rouleau de parchemin ce qu'il a déroulé et a lu à haute voix.

« `La volonté de bout et le testament d'Albus Percival Wulfric Brian Dumbledore' . Oui, ici nous sommes. …' à Ronald Bilius Weasley, je laisse mon Deluminator, dans l'espoir qu'il se rappellera me quand il l'emploie.

Scrimgeour a pris à quelque chose du sac un objet que Harry avait vu avant. Il a semblé quelque chose comme un allumeur argenté de cigarette, mais il a eu, il a su, la puissance de sucer toute la lumière d'un endroit, et le reconstitue, avec un clic simple. Scrimgeour penché en avant et passé le Deluminator à Ron, qui l'a pris et l'a fait tourner dans des ses doigts, semblant assommé.

« Qui est un objet valable, » a dit Scrimgeour, observant Ron. « Il peut même être unique. Certainement il est de la conception de l'ow de Dumbledore. Pourquoi il aurait laissé t'un article si rare ? » Ron a secoué sa tête, semblant déconcertée. « Dumbledore doit avoir enseigné que les milliers d'étudiants, » Scrimgeour ont persévéré. « Pourtant le seul qu'il s'est rappelé dans le sien la volonté sont toi trois. Pourquoi est-ce que c'est ? Quelle utilisation il vous a pensé mettrait son Deluminator, M. Weasley ? »

« Eteindre les lumières, I s' pose, » Ron marmonné.

Est-ce que « que je pourrais faire avec lui ? » Évidemment Scrimgeour n'a eu aucune suggestion. Après avoir louché chez Ron pendant un moment ou deux, il a tourné de nouveau à la volonté de Dumbledore.

« `À Mlle Hermione Jean Granger, je laisse ma copie des contes de Beedle le barde, dans l'espoir qu'elle le trouvera amuser et instructif. »'

Scrimgeour a maintenant retiré du sac un petit livre qui a regardé comme antique comme copie des secrets des arts les plus foncés en haut. Son attache a été souillée et écaillement dans les endroits. Hermione l'a prise de Scrimgeour sans mot. Elle s'est tenue le livre dans son recouvrement et regardé fixement lui. Harry a vu que le titre était dans les runes ; il n'avait jamais appris à les lire. Pendant qu'il regardait, une larme a éclaboussé sur symboles de relief. « Pourquoi vous pensez Dumbledore à gauche vous que livre, Mlle Granger ? » demandé Scrimgeour « Il… qu'il a connu que j'ai aimé des livres, » a dit Hermione dans une voix épaisse, l'essuyant des yeux avec sa douille.

« Mais pourquoi ce livre particulier ? »

« Je ne sais pas. Il doit avoir pensé que je l'apprécierais. »

« Vous a fait discutent jamais des codes, ou tous les moyens de passer les messages secrets, avec Dumbledore ? »

« Non, je pas, » a dit Hermione, distillateur l'essuyant des yeux sur sa douille.

« Et si le ministère n'a toujours trouvé aucun code caché en ce livre en trente et un jours, je doute de que je la volonté. »

Elle a supprimé un sanglot. Ils ont été coincés ensemble tellement étroitement que Ron a eu extraire difficilement son bras pour le mettre autour des épaules de Hermione. Scrimgeour a tourné de nouveau à la volonté.

« ' À Harry James traîner,' » il a lu, et les intérieurs de Harry contractés avec une excitation soudaine, »' je laisse le pif qu'il a attrapé dans son premier match de Quidditch chez Hogwarts, comme rappel des récompenses de la persévérance et de la compétence. ' »

Car Scrimgeour a retiré la boule d'or minuscule et noix-classée, son argent s'envole flotté plutôt faiblement, et Harry ne pourrait pas aider à sentir le sens défini de l'anticlimax. « Pourquoi a fait le congé de Dumbledore vous ce pif ? »

Scrimgeour demandé.

« Aucune idée, » n'a indiqué Harry.

« Pour les raisons que vous donnez lecture juste, je supposer… pour me rappeler ce que vous pouvez obtenir si vous… persévérez annonce celui qui elle ait été. »

« Vous pensez que c'est un seul souvenir symbolique, puis ? »

« Je suppose ainsi, » a dit Harry. « Quoi encore pourrait il être ? »

« Je pose les questions, » a dit Scrimgeour, décalant sa chaise plus près du sofa. Le crépuscule tombait vraiment dehors maintenant ; le chapiteau au delà des fenêtres a dominé blanc fantomatique au-dessus de la haie.

La « notification d'I que votre gâteau d'anniversaire est dans la forme d'un pif, » Scrimgeour a indiqué à Harry.

« Pourquoi est ce ? » Hermione ri dérisoire.

Le « OH, ce ne peut pas être une référence au fait que Harry' grand chercheur de SA, qui est manière trop évidente, » elle a dit. « Il doit y a un message secret de Dumbledore caché dans le glaçage ! »

« Je ne pense pas qu'il y a quelque chose caché dans le glaçage, » a dit Scrimgeour,

« mais un pif être une cachette très bonne pour un petit objet.

Vous savez pourquoi, je suis sûr ? » Harry gesticulé. Hermione, cependant, répondu : Harry cependant qui répondant les questions étaient correctement une habitude profondément invétérée qu'elle ne pourrait pas supprimer le recommander. « Puisque les pifs ont des mémoires de chair, » elle a dit.

« Ce qui ? » ledit Harry et Ron ensemble ; tous les deux ont considéré la connaissance de Quidditch de Hermione négligeable.

« Correct, » a dit Scrimgeour.

« Un pif n'est pas touché par la peau nue avant qu'elle soit libéré, pour pas même par le fabricant, qui porte des gants. Elle porte un sortilège par ce qu'elle peut identifier le premier humain pour étendre des mains sur elle, dans le cas de capture contestée. Ce pif » - il a supporté la boule d'or minuscule « se rappellera votre contact,Potter. Il se produit à moi ce Dumbledore, qui a eu prodigieux compétence magique, celui qui ses autres défauts, pourraient avoir enchanté ce pif ainsi qu'elle s'ouvrira seulement pour toi. »

Le coeur de Harry battait plutôt rapide. Il était sûr que Scrimgeour était droite. Comment pourrait il éviter de prendre le pif avec son nu remettre devant Ministre ?

« Vous ne dites rien, » a dit Scrimgeour.

« Peut-être vous savez déjà ce que le pif contient ? »

« Non, » a dit Harry, distillateur se demandant comment il pourrait sembler toucher le pif sans faire vraiment ainsi. Si seulement il connaissait Legilimency, l'a vraiment su, et pourrait lire l'esprit de Hermione ; il pourrait pratiquement entendre son cerveau vrombir près de lui. « Le prendre, » a dit Scrimgeour tranquillement. Harry a rencontré les yeux jaunes du ministre et les a su qu'il n'a eu aucune option mais à obéir. Il a donné sa main, et Scrimgeour penché en avant encore et placé le pif, lentement et délibérément, dans la paume de Harry. Rien ne s'est produit.

As Les doigts de Harry se sont fermés autour du pif, ses ailes fatiguées ont flotté et étaient toujours. Scrimgeour, Ron, et Hermione ont continué à regarder fixement avide la boule partiellement cachée maintenant, comme si l'espérer toujours pourrait transformer d'une manière quelconque.

« Qui était dramatique, » a dit Harry fraîchement. Ron et Hermione ont ri.

« Qui est tous, puis, est il ? » Hermione demandé, faisant au prise elle-même outre du sofa. « Pas tout à fait, » a dit Scrimgeour, qui a regardé le mauvais gâché maintenant, « Dumbledore gauche vous un deuxième legs, traînez. » « Ce qui est lui ? » Harry demandé, se rallumer d'excitation. Scrimgeour n'a pas pris la peine de lire de la volonté cette fois. « L'épée de Godric Gryffindor, » il a dit. Hermione et Ron tous les deux ont raidi. Harry a regardé autour pour un signe de la poignée rubis-encroûtée, mais le Scrimgeour n'a pas tiré l'épée du cuir 114 poche, qui a de toute façon regardé beaucoup trop petite pour le contenir. « Ainsi où est il ? » Harry demandé soupçonneusement.

« Malheureusement, » a dit Scrimgeour, « que l'épée n'était pas Dumbledore à donner loin. L'épée de Godric Gryffindor est un objet façonné historique important, et en tant que tels, appartient »

« Elle appartient à Harry ! » ledit Hermione avec chaleur.

« Il l'a choisi, il était celui qui l'a trouvé, il est venu à lui hors du chapeau assortissant » « Selon des sources historiques fiables, l'épée peut se présenter à n'importe quel digne Gryffindor, » a indiqué Scrimgeour.

« Qui ne lui fait pas la propriété exclusive de M. Potter, quelque Dumbledore ait pu avoir décidé. » Scrimgeour a rayé sa joue mal rasée, contrôlant Harry.

« Pourquoi vous pensez ? » « - Dumbledore a voulu me donner l'épée ? » ledit Harry, luttant à garder son trempe.

« Peut-être il a pensé qu'il semblerait gentil sur mon mur. »

« Ce n'est pas une plaisanterie,Potter! »

Scrimgeour grogné. « Était il parce que Dumbledore a cru que seulement l'épée de Godric Gryffindor pourrait défaire l'héritier de Serpentard ?

Il souhaitent te donner cette épée, Potter, parce qu'il a cru, de même que beaucoup, cela que vous êtes celui destiné pour détruire -Qui-Devoir-Non-Est

Appelé ? » « La théorie intéressante, » a indiqué Harry.

« Fait essayer jamais n'importe qui coller une épée dans Voldemort ? Peut-être le ministère devrait mettre certains sur cela, au lieu de cela de perdre leur temps dépouillant en bas de Deluminators ou dissimulant des évasions d'Azkaban. Ainsi est ce que vous aviez fait, ministre, a fermé ce vers le haut dans le votre bureau, essayant de casser ouvert un pif ? Les gens meurent-Je avaient presque un ans de ils-Voldemort m'ont chassé à travers trois pays, il ont tué le Fou-Oeil déprimé, mais il n'y a eu aucun mot au sujet d'aucune de cela du ministère, a là ? Et vous vous attendez à ce que toujours nous coopèrent avec toi ! »

« Vous allez trop loin ! » Scrimgeour crié, se levant ;

Harry a sauté à ses pieds aussi. Scrimgeour a boité vers Harry et l'a enfonçé dur dans le coffre avec le point de sa baguette magique : Elle a brûlé légèrement un trou dans le T-shirt de Harry comme a allumé la cigarette.

« Oi ! » dit Ron, sauter vers le haut et soulever son propre baguette, mais Harry dit,

« Non ! D' que vous voulez lui donner une excuse pour nous arrêter ? »

« S'est rappelé que vous n'êtes pas à l'école, vous avez ? » dit Scrimgeour, respirant dur dans le visage de Harry.

« S'est rappelé que je ne suis pas Dumbledore, qui a pardonné votre insolence et insubordination ? Vous pouvez porter cette cicatrice comme une couronne, Potter, mais elle n'appartient pas à un dix-sept-année-vieux garçon pour me dire que comment à faire mon travail !

Il est temps où vous avez appris un certain respect ! »

« Il est temps où vous l'avez gagné. » dit Harry.

Le plancher a tremblé ; il y avait un bruit des marchepieds courants, puis la porte à l'éclat de salon ouvert et M. et Mme Weasley ont couru le po. « -nous avons pensé nous avons entendu que » a commencé M. Weasley, regardant complètement alarmé à la vue de Harry et de ministre du nez pratiquement à flairer. « - les voix élevées, » ont haleté Mme Weasley. Scrimgeour a rapporté un couple des étapes de Harry, jetant un coup d'oeil sur le trou il avait fait dans le T-shirt de Harry. Il a semblé regretter sa perte de trempe.

« -il n'était rien, » il a grogné.

« I. regretter votre attitude, » il a dit, regardant Harry complètement dans le visage une fois de plus.

« Vous semblez penser que le ministère pas désir ce qui vous-ce qui Dumbledore-a désiré. Nous devons travailler ensemble. »

« Je n'aime pas vos méthodes, le ministre, » a dit Harry.

« Se rappeler ? »

Pour la deuxième fois, il a soulevé son poing droit et montre à Scrimgeour les cicatrices qui montraient toujours le blanc sur le dos de lui, orthographiant je ne dois pas dire des mensonges. L'expression de Scrimgeour a durci. Il a tourné loin sans un autre mot et boité de la salle. Mme Weasley s'est dépêchée après lui ; Harry a entendu son arrêt au fond porte. Après qu'une minute ou ainsi elle ait appelé,

« il est allé ! »

« Ce qui il a voulu ? » M. Weasley a demandé, regardant autour Harry, Ron, et Hermione comme Mme Weasley est venu se dépêchant de nouveau à eux.

« Pour nous donner quel Dumbledore nous a laissés, » a dit Harry.

« Ils seulement ont juste libéré le contenu du sien volonté. »

Extérieur dans le jardin, au-dessus des tables de dîner, les trois objets Scrimgeour les avait donnés ont été passés de la main à la main. Chacun a hurlé plus de le Deluminator et les contes de Beedle le barde et déploré le fait cela Scrimgeour avait refusé de passer dessus l'épée, mais aucun de eux n'en pourrait offrir suggestion quant à pourquoi Dumbledore aurait Harry gauche un vieux pif. Comme M. Weasley a examiné le Deluminator pendant la troisième ou quatrième fois, Mme Weasley dits à titre d'essai,

« Harry, cher, chacun terriblement affamé, nous n'avons pas aimé commencer sans toi. … je servent le dîner maintenant ? » Ils tous plutôt à la hâte et puis ont mangé, après un choeur précipité de « heureux L'anniversaire » et beaucoup d'engloutissement du gâteau, la partie se sont cassés vers le haut. Hagrid, qui était été invité au mariage le jour suivant, mais a trop encombrant lointain à dormir dans surétendu creuse, gauche pour établir une tente pour se dans un domaine voisin.

« Nous rencontrer en haut, » Harry chuchoté à Hermione, alors qu'ils aidaient Mme. Restauration de Weasley le jardin à son état normal.

« Après chacun allé au lit. »

Vers le haut dans la salle de grenier, Ron a examiné son Deluminator, et Harry a rempli bourse du mokeskin de Hagrid, pas de l'or, mais de ces articles il le plus estimé, apparemment sans valeur bien que certains d'entre eux aient été : la carte du maraudeur, le tesson du miroir enchanté de Sirius, et du locket de R.A.B. Il a tiré les cordes fortement et a glissé la bourse autour de son cou, puis reposée tenant le vieux pif et en observant ses ailes flotter faiblement. Enfin, Hermione tapé sur la porte et avancé sur la pointe des pieds à l'intérieur. « Muffliato, » elle a chuchoté, ondulant sa main dans la direction des escaliers. « A pensé que vous n'avez pas approuvé ce charme ? » ledit Ron.

Le « changement de périodes, » a indiqué Hermione. « Maintenant, nous montrer ce Deluminator. » Ron a obligé immédiatement. Le tenant vers le haut devant lui, il l'a cliqué. La lampe solitaire qu'ils ont eue s'est allumée est sortie immédiatement.

« La chose est, » Hermione chuchoté par l'obscurité, « nous pourrait avoir réalisé cela avec la poudre instantanée péruvienne d'obscurité. »

Il y avait un petit clic, et la boule de la lumière de la lampe a volé de nouveau au plafond et illuminé leur tous une fois de plus.

« Toujours, il fait frais, » a dit Ron, peu défensif.

« Et de ce qu'ils ont dit, Dumbledore l'a inventé lui-même ! »

« Je sais, mais sûrement il ne vous aurait pas choisi dehors dans le sien volonté juste pour nous aider à nous avérer les lumières ! »

« D' que vous pensez il a su que le ministère confisquerait le sien et l'examinerait tout il nous avait laissés ? » Harry demandé.

« Certainement, » a dit Hermione.

« Il ne pourrait pas nous dire que dans la volonté pourquoi il nous laissait ces choses, mais dans celle n'explique toujours pas… »

« … pourquoi il ne pourrait pas nous avoir donné un conseil quand il était vivant ? » Ron demandé.

« Bien, exactement, » a dit Hermione, effleurant maintenant par les les contes de Beedle le barde.

« S'il est assez importante passer ces choses dessus juste sous le nez du ministère, vous penseriez qu'il aurait nous a faits savoir pourquoi… à moins qu'il ait pensé il était évident ? » « A pensé mal, puis, pas il ? » ledit Ron.

« I a toujours indiqué qu'il était mental. Brillant et tout, mais criqué. Laissant à Harry un vieux Vendre la mèche-ce qui l'enfer était celui environ ? »

« Je n'ai aucune idée, » a dit Hermione.

« Quand Scrimgeour t'a fait la prise il, Harry, j'étais si sûr que quelque chose allait se produire ! »

« Ouais, bien, » a dit Harry, son impulsion s'activant pendant qu'il élevait le pif dans des ses doigts. « Je n'allais pas essayer trop dur devant Scrimgeour, étais I ? »

« Ce qui vous voulez dire ? » Hermione demandé.

« Le pif que j'ai attrapé dans mon premier match de Quidditch ? » ledit Harry. « Vous ne vous rappelez pas ? » Hermione a regardé simplement stupéfié. Ron, cependant, a haleté, se dirigeant effréné de Harry au pif et au dos encore jusqu'à ce qu'il ait trouvé sa voix.

« Qui était celui vous avez presque avalé ! »

« Exactement, » a dit Harry, et avec son coeur battant rapidement, il a serré sa bouche au pif. Elle ne s'est pas ouverte. L'anéantissement et la déception amère ont jailli vers le haut à l'intérieur il : Il a abaissé la sphère d'or, mais alors Hermione a pleuré dehors.

« Écriture ! Là écrit là-dessus, rapide, regard ! »

Il a presque laissé tomber le pif dans la surprise et l'excitation. Hermione était tout à fait bien. Gravé sur la surface d'or douce, où secondes avant il n'y avait eu rien, étaient cinq mots écrits dans l'écriture mince et inclinée que Harry a reconnu comme celle de Dumbledore.

Il les avait à peine lus quand les mots ont disparu encore.

« `Que je m'ouvre à l'étroit…' ce qui est cela censé pour signifier ? » Hermione et Ron ont secoué leurs têtes, regardant en arrière.

« Je m'ouvre à la fin. à l'étroit…. Je m'ouvre à l'étroit… »

Mais n'importe comment souvent ils ont répété les mots, avec beaucoup de différentes inflexions, ils ne pouvaient pas extorquer plus de signification de elles.

« Et l'épée, » a dit Ron en conclusion, quand ils enfin avaient abandonné le leur tentatives de deviner la signification dans l'inscription du pif.

« Pourquoi il a voulu que Harry eût l'épée ? »

« Et pourquoi ne pourrait pas il juste m'avoir dit ? » Harry a dit tranquillement.

« J'étais là il avais raison là sur le mur de son bureau pendant tous nos entretiens l'année dernière ! S'il voulait que je l'eût, pourquoi juste ne me l'a-t-il pas donné alors ? Il s'est senti comme s'il le reposaient dans un examen avec une question doit avoir pu répondre devant lui, son cerveau lents et insensibles. Y avait il quelque chose qu'il avait manquée dans les longs entretiens avec Dumbledore l'année dernière ? Doit-il savoir ce qu'a tout signifié il ? A eu Dumbledore prévu lui pour comprendre ?

« Et quant à ce livre » a dit Hermione, « les contes de Beedle le barde….

J'ai jamais même entendu parler de eux. »

« Vous n'avez jamais entendu parler des contes de Beedle le barde ? » ledit Ron incrédule. « Vous êtes badiner, droit ? »

« Non, je ne suis pas. » ledit Hermione dans la surprise.

« Les savez-vous, puis ? »

« Bien, naturellement je ! » Harry a recherché, détourné. La circonstance de Ron ayant lu un livre cela Hermione n'a pas eu était sans précédent. Ron, cependant, a semblé stupéfié par leur surprise. Le « OH avancent ! Les histoires de tous vieux enfants sont censées être Beedle, n'est-ce pas ? Le `la fontaine `juste de fortune du'… le magicien et le houblonnage mettent en pot'… le `Babbitty Rabbitty et son tronçon caquetant'… »

« M'excuser ? » ledit Hermione, riant nerveusement.

« Ce qui était celui le bout un ? »

« Dégagé lui ! » ledit Ron, regardant dans l'incrédulité de Harry à Hermione.

« Vous la nécessité' ve a entendu parler de Bubbitty Rabbitty- »

« Ron, vous savez que pleins Harry et moi bons ont été élevés par Muggles ! » dit Hermione. « Nous n'avons pas entendu des histoires comme cela quand nous étions petits, nous a entendu le `neiger blanc et les sept nains' et `Cendrillon' - »

« Ce qui est ce, une maladie ? » Ron demandé.

« Ainsi ce sont les histoires des enfants ? » Hermione demandé, se pliant encore au-dessus des runes.

« Ouais, » a dit Ron incertain,

« je veux dire, qui est au juste ce que vous entendez, vous sais, que toutes ces vieilles histoires sont venues de Beedle. Dunno I ce qui sont elles comme dans les versions originales.

« mais moi se demandent pourquoi Dumbledore a pensé que je devrais les lire ? »

Quelque chose a grincé en bas. « Charlie probablement juste, maintenant maman endormie, partant furtivement au loin au regrow ses cheveux, » a dit Ron nerveusement. « Tous mêmes, nous devrions obtenir d'enfoncer, » Hermione chuchoté. « Il ne ferait pas pour dormir trop longtemps demain.' Le « non, » a convenu Ron. « Un meurtre triple brutal par la mère du marié pourrait mettre un peu un amortisseur du mariage. J'obtiendrai les lumières. » Et il a cliqué le Deluminator une fois de plus comme Hermione à gauche la salle.

Chapitre 8 Le mariage

T

rois heures l'après-midi suivant ont trouvé Harry, Ron, Fred, et George debout en dehors du grand chapiteau blanc dans le verger, attente de l'arrivée des invités de mariage. Harry avait pris a la grande dose de breuvage magique de Polyjuice et était maintenant le double d'un garçon de Muggle de roux du village local, l'agent de poursuites de rue d'Ottery, dont Fred avait volé des poils en utilisant un charme convoqué. Le plan était de présenter Harry en tant que le « cousin Barny » et confiance au grand nombre de parents de Weasley pour le camoufler.

Chacun des quatre d'entre eux saisissait des plans d'allocation des places, de sorte qu'ils aient pu aider à montrer des personnes aux bons sièges. Une foule de serveurs blancs-robed était arrivée une heure plus tôt, avec une bande revêtue d'or, et tous ces magiciens reposaient actuellement une distance courte loin sous un arbre. Harry pourrait voir une brume bleue de la fumée de pipe publiant de la tache. Derrière Harry, l'entrée au chapiteau a indiqué des rangées et des rangées des poils d'or fragiles réglés de chaque côté d'un long tapis pourpre. Les poteaux de support sont enlacerés avec le blanc et les fleurs d'or. Fred et George avait attaché un énorme groupe de ballons d'or au-dessus du point exact où la facture et le Fleur iraient bien sous peu au mari et à l'épouse. Dehors, les papillons et les abeilles planaient paresseux au-dessus de l'herbe et de la bordure de haies. Harry était plutôt inconfortable. Le garçon de Muggle dont l'aspect qu'il affectait était 121 122 CHAPITRE 8. LE MARIAGE légèrement plus gros que lui, et ses robes longues de robe senties chaudes et serrées dans la pleine lueur du jour d'un été. « Quand je me marie, » a dit Fred, tirant avec effort sur le collier de ses propres robes longues, « je ne tracasserai pas avec de ce non-sens. Vous pouvez tous porter ce que vous aimez, et je mettrai une pleine malédiction de grippage de corps sur la maman jusqu'à ce qu'elle soit partout. » « Elle n'était pas trop mauvaise ce matin, considérant, » a dit George. « A-t-il pleuré un peu au sujet de Percy n'étant pas ici, mais qui le veut ? Blimey d'Oh, le croisillon vous-même ici ils viennent, regardent. » Les figures brillamment colorées apparaissaient, un, hors de nulle part au frontière éloignée de la cour. Dans des minutes un cortège avait formé, qui a commencé à serpenter sa manière vers le haut par le jardin vers le chapiteau. Exotique les fleurs et les oiseaux enchantés ont flotté sur les foulards de magiciens de sorcières des' chapeaux, alors que les gemmes précieuses scintillaient de l'homme' ; un fredonnement de broutement passionnant s'est développé plus fort et plus fort, noyant le bruit des abeilles pendant que la foule approchait la tente. « Excellent, je pense que je vois quelques cousins de veela, » a dit George, tendant le cou son cou pour un meilleur regard. « Qu'ils la volonté a besoin de l'arrangement d'aide nos coutumes anglaises, je s'occuperont de eux. … » « Pas aussi rapidement, votre Holeyness, » a indiqué Fred, et le dard après le troupeau des sorcières entre deux âges dirigeant le cortège dit-il « Here-permettez-moi à l'assiter vous, » à une paire de jolies filles françaises, qui ont ri nerveusement et lui ont permises de les escorter à l'intérieur. George a été laissé à l'affaire avec les sorcières entre deux âges et Ron a pris la charge du vieux collègue Perkins de ministère de M. Weasley's, alors qu'un vieux couple plutôt sourd tombait au sort de Harry. « Wotcher, » a indiqué une voix familière pendant qu'il sortait du chapiteau encore et trouvait Tonks et lupin à l'avant de la file d'attente. Elle avait tourné la blonde pour l'occasion. « Arthur nous a dit que vous étiez celui avec les cheveux bouclés. Désolé au sujet de la nuit passée, » elle a ajouté dans un chuchotement comme Harry les a menés vers le haut du bas-côté. « Le ministère étant très anti-loup-garou à l'heure actuelle et nous a pensé que notre présence pourrait ne pas vous faire toutes faveurs. » « Il est très bien, je comprennent. » ledit Harry, parlant davantage au lupin que Tonks. Le lupin lui a donné un sourire rapide, mais pendant qu'ils tournaient loin, Harry a vu le visage 123 du lupin chute encore dans des lignes de la misère. Il ne l'a pas comprise, mais il n'y avait plus de temps pour demeurer sur la matière : Hagrid causait une certaine quantité de rupture. Après avoir mal compris les directions de Fred il s'était reposé, pas sur le siège comme par magie agrandi et renforcé mis de côté pour lui dans la rangée arrière, mais sur cinq sièges qui ont maintenant ressemblé à une grande pile des allumettes d'or. Tandis que M. Weasley réparait les dommages et le Hagrid ont crié des excuses à quiconque qui écouterait, Harry s'est dépêché de nouveau à l'entrée pour trouver Ron tête à tête avec excentrique-regarder le magicien. Légèrement croix-observé, avec les cheveux blancs d'épaule-longueur la texture des candyfloss, il a porté un chapeau dont le gland a balancé devant son nez et les robes longues d'une nuance de oeil-arrosage du jaune d'oeuf jaunissent. Un symbole impair, plutôt comme un oeil triangulaire, a scintillé d'une chaîne d'or autour de son cou.

« Xenophilius Lovegood, » il a dit, prolongeant une main à Harry, « ma fille et je vis juste au-dessus de la colline, ainsi du genre de bon Weasleys pour nous inviter. mais je pense que vous connaissez mon Luna ? » il a ajouté à Ron. « Oui, » a dit Ron. « N'est pas elle avec toi ? » « Elle s'est attardée dans ce charmer peu de jardin pour dire bonjour aux gnomes, une infestation si glorieuse ! Combien peu de magiciens réalisent juste combien nous pouvons apprendre du sage peu gnomes-ou, de leur donner leur nom correct, Gardensi de Gernumbli. » « Nôtres savent beaucoup d'excellent jurent des mots, » a dit Ron, « mais moi penser que Fred et George leur ont enseigné ceux. » Il a mené une partie des magiciens dans le chapiteau pendant que Luna se précipitait vers le haut. « Bonjour, Harry ! » elle a dit. de « Barny Heu-mon nom, » a dit Harry, flummoxed. Le « OH, vous ont changé cela aussi ? » elle a demandé brillamment. « Comment vous avez connu ? » Le « OH, juste votre expression, » elle a dit. Comme son père, Luna portait les robes longues jaunes lumineuses, qu'elle accessorized avec un grand tournesol dans ses cheveux. Une fois que vous obteniez au-dessus de l'éclat de lui tout, l'effet de général était tout à fait plaisant. Au moins il n'y avait aucun CHAPITRE 8 des radis 124. LE MARIAGE balancer de ses oreilles. Xenophilius, qui était profond dans la conversation avec une connaissance, avait manqué l'échange entre Luna et Harry. Offrant l'adieu de magiciens, il a tourné à sa fille, qui a supporté son doigt et a dit, le « papa, regardent-un du les gnomes m'ont frappé réellement ! » « Comment merveilleux ! La salive de Gnome est énormément salutaire ! » ledit M. Lovegood, saisissant le doigt tendu et examiner de Luna la piqûre de saignement marques. « Luna, mon amour, si vous sentez n'importe quel talent bourgeonnant aujourd'hui peut-être un recommander inattendu de chanter l'opéra ou de déclamer dedans Mermish-pas le réprimer ! Vous avez pu avoir été doué par le Gernumblies ! » Ron, les passant dans la direction opposée, a laissé dehors un fort reniflent. « Ron peut rire, » a dit Luna serenely comme Harry a mené la sa et Xenophilius vers leurs sièges, des « Bu que mon père a fait beaucoup de recherche sur la magie de Gernumbli. » « Vraiment ? » ledit Harry, qui depuis longtemps avait décidé de ne pas défier Luna ou les vues particulières de son père. « Êtes vous sûr vous ne voulez mettre rien sur cette morsure, bien que ? » Le « OH, il est très bien, » a dit Luna, suçant son doigt d'une mode rêveuse et regardant Harry en haut et en bas. « Vous semblez futé. J'ai dit le papa que la plupart des personnes probablement porter les robes longues de robe, mais il croit que vous devez porter des couleurs du soleil à un mariage, pour la chance, vous savez. » Pendant qu'elle dérivait au loin après son père, Ron a réapparu avec une vieille sorcière saisir son bras. Son nez beaky, yeux rouge-équilibrés, et chapeau rose plumeux lui a donné le regard d'un flamant mauvais-gâché. « … et vous les cheveux beaucoup trop longs, Ronald, pendant un moment I pensé t'étiez Ginevra. La barbe de MERLIN, que Xenophilius Lovegood porte-t-il ? Il regarde le goût une omelette. Et qui sont toi ? » elle a écorcé chez Harry. Le « OH ouais, tantine Muriel, ceci est notre cousin Barny. » Un « autre Weasley ? Vous multipliez comme des gnomes. N'est-il pas Harry Potter ici ? J'étais espérer le rencontrer. J'ai pensé qu'il était un ami du vôtre, de Ronald, ou vous a simplement se vantant ? » « Aucun-il ne pourrait pas venir » 125 « Hmm. A fait une excuse, il ? Pas aussi gormless qu'il regarde en cours d'impression photographies, puis. J'avais juste instruit la mariée sur la façon dont mieux porter mon diadème. » elle a crié chez Harry. « Lutin-a fait, vous savez, et été dans ma famille pendant des siècles. Elle est une fille belle, mais encore-Française. Bien, bien, me trouver un bon siège, Ronald, j'ai cent ans sept et moi ne devons pas être sur mes pieds désirer ardemment aussi. » Ron a donné à Harry un regard signicatif pendant qu'il passait et ne réapparaissait pas pour une certaine heure. Quand après ils se sont réunis à l'entrée, Harry avait montré une douzaine plus de personnes à leurs endroits. Le chapiteau était presque plein maintenant, et pour la première fois il n'y avait aucune file d'attente dehors. « Cauchemar, Muriel est, » a dit Ron, essuyant son front sur sa douille. « Elle avait l'habitude de venir pour Noël que chaque année, alors, remercient Dieu, elle a pris l'offense parce que Fred et George ont placé outre d'un Dungbomb sous sa chaise au dîner. Papa dit toujours qu'elle les aura écrits hors de elle -comme eux s'inquiètent, ils vont finir vers le haut de plus riche que n'importe qui dans la famille, taux qu'ils vont. … défaut de la reproduction sonore, » il a ajouté, clignotant plutôt rapidement pendant que Hermione venait se dépêchant vers eux. « Vous regarder grand ! » « Toujours la tonalité de la surprise, » a dit Hermione, bien qu'elle ait souri. Elle était portant un floaty, lilac=colored la robe avec assortir de hauts talons ; ses cheveux étaient lisse et brillant. « Votre Grand-Tante Muriel ne convient pas, je juste l'a rencontrée en haut tandis qu'elle donnait à Fleur le diadème. Elle dit, le `OH cher, est ceci Muggle-soutenu ?' et puis, mauvais maintien de `et chevilles maigres. »' « Ne pas le prendre personnellement, elle est grossière à chacun, » a dit Ron. « Muriel parlant ? » George enquis, réapparaissant du chapiteau avec Fred. « Ouais, elle' m'a juste dit que mes oreilles sont déjetées. Vieille batte. Je souhaite que vieil oncle Bilius fût toujours avec nous, cependant ; il avait raison rient des mariages. » « N'était pas il celui qui a vu un sinistre et meurt vingt-quatre heures d'en retard r?” demanda Hermione.

« Bien, ouais, il est allé un peu impair vers l'extrémité, » George concédé. « Mais avant qu'il soit allé dérangé il était la vie et l'âme de la partie. » ledit Fred. « Il a employé dans vers le bas une bouteille entière de firewhisky, puis la course sur le plancher de danse, lèvent vers le haut de ses robes longues, et commencent à tirer des groupes de fleurs hors du sien »

« Oui, il retentit un vrai charmeur, » a dit Hermione, alors que Harry hurlait avec rire. « Non jamais marié, pour quelque raison, » a dit Ron. « Vous me stupéfiez, » a dit Hermione. Ils étaient tous riant tellement qu'aucun de eux n'a noté le retardataire, un jeune homme foncé-d'une chevelure avec un grand, incurvé nez et des sourcils noirs épais, jusqu'à ce qu'il ait donné son invitation sur Ron et ait dit, avec ses yeux sur Hermione, « Vous semblez vunderful. » « Viktor ! » elle a poussé des cris perçants, et a laissé tomber son petit sac perlé, qui a fait a coup fort tout à fait disproportionné avec sa taille. En tant qu'elle brouillée, rougissant, à la prendre, elle a dit, « je n'ai pas su que vous être-qualité-il est beau à voir-comment êtes vous encore ? » Les oreilles de Ron avaient tourné le rouge lumineux encore. Après avoir jeté un coup d'oeil sur l'invitation de Krum comme si il n'a pas cru un mot de lui dit-il beaucoup trop fort, « comment se fait-il que vous soyez ici ? » « Fleur m'a invité, » a dit Krum, sourcils augmentés. Harry, qui n'a eu aucune rancune contre Krum, s'est serré la main ; puis, estimant qu'il être prudent pour enlever Krum de la proximité de Ron, offerte pour lui montrer le sien asseoir. « Vous ami n'est pas heureux de me voir, » a dit Krum pendant qu'il entrait dans maintenant chapiteau emballé. « Ou est il un parent ? » il a ajouté avec un regard aux cheveux bouclés rouges de Harry. Le « cousin, » Harry a murmuré, mais Krum n'écoutait pas vraiment. Son aspect causait une agitation, en particulier parmi les cousins de veela : Il était, ensuite tous, un joueur célèbre de Quidditch. Tandis que les gens tendaient le cou toujours leurs cous à en avoir un bon regard après lui, Ron, Hermione, Fred, et George est venu se dépêchant vers le bas le bas-côté. « Temps à s'asseoir, » Fred a dit Harry, « ou nous allons obtenir la course plus de par la mariée. » Harry, Ron, et Hermione ont pris leurs sièges dans la deuxième rangée derrière Fred 127 et George. Hermione regardé les oreilles plutôt roses et de Ron étaient écarlate immobile. Après que quelques moments il ait murmuré à Harry, « vous l'avez vu a accru un stupide peu de barbe ? » Harry a donné un grognement évasif. Un sens d'anticipation nerveuse avait rempli tente chaude, murmurer général cassé par des jaillissements occasionnels de rire passionnant. M. et Mme Weasley flâné vers le haut du bas-côté, souriant et ondulant aux parents : Mme Weasley portait un ensemble tout neuf de robes longues améthyste-colorées avec un chapeau assorti. Un moment affichent plus tard et Charlie élevé vers le haut à l'avant du chapiteau, tous les deux robes longues de port de robe, avec de grandes roses blanches dans leurs boutonnières ; Fred wolfwhistled et il y avait une manifestation de rire nerveusement des cousins de veela. Puis la foule est tombée silencieux pendant que la musique gonflait de ce qui a semblé être les ballons d'or. « Ooooh ! » ledit Hermione, pivotant autour dans son siège pour regarder l'entrée. Un grand soupir collectif a publié des sorcières et des magiciens rassemblés As Monsieur Delacour et Fleur sont venus marchant vers le haut du bas-côté, Fleur glissant, Monsieur Delacour rebondissant et rayonnant. Fleur portait un blanc très simple robes et semblé émettre une lueur forte et argentée. Tandis que son rayonnement habituellement obscurci chacun autrement par comparaison, aujourd'hui il a embelli chacun il est tombé au moment. Ginny et Gabrielle, les deux robes d'or de port, regardées encore plus jolies qu'habituelles, et une fois que Fleur l'avait atteint, facture pas comme s'il a eu Fenrir jamais rencontré Greyback. « Mesdames et messieurs, » ont dit une voix légèrement monotone, et avec un léger le choc, Harry a vu le même petit, tufty-d'une chevelure magicien à qui avait présidé L'enterrement de Dumbledore, maintenant se tenant devant la facture et le Fleur. « Nous sommes recueillis ici aujourd'hui pour célébrer l'union de deux âmes fidèles… » « Oui, mon diadème place outre de la chose entière bien, » a dit tantine Muriel dans un chuchotement portant plutôt. « Mais je dois dire, la robe de Ginevra est coupe loin si basse. » Ginny a jeté un coup d'oeil autour, grimacer, cligné de l'oeil chez Harry, alors a rapidement fait face au avant encore. L'esprit de Harry a erré loin du chapiteau, de nouveau à les après-midis seul ont dépensé avec Ginny dans les parties isolées des au sol d'école. ils semblé tellement il y a bien longtemps ; ils avaient toujours semblé trop bons pour être vrais, comme s'il avait volé des heures brillantes de la vie d'une personne normale, une personne en dehors une cicatrice foudre-formée sur son front. …. « Vous faire, William Arthur, prise Fleur Isabelle.

Dans la rangée avant, Mme Weasley et Madame Delacour étaient tous deux sobbing tranquillement dans des chutes de lacet. Trumpetlike retentit du dos du chapiteau dit chacun que Hagrid avait sorti un de ses propres tablecloth=sized des mouchoirs. Hermione a tourné et a rayonné chez Harry ; elle des yeux étaient aussi pleine de larmes. « … alors je vous déclare collé pendant la vie. » Le magicien tufty-d'une chevelure a ondulé sa baguette magique haut au-dessus des têtes de la facture et Fleur et une douche d'argent tient le premier rôle sont tombés sur elles, se développant en spirales autour de leurs figures maintenant enlacerées. Car Fred et George ont mené un rond des applaudissements, les frais généraux d'or de ballons ont éclaté : Les oiseaux du paradis et les cloches d'or minuscules ont volé et ont flotté hors de eux, ajoutant leurs chansons et carillons au vacarme. « Mesdames et messieurs ! » a appelé le magicien touffe-d'une chevelure. « Si vous vous lèveriez svp ! » Ils tous ainsi, tantine Muriel maugréant à l'oreille ; il a ondulé sa baguette magique encore. Les sièges sur lesquels ils s'étaient reposés ont monté avec élégance dans l'air en tant que les murs de toile du chapiteau ont disparu, de sorte qu'ils se soient tenus sous une verrière soutenu par les poteaux d'or, avec une vue glorieuse du verger de sunlit et de la campagne environnante. Après, une piscine d'or fondu a écarté du centre de la tente pour former un plancher de danse brillant ; planer préside s'est cherché à tâtons autour des petites tables blanc-vêtues, que tous flottés avec élégance de nouveau à la terre autour de lui, et la main d'or-revêtue se sont assemblées vers un podiume. « Lisse, » a dit Ron avec approbation pendant que les serveurs sautaient vers le haut sur tous les côtés, quelques plateaux d'argent de roulement de jus de potiron, butterbeer, et firewhisky, d'autres piles de chancellement des tartes et sandwichs. « Nous devrions aller les féliciter ! » ledit Hermione, se tenant sur la pointe des pieds pour voir l'endroit où la facture et le Fleur avaient disparu parmi une foule des well-wishers. 129 « Nous aurons le temps plus tard, » le Ron gesticulé, saisissant trois butterbeers d'un plateau de dépassement et remettant un à Harry. « Hermione, prise de cannette de fil, saisissons une table. …. Pas là ! Nulle part près de Muriel- » Ron a mené la manière à travers le plancher de danse vide, jetant un coup d'oeil à gauche et à droite As il est allé : Harry s'est senti sûr qu'il enpêchait d'entrer un oeil pour Krum. Par temps ils avaient atteint l'autre côté du chapiteau, la plupart des tables étaient occupé : Le plus vide était celui où Luna seul s'est reposé. « Bien si nous vous joignons ? » Ron demandé. Le « OH oui, » elle a dit heureusement. « Juste du papa allé à la facture et au Fleur d'élasticité notre présent. » « Ce qui est lui, l'approvisionnement d'une vie en Gurdyroots ? » Ron demandé. Hermione a visé un coup-de-pied lui sous la table, mais a attrapé Harry à la place. Les yeux arrosant en douleur, Harry ont perdu la voie de la conversation pendant quelques moments. La bande avait commencé à jouer. La facture et le Fleur ont pris au plancher de danse d'abord, à grands applaudissements ; après un moment, M. Weasley a mené Madame Delacour sur le plancher, suivi du père de Mme Weasley et de Fleur. « J'aime cette chanson, » a dit Luna, balançant à temps à l'air de waltzlike, et à quelques secondes plus tard qu'elle s'est tenues vers le haut et a glissé sur le plancher de danse, où elle tourné sur place, seul stopper, observe fermé et l'onduler des bras. « Elle est grande, n'est pas elle ? » dit Ron admiringly. « Valeur toujours bonne. » Mais le sourire a disparu de son visage immédiatement : Viktor Krum s'était laissé tomber dans le siège vide de Luna. Hermione a regardé pleasurably agité, mais cette fois Krum n'était pas venue pour la complimenter. Avec un air menaçant sur son visage il a dit, « qui est cet homme en jaune ? » « Qui est Xenophilius Lovegood, il est le père d'un ami à nous, » a dit Ron.

Sa tonalité pugnace a indiqué qu'ils n'étaient pas sur le point de rire de Xenophilius, en dépit de la provocation claire.

« Viennent et dansent, » il a ajouté abruptement à Hermione. Elle a semblé l'aback pris, mais a satisfait aussi, et s'est levée. Ils ont disparu ensemble dans la foule croissante sur le plancher de danse.

« Ampèreheure, ils sont ensemble maintenant ? »

Krum demandé, momentanément distrait. la « Heu-sorte de, » a indiqué Harry.

« Qui sont toi ? » Krum a demandé.

« Barny Weasley. » Ils se sont serrés la main.

« Vous, Barny-vous connaissez ce vell de Lovegood d'homme ? » « Non, je seulement l'ai rencontré aujourd'hui. Pourquoi ? »

Krum a fait la mine au-dessus du dessus de sa boisson, Xenophilius de observation, qui était causerie à plusieurs magiciens de l'autre côté du plancher de danse.

« Puisque, » a dit Krum, « s'il n'était pas un invité de Fleur, je me battrais en duel il ici et maintenant, pour vearing que le signe dégoûtant sur son coffre. »

« Signe ? » ledit Harry, regardant Xenophilius aussi.

L'oeil triangulaire étrange brillait sur son coffre.

« Pourquoi ? Ce qui est erroné avec lui ? »

« Grindelvald. C'est le signe de Grindelvald. »

« Grindelwald… que le magicien noir vaincut par Dumbledore? »

« Exactement

Les muscles de la mâchoire de Krum ont fonctionné comme si il mâchaient, puis il dit, « Grindelvald a tué beaucoup de gens mon père, par exemple. Naturellement, il vos jamais poverful dans ce pays, ils ont dit qu'il a craint Dumbledore-et correctement, voyant comment il des vos a fini. Mais ceci » - il a dirigé un doigt un Xenophilius- « que c'est son symbole, identifié lui au vunce : Grindelvald l'a découpé dans un vall au ver de Durmstrang il des vos une pupille là. Quelques idiots l'ont copié dans leurs livres et vêtements, en pensant pour choquer, se faire impressionnant-jusqu'à ce que ceux de nous qui avaient perdu des membres de famille à Grindelvald les aient enseignés à améliorer. » Krum a fendu le sien le frotte avec le poing menacingly et fait la mine chez Xenophilius. Harry le feutre a confondu. Il a semblé incroyablement peu probable que le père de Luna était un défenseur des arts foncés, et personne dans la tente n'a semblé autrement avoir identifié triangulaire, forme de runelike. « Sont vous-heu-tout à fait sûre elle est Grindelwald's- ? » « Je ne suis pas confondu, » a dit Krum froidement. « Je valked après ce signe pendant plusieurs années, je le sais vell. » « Bien, il y a une chance, » a dit Harry, « que Xenophilius ne sait pas réellement ce que signifie le symbole. Le Lovegoods sont tout à fait… peu commun. Il pourrait facilement 131 l'ont pris quelque part et pensent que c'est une section transversale de la tête d'a Snorkack Chiffonner-À cornes ou quelque chose. » « La section transversale d'un vot ? » « Bien, je ne sais pas ce que sont elles, mais apparemment lui et sa fille vont en vacances les recherchant. … » Harry s'est senti qu'il faisait un mauvais travail Luna expliquant et son père. « Qui est elle, » il a dit, se dirigeant chez Luna, qui seul dansait toujours, l'ondulant des bras autour de son chef comme quelqu'un essayant de battre outre des moucherons. « Vy est elle faisant cela ? » Krum demandé. « L'essai probablement de se débarasser d'un Wrackspurt, » a dit Harry, qui a identifié les symptômes. Krum n'a pas semblé savoir que si Harry faisait l'amusement de lui. Il a dessiné sa baguette magique de l'intérieur de ses robes longues et l'a tapée menacingly sur sa cuisse ; les étincelles ont volé hors de l'extrémité. « Gregorovitch ! » ledit Harry fort, et Krum commencé, mais Harry étaient aussi passionnan'au soin ; la mémoire est revenue à lui à la vue de la baguette magique de Krum : Ollivander la prenant et l'examinant soigneusement avant le tournoi de Triwizard. « Vot au sujet de lui ? » Krum demandé soupçonneusement. « Il est un wandmaker ! » « Je sais cela, » a dit Krum. « Il a fait votre baguette magique ! C'est pourquoi je la pensée-Quidditch » Krum regardait de plus en plus soupçonneux. « Comment vous connaissez Gregorovitch fait mon vand ? » « I. Je le lis quelque part, je pense, » a dit Harry. « En magasin de ventilateur d'aa, » il a improvisé d'une manière extravagante et Krum a semblé calmé. « Je n'avais pas réalisé que j'ai jamais discuté mon vand avec des ventilateurs, » il a dit. « Ainsi… heu… où est Gregorovitch de nos jours ? » Krum a semblé embarassé. « Il s'est retiré il y a plusieurs années. I vos un du bout pour acheter un vand de Gregorovitch. Ils sont meilleur-bien que je sache, naturellement, que vous Britanniques placer beaucoup de magasin par Ollivander. » Harry n'a pas répondu. Il a feint pour observer les danseurs, comme Krum, mais il pensait dur. Ainsi Voldemort recherchait un wandmaker célébré, et Harry n'a pas dû rechercher loin une raison : Elle était sûrement en raison de de quel Harry la baguette magique avait fait la nuit que Voldemort l'avait poursuivi à travers les cieux. le houx et la plume de Phoenix avaient conquis emprunté baguette magique, quelque chose qu'Ollivander n'avait pas prévue ou n'avait pas comprise. Gregorovitch savent mieux ? Était il vraiment plus habile qu'Ollivander, il savoir les secrets des baguettes magiques qu'Ollivander pas ? « Cette fille gentil-regarde très, » Krum dit, Harry recalling à ses environnements. Krum se dirigeait chez Ginny, qui avait juste joint Luna. « Elle est également a parent à vous ? » « Ouais, » a dit Harry, soudainement irrité, « et elle voit quelqu'un. Type jaloux. Grand type. Vous ne voudriez pas le croiser. » Krum a grogné. « Vot, » il a dit, vidangeant son gobelet et obtenant à ses pieds encore, « est le point d'être un joueur international de Quidditch si toutes filles belles sont prises ? » Et il a progressé au loin, laissant Harry pour prendre un sandwich d'un serveur de dépassement et faire sa manière autour du bord du plancher de danse serré. Il a voulu à trouver Ron, pour lui dire au sujet de Gregorovitch, mais il dansait avec Hermione dehors au milieu du plancher. Harry s'est penché vers le haut contre un des piliers d'or et a observé Ginny, qui dansait maintenant avec l'ami Lee de Fred et de George La Jordanie, essayant de ne pas se sentir irrité au sujet de la promesse il avait donné Ron. Il n'avait jamais été à un mariage avant, ainsi il ne pourrait pas juger comment Wizarding les célébrations ont différé de Muggle ceux, bien qu'il ait été assez sûr que dernier n'impliquerait pas un gâteau de mariage complété de deux phoenixes modèles cela a pris le vol quand le gâteau a été coupé, ou les bouteilles de champagne qui ont flotté sans support par la foule. Pendant que la soirée dessinait dedans, et les mites ont commencé à l'attaque surprise sous la verrière, s'est maintenant allumé avec flotter les lanternes d'or, le revelry est devenu uncontained de plus en plus. Freda et George depuis longtemps avaient disparu dans l'obscurité avec une paire de Fleur’s cousins;

Charlie, Hagrid, et un magicien accroupi dans un chapeau pourpre de porkpie chantaient à `Odo le héros » dans un coin.

Errer par la foule pour pour ne pas échapper à un oncle ivre de Ron qui a semblé si Harry incertain était son fils, Harry a repèré un vieux magicien seul s'asseyant à une table. Son nuage des cheveux blancs lui a fait le sembler plutôt comme une horloge âgée de pissenlit comme a été complété par Fez mité. Il était vaguement familier : Étirant ses cerveaux, Harry s'est soudainement rendu compte que c'était doge d'Elphias, le membre de l'ordre de Phoenix et l'auteur nécrologe de Dumbledore'. Harry l'a approché. « Mai je m'assieds ? » « Naturellement, naturellement, » a dit le doge ; il a eu une voix plutôt aiguë et asthmatique. Harry s'est penché le po. « M. Doge, je suis Harry Potter. » Le doge a haleté. « Mon cher garçon ! Arthur m'a dit que vous étiez ici, déguisé. …. Je suis si heureux, ainsi honoré ! » Dans un flottement un doge nerveux de plaisir a versé Harry un gobelet de champagne. « J'ai la pensée o t'écrivant, » il ai chuchoté, « après que Dumbledore… le choc… et pour toi, je sois sûr… » Les yeux minuscules du doge ont rempli de larmes soudaines. « J'ai vu le nécrologe que vous avez écrit pour le prophète quotidien, » a dit Harry. « Je n'ai pas réalisé que vous avez connu le puits de professeur Dumbledore ainsi. » « Aussi bien que n'importe qui, » a dit le doge, tamponnant ses yeux avec une serviette. « Certainement je l'ai connu le plus longtemps, si vous ne comptez pas Aberforth-et de façon ou d'autre, les gens ne semble jamais compter Aberforth. » « Parler du prophète quotidien…. Je ne sais pas si vous avez vu, M. Doge ? » Le « OH, svp m'appellent Elphias, cher garçon. » « Elphias, je ne sais pas si vous avez vu que l'entrevue Rita Skeeter a donné 134 le CHAPITRE 8. LE MARIAGE au sujet de Dumbledore ? » Le visage du doge a inondé avec la couleur fâchée. Le « OH oui, Harry, je l'ai vu. Que la femme, ou le vautour pourrait être une limite plus précise, franchement agacée m'à lui parler. J'ai honte pour dire que je suis devenu plutôt grossier, appelé l'une truite de intervention, qui a eu, comme vous avez pu avoir vu, comme conséquence les calomnies moulées sur ma santé d'esprit. » « Bien, dans cette entrevue. » Harry a continué, « Rita que Skeeter a laissé entendre que professeur Dumbledore était interne impliqué il des arts foncés quand il était jeune. » « Ne pas croire un mot de lui ! » ledit détour immédiatement. « Pas un mot, Harry ! Laissé rien ternir vos mémoires d'Albus Dumbledore ! Harry a regardé dans le doge sérieux, a fait souffrir le visage et le feutre, non rassurés, mais frustrés. Est-ce que doge l'a-t-il vraiment pensé était-il celui facile, ce Harry a pu simplement choisir de ne pas croire ? Le doge n'a-t-il pas compris le besoin de Harry d'être sûr, pour savoir tout ? Peut-être le doge a suspecté les sentiments de Harry, parce que il a semblé intéressé et dépêché dessus,

« Harry, Rita Skeeter est un redoutable »

Mais il a été interrompu par un aigu caquettent.

« Rita Skeeter ? Ah, je l'aime, la lis toujours ! » Harry et doge regardés jusqu'à voient tantine Muriel se tenir là, les plumes dansant sur son chapeau, un gobelet de champagne dans sa main.

« Elle a écrit un livre concernant Dumbledore, vous savez ! »

« Bonjour, Muriel, » a dit le doge.

« Oui, nous étions discussion juste »

« Vous là ! Me donner votre chaise, je suis cent par sept ! »

Un autre cousin de Weasley de roux a sauté outre de son siège, semblant alarmé, et tantine Muriel a balancé autour de lui avec la force étonnante et s'est faite flac vers le bas sur elle entre le doge et le Harry.

« Bonjour encore, Barry, ou celui qui votre nom est, » elle a dit à Harry. « Maintenant, que disiez-vous au sujet de Rita Skeeter, Elphias ?

Vous savez, a-t-elle écrit une biographie de Dumbledore ?

Je ne peux pas attendre pour le lire, je dois me rappeler de passer une commande à m'épanouis et Blotts ! »

Le doge regardé raide et solennel ceci, mais la tantine Muriel a vidangé son gobelet et cliqué ses doigts osseux à un serveur de dépassement pour un remplacement. elle a pris un autre grand groupe d'octets de champagne, a roté, et alors dit,

« il n'y a aucun besoin de ressembler à une paire de grenouilles bourrées ! Avant qu'il soit venu ainsi ait respecté et tosh respectable et tout ce, il y avait quelques rumeurs drôles puissantes au sujet d'Albus ! »

« Tirer un coup de feu mal renseigné, » a dit le doge, tournant radis-coloré encore. « Vous diriez cela, Elphias, » tantine caquetée Muriel. « J'ai noté comment vous patiné au-dessus des pièces rapportées collantes dans ce nécrologe à vous ! » « Je suis désolé que vous pensiez ainsi, » a dit le doge, plus froidement toujours. « Je vous assure que j'écrivais du coeur. » Le « OH, nous tous savons que vous avez adoré Dumbledore ; I daresay vous immobile penserez il était un saint même si il s'avère qu'il a éliminé sa soeur de pétard ! » « Muriel ! » doge hurlé. Un froid qui n'a eu rien à faire avec le champagne glacé volait à travers Le coffre de Harry. « Ce qui vous voulez dire ? » il a demandé à Muriel. « Qui dit sa soeur était-elle un pétard ? I pensé elle était malade ? » « A pensé mal, puis, pas vous, Barry ! » ladite tantine Muriel, regardant ravi à l'effet elle avait produit. « De toute façon, à la façon dont pourriez vous prévoir savoir n'importe quoi à son sujet ! Il toutes les années produites et années avant toi étaient égal pensé à, mon cher, et la vérité est que ceux de nous qui étaient vivants puis n'ont jamais su ce qui s'est vraiment produit. C'est pourquoi je ne peux pas attendre pour découvrir quel Skeeter non relié à la terre ! Dumbledore a gardé pendant longtemps cette soeur de sa tranquillité ! » « Faux ! » wheezed le doge, « absolument faux ! » « Il ne m'a jamais dit que sa soeur était un pétard, » a dit Harry, sans penser, toujours froid à l'intérieur. « Et pourquoi sur terre il vous dirait ? » Muriel poussé des cris perçants, balançant peu dedans un son siège comme elle a essayé de se focaliser sur Harry. « La raison Albus n'a jamais parlé au sujet d'Ariana, » a commencé Elphias dans une voix raide avec émotion, « est, je devrait avoir pensé, tout à fait clair. Il était ainsi dévasté par sa mort « « Pourquoi n'a fait personne jamais la voir, Elphias ? » Muriel poussé des cris rauques, de « pourquoi a fait la moitié nous savent jamais même qu'elle a existé, jusqu'à ce qu'ils aient porté le cercueil hors de la maison et jugé un enterrement pour elle ? Là où était Albus saint tandis qu'Ariana était verrouillé dans la cave ? Outre d'être brillant chez Hogwarts, et ne jamais s'occuper de ce qui allait sur dans sa propre maison ! » « Quel d' vous moyen, verrouillé dans la cave ? » Harry demandé. « Qu'est-ce que c'est ? Le » doge a semblé misérable. Tantine Muriel a caqueté encore et a répondu à Harry. La « mère de Dumbledore était une femme terrifiante, terrifiant simplement. Muggleborn, bien que je l'aie entendue a feint autrement « « Elle n'a jamais feint n'importe quoi de la sorte ! Kendra était une bonne femme, » le doge chuchoté malheureux, mais la tantine Muriel l'a ignoré. « - fier et très dominant, la sorte de sorcière qui aurait été mortifiée pour produire un pétard « « Ariana n'était pas un pétard ! » wheezed le doge. « Ainsi vous dites, Elphias, mais expliquez, puis, pourquoi elle ne s'est jamais occupée de Hogwarts ! » ladite tantine Muriel. Elle a tourné de nouveau à Harry. « En notre jour, pétards avaient lieu souvent faite calmer vers le haut, pensée pour la prendre à l'extrémité réellement d'emprisonner une petite fille dans la maison et de feindre elle n'a pas existé--« « Je vous dis que, ce n'est pas ce qui s'est produit ! » ledit doge, mais tantine Muriel steamrollered dessus, Harry de adressage immobile. Des pétards ont été habituellement embarqués au loin aux écoles de Muggle et encouragés à intégrer dans la communauté de Muggle. beaucoup plus aimable qu'essayant de les trouver un endroit dans le monde de Wizarding, où ils doivent toujours être la deuxième classe, mais naturellement Kendra Dumbledore n'aurait pas rêvé de laisser sa fille aller à une école de Muggle--« « Ariana était sensible ! » ledit doge désespérément. « Sa santé était toujours aussi pauvres pour la permettre « « - pour lui permettre de partir de la maison ? » Muriel caqueté. « Mais elle était non jamais pris au mungo de rue et à aucun guérisseur a été jamais appelé pour la voir ! » « Vraiment, Muriel, comment pouvez vous probablement savoir si « Le « For Your Information, Elphias, mon cousin Lancelot était un guérisseur à la rue Le mungo alors, et lui ont indiqué ma famille avec la discrétion la plus totale qui Ariana jamais n'avait été vu là. Tout le plus soupçonneux, pensée de Lancelot ! » Le doge a regardé pour être sur le bord des larmes. Tantine Muriel, à qui a semblé s'amuse énormement, cassé ses doigts pour plus de champagne. Numbly Harry a pensé à la façon dont le Dursleys l'avait par le passé fermé, fermé à clef lui loin, maintenu lui hors de la vue, toute pour le crime d'être un magicien. A eu Dumbledore la soeur a souffert le même destin à l'envers : emprisonné par son manque de magie ? A eu vraiment à gauche Dumbledore elle à son destin tandis qu'il allait au loin à Hogwarts s'avérer lui-même brillants et doués ?

« Maintenant, si Kendra n'était pas mort d'abord, » Muriel repris, « j'aurais dit que c'était elle qui a fini outre d'Ariana- « « Comment osez vous, Muriel ! » doge gémi. « Une mère tuent sa propre fille ? Penser ce que vous dites ! » « Si la mère en question était capable d'emprisonner sa fille pendant des années sur l'extrémité, pourquoi pas ? » tantine gesticulée Muriel. « Mais comme je dis, elle ne va, parce que Kendra est mort avant Ariana-de ce qui, personne a jamais semblé sûre « « Oui, Ariana pourrait avoir fait un désespéré offrir pour la liberté et tué Kendra dans la lutte, » a dit tantine Muriel pensivement. « Secouer votre tête toute que vous aimez, Elphias. Vous étiez à l'enterrement d'Ariana, étiez toi pas ? » « Oui j'étais, » a dit le doge, par des lèvres de tremblement, » et plus désespérément une occasion triste que je ne peux pas me rappeler. Albus était navré « « Son coeur n'était pas la seule chose. Pas la coupure Albus' nez d'Aberforth à mi-chemin par le service ? » Si le doge avait semblé horrifié avant ceci, il n'était rien à à quoi il a ressemblé maintenant. Muriel pourrait l'avoir poignardé. Elle a caqueté fort et a pris des autres gorgée de champagne, qui a ruisselé en bas de son menton. « Comment vous faire ? » doge coassé. « Ma mère était amicale avec vieux Bathilda Bagshot, » a dit tantine Muriel heureusement. « Bathilda a décrit la chose entière pour enfanter tandis que j'écoutais à la porte. Une bagarre de cercueil-côté ! La manière Bathilda l'a indiquée que, Aberforth a crié que c'était défaut de tout l'Albus' qu'Ariana était mort et alors perforé lui dedans le visage. Selon Bathilda, Albus ne s'est pas même défendu, et c'est 138 CHAPITRE 8. LE MARIAGE assez impair en soi. Albus pourrait avoir détruit Aberforth dans un duel avec tous les deux mains attachées derrière le sien en arrière. Muriel a bu à grandes gorgées pourtant plus de champagne. Le recitation de ces vieux scandales semblé à haut elle autant qu'ils ont horrifié le doge. Harry n'a pas su ce qui pour penser, ce qui à croire. Il a voulu la vérité mais tout le doge était se reposent là et bêler faiblement qu'Ariana avait été Illinois Harry pourrait à peine croire cela Dumbledore ne serait pas intervenu si une telle cruauté se produisait à l'intérieur sa propre maison, mais là était assurément quelque chose de impair au sujet de l'histoire. « Et moi te diront autre chose, » Muriel dit, hoquetant légèrement en tant qu'elle abaissé son gobelet. « Je pense que Bathilda a renversé les haricots à Rita Skeeter. Tous ces conseils dans l'entrevue de Skeeter au sujet d'une source importante près de la Dumbledores-qualité sait qu'elle était là tout par les affaires d'Ariana, et elle irait ! » « Bathilda, ne parlerait jamais à Rita Skeeter ! » doge chuchoté.

« Bathilda Bagshot ? » Harry a dit.

« L'auteur d'une histoire de magie ? »

Le nom a été imprimé sur l'avant d'un des manuels de Harry, bien qu'évidemment non un de ceux qu'il avait lus plus attentivement.

« Oui, » a dit le doge, saisissant à la question de Harry comme un homme de noyade à un héritier de la vie.

« Un historien magique le plus doué et un vieil ami d'Albus' S. »

« Tout à fait gaga de nos jours, j'ai entendu, » a dit gaiement tantine Muriel.

« Si c'est ainsi, il est bien plus déshonorant pour que Skeeter tire profit de elle, » n'a dit le doge, « et aucune confiance peut être placé sur n'importe quoi Bathilda peut avoir dit ! »

Le « OH, là sont des manières de rapporter des mémoires, et je suis Rita sûr Skeeter les sait toutes, » a dit tantine Muriel « mais même si de Bathilda le coucou complètement, je suis sûr qu'elle immobile aurait de vieilles photographies, égaliser peut-être les lettres. Elle a su Dumbledores pendant des années. …. Bon en valeur un voyage à la cavité de Godric, j'aurais pensé. » Harry, qui avait pris un SIP de butterbeer, a obstrué. Le doge l'a frappé sur le dos comme Harry a toussé, regardant tantine Muriel en coulant yeux. Une fois qu'il avait la commande de sa voix encore, il a demandé, « Bathilda Bagshot vit en cavité de Godric ? »

Le « OH oui, elle a été là pour toujours ! Le Dumbledores s'est déplacé là après que Percival ait été emprisonné, et elle était leur voisin. »

« Le Dumbledores a vécu en cavité de Godric ? » « Oui, Barry, est qui ce que j'ai juste dit, » a dit tantine Muriel avec humeur. Le feutre de Harry s'est écoulé, vide. Jamais une fois, en six ans, a fait dire Dumbledore Harry qu'ils avaient vécu et avaient perdu a aimé ceux en cavité de Godric. Pourquoi ? Le lis et le James ont-ils été enterrés près de la mère et de la soeur de Dumbledore ? A eu Dumbledore a visité leurs tombes, peut-être marche après le lis et le James pour faire ainsi ? Et il avait jamais par le passé dit Harry… non jamais pris la peine pour dire….

Et pourquoi il était si important, Harry ne pourrait pas expliquer même à se, pourtant à lui avait été senti lui équivalent à un mensonge pour ne pas lui dire qu'ils ont eu cet endroit et ces expériences en commun. Il a regardé fixement en avant de lui, à peine notant ce qui continuait autour de lui, et ne s'est pas rendu compte que Hermione était apparu dehors de la foule jusqu'à ce qu'elle ait élaboré une chaise près de lui.

« Je simplement ne peux danser plus, » elle ai haleté, glissement d'un de elle des chaussures et frottement de la plante du pied de son pied.

« Regarder allé de Ron pour trouver plus de butterbeers. C'est un peu impair. J'ai juste vu Viktor donner l'assaut à loin du père de Luna, il ai regardé comme ils avaient été discuter « elle laissaient tomber sa voix regarder fixement lui.

« Harry, sont toi bien ? »

Harry n'a pas su où commencer, mais il n'a pas importé, à ce moment, quelque chose de grand et argenté est venu tombant par la verrière au-dessus du plancher de danse. Gracieux et brillant, le lynx a débarqué légèrement au milieu des danseurs étonnés. Les têtes ont tourné, car ces plus proches il ont gelé absurdement dans mi-dansent. Puis la bouche du Patronus ouverte au loin et lui ont parlé dans la voix forte, profonde, lente de Kingsley Shacklebolt.

« Le ministère est tombé. Scrimgeour est mort. Ils viennent. » « Le ministère est tombé. Scrimgeour est mort. Ils viennent. » « Le ministère a tombé. Scrimgeour est mort. Ils viennent. » « Le ministère est tombé. Scrimgeour est mort. Ils viennent. »

17 commentaires:

Anonyme a dit…

traduction impossible à lire...
pour que ça ait un sens il faudrait faire ça vou même et pas avec des machines !

Anonyme a dit…

merci pour la traduction c' es simpa j'était impatient de lire le livre harry potter 7
j'espère que tu va continuer a traduire les autre chapitre; sans te décourager
encore merci

Anonyme a dit…

C'est vraiment génial ton blog, pour ceux qui doivent attendre Octobre comme moi. J'ai le livre en anglais, et il y a beaucoup de choses qui me passent sous le nez, alors... Je trouve que c'est très fidèle au texte bin que parfois,ca ne veut un peu rien dire (et je ne sais pas pourquoi tu utilise le passé composé à la place de l'Imparfait.
On sait tous que ce n'est pas du JK Rowling ou du Francois Ménard et ce n'est donc pas une insulte à leur nom.
Félicitation et Continue à faire plaisir aux fans (et vite!!) MERCI

Anonyme a dit…

Merci pour cette traduction. ça me permettra de me mettre quelque chose sous la dent en attendant Octobre. J'espère que tu iras jusqu'au bout. Merci Beaucoup.

Anonyme a dit…

merci infiniment pour le temps que tu as passé pour notre plaisir de pouvoir lire harry potter un peu en avance. Vraiment super sympa de ta part, j'attends avec impatience que tu affiche les derniers chapitres mais c'est déjà super comme ça.

Anonyme a dit…

Génial, on te remercie tous pour cette traduction.

Anonyme a dit…

Non je te rassure tu n'as pas travaillé pour rien, tu as fait un super cadeau à plein de monde avec ta traduction. Merci.

Anonyme a dit…

Merci beaucoup pour cette traduction, c'est que du bonheur! En plus tu vas plutot vite! Vivement la suite et encore merci mec!

Anonyme a dit…

Franchement martin si t'es pas content va voir ailleurs t'as qu'a le traduire toi meme le bouquin!les gens n'ont vraiment aucun respect. Moi j te remercie beaucoup pour cette traduction! un grand bravo!

traductions de hp7 a dit…

Bonjour,
Comme je le dis dans uh autre messagen je suis très surprise de l'affluence sur mon blog.
Je pensais rouver un moyen facile d'accès à mes proches pour les traductions que je trouvais en fouinant sur internet... et vous voila ! Du coup, je ne me suis pas organisée réellement pour faire un site... disons, plus interractif, avec un forum...
De même, et cela me permettra de répondre à Martin, n'aillant pas la prétention de travailler pour tout le monde, j'ai mis en ligne au fur le fur de mes recherches, et j'ai du coup pas pris le temps de relire activement (verrifacation phrasse à phrase avec l'original), corrections grammaticales, orthographiques...
En tout cas, MERCI à vous pour tous ces messages... merci spécialemnent àmon avocat anonyme du 06 août à 17h41...
Pour te ravir scorec, je l'espère en tout cas, j'ai mis la fin ce soir... (je ne l'ai même pas encore lue !)
Bonne lecture à tous, et bones vacances pour les chanceux qui y sont !

Anonyme a dit…

BRAVO pour se que tu fais ! C vraiment génial ! Merci pour se bonheur, de connaitre enfin la fin ! lol

Anonyme a dit…

Tout d'abord, un tout grand merci, cela aide vraiment bien quand l'anglais ne fait pas partie de ses priorités!!!!
Je voulais juste demander si qqun aurait ou pourait aider pour les chapitres 28 et 34, j'y suis pas encore mais ca ne saurait tarder!!!
encore bravo et à bientôt

Anonyme a dit…

Coucou !
Merci pour cette traduction d'harry potter !
Je suis en train de lire ce livre en anglais mais comme ce n'est pas vraiment mon point fort je ne comprend pas forcément tout !
En tout cas merci encore...!

Anonyme a dit…

HARRY POTTER
ET LES RELIQUES DE LA MORT


Chapitre 1 L’ascension du seigneur des ténèbres

L’ascension du seigneur des ténèbres
Traduit par RAB

Deux hommes surgirent de nulle part, à quelques mètres l’un de l’autre, dans une ruelle étroite éclairée par la lune. L’espace d’une seconde, ils restèrent debout pointant leur baguette magique en direction de la poitrine de l’autre, puis, se reconnaissant, ils les rangèrent sous leur cape et marchèrent vivement dans la même direction.
- Des nouvelles ? Demanda le plus grand des deux.
- Les meilleures possibles. Répondit Severus Rogue
La ruelle était bordée à gauche par des ronces sauvages et à droite par une haie taillée avec soin. Les longues capes des deux hommes voletaient au niveau de leurs chevilles pendant qu’ils marchaient.
- Je craignais d’être en retard, dit Yaxley, ses traits grossiers se mouvant, tantôt visibles et invisibles à l’œil, dans les rayons de la lune filtrés par les branchages. C’était un peu plus délicat que je ne l’aurais pensé. Mais j’espère qu’il sera satisfait. Tu sembles avoir confiance en ta réception ?
Rogue hocha la tête sans donner plus de détails. Ils tournèrent à droite dans une large impasse. La haute haie se courbait avec eux continuant son chemin au delà de l’impressionnante paire de portails en fer forgé barrant la route aux deux hommes.
Aucun des deux n’arrêta sa marche, puis, en silence, il levèrent leur bras gauche dans une sorte de salut et passèrent à travers le métal sombre comme à travers un rideau de fumée. La haie d’if assourdissant leurs pas, les deux hommes entendirent un bruissement soudain à leur droite : Yaxley tira, à nouveau, sa baguette magique, la dirigeant vers le responsable qui s’était avéré n’être rien d’autre qu’un paon blanc éclatant paradant majestueusement au sommet d’une haie.
- Il s’est toujours bien fait paraître, Lucius. Un paon…, Yaxley abaissa sa baguette et la rangea sous sa cape avec un grognement. Un élégant manoir grandissait au fur et à mesure qu’ils avançaient dans l’obscurité. Une intense lumière suintait à travers les volets d’une fenêtre placée au niveau de l’escalier de l’entrée principale. Quelque part, dans le sombre jardin, au delà de la haie, on pouvait entendre clapoter une fontaine. Le gravier crépitant sous leurs pieds, Rogue et Yaxley avancèrent vers la porte d’entrée qui s’ouvrit vers l’intérieur à leur approche bien que, visiblement, personne ne l’avait touchée.
Le vestibule était grand, faiblement éclairé, et somptueusement décoré avec une magnifique moquette recouvrant la plupart du sol en pierre. Les portraits au teint pâle accrochés au mur suivirent Rogue et Yaxley des yeux. Les deux hommes s’arrêtèrent devant une porte en bois lourd conduisant dans la pièce suivante, hésitant l’espace d’un battement de cœur, Rogue tourna la poignée en bronze.
Le salon était rempli de gens silencieux assis à une table longue et très ornementée. Les meubles, qui décoraient d’ordinaires la pièce, avaient été poussés avec négligence contre les murs. La lueur vive provenait d’un feu crépitant au-dessous d’un élégant manteau de cheminée en marbre surmonté d’un miroir doré. Rogue et Yaxley s’attardèrent un moment sur le seuil. Comme leurs yeux étaient encore habitués à la pénombre, ceux-ci furent attirés vers la silhouette la plus caractéristique, la plus étrange de la scène : une forme humaine, apparemment évanouie au-dessus de la table, tournoyant lentement comme si elle avait été suspendue par une corde invisible, et reflétée dans le miroir ainsi que la surface nue et polie de la table.
Aucune des personnes placées au-dessous de cette vue singulière ne la regardait à part un jeune homme pâle. Il semblait incapable de ne pas y jeter un regard ascendant chaque minute ou presque.
-Yaxley, Rogue, dit d’une voix aiguë et distincte la personne se trouvant en tête de table, vous êtes en retard. "
L’interlocuteur était placé juste devant la cheminée, de telle manière qu’il était difficile, pour les nouveaux arrivés, d’en distinguer plus que sa silhouette. S’approchant, ils pouvaient distinguer son visage dans l’obscurité : il était chauve, semblable à un serpent, avec des fentes en guise de narines et des yeux rouges aux pupilles verticales. Il était si pâle qu’ils semblaient rougeoyer comme des perles.
- Severus, ici, dit Voldemort en indiquant un siège sur sa droite. Yaxley à coté de Dolohov.
Les deux hommes prirent leurs places allouées. La plupart des yeux autour de la table suivirent Rogue et ce fut à lui que Voldemort s’adressa en premier.
- Alors ?
-Mon Seigneur, l’Ordre du Phénix à l’intention de déplacer Harry Potter de son endroit actuel samedi prochain à la tombée de la nuit
L’intérêt autour de la table se durci manifestement ; certains se raidirent, d’autres se trémoussèrent, tous regardèrent Rogue et Voldemort.
- Samedi… à la tombée de la nuit, répéta Voldemort.
Ses yeux rouges fixaient les noirs de Rogue avec une telle intensité que certains observateurs détournèrent les yeux, apparemment effrayés d’être brûlés par la férocité de son regard. Rogue, cependant, regardait calmement le visage du seigneur des ténèbres ; puis la bouche sans lèvre de Voldemort se courba en quelque chose qui ressembla à un sourire.
- Bien, très bien. Et ces informations proviennent…
-…De la source dont nous avons discutés
- Mon seigneur.
Yaxley se pencha pour regarder au bout de la longue table Voldemort et Rogue.
- Mon Seigneur, j’ai eu vent d’informations différentes.
Yaxley attendit, mais voyant que Voldemort ne répondait pas il continua.
- Dawlish, l’auror, a laissé paraître que Potter ne se déplacera pas avant la nuit du trente, le jour de ses 17 ans.
Rogue sourit.
- Ma source m’a dit qu’il y avait des projets pour poser de fausses pistes, celle-ci doit l’être. Sans aucun doute, un charme de confusion a été jeté à Dawlish. Ce ne serait pas la première fois ; il est connu pour être susceptible.
- Je vous assure mon seigneur, Dawlish semblait certain… Dit Yaxley
- S’il a été soumis au sortilège de Confusion, évidement qu’il en est certain. Coupa Rogue. Yaxley, je vous assure que le département des Aurors ne jouera aucun nouveau rôle dans la protection de Harry Potter. L’Ordre croit que nous avons infiltrés le ministère.
- Au moins, l'Ordre a raison sur un point, hein? dit un homme assis près de Yaxley.
Il eut un petit rire nerveux qui fît écho tout autour de la table. Voldemort ne riait pas. Son regard errait, il regarda le corps tourner au dessus de lui. Il semblait perdu dans ses pensées.
- Mon seigneur, reprit Yaxley, Dawlish croit qu’une entière partie des aurors sera employées pour transférer le garçon.
Voldemort leva sa grande main blanche et Yaxley se calma aussitôt regardant son seigneur avec impuissance, tandis que le maître se tournait de nouveau vers Rogue.
- Où vont-ils cacher le garçon ensuite ?
- Dans la maison de l’un des membres de l’ordre. Dit Rogue.
- L’endroit, selon la source, a été doté de la protection de l’Ordre et du ministère. Je pense qu’il y a peu de chance de s’en prendre à lui une fois qu’il sera là-bas mon seigneur à moins que, bien sur, le Ministère tombe avant samedi prochain, ce qui nous permettra de défaire assez des enchantements pour percer leur défenses.
- Bien. Yaxley? Appela Voldemort en regardant quelque part vers le bout de la table, la lumière du feu étincelant d’une manière étrange dans ses yeux rouges. Le ministère sera-t-il tombé avant samedi prochain ?
De nouveau, toutes les têtes se tournèrent vers lui, Yaxley redressa ses épaules.
- Mon seigneur, j’ai de bonnes nouvelles sur ce point. J’ai, avec difficulté et après beaucoup d’effort, réussi à soumettre au sortilège de l’Impérium, Pius Thickness.
Beaucoup de personnes autour de Yaxley parurent impressionnées ; Dolohov, un homme au visage long et tordu lui donna une petite tape dans le dos.
- C’est un début, dit Voldemort. Mais Thickness est seulement un homme. Nous devons encercler complètement Scrimgeour avant que j’agisse. Une tentative ratée sur la vie du ministre me ralentirait beaucoup.
- Oui, mon seigneur, c’est vrai, mais vous savez, comme Thickness est à la tête du departement d’application des lois magiques, il a des contacts réguliers et pas seulement avec le ministre lui-même, mais aussi avec les dirigeant de tous les autres départements. Ce sera, je pense, plus facile maintenant que nous avons un tel officier de haut rang sous notre contrôle pour subjuguer les autres, et alors ils travailleront ensemble pour faire tomber Scrimgeour
- Pourvu que notre cher ami Thickness ne soit pas découvert avant d’avoir pu en convertir d’autres, dit Voldemort. En tout cas, il reste peu probable que le ministère soit mien avant samedi prochain. Si nous ne pouvons pas attraper le garçon à son arrivée, alors nous devons agir pendant qu’il voyage.
- Sur ce point là, nous avons l’avantage, mon seigneur, dit Yaxley qui semblait déterminé à recevoir une partie des approbations. Nous avons maintenant plusieurs personnes plantées dans le département de Transport Magique. Si Potter transplane ou utilise le réseau de cheminée nous le saurons immédiatement.
- Il ne fera pas cela, dit Rogue, l’Ordre évite n’importe quelle forme de transport qui est contrôle ou réglé par le Ministère ; ils n’ont pas confiance en eux.
- Tant mieux, dit Voldemort, ce sera beaucoup plus facile s’ils ne se déplacent pas avec les moyens du ministère.
Encore une fois, Voldemort regarda au-dessus de lui le corps en rotation qui ralenti puis il continua :
- Je m’occuperais du garçon moi-même. Il y a eu trop d’erreurs concernant Harry Potter. Certaines d’entres elle m’ont été propres. La vie de Harry Potter est plus due à mes échecs qu’à ses triomphes.
L’assistance regarda craintivement Voldemort, chacun d’entres eux soignait son expression de peur d’être blâmés sur la survie d’Harry Potter.
- J’ai été négligent, et donc contrecarré par la chance et le hasard, ces destructeurs de projets. Mais j’en sais plus désormais. Je comprends ces choses que je n’avais pas comprises avant. Je dois être celui qui tuera Harry Potter, et je le serai.
A ces mots, apparemment en réponse, on entendit un gémissement soudain qui ressembla plus à un cri d’horreur qu’autre chose. Beaucoup de personnes assises à la table semblèrent effrayés car le son avait semblé sortir de dessus la table.
-Queudvert, dit Voldemort d'une voix calme sans enlever ses yeux du corps tournoyant au dessus de lui. Ne t’avais-je pas chargé de garder notre prisonnier silencieux ?
- Oui m-mon Seigneur haleta un petit homme à mi-chemin du bout de table, qui s'était assis si bas dans sa chaise qu'elle semblait, à première vue, être inoccupé. Il se leva en vitesse de sa place et couru à pas précipités dans la pièce, ne laissant rien derrière lui si ce n'est une curieuse lueur d'argent.
- Comme je disais, continua Voldemort, regardant les visages tendus de ses partisants. J'ai compris des choses que je n'avais pas comprises avant. J'aurai besoin, par exemple, d'emprunter la baguette magique d'un d'entre vous avant que j'aille tuer Potter.
Les visages autour de lui parurent choqués; il aurait pu leur annoncer qu'il voulait emprunter un de leurs bras.
-Aucun volontaire ? demanda Voldemort, Voyons… Lucius, je ne voit aucune raison pour vous ayez une baguette magique.

Lucius Malfoy le regarda, sa peau sembla jaunâtre et cireuse, illuminer par les flammes, et ses yeux étaient creux et sombre. Il parla d'une voix rauque.

- Mon Seigneur...
- Votre baguette, Lucius. J'exige votre baguette.
- Je …

Malfoy jeta un coup d'œil latéral à sa femme. Elle regardait fixement devant elle, aussi pâle que son mari, ses longs cheveux blonds arrivant au bas du dos, mais sous la table ses doigts minces se convulsèrent nerveusement. Après l'avoir observée, Malfoy mis sa main dans sa longue robe et retira sa baguette magique qu'il fit passer à Voldemort qui la regarda avec ses yeux rouge, l'examinant.

- En quoi est-elle ?
- En Orme, lui murmura Malfoy
- Et l'intérieur ?
- Du cœur de dragon.
- Bon...
Il sortit sa propre baguette magique et compara les longueurs. Lucius Malfoy fit un mouvement involontaire; pendant une fraction de seconde, il semblait s'attendre à recevoir la baguette de son maître en échange de la sienne. Ce geste n'échappa pas à Voldemort, dont les yeux s'élargirent méchamment.
- Te donner ma baguette magique, Lucius ? Ma baguette magique ? Quelques-uns ricanèrent. Je vous ai donné votre liberté, Lucius, cela n'est pas assez pour vous ? Mais j'ai remarqué que vous et votre famille semble moins qu'heureuse ces temps-ci… Qu'est-ce qui vous déplait dans ma présence, ici, dans votre maison, Lucius ?

- Rien... rien du tout, mon Seigneur!

- De tels mensonges, Lucius...

Sa voix douce avait semblée siffler après que sa bouche cruelle arrêta de se déplacer. Un ou deux des mangemorts réprima un frisson pendant que le sifflement se développait de plus en plus fort; quelque chose de lourd glissait sur le plancher, dessous la table. Un énorme serpent émergea pour s'élever lentement vers le haut de la chaise de Voldemort. Il monta, interminablement, et venu se reposer sur les épaules de Voldemort : son cou était aussi épais que la cuisse d’un homme; ses yeux, avec leurs fentes verticales pour des pupilles, ne cilla pas. Voldemort caressa la créature distraitement avec de longs doigts minces, regardant Lucius Malfoy.

- Pourquoi les Malfoy semblent-ils si malheureux de leur sort ? Est-ce mon retour, ma remontée au pouvoir, n'est-ce pas cela qu'ils ont dit "désirer" pendant tant d'années.
Évidemment, mon Seigneur, dit Lucius Malfoy. Sa main tremblante essuyant la transpiration formée sur sa lèvre supérieure.

- Nous le désirions, nous le désirions.

A la gauche de Malfoy, sa femme fit un signe de tête étrange, rigide, ses yeux évitaient Voldemort et son serpent. A sa droite, son fils, Drago fixa le corps inerte flotter au-dessus de lui, il jeta, ensuite, un coup d'œil furtif vers Voldemort mais détourna les yeux de peur d'être en contact avec le siens.

- Mon Seigneur, dit une femme sombre à mi-chemin du bout de table, dont la voix vibrait d’émotion.

C'est un honneur de vous avoir ici, dans la maison de notre famille. Il n'y a pas de plus grand plaisir.

Elle s'assit à côté de sa sœur. Contrairement elle, elle avait des cheveux sombres et de lourdes paupières, mais la façon dont elle se tenait était la même, une façon distinguée. Narcissa se tenait assise, rigide et impassible. Bellatrix se pencha vers Voldemort, de simples mots ne pouvant décrire son désir ardent de se rapprocher.

- Pas de plus grand plaisir, répéta Voldemort sa tête penchée d’un côté considérant Bellatrix. Cela signifie beaucoup, Bellatrix, venant de toi.

Son visage pris des couleurs; des larmes de plaisir jaillirent de ses yeux.
- Mon Seigneur sait que je ne dis que la vérité !
- Pas de plus grand plaisir… même comparé à l'événement heureux qui, j'entends, est survenu dans votre famille cette semaine ?

Elle le regardait fixement, sa bouche entrouverte, apparemment confuse.

- Je ne vois pas ce vous que voulez dire, mon seigneur.
- Je parle de votre nièce, Bellatrix. Et aussi la vôtre, Lucius et Narcissa.
- Elle vient juste de se marier avec le loup-garou, Remus Lupin. Vous devez être si fier !

Il y eu une éruption de rires sarcastiques autour de la table. Beaucoup se penchèrent en avant pour échanger des regards rieurs, quelques-uns cognèrent la table avec leurs poings. Le grand serpent, détestant la perturbation, ouvrit grand sa bouche et siffla de colère, mais les mangemorts n’y prirent pas garde, ils étaient trop heureux de l'humiliation subie par Bellatrix et les Malfoy. Le visage de Bellatrix, si récemment rougit par le bonheur se changea en une tache rouge hideuse.

- Elle n'est pas notre nièce, mon Seigneur, pleura t-elle au-dessus de toutes les hilarités.
- Nous, Narcissa et moi, n'avons jamais revu notre sœur depuis qu'elle s'est marier à un sang de bourbe. Cette morveuse n'a rien à voir avec nous, ni les bêtes qu’elle pourrait marier.
- Qu’en dit-tu Drago ? " Demanda Voldemort, bien que sa voix fut calme elle portait clairement à travers toutes les railleries. Babysiteras-tu les louveteaux ?

Les mangemorts éclatèrent de rire, Drago Malfoy regarda son père avec terreur, qui fixait ses genoux, puis il chercha sa mère des yeux, elle secoua sa tête presque imperceptiblement puis fixa son regard sans expression en direction du mur opposé.

- Assez, dit Voldemort caressant le serpent énervé. Assez.

Et les rires moururent aussitôt.

- Beaucoup de nos vieux arbres généalogiques deviennent malades avec le temps, dit-il alors que Bellatrix le regardait fixement haletante et implorante.
- Tu devrait tailler le tient, n' est-ce pas, pour le garder saint. Coupe ces parties qui menacent la santé du reste.
- Oui, mon seigneur, murmura Bellatrix, ses yeux baignant dans des larmes de gratitude, à la première occasion.
- Tu l’auras, dit Voldemort.

- Et dans notre famille, ainsi que dans le monde... nous couperons la pourritures qui nous infectent jusqu’à ce que restent seuls ceux au sang-pur... "

Voldemort éleva la baguette de Lucius Malfoy, la pointa directement sur la forme suspendue aux dessus de la table et donna un petit coup. Le corps s’anima dans un gémissement et commença à se débattre contre des liens invisibles.

- Reconnaît tu notre invitée, Séverus ? demanda Voldemort.

Rogue leva les yeux vers le visage retourné. Tous les mangemorts regardèrent la captive comme si on leur avait donné la permission de montrer de la curiosité.
Alors qu'elle tournoyait face aux flammes, la femme dit d'une voix craquelée et terrifiée.

- Severus, aide moi !
- Ah, oui, dit Rogue tandis que la prisonnière tournoyait doucement.
- Et toi Drago ? demanda Voldemort tout en caressant le museau du serpent avec sa main inoccupée.

Drago secoua brusquement la tête, maintenant que la femme fut réveillée il semblait incapable de la regarder.

- Mais, évidemment, tu n'auras pas pris ses cours, pour ceux d'entre vous qui ne le savent pas, cette nuit nous a rejoint Charity Burbage qui jusqu'à aujourd'hui enseignait à l'école de sorcellerie de Poudlard.

Il y eu quelques bruits compréhensifs autour de la table. Une femme large et tordue ricana, ce qui fit apparaître des dents pointues.

- Oui... le professeur Burbage apprenait aux enfants de sorciers et sorcières tous sur les moldus... comment ils n’étaient pas si différents de nous...

Un des Mangemorts cracha sur le sol. Charity Burbage tourna pour faire face à Rogue à nouveau.

- Severus... s'il vous plait... je vous en prie...

- Silence ! dit Voldemort, qui donna un autre coup sec avec la baguette de Malfoy, et Charity redevint silencieuse comme si elle avait été bâillonnée. Non contente de corrompre et de polluer les esprits des jeunes sorciers, la semaine dernière le professeur Burbage à écrit un article défendant passionnément les Sangs de Bourbe dans la Gazette des sorciers. Les sorciers, nous dit-elle, doivent accepter ceux qui volent leur savoir et leur magie. Le déclin des sang-purs est, nous dit le professeur Burbage, une circonstance plus que désirable... Elle aimerait nous voir unis avec les Moldus... ou, sans doute, les loups-garous...

Personne ne rit cette fois: la colère et le mépris dans la voix de Voldemort ne prêtait à aucune erreur. Pour la troisième fois, Burbage tourna pour faire face à Rogue. Des larmes coulaient de ses yeux jusque dans ses cheveux. Rogue lui rendit son regard, complètement impassible, tandis qu'elle se détournait de lui à nouveau.

- Avada kedavra.

La lueur de lumière verte éclaira chaque recoin de la pièce. Charity tomba, avec un bruit sourd, sur la table, qui trembla et craqua. De nombreux Mangemorts bondirent de leurs chaises. Drago glissa de son siège et tomba sur le sol.

- Le dîner est servit, Nagini, dit Voldemort d'une voix doucereuse, et le grand serpent se balança et glissa de ses épaules jusqu'à la table de bois poli.



















chapitre 2 IN MEMORIAM

IN MEMORIAM
(de Sirius, benji251 et Djoper)


Harry saignait. Etreignant sa main droite dans la gauche et jurant dans un souffle, il ouvrit d'un coup d'épaule la porte de sa chambre. Il y eu un bruit de porcelaine brisée : il avait marché sur une tasse de thé froid se trouvant sur le sol, devant la porte de sa chambre.

- Qu' est-ce que ?
Il regarda autour de lui : le palier du numéro 4, Privet Drive était désert. Il était probable que la tasse de thé fut une farce subtile venant de Dudley. Harry enleva les morceaux de la tasse avec l'autre main et les jeta dans la poubelle déjà pleine à craquer. Ensuite il se déplaça jusqu'à la salle de bain pour mettre son doigt sous le robinet. Il était stupide et plus qu'irritant de devoir attendre encore quatre jours avant de pouvoir utiliser la magie. Mais il lui fallait admettre que sa coupure au doigt pourrait bien l'en empêcher! Il n'avait jamais appris à soigner les blessures, et maintenant il lui vînt à penser, en particulier à la lumière de ses plans imminents, que c'était une faille sérieuse dans son éducation magique!

Il rédigea une petite note mentale pour demander à Hermione de le lui apprendre!
Il tira un grand morceau de papier toilette et épongea autant de thé qu'il le put, avant de retourner dans sa chambre et de claquer la porte derrière lui.

Harry avait passé la matinée à vider complètement sa malle d'école, et ce, pour la première fois depuis six ans ! Au cours des années précédentes, il avait simplement utilisé les strates supérieures, remis à jour son matériel, et laissé au fond une couche indéterminée de vieilles canettes, yeux desséchés, de coléoptères, et autres chaussettes célibataires...
Quelques minutes plus tôt, Harry avait plongé la main dans ce fouillis, et ressenti une douleur fulgurante dans le quatrième doigt de sa main droite. Il avait immédiatement retiré sa main qui saignait abondamment. Il avait à présent décidé de procéder avec ordre et précaution.
Il agissait maintenant un peu plus prudemment. A genoux près du coffre, il cherchait à tâtons au fond de celui-ci et, après avoir retrouvé un vieux badge qui clignotait faiblement entre " VIVE CEDRIC DIGGORY et A BAT POTTER ", un criquet, un Scrutoscope complètement usé et un médaillon d’or signé " R.A.B ", il découvrit finalement le morceau pointu qui venait de le blesser. Il le reconnut immédiatement : c’était un morceau long de deux pouces, partie du miroir enchanté que Sirius, son parrain disparu, lui avait donné. Harry le posa sur le côté et continua à chercher dans la grosse malle de bois avec précaution, mais il ne trouva rien d’autre du dernier cadeau de son parrain, à l’exception d’un peu de verre en poudre, qui, accroché à la couche la plus profonde de débris, scintillait.

Harry s’assit et examina le morceau entaillé avec lequel il venait de se couper, ne voyant rien de plus que le reflet de ses yeux verts. Il mit ensuite le fragment sur La Gazette du Sorcier du matin même, qui reposait sur le lit sans avoir été encore lue, et il essaya de contenir le flux soudain d’amers souvenirs, les regrets et la nostalgie que la découverte du miroir cassé avait provoqué en lui. Il s’attaqua au reste des ordures présentes dans la malle. Cela prit encore une heure pour la vider complètement, jeter les choses inutiles et classer tout ce qu’il restait dans des piles, selon ce dont il aurait encore besoin ou non. Les uniformes de l’école et de Quidditch, la bouilloire, les parchemins, les plumes et la majorité des livres d’école furent empilés dans un coin, pour être laissés de côté. Il se demanda ce que son oncle et sa tante feraient avec eux ; les brûler tard dans la nuit probablement, comme s’ils étaient la preuve d’un quelconque crime horrible. Ses vêtements moldus, sa cape d’invisibilité, son matériel pour fabriquer des potions, quelques livres, l’album photos que Hagrid lui avait une fois offert, une pile de lettres et sa baguette, le tout venait d’être emballé récemment dans un vieux sac à dos.

Dans une poche avant se trouvait la Carte du Maraudeur et la reliquaire avec la note signée " R.A.B ".
Cet objet avait reçu cette place d’honneur non pas pour sa valeur – il était complètement inutile pour quoi que ce soit – mais surtout pour ce qui lui avait coûté afin de l’obtenir.

Il restait une pile considérable de journaux sur son bureau, à côté de Hedwige : un journal pour chaque jour que Harry avait passé à Privet Drive durant l’été. Il se releva, s’étira et se dirigea vers son bureau. Edwige ne bougea pas lorsqu’il commença à déchirer les journaux, en les jetant aux ordures un à un. La chouette était endormie, ou faisait semblant ; elle était fâchée contre Harry à cause du temps limité qui lui avait été accordé. Alors qu’il arrivait à la fin de la pile de journaux, Harry ralentit, cherchant en particulier une édition qui, il le savait, était arrivée un court moment après son retour à Privet Drive pour l’été ; il se souvint qu’il y avait eu une petite note sur la page principale à propos de l’abandon de Charity Burbage, le Professeur d’Etude des Moldus à Poudlard. Il le trouva enfin. Feuilletant jusqu’à la page dix, il s’appuya à sa chaise de bureau et relut l’article qu’il cherchait.


Souvenirs d’Albus Dumbledore, par Elphias Dodge

J’ai rencontré Albus Dumbledore à l’âge de onze ans, lors de notre premier jour à Poudlard. Notre attirance mutuelle était indéniable, cela était du au fait que nous nous sentions tous les deux comme des étrangers. J’avais contracté pour ma part la fièvre du dragon peu avant mon arrivée à l’école, et même si je n’étais plus contagieuse, mon visage piqué et la couleur verte n’encourageaient pas beaucoup de gens à m’approcher. Pour sa part, Albus était arrivé à Poudlard avec le lourd fardeau d’une notoriété non souhaitée. Une année auparavant, son père, Perceval, avait été condamné pour une attaque très plébiscitée contre trois jeunes Moldus. Albus n’a jamais essayé de nier que son père (qui est mort à Azkaban), avait commis ce crime ; au contraire, quand j’ai eu le courage de lui demander, il m’a assurée qu’il savait que son père était coupable. Indépendamment de ça, Dumbledore refusait de parler de cette sale affaire, bien que beaucoup aient essayé de le faire parler. Certains même, disaient qu’il faisait l’éloge de l’action de son père et ont assuré que Albus, aussi, était un anti-Moldus. Ils ne pouvaient pas avoir plus faux : comme n’importe quelle personne connaissant Albus ne pourrait dire le contraire, il n’a jamais eu aucune tendance anti-Moldu. De plus, son soutien déterminé aux droits Moldus lui a apporté beaucoup d’ennemis au fil des années suivantes. Au cours des mois, par contre, la célébrité d’Albus a dépassé celle de son père. A la fin de sa première année, il ne voulait plus jamais être connu comme le fils d’un anti-Moldu, mais comme rien de plus ou de moins que le plus brillant élève jamais vu à l’école. Ceux qui comme moi ont eu le privilège d’être ses amis ont pu bénéficier de son exemple, sans oublier son aide et ses encouragements, dont il était toujours généreux. Il m’a confessé plus tard, qu’il avait toujours su que son plus grand plaisir serait l’enseignement. Il n’a pas seulement gagné tous les prix du mérite qu’offrait l’école, il était aussi en contact par correspondance avec les plus célèbres magiciens actuels, dont Nicolas Flamel, le célèbre alchimiste, Bathilda Bagshot, la célèbre historienne, et Adalbert Waffling, le théoricien magique. Plusieurs de ses écrits ont été publiés dans " métamorphoses modernes ", " défis des sortilèges " et " les potionistes pratiquant ".

La future carrière de Dumbledore semblait être " météorique ", et la seule question qu’il restait était de savoir quand il allait devenir Ministre de la Magie. Toutefois, même s’il a été souvent prédit dans les années suivantes qu’il était sur le point de prendre ce poste, il n’a jamais eu des ambitions de Ministre.

Trois ans après que nous ayons commencé à Poudlard, le frère d’Albus, Aberforth, est arrivé à l’école. Ils ne se ressemblaient pas ; Aberforth n’a jamais été charismatique et, contrairement à Albus, il préférait régler les conflits par des duels qu’avec une discussion raisonnée. Par contre, il est assez faux de dire, comme certains l’ont fait, que les frères n’étaient pas amis. Ils étaient aussi bien tous les deux que pourraient l’être deux garçons tellement différents. Pour être juste avec Aberforth, il faut admettre que vivre sous l’ombre d’Albus ne doit pas être une expérience très commode. Etre continuellement dans l’ombre était un risque en étant l’ami et le frère d’Albus. Quand Albus et moi avons quitté Poudlard, nous avons prévu de faire ensemble le dixième traditionnel tour du monde, pour visiter et observer les sorciers étrangers, avant de poursuivre nos carrières respectives.

Malheureusement, la tragédie a frappé. Au tout début de notre voyage, la mère d’Albus, Kendra, est morte, laissant Albus à la tête de toute la famille. J’ai post-posé mon départ assez longtemps pour présenter mes condoléances aux funérailles de Kendra, puis je suis partie pour ce qui était devenu maintenant un voyage solitaire. Avec un jeune frère et une sœur dont il devait s’occuper, et un rien d’or laissé à eux, il n’était plus question pour Albus de m’accompagner.

C’est à cette période de nos vies que nous avons perdu contact. J’ai écrit à Albus, lui décrivant, peut-être insensiblement, les merveilles de mon voyage, des petites évasions à Chimaeras en Grèce, aux expériences des alchimistes égyptiens. Ses lettres m’en disaient un peu plus sur sa vie de tous les jours, qui je le supposais était assez frustrante pour un si brillant sorcier. Immergée dans mes propres expériences, c’est avec horreur que j’ai entendu, vers la fin de mon année de voyage, qu’une autre tragédie avait frappé la famille Dumbledore : la mort de sa sœur, Ariana.
Même si Ariana avait une mauvaise santé depuis longtemps maintenant, le drame, survenu si vite après la perte de leur mère, a eu un impact profond sur les deux frères. Tous les proches d’Albus – et j’en fais partie – sont d’accord de dire que la mort d’Ariana et le sentiment de culpabilité qu’Albus a ressenti (même s’il n’y avait pas de raison, évidemment), a laissé une marque à jamais sur cet homme.

Je suis retournée à la maison pour découvrir un jeune homme qui avait affronté plus de souffrance qu’une personne âgée. Albus était plus réservé qu’avant, et beaucoup moins allègre. Pour ajouter à son malheur, la perte d’Ariana avait provoqué, non pas un rapprochement entre Albus et Aberforth, mais bien un certain éloignement. Au fil du temps, ils auront cependant renoué contact, pas pour une relation très proche mais au moins une relation un temps soit peu cordiale. Par contre, à partir de ce moment-là, Albus parlait rarement de ses parents ou d’Ariana, et ses amis avaient appris à ne pas en parler.

D’autres trophées décriront les triomphes des années suivantes. Les innombrables contributions de Dumbledore à la connaissance de la magie, incluant notamment sa découverte des douze utilisations du sang de dragon, ont profité aux générations suivantes, tout comme la sagesse dont il a fait preuve dans tous ses jugements lorsqu’il était Chef du Mangemagot.
Ils le disent encore aujourd’hui, qu’aucun combat de sorcier n’a autant marqué que celui entre Dumbledore et Grindelwald en 1945. Ceux qui y ont assisté ont écrit des articles concernant la terreur et la crainte qu’ils ont ressentie alors qu’ils regardaient ces deux extraordinaires sorciers se battre.

Dumbledore triompha et les conséquences qui en découlèrent pour le Monde des Sorciers ont été considérées comme un point clé dans l’Histoire de la Magie, pour marquer la naissance d’un Statut International du Secret ou la chute de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom.
Albus Dumbledore n’a jamais été fier ou vantard ; il pouvait trouver quelque chose de bon en chacun, même s’il était apparemment insignifiant ou misérable, et je crois que les premières pertes qu’il a subies lui ont permis de faire preuve d’une grande humanité et d’une grande sympathie. Son amitié devrait me manquer plus qu’autre chose, mais la perte que je viens de subir n’est rien par rapport à celle du Monde des Sorciers. Qu’il était le plus inspiré et le plus aimé de tous les Professeurs de Poudlard. Il est mort comme il a vécu : travaillant toujours pour le plus grand Bien, et, à sa dernière heure, toujours aussi disposé à tendre la main à un jeune garçon avec une fièvre de dragon que le jour où je l’ai rencontré.

Harry avait fini de lire mais continuait à fixer la photo accompagnant l’avis de décès. Dumbledore portait son sourire familier et chaleureux, mais, comme il regardait par-dessus ses lunettes en demi-lune, il donnait l’impression, même à travers le journal, de passer Harry au rayon X, chez qui la tristesse s’était mélangée à l’humiliation.

Il pensait connaître plutôt bien Dumbledore, mais déjà en lisant cet avis nécrologique, il était forcé de reconnaître qu’il ne le connaissait qu’à peine. Pas une fois il n’avait imaginé l’enfance ou la jeunesse de Dumbledore ; c’était comme s’il avait toujours été comme quand Harry l’avait connu, vénérable et grisonnant, et vieux. L’idée d’un Dumbledore adolescent était tout simplement impensable, c’était comme si on pouvait imaginer une Hermione idiote.

Il n’avait jamais pensé à poser des questions à Dumbledore sur son passé. Sans doute serait-ce en partie étrange, impertinent même, mais après tout, son duel légendaire avec Grindelwald était connu de tous. Et Harry n’avait pas pensé à demander à Dumbledore à quoi cela avait ressemblé, ni ne s’était renseigné sur aucun autre de ses accomplissements célèbres.

Non, ils ne discutaient toujours que de Harry, de son passé, de son avenir, de ses plans … et Harry y repensait maintenant, malgré le fait que son avenir allait être si dangereux et si incertain, qu’il avait manqué des occasions irremplaçables de demander à Dumbledore plus à son sujet, bien que la seule question personnelle qu’il n’ait jamais demandée à son directeur soit aussi la seule à laquelle Harry soupçonnait Dumbledore de ne pas avoir répondu honnêtement :

- " Que voyez-vous quand vous regardez dans le miroir du Rised ? "
- " Moi ? Je me vois tenir une épaisse paire de chaussette en laine. "

Après plusieurs minutes de réflexion, Harry déchira la rubrique nécrologique de la Gazette, la replia soigneusement et la mit à l’intérieur du premier volume de son livre " La Pratique de la Magie Défensive et son Utilisation Contre les Forces du Mal ". Puis, il jeta le reste du journal sur la pile d’ordures et se tourna, face à la pièce. C’était maintenant déjà beaucoup plus rangé. Les seules choses qu’il restait étaient la Gazette d’aujourd’hui, toujours étendue sur le lit, et le morceau de miroir cassé.

Harry se déplaça à travers la pièce, fit glisser le fragment de miroir de la Gazette et déplia le journal. Il avait tout juste jeté un coup d’œil au titre en prenant le journal roulé du hibou-livreur tôt ce matin, et l’avait mis de côté après avoir vu qu’il ne traitait pas de Voldemort. C’était seulement maintenant, donc qu’il vit ce qu’il avait manqué.

A mis chemin de la première page, un titre plus petit était placé au dessus d’une image de Dumbledore, marchant à grands pas le long de cette image, le regard tourmenté :




DUMBLEDORE – ENFIN LA VERITE ?

A venir la semaine prochaine, l’histoire choquante du génie imparfait
considéré par plusieurs comme étant le sorcier le plus grand de sa génération
En déshabillant loin l'image populaire du sage serein, a la barbe d'argent, Rita skeeter révèle l'enfance dérangée, la jeunesse illégale, les querelles perpétuelles et les secrets coupables que Dumbledore a emporté dans sa tombe. POURQUOI a-t-il été refusé de devenir ministre de la magie pour rester un simple directeur ? QUEL était le but réel de l'organisation secrète connue sous le nom de l'ordre du phénix ? COMMENT Dumbledore a vraiment rencontré sa fin ? Les réponses à ces questions et bien d’autres sont explorées dans la nouvelle biographie explosive "La vie et le mensonge d'Albus Dumbledore", par Rita Skeeter, exclusivement interviewé par Betty Braithwaite, page 13, à l'intérieur.

Harry ouvrit le journal et trouva la page treize. L'article était surmonté d'une image montrant un autre visage familier : une femme portant des verres parés de bijoux , des cheveux blonds, ses dents découvertes dans ce que l'on suppose être un sourire gagnant, agitant ses doigts vers le haut. En faisant de son mieux pour ignorer cette image écoeurante, Harry continua de lire.

En personne, Rita skeeter est beaucoup plus chaude et plus douce que dans ses portraits fameusement féroce. En me saluant dans le vestibule de sa maison confortable, elle me mèna directement dans la cuisine pour une tasse de thé, une tranche de gâteau et, cela va sans dire, un dégagement de vapeur du commérage le plus frais.

"Bien, bien sûr, Dumbledore est le rêve de tout biographes," dit Skeeter. "Une vie si longue, pleine. Je suis sûr que mon livre sera le premier de très loin." Skeeter était certainement rapide pour écrire. Son livre de neuf cents pages a été achevé simplement quatre semaines après la mort mystérieuse de Dumbledore en juin. Je lui demande comment elle a géré cet exploit très rapide.

"Oh, quand vous avez été une journaliste aussi longtemps que moi, travailler dans de courts délais est une deuxième nature. Je savais que le monde de la sorcellerie réclamait à cor et à cri l'histoire complète et j'ai voulu être la première à répondre à ce besoin."

Je mentionne la récente remarque largement rendue publique de Elphias Doge, la conseillère spéciale au Magenmagot et l'amie de longue date d'Albus Dumbledore, "Le livre de Skeeter contient moins de faits qu'une carte de choco-grenouille."
Skeeter rejeta sa tête en arrière et rit.

"Darling Dodgy! Je me rappelle l’avoir interviewé il y a quelques années à propos de " merpeople ", la bénissant. Complètement gaga, elle semblait penser que nous étions assis au fond du lac Windermere, à me dire de faire attention à la truite "

Et pourtant les accusations inexactes de Elphias Doge ont été entendues en de nombreux endroits. Skeeter estime-t-elle vraiment que quatre courtes semaines aient été suffisantes pour gagner une image complète de la longue et extraordinaire vie de Dumbledore ?

"Oh, mon cher," rayonna Skeeter, me frappant affectueusement à travers les articulations, "vous savez aussi bien que moi que beaucoup d'informations peuvent être produites par un sac gras de gallions, un refus d'entendre le mot "Non" et un paquet de Citations agréables rapidement aiguisées ! Les gens mettaient en file d'attente les plats sales de Dumbledore, de toute façon. Tout le monde ne le trouvait pas merveilleux vous savez – il a marché sur un lot terrible d'orteils importants. Mais la vieille Dodgy Doge peut descendre de son grand hippogriffe, parce que j'ai eu accès à une source pour laquelle la plupart des journalistes échangeraient leurs baguettes magiques puisqu'elle provient de celle qui n'a jamais parlé en public auparavant et qui était près de Dumbledore pendant la phase la plus turbulente et inquiétante de sa jeunesse."
La publicité d'avance pour la biographie de Skeeter a certainement suggéré qu'il y ait des chocs dans les magasins pour ceux qui croient que Dumbledore a mené une vie irréprochable. Je lui demandai ce qui a était la plus grande surprise qu'elle a découverte.

"Maintenant, Betty, je ne donne pas tous les points croustillants avant que quiconque ait acheté le livre!", ria Skeeter. "Mais je peux promettre que quelqu'un qui pense toujours que Dumbledore était blanc comme sa barbe se dirige vers un réveil brutal. Disons juste que n’importe qui l'entendant en colère contre Vous-Savez-Qui aurait rêvé qu'il n'ait fait en amateur de la magie noire lui-même dans sa jeunesse! Et pour un magicien qui a passé à plaider tant d'années pour la tolérance, il n'était pas exactement aussi large d'esprit quand il était plus jeune! Oui, Albus Dumbledore avait un passé extrêmement obscur, pour ne pas mentionner cette famille très poissonneuse, qu'il a travaillée si durement pour la garder cachée."

Je demande si Skeeter se rapporte au frère de Dumbledore, Aberforth, dont la convocation par le magenmagot pour l'abus de la magie, a causé un scandale mineur il y a quinze ans.

"Oh, Aberforth est juste le bout du tas de fumier," rit Skeeter. "Non, non, je parle de quelqu’un de beaucoup de plus mauvais qu'un frère avec un penchant pour jouer avec des chèvres, plus mauvais même que le père de Muggle-Muggle-maiming - Dumbledore ne pouvait pas les maintenir tranquille elles n’ont plus de toute façon, toutes les deux ont été condamnées par le magenmagot. Ce ne sont pas la mère et la soeur qui m'ont intrigués, et creusant à découvert a nid positif de méchanceté - mais, comme je dis, vous devrez attendre les chapitres neuf et douze pour avoir les détails complets. Tout que je peux dire maintenant c’est qu’il est loin d’être merveilleux ! Par exemple Dumbledore n’a jamais parlé de la façon dont son nez s’est cassé. "

Des squelettes de famille nonobstant, fait Skeeter, nient les brillantes découvertes magiques menées par Dumbledore ?

"Il a eu un cerveau," concède-t-elle, "bien que beaucoup doutent maintenant qu'il pourrait vraiment prendre le plein crédit de tout ses accomplissements supposés. Comme j'indique en chapitre seize, Ivor, que Dillonsby soutient, avait déjà découvert huit utilisations du sang de dragon quand Dumbledore "a emprunté" ses papiers."

- Mais l'importance de certains des accomplissements de Dumbledore ne peuvent pas, j'osent, être niés. En particulier sa défaite célèbre de Grindelwald ?

"Oh, maintenant, je suis heureux vous ayez mentionné Grindelwald," dit Skeeter avec un sourire provoquant. "J'ai peur que pour ceux qui ont eu les larmes aux yeux en faveur de la victoire spectaculaire de Dumbledore, ce livre ne leurs fasses l’effet d’une bombe - ou peut-être une bombabouse. Affaire très sale en effet. Tout que je dirai c’est qu’il n’est pas sûr qu'il se soit vraiment produit un duel spectaculaire de légende. Après qu'ils aient lu mon livre, les gens ne peuvent qu’être forcés de conclure que Grindelwald a simplement créé un mouchoir blanc de l'extrémité de sa baguette magique et est revenu tranquillement !"

Skeeter refuse de donner plus de détails sur ce sujet intrigant, ainsi nous nous tournons à la place vers le rapport qui fascinera assurément ses lecteurs davantage que tout autre.

"Oh oui," dit Skeeter, inclinant la tête vivement, "je consacre un chapitre entier au tout Potter-Dumbledore-Dumbledore le rapport. Il s'est appelé malsain, même sinistre. Encore une fois, vos lecteurs devront acheter mon livre pour l'histoire entière, mais il n'y a aucune question sur le fait que Dumbledore ait pris un intérêt artificiel pour Potter. Si c'était vraiment dans les meilleurs intérêts du garçon - bien, nous verrons. C'est certainement un secret dévoilé que le Potter a eu une adolescence pour le moins préoccupante."

Je demande si Skeeter est toujours en contact avec Harry Potter, elle est tellement célèbre qu’elle interviewé l'année dernière : un morceau de percée dans lequel le Potter a parlé exclusivement de sa conviction selon laquelle Vous-Savez-Qui était revenu.

"Oh, oui, nous avons développé un lien plus étroit," dit Skeeter. Le "Potter des pauvres a peu de vrais amis, et nous nous sommes réunis à un des moments d'essai de sa vie - le tournoi des trois sorciers. Je suis probablement l'une des seules personnes vivantes qui peut indiquer qu'elles connaissent vraiment Harry Potter."

Ce qui nous amène d'une manière ordonnée aux nombreuses rumeurs circulant toujours au sujet des heures finales de Dumbledore. Skeeter croit-il que le Potter était là quand Dumbledore est mort ?

"Bien, je ne veux pas dire trop - il y a tout dans le livre - mais des témoins oculaires à l'intérieur de château de Poudlard ont vu le Potter courir à partir du moments que Dumbledore soit tombé, sauté, ou ai été poussé. Potter plus tard a accusé Severus Rogue, un homme contre qui il a une rancune notoire. Est-ce que tout est ce qu'il y parait ? C'est pour que la communauté des sorciers s’en rende compte - une fois qu'elles auront lu mon livre."

Sur cette note intrigante, je prends mon congé. Il ne peut y avoir aucun doute que Skeeter a des tuyaux pour un best-seller instantané. La légion d'admirateurs de Dumbledore, en attendant, pourra bien être secoué à propos de ce qui sera bientôt découvert au sujet de leur héros.
Harry avait fini de lire l'article, mais avait continué de regarder fixement la page. Le revirement et la fureur montèrent en lui comme un haut-le-coeur ; il chiffonna le journal et le jeta, de toutes ses forces, contre le mur, où il rejoignit le reste des déchets autour de la poubelle.

Il commença à marcher, sans rien voir autour de lui, à travers la salle. Les tiroirs vides s'ouvrait et la reprise réserve pour les remplacer seulement sur les mêmes piles (à verifier), à peine conscient de ce qu'il faisait, car les expressions aléatoires de l'article de Rita avaient fait écho dans sa tête : Un chapitre entier au tout Potter-Dumbledore-Dumbledore le rapport... qu'il s'est appelé malsain, même sinistre... il a trempé dans les arts noirs lui-même dans sa jeunesse... j'ai eu accès à une source si fiable que la plupart des journalistes serait prêt a vendre leurs baguettes magiques pour...

"Mensonges !" Beugla Harry, et par la fenêtre il vit le voisin d'à côté, qui avait fait une pause pour remettre en marche sa tondeuse à gazon, recherchant nerveusement la cause du bruit.
Harry s’assit sur le lit dur. Le reste du miroir cassé avait dansé à côté de lui ; il le pris et le fit tourner dans ses doigts, en pensant, en pensant à Dumbledore et aux mensonges avec lesquels Rita Skeeter le diffamait...

Un flash du bleu des plus lumineux survînt. Harry gela, son doigt coupé glissant sur le bord déchiqueté du miroir une nouvelle fois. Il l'avait imaginé, il devait l’avoir rêvé. Il jeta un coup d'oeil au-dessus de son épaule, mais le mur était d’une couleur maladive de pêche que sa tante Pétunias choisissait : Il n'y avait rien de bleu là que le miroir puisse refléter. Il scruta de nouveau le fragment de miroir, et ne vit rien de plus que son propre oeil vert clair.

Il l'avait imaginé, il ne pouvait y avoir aucune autre explication ; imaginé parce qu'il avait pensé à son directeur mort. Si une chose était certaine, c'était que les yeux bleus lumineux d'Albus Dumbledore ne le traverseraient plus jamais.















chapitre 3 Le départ des Dursleys

Le départ des Dursleys
(Traduit par Kolo et ou nico)


Le bruit du claquement de la porte d’entée fit écho vers le haut des escaliers et une voix hurla, " Oh ! Toi ! "
Seize ans passés a être appelé ainsi ne laissait par conséquent à Harry pas de doute sur le fait que son oncle l’appelait, néanmoins, il ne répondit pas immédiatement. Il était toujours avec l’étroit fragment dans lequel, pendant une fraction de seconde, il avait cru apercevoir l’œil de Dumbledore., jusqu'à ce que son oncle crie, " MON GARÇON ! ", Harry se leva lentement de son lit et se dirigea vers la porte de la chambre, faisant une pause pour ajouter le morceau de miroir cassé au sac à dos rempli des choses qu'il prendrait avec lui.


-Tu as pris ton temps ! Hurla Vernon Dursley quand Harry apparu en haut des escaliers, Descend ici. Je veux te dire un mot !

Harry descendit les marches, ses mains profondément enfouis dans les poches de son pantalon. Quand il examina la salle de séjour il y trouva chacun des trois Dursleys. Ils étaient en tenue de voyage ; Oncle Vernon dans une vieille veste déchirée et Dudley, le grand, blond, musclé cousin d’Harry, dans sa veste en cuir.

-Oui ? demanda Harry.
-Assieds-toi ! dit oncle Vernon. Harry haussa les sourcils. " S’il te plaît ! " ajouta oncle Vernon, grimaçant légèrement comme si ce mot lui avait entaillé la gorge.

Harry s'assit. Il pensait connaître ce qui suivrait. Son oncle commença à arpenter la pièce de long en large, tante Petunia et Dudley, suivant son mouvement avec une expression anxieuse. Finalement, son gros visage pourpre se crispa avec concentration. Oncle Vernon s'arrêta devant Harry et parla.

- J'ai changé d'avis, dit-il.
- Quelle surprise, dit Harry.
- Ne prends pas ce ton la… commença tante Petunia avec une voix aiguë, mais Vernon Dursley lui fit signe de se taire.
- C’est un tas de baratin, dit oncle Vernon, lançant à Harry des regards furieux depuis ses petits yeux porcins. " J'ai décidé de ne pas en croire un mot. Nous restons ici, nous n’irons nulle part. "

Harry leva les yeux vers son oncle et senti un mélange d'exaspération et d'amusement. Vernon Dursley avait changé d'avis toutes les vingt-quatre heures depuis les quatre dernières semaines, chargeant et déchargeant et rechargent la voiture à chaque changement d’humeur. Le moment préféré de Harry avait été quand oncle Vernon, ignorant que Dudley avait ajouté ses haltères à sa valise depuis la dernière fois qu’il avait remplie, avait essayé de la hisser dans le coffre et s'était effondré avec un jappement de douleur et un paquet de jurons.

- Selon toi, dit Vernon Dursley réarpentant maintenant la pièce de long en large, nous - Pétunia, Dudley, et moi - sommes en danger. – A cause de, de…
-…d'une partie des gens de " mon espèce " ? dit Harry
- Bien je ne le crois pas, répéta oncle Vernon, faisant encore une halte devant Harry. Je suis resté réveillée la moitié nuit, à réfléchir, et je crois que c'est un complot pour obtenir la maison.
- La maison ? Répéta Harry. Quelle maison ?
- Cette maison ! s’écria oncle Vernon, la veine de son front commençant à palpiter. Notre maison ! Les prix de logements montent en flèche dans les environs ! Tu nous veux à l'écart pour faire un peu d'abracadabra et avant que nous le sachions, les contrats seront a ton nom…
- T’as perdu la tête ? demanda Harry. Un complot pour avoir cette maison ? Es-tu vraiment aussi stupide que tu y parais ?
- Je te défends…! Couina tante Pétunia, mais encore une fois l’oncle Vernon lui fit signe de se taire. Les insultes dans leur aspect personnel n’étaient apparemment rien comparées au danger qu’il avait repéré.
- Juste au cas où vous oublieriez, dit Harry, j'ai déjà une maison que mon parrain m’a légué. Alors pourquoi je voudrais celle-la ? Pour les bons souvenirs ?
Il y eu un silence. Harry pensa qu'il avait plutôt impressionné son oncle avec cet argument.
- Tu prétends, dit oncle Vernon, commençant à faire les cents pas encore une fois, que ce Lord machin -
- Voldemort, dit Harry qui s’impatientait, et nous avons abordé ce sujet environ cent fois déjà. Ce n'est pas ce que je prétend, c’est un fait. Dumbledore vous l’a dit l’année dernière, et Kingsley et M. Weasley -

Vernon Dursley voûta ses épaules de colère, et Harry devina que son oncle essayait de chasser les souvenirs de la visite inattendue, quelques jours pendant les vacances d'été de Harry, de deux sorciers pleinement adulte. L'arrivée sur le seuil de Kingsley Shacklebolt et d'Arthur Weasley était apparu comme choc le plus désagréable pour les Dursleys. Harry dû admettre cependant qu’il ne pouvait pas s’attendre a ce que la réapparition de M. Weasley, qui avait par le passé démoli la moitié de la salle de séjour, détende oncle Vernon.

- Kingsley et M. Weasley l'ont expliqué tout aussi bien, poursuivit Harry impitoyablement, une fois que j'aurai dix-sept ans, le charme protecteur qui me garde sauf sera rompu, et cela vous expose autant que moi. L'ordre est sûr que Voldemort vous prendra pour cible, pour vous torturer pour essayer de découvrir où je suis, ou parce qu'il pense qu’en vous prenant en otage je viendrais et j’essayerais pour vous sauver.

Les yeux de Harry et de oncle Vernon se croisèrent. Harry était sûr qu’en cet instant il était tous deux en train de se demander la même chose. Dès lors oncle Vernon se remit en marche et Harry repris.

- Vous devez vous cacher et l'ordre veut aider. Il vous est offert une sérieuse protection, la meilleure qui soit.
Oncle Vernon ne dit rien mais continua à faire les cents pas. Au dehors le soleil était bas à l’horizon au dessus des haies de Privet Drive. La tondeuse du voisin s’arrêta de nouveau.

- Je pensais qu’il y avait un ministère de la magie ? demanda Vernon Dursley abruptement.
- Il y en a un, dit Harry, étonné.
- Bien, alors, pourquoi ne peuvent-ils pas nous protéger ? Il me semble, en tant que victimes innocentes, coupables de rien plus que l’hébergement d’un homme marqué, nous devons bénéficier de la protection du gouvernement !

Harry ri ; il ne pourrait pas s'aider. Il était tellement typique de la part de son oncle de remettre ses espoirs dans la fonction publique, même si c’est dans le monde qu'il dédaigne et dont il se méfit.

- Vous avez entendu quel M. Weasley et Kingsley ont dit, répondit Harry. Nous pensons que le ministère a été infiltré.
Oncle Vernon marcha de nouveau vers la cheminée et il respira si fortement que sa grande moustache noire ondula sur sa face encore rouge de concentration.
- Bien, dit-il, s arrêtant devant Harry encore une fois. Très bien, disons que pour le plaisir de la discussion nous acceptons cette protection. Je ne vois toujours pas pourquoi nous ne pouvons pas avoir ce type Kingsley.

Harry était parvenu à ne pas rouler les yeux, mais avec la difficulté. Cette question avait également été posée une demi-douzaine de fois.

- Parce que je vous l’ai dit, dit-il les dents serrées, Kingsley protège le mol.. je veux dire, votre premier ministre.
- Exactement - il est le meilleur ! dit oncle Vernon, se dirigeant vers l'écran blanc de télévision. Les Dursleys avait repéré Kingsley pendant les nouvelles, marchant au côté du premier ministre moldu pendant qu'il visitait un hôpital. Ceci, et le fait que Kingsley avait maîtrisé le talent de s'habiller comme un Moldu, pour ne pas mentionner un certain côté rassurant dans sa voix lente et profonde, faisaient se comporter les Dursleys avec Kingsley d'une manière dont elles ne l'auraient certainement jamais fait avec aucun autre sorcier, bien qu'il ait été vrai qu'ils ne l’avait jamais vu avec sa boucle d’oreille.
- Bien, il est pris, dit Harry. Mais Hestia Jones et Dedalus Diggle sont plus qu’au point dans ce travail…
- Si on avait pu voir les CVs… commença oncle Vernon, mais Harry perdit patience. Se levant, il avança vers son oncle, ne se dirigeant pas vers l'ensemble TV lui-même.
- Ces accidents ne sont pas des accidents – les crashs et les explosions et les déraillements et quel que soit ce qui s'est produit depuis que nous avons vu pour la dernière fois les nouvelles. Des gens disparaissent et meurent, et il est derrière tout ça - Voldemort. Je vous répète ça pour énième fois : il tue des Moldus pour s’amuser. Même le brouillard - ils est provoqué par des détraqueurs, et si vous ne pouvez pas vous rappeler ce qu’ils sont, demandez à votre fils !

Les mains de Dudley jaillirent pour se mettre devant sa bouche. Sous le regard de ses parents et celui de Harry, il les abaissa lentement encore et demanda, " il y en a…plus que ça ?

- Plus ? Harry ri. Plus que les deux qui nous ont attaqués, tu veux dire ? Naturellement il y a les centaines, peut-être même des milliers ces temps ci, voyant à mesure qu’ils s’alimentent de la crainte et du désespoir.
- Bien, bien, fanfaronna Vernon Dursley. Tu marques un point …
- J’espère bien, dit Harry, parce qu'une fois que j'aurais dix-sept ans, tous les mangemorts, les d »traqueurs, peut-être même les Inferis - ce qui signifie les corps morts envoûtés par un sorcier du mal - seront capable de vous trouver et vous attaqueront certainement. Et si vous vous rappelez la dernière fois où vous avez essayé de vous opposer à des sorciers, je pense vous conviendrez que vous avez besoin d'aide.

Il y avait un bref silence dans lequel l'écho éloigné de Hagrid fracassant une porte d’entrée en bois semblait se répercuter au cours des années qui s’étaient écoulées entre-temps. Tante Pétunia regardait oncle Vernon ; Dudley regardait fixement chez Harry. Enfin oncle Vernon laissa échapper,

- Mais qu’en est-il de mon travail ? Qu’en est-il de l'école de Dudley ? Je ne pense pas que se genre de chose importe a une bande de sorciers feignants -
- Vous ne comprenez pas ? Cria Harry. Ils vous tortureront et vous tueront comme ils l’ont fait avec mes parents !
- Papa, dit Dudley dans une voix forte, papa - je vais avec ces personnes de l’ordre.
- Dudley, dit Harry, pour la première fois de ta vie, tu dis quelque chose de censé.

Il a su que la bataille était gagnée. Si Dudley était assez effrayé pour accepter l'aide de l'ordre, ses parents l'accompagneraient. Il ne pouvait être question d’être séparés de leur dudlouney. Harry jeta un coup d'oeil sur la pendulette au dessus de la cheminée.

- Ils seront là d’ici cinq minutes, dit-il et au moment un des dursley allait répondre, il quitta la pièce. La perspective du départ - probablement pour toujours - de sa tante, de son oncle, et de son cousin était quelque chose qu’il pouvait contempler gaiement mais il flottait néanmoins une certaine gène dans l’air. Que diriez-vous a quelqu’un au bout de seize ans d’aversion ?
De retour dans sa chambre, Harry tripota distraitement son sac à dos puis pris deux noix pour hibou et les lança à travers les barreaux de la cage d’Hedwige. Ils tombèrent dans un son mat au fond de sa cage où elle les ignora.

- Nous partirons bientôt, vraiment bientôt, lui dit Harry. Et alors tu pourras voler de nouveau.
La sonnette tinta. Harry hésita, puis sortit de sa chambre et dévala les marches. Il était trop tôt pour s'attendre à ce que Hestia et Dedalus fassent face au Dursleys tous seuls.
- Harry Potter ! Glapi une voix excitée, au moment où Harry avait ouvert la porte ; un petit homme avec un chapeau mauve qui se courba d’une basse révérence. " Un honneur comme toujours ! "

- Merci, Dedalus, dit Harry, accordant un petit sourire embarrassé vers la sombre chevelure d’Hestia. C’est vraiment bien de votre part de faire ça… Ils sont part là, ma tante et oncle et cousin… "
- Bonjour à vous, les parents de Harry Potter ! " dit Dedalus arpentant joyeusement la salle de séjour. Les Dursleys n’avaient pas l’air ravis d’être appelés de cette manière ; Une partie d’Harry avait attendu un autre changement de comportement. Dudley se resserra tout prés de sa mère à la vue de la sorcière et du sorcier.
- Je vois que vous êtes préparés et prêts. Excellent ! Le plan, comme vous l’a dit Harry, est simple, dit Dedalus, sortant une énorme montre de poche hors de son gilet et l'examinant. Nous partirons avant Harry. En raison du danger d'utiliser la magie dans votre maison - Harry n’ayant toujours pas l’âge requis cela pourrait fournir au Ministère une excuse pour l'arrêter - nous conduirons par exemple pendant 20 kilomètres avant de disparaître vers l'endroit sûr que nous avons sélectionné pour toi. Vous savez conduire, je présume ? demanda-t-il poliment à oncle Vernon.
- Savoir quoi ? Evidement que je sais conduire ! Cracha l’oncle Vernon.
- Quelle intelligence, monsieur, quelle intelligence. Je serais personnellement serais tout à fait déboussolé par tous ces boutons et les boutons et manette, dit Dedalus. On avait clairement l’impression qu’il était en train de flatter Vernon Dursley, qui perdait visiblement confiance du plan à chaque mot de Dedalus.
- Ne peut pas même conduire, murmura-t-il dans un souffle, sa moustache ondulant avec indignation, mais heureusement ni Dedalus ni Hestia ne sembla l'entendre.
-Toi, Harry, continua Dedalus, " attends ici sur tes gardes. Il y a eu un changement dans l’organisation …
- Que voulez-vous dire ? dit Harry immédiatement. Je croyais que Fol-Oeil devait venir et me prendre par le transplanage d’escorte.
-Peut pas l’faire, dit Hestia laconiquement, Fol-Oeil t’expliquera.

Les Dursleys, qui avait tout écouté avec des regards d'incompréhension totale sur leurs visages, sursautèrent lorsqu’il qu’une voix sonore s’écria, " dépêchez-vous ! " Harry regarda tout autour de la pièce avant de réaliser que la voix provenait de la montre de la poche de Dedalus.

- Tout est bien, on est dans un programme très serré, dit Dedalus inclinant la tête vers sa montre et la remettant de nouveau dans son manteau. " Nous essayons de synchroniser ton départ de la maison avec la disparition de ta famille, par conséquent Harry lorsque le charme se rompra, tu sera en sûreté. Il se tourna vers les Dursleys, tout est emballé vous êtes prêts a y aller ?
Aucun d’eux ne lui répondît. Oncle Vernon regardait toujours fixement le renflement de la poche de Dedalus.

- Peut-être devrions-nous attendre dehors dans le hall, Dedalus, murmura Hestia. Elle avait clairement sentit qu’il serait dépourvu de tact qu’ils restent dans la pièce pendant qu’Harry et les Dursley échangeraient leur amour et leurs adieux déchirant.
- C’est pas la peine, murmura Harry, mais oncle Vernon rendu toute autre explication inutile en s’exclamant,
- bien, c'est au revoir mon garçon.

Il leva son bras droit pour serrer la main de Harry, mais au dernier moment sembla incapable de lui faire face, et ferma simplement son poing et qu’il commença a balancer d’avant en arrière comme un métronome.

- Prêt, Diddy ? demanda Petunia, vérifiant de manière confuse l'agrafe de son sac à main afin d'éviter d’avoir à regarder Harry.

Dudley ne répondit pas mais se tint là, sa bouche légèrement entrebâillée, rappelant à Harry le géant, Graup.

- Allez maintenant, dit oncle Vernon.

Il avait déjà atteint la porte de la salle de séjour quand Dudley marmonna, - je ne comprends pas.

- Qu’est ce que tu ne comprends pas, Popkin ? demanda Pétunia levant les yeux vers son fils.

Dudley souleva une grande main, telle un jambon pour se diriger vers Harry.

- Pourquoi ne vient-il pas avec nous ?

Oncle Vernon et tante Pétunia se figent sur place regardant fixement Dudley comme s'il venait juste d’exprimer le désir de devenir une ballerine.

- Quoi ? dit Vernon d’un ton fort.
- Pourquoi ne vient-il pas aussi ? demanda Dudley.
- Bien, - il ne le veut pas, dit l’oncle Vernon, jetant à Harry un regards menaçant et ajouta, tu ne le veux pas n’est-ce pas ?
- Pas le moins du monde, dit Harry.
- Voilà, dit l’oncle Vernon à Dudley. Maintenant nous sommes parti.

Il sortit de la pièce. Ils entendirent la porte d’entrée s’ouvrir, mais Dudley ne bougea pas d’un pouce et après quelque pas hésitants Pétunia s’arrêta aussi.

- Qu’est ce qu’il y a maintenant ? Aboya l’oncle Vernon, réapparaissant sur le pas de la porte.

Il semblait que Dudley luttait avec des idées trop difficiles à mettre en mots. Après plusieurs minutes de lutte interne apparement douloureuse il dit, mais où va-t-il aller ?
Tante Pétunia et oncle Vernon échangèrent des regards. Il était clair que Dudley les effrayait. Hestia Jones rompit le silence.

- Mais… vous savez sûrement où va votre neveu ? demanda-t-elle semblant déconcertée.
- Certainement nous le savons, dit Vernon Dursley. Il est en contact avec une partie des gens de votre espèce, n'est-ce pas ? Très bien, Dudley, va à la voiture, tu a entendu l'homme, nous sommes pressées.

Une fois encore, Vernon Dursley marcha jusqu’à la porte d’entrée, mais Dudley ne suivit pas.

- En contact avec une partie de " notre espèce " ?
Hestia sembla outragée. Harry avait déjà été confronté à l’attitude de sorcières et sorciers qui semblait étonné que la famille encore vivante de Harry ait si peu d’intérêt pour le célèbre Harry Potter.
- Ca va, la rassura Harry. Ce n’est pas grave, honnêtement.
- Pas grave? Répéta Hestia, sa voix s’élevant considérablement. Ces personnes ne réalisent-elles ce que tu as traversé ? Dans quel danger tu es ? La position unique que tu tiens au sein du mouvement anti-Voldemort ?
- Heu - non, ils ne la savent pas, dit Harry. Ils pensent je suis un gaspillage d’espace, en fait j’ai l’habitude…
- je ne pense pas que tu es un gaspillage d'espace

Si Harry n'avait pas vu le mouvement des lèvres de Dudley, il ne l’aurait pas cru. Il regarda fixement Dudley pendant plusieurs secondes avant d'accepter le fait que c’était son cousin qui avait parlé ; pour fait, Dudley rougit. Harry était embarrassé et étonné.

- Bien… heu… merci, Dudley.
De nouveau, Dudley sembla s'attaquer a des pensées trop difficiles à mettre en mot avant de marmonner,
-tu m’as sauvé la vie,
- pas vraiment, dit Harry. C’était ton âme que le Détraqueur aurait prise.

Il regarda curieusement son cousin. Ils n'avaient eu pratiquement aucun contact pendant cet été ou le dernier, alors qu’Harry retournait à Privet Drive si brièvement et qu’il s’enfermait dans sa chambre. Maintenant, il vint à l’esprit de Harry que la tasse de thé froid sur laquelle il avait marché ce matin n’avait peut être pas été un piège du tout. Bien que plutôt touché il fut néanmoins soulagé que Dudley sembla avoir épuisé sa capacité à exprimer ses sentiments. Après avoir ouvert sa bouche une fois ou deux fois plus, Dudley écarlate garda le silence.
Tante Pétunia éclatât en sanglots. Hestia Jones lui jeta un regard d’approbation qui se changea en outrage pendant que tante Petunia courrait embrasser Dudley au lieu de Harry.

- S-si bon, Duddlounet… sanglota-elle contre sa massive poitrine. t-tellement adorable g-garçon… d-disant merci…
- Mais il n'a pas dit merci du tout ! S’indigna Hestia. Il a seulement dit qu’il ne pensait pas que Harry était un gaspillage d'espace!
- Ouais mais venant de Dudley c’est comme un " je t'aime, " dit Harry, déchiré entre l'ennui et un désir de rire pendant que tante Pétunia continuait à prendre Dudley comme s’il venait juste de sauver Harry d’un bâtiment en feu.
- On y va ou pas ? Hurla l’oncle Vernon, réapparaissant encore une fois à la porte de salle de séjour. Je croyais que nous avions un programme serré!
- Oui - oui, on arrive, dit Dedalus Diggle, qui avait observé la scène d’un air perplexe et qui semblait maintenant se recomposer. Nous ne devons pas rester en contact. Harry…
Il s’avance et secoua la main de Harry entre les sienne.
- Bonne chance. J'espère que nous nous rencontrerons encore. Les espoirs du monde de la Magie reposent sur tes épaules.
- Oh, dit Harry, c’est vrai. Merci.
- A bientôt, Harry, dit Hestia étreignant également sa main. Nos pensées t’accompagnent. "
- J’espère que tout ira bien, dit Harry avec un regard vers tante Pétunia et Dudley.
- Oh je suis sûr que nous finirons par être les meilleurs amis du monde, dit Diggle d’une voix légère, agitant son chapeau alors qu’il quittait la pièce. Hestia le suivi.

Dudley se libéra doucement de l’emprise de sa mère et marcha vers Harry qui dû réprimer l’envie de le menacer avec la magie. Alors Dudley lui tendit sa grosse main rose.

- Mince alors, Dudley, dit Harry alors que Tante Pétunia ravalait ses sanglots, Les Détraqueurs ont-ils insuffler une personnalité différente en toi?"
- Je ne sait pas, marmonna Dudley, Au revoir, Harry.
- Ouais … dit Harry, serrant la main à Dudley. Peut-être. Fait attention, Big D.

Dudley esquissa un sourire. Ils avancèrent lourdement dans la pièce. Harry entendit ses pas lourds sur l’allée couverte de graviers, puis une porte de voiture claquer.
Tante Pétunia dont le visage avait été empêtré dans son mouchoir regarda autour d’elle, après le bruit. Elle ne pas semblait pas avoir pris en compte l’éventualité de se trouver seul avec Harry. À la hâte rangeant son mouchoir humide dans sa poche, elle dit :

- bon - au revoir et se dirigea vers la porte sans le regarder.
- Au revoir dit Harry.

Elle s’arrêta et regarda en arrière. Pendant un moment Harry a eu le sentiment très étrange qu'elle voulait lui dire quelque chose ; Elle lui jeta un regard étrange et timide et sembla sur le point de parler, mais ensuite, avec un peu de sa tête, elle sortit de la pièce après son mari et son fils.

Nous sommes tous des fans d'Harry Potter et nous nous sentons injustement accusés.



Devons-nous accepter d'être considérés comme des criminels alors que notre seul souhait est de pouvoir enfin apprécier la dernière aventure de notre petit sorcier ?



Nous nous sommes tous engagés à acheter le dernier tome dès sa sortie le 26 octobre.



Pourquoi nous montrer du doigt alors que nous n'avons fait que traduire la version originale, achetée bien sûr par la majorité d'entre nous.



Nous devons absolument réagir et venir en aide à ce jeune Aixois.



Une pétition est mise à votre disposition.



N'hésitez pas à la signer et à la diffuser autour de vous.



Les fans vaincront!



lee




http://www.petitiononline.com/Azkaban/petition.html


chapitre 4 les 7 potters

Les 7 potters
(Traduit par yolo)

Harry remonta les escaliers vers sa chambre, arrivant à sa fenêtre juste à temps pour la voiture des Dursley sortir de l’allée et virer vers la rue. Le chapeau de Dedalus était visible entre tante Pétunia et Dudley sur la banquette arrière. La voiture tourna à droite à l'extrémité de Privet Drive, ses fenêtres brûlantes de rouge pendant un moment en coucher de soleil, et puis s’en fut.

Harry pris la cage d’Hedwige, son Eclair de feu, et son sac à dos, jetta à sa chambre anormalement rangée un rapide dernier regard, et puis retourna maladroitement dans le hall, où il déposa la cage, le balai, et le sac près du pied des escaliers. La lumière se diminuait rapidement, le hall rempli d’ombres à la lumière du soir. Il sentait vraiment étrange le fait de rester ici dans le silence alors qu’il était sur le point de quitter cette maison pour la dernière fois. Il y a bien longtemps, quand il avait été laissé seul tandis que le Dursleys sortait pour s'amuser, les heures de solitude avaient été un plaisir rare. Faisant une pause seulement pour dénicher quelque chose de bon dans le réfrigérateur, il s'était précipité en haut des escaliers pour jouer sur l'ordinateur de Dudley, ou pour allumer la télévision et changer de chaîne a son gré. Cela lui donnait un sentiment étrange, de se souvenir de ces moments ; C’était comme se souvenir d’un jeune frère qui se serait perdu.

- Tu ne veux pas jeter un dernier coup d’œil a ce lieu ? demanda Harry à Hedwige, qui boudait toujours, sa tête sous son aile. " Nous ne serons plus jamais ici. Ne veux-tu pas te rappeler de tous les bons moments ? Je veux dire, regarde ce paillasson. Quel souvenir… Dudley a vomi là-dessus après que je l'aie sauvé des Détraqueurs… il s’est avéré être reconnaissant après tout, peux-tu croire ça ? … Et l'été passé, Dumbledore a passé la porte d’entrée…
Harry perdu le fil de ses pensées pendant un moment et Hedwige ne fit rien pour l’aider a se rappeler, mais a continua à se reposer, sa tête sous son aile. Harry tourna le dos à la porte d’entrée.
- Et en dessous de ca, Hedwige - Harry ouvrit une porte sous les escaliers - "c’est là que j'avais l'habitude de dormir ! Tu ne le savais pas - mince alors, c’est petit, j'avais oublié… "
Harry regarda des chaussures et des parapluies empilés, se rappelant comment il avait l'habitude de réveiller chaque matin levant les yeux vers dessous de l'escalier, qui était le plus souvent agrémenté d’une ou deux araignées. Tels avaient été les jours avant qu'il ne découvre sa véritable identité ; avant qu'il ne découvre comment ses parents étaient morts ou pourquoi de telles choses se produisaient tout autour de lui. Mais Harry pouvait encore se rappeler des rêves qui ne le lâchaient pas, même en ces jours : des rêves confus impliquant des flashs de lumière verte et une fois - oncle Vernon avait failli avoir un accident de voiture quand Harry lui avait raconté - une moto volante…

Il y eu soudain un hurlement assourdissant tout près. Harry se redressa en un réflexe et se cogna le dessus de la tête sur l’encadrement de la basse porte. Faisant une pause pour employer quelqu’un des jurons d’oncle Vernon, il chancela vers la cuisine, saisissant sa tête et regardant fixement par la fenêtre dans le jardin de derrière.

L'obscurité sembla onduler, l'air lui-même vibrait. Puis, un par un, des visages commencèrent a apparaître pendant que leur Charme de Désillusion se dissipait. Hagrid dominait la scène, portant un casque et des lunettes et chevauchant une énorme moto possédant un side-car noir. Tout autour de lui d'autres descendaient des balais et, dans deux cas, de chevaux noirs aux ailes squelettiques.

Ouvrant la porte arrière a la volée, Harry se précipita au milieu. Il y eu un cri général de la salutation alors qu’Hermione se jetait ces bras autour de lui, Ron lui donna une claque dans le dos, et Hagrid dit,

- tout va bien, Harry ? Prêt pour l’décolage ?
- Sans aucun doute, dit Harry, rayonnant autour d’eux. Mais je ne m’attendais pas à ce que vous soyez autant !
- changement de plan, grogna Fol-Oeil, qui portait deux que énormes sacs, et dont l'oeil magique tournait du ciel qui s’obscurcissait, à la maison, au jardin avec une étourdissante rapidité. Allons a couverts avant d’aborder la sujet.

Harry les ramena vers la cuisine où, riant et plaisantant, ils prirent place sur les chaises, s’assirent sur le sol brillant de Tante Pétunia, ou s’appuyèrent contre les surfaces de travail immaculées ; Ron, grand et dégingandé ; Hermione, ses cheveux touffus réunis en arrière en une épaisse et longue tresse ; Fred et George, souriant identiquement ; Bill, méchamment marqué et avec ses long cheveux ; M. Weasley, au regard bienveillant, a la calvitie naissante, ses lunettes peu un de travers ; Fol-Oeil, usé par les batailles, unijambiste, son oeil magique bleu lumineux sifflant dans son orbite ; Tonks, dont les cheveux courts portaient sa nuance préférée un rose vif ; Lupin, grisonnant, plus ridé ; Fleur, mince et belle, avec ses longs cheveux blonds argentés ; Kingsley, chauve et large d’épaule ; Hagrid, avec ses cheveux et sa barbe hirsute, plié en deux pour éviter de se cogner la tête au plafond ; et Mondingus Fletcher, petit, sale, et honteux, avec les yeux et les cheveux emmêlés de son chien de chasse percé en vrille abaissé. Cela réchauffa le cœur de Harry qui rougissait a vue : Il se senti incroyablement bien au milieu de tous, même de Mondingus, qu’il avait essayer d’étrangler la dernière fois qu’il l’avait vu.

- Kingsley, je croyais que vous vous occupiez du premier ministre de Moldu ? Lanca-t-il a travers la pièce.
- Il peut tenir une nuit sans moi, dit Kingsley, tu es plus important.
- Harry, devine quoi ? dit Tonks perchée sur la machine à laver, et elle agita sa main gauche vers lui ; une bague y scintillait.
- Vous vous êtes marié ? jappa Harry, regardant tour à tour lupin et elle.
- Je suis désolé que tu n’ai pas pu être la, Harry, c’était vraiment discret
- C’est génial, félici...
- bien, bien, nous aurons du temps les étreintes plus tard, hurla Maugrey au-dessus du remue-ménage, et le silence retomba dans la cuisine. Maugrey laissa tomber ses sacs à ses pieds avant de se tourner vers Harry.
- Comme Dedalus te l’a sûrement dit, nous avons dû abandonner le plan A. Pius Thicknesse s’en est allé, ce qui nous pose un sacré problème. Il a commis une infraction condamnable pour relier cette maison au réseau de Cheminées, placer un Porte-au-loin ici, ou Transplaner ça et là. Tout ceci fait au nom de ta protection, pour empêcher Tu-Sais-Qui de s’en prendre a toi. Absolument injustifié, puisque le charme de ta mère le faisait déjà cela. Tout ce qu’il a réussi à faire c’est de nous empêcher de sortir d’ici sain et sauf.
- Deuxième problème tu n’a pas l’âge requis, ce qui veut dire qu’il y a une Marque sur toi
- Je n’ai pas…
- Une Marque, une Marque ! S’impatienta Maugrey. Le charme qui détecte toute activité magique chez les moins de dix sept ans, la façon dont le ministère découvre une utilisation illégale de la magie ! Si toi, ou n'importe qui autour de toi, lance un sort pour partir d’ici, Thicknesse le saura, ainsi que les mangemorts. Nous ne pouvons pas attendre la Marque se lève, parce qu’au moment ou tu aura 17ans tu perdra la protection magique de ta mère. En bref, Pius Thicknesse pense qu'il t’aura d’une façon ou d’une autre.
Harry ne pouvait pas aider mais était d’accord avec l’inconnu Pius Thicknesse.
- Alors qu’est ce qu’on va faire ?
- Nous allons employer les seuls moyens de transport qu’il nous reste, les seuls que la Marque ne peut pas détecter, parce que nous n'avons pas besoin de formule magique pour les utiliser : les balais, les sombrals, et la moto de Hagrid.

Harry pouvait voir des failles dans ce plan ; cependant, il tint sa langue pour donner a Fol-Œil une chance de s’expliquer.

- A présent, le charme de ta mère se brisera seulement à deux conditions : quand tu atteindra l'âge, ou " - Maugrey gesticula dans la parfaite cuisine – tu n’appellera plus cette endroit ta maison. Toi et ta tante et ton oncle avaient pris des chemins diffèrent ce soir et ce en sachant pertinemment que vous ne vivrez plus jamais ensemble, correct ? "

Harry acquiesça.

- Ainsi cette fois, quand tu partiras il n’y aura pas de retour possible et le charme se brisera au moment ou tu quitteras cet endroit. Nous avons choisi de le rompre plus tôt, parce que l'autre alternative consiste à attendre Tu-sais-qui et qu’il te prenne le jour de tes Dix sept ans.
- La seule chose qui est de notre coté est que Tu-sais-qui ne sait pas où est ce que nous allons ce soir. Nous avons laissé de fausses piste au ministère : Ils pensent que tu ne partira pas avant le 30. Cependant, c'est de Tu-sais-qui dont nous parlons, ainsi on ne peut pas compter sur de fausse dates pour le dupper ; il laissera un couple des mangemorts patrouiller dans le ciel dans le secteur, juste au cas où. Ainsi, nous avons donné à une douzaine de maison différentes toutes les protections qu’il était possible de leur attribuer. Elles ressemblent toutes a un endroit ou on pourrait te cacher, et elles ont toute une certaine protection faites par l’Ordre: ma maison, celle de Kingsley, de tantine Muriel de Molly – ca te donne une idée.
- Ouais, dit Harry, pas entièrement sincère, parce qu'il voyait encore une faille dans le plan.
- Tu ira chez les parents de Tonks. Une fois que tu dans les limites des sortilèges protecteurs que nous avons installé autour de leur maison tu pourra utiliser un porte-au-loin vers le Terrier. Des questions ?
- Heu - oui, dit Harry. Peut-être qu’ils ne sauront pas dans laquelle des douze maisons sécurisées je me dirigerais en premier, mais ne serait-ce pas évident par la suite – dit-il rapidement - quatorze d’entre nous en train de voler vers la maison de Tonks ?
- Ah, dit Maugrey, " j'ai oublié de mentionner le point clé. Quatorze de entre nous ne voleront pas vers les parents de Tonks. Il y aura sept qui Harry Potter qui se déplaceront dans le ciel ce soir, chacun d’eux avec un compagnon, chaque paire se dirigeant vers une maison sécurisée différente. "

De l'intérieur de son manteau Maugrey avait maintenant retiré un flacon de quelque chose qui ressemblait a de la boue. Il n'y au aucun besoin d’ajouter quoique ce soit d’autre ; Harry compris le reste du plan immédiatement.

- Non ! dit-il d’une voix forte, sa voix se répercutant dans la cuisine. Pas moyen !
- Je lui ai dit que tu le prendrais de cette manière, dit Hermione avec air de satisfaction.
- Si vous pensez que je vais laisser six personnes risquer leurs vies -- ! " - parce que c’est la première fois pour nous, dit Ron.
- C'est différent, de feindre d'être moi …
- bien, aucun de nous ne se déguise vraiment, Harry, dit Fred sincèrement. Imagine si quelque chose tournait mal et nous que étions coincés pour toujours en tant que débile marqué et maigre.

Harry ne sourit pas.

- Vous ne pouvez pas le faire si je ne coopère pas, vous avez besoin de moi pour vous donner quelques cheveux.
- Bien, c'est là que le plan tombe à l’eau, dit George. " Evidemment il n'y a aucune chance du tout pour qu’on obtienne quelque cheveux a moins que tu coopères. "
- Ouais, nous treize contre un type qui n’a pas le droit d’utiliser la magie ; on n’a aucune chance, dit Fred.
- Très Drôle, dit Harry, vraiment marrant.
- Si on doit le prendre de force alors, ce sera fait, grogna Maugrey, son oeil magique tremblant maintenant un peu dans son orbite alors qu’il jetait des regards furieux à Harry. Chaque personne de cette pièce a le bon âge, Potter, et ils sont tous prêt à prendre le risque.
Mondingus gesticula et grimaça ; l'oeil magique tournant deriere la tête de Maugrey pour le voir.
- Nous n’avons plus le temps de discuter. Le temps ne nous attend pas. Je veux quelques uns de tes cheveux, mon garçon, maintenant.
- Mais c'est fou, il n’y a pas besoin..
- Pas besoin ! Gronda Maugrey. Avec Tu-sais-qui dehors et la moitié du ministère de son côté ? Potter, si nous sommes chanceux il aurons gober les fausses pistes et projetteront de t’attirer dans un guet-apens le 30, mais il serait fou de ne pas avoir mis un ou deux mangemorts pour garder un œil sur toi, moi c’est ce que je ferais. Ils ne pourraient probablement pas t’avoir dans cette maison alors que le charme de ta mère se tient, mais il est sur le point de se rompre et ils connaissent la position approximative de ce lieu. Notre seule chance est d'utiliser des leurres. Même Tu-Sais-qui ne peut pas se diviser en sept.

Harry croisa le regard d’Hermione et détourna les yeux immédiatement.

- Alors, Potter – quelque uns de tes cheveux, s’il te plait.

Harry jeta un coup d'oeil a Ron, qui se tordit en une sorte d’expression de " fait-ce-qu’il-demande "

- Maintenant ! Hurla Maugrey.

Avec tous les regards posés sur lui, Harry leva sa main vers sa tête, saisis une touffe de cheveux, et tira.

- Bien, dit Maugrey, boitant en avant pendant qu'il tirait le bouchon du flacon de potion. Directement dedans, s’il te plaît.

Harry laissa tomber les cheveux dans le liquide boueux. Au moment ou ils entrèrent en contact avec la surface, la potion commença à mousser et à fumer, puis, d'un coup, pris une couleur or lumineuse.

- Ooh, tu semble avoir meilleur gout que Crabbe et Goyle, Harry, dit Hermione, avant de capter le mouvement des sourcils de Ron, s’empourprant légèrement, ajouta, Oh, vous voyez ce que veux dire je… La potion de Goyle avait un goût monstrueux.
- Très bien, les faux Potter en ligne de ce coté ci sil vous plaît, dit Maugrey.

Ron, Hermione, Fred, George, et Fleur s’alignèrent devant l'évier brillant de tante Pétunia.

- Il en manque un, dit le lupin.
- Ici, dit Hagrid d’un ton bourru, et il souleva Mondingus de terre par la peau du cou et le laissa tombé près de Fleur, qui fronça le nez ostensiblement avant de longer la rangée pour prendre place entre Fred et Georges.
- Je suis un soldat, je serais bientôt un protecteur, dit Mondingus.
- Ferme-la, grogna Maugrey. Je t’ai deja dit, espèce de mollusque, que chaque mangemort sur lequel nous tomberons seront autoriser a capturer Potter non a le tuer. Dumbledore a toujours dit que Tu-Sais-Qui voudrait en finir avec lui en personne. Ce seront les protecteurs qui devront le plus s’en inquiéter, les mangemorts voudront les tuer.

Mondingus n'eu pas l’air particulièrement rassuré, mais Maugrey tirait déjà une demi-douzaine de verre de la taille de coquetier de l'intérieur de son manteau, qu'il distribua, avant de verser un petit peu de Polynectar dans chacun.

- tous ensemble, maintenant…

Ron, Hermione, Fred, George, Fleur, et Mondingus en burent leur potion. Tous haletèrent et ont grimacèrent pendant que la potion descendait dans leurs gorges ; Immédiatement, leurs traits commencèrent à bouillonner et à se tordre comme de la cire chaude. Hermione et Mundungus étaient en train de grandir ; Ron, Fred, et George rétrécissaient ; leurs cheveux s’obscurcissant, ceux d’Hermione et Fleur se tiraient vers l'arrière de leurs crânes.
Maugrey, tout à fait insouciant, détachait maintenant les liens des grands sacs apportés avec lui. Quand il se redressa, il y avait de six que Harry Potter haletant devant lui.

Fred et George se tournèrent l’un vers l’autre et dirent ensemble, Wow - nous sommes identiques !

- Sais pas, mais, j’crois quand être encore le plus beau, dit Fred, examinant son reflet dans la bouilloire.
- Bah, dit Fleur, se contemplant dans la porte du micro-onde, Bill, ne me regarde pas - je suis affreuse.
- Ceux dont les vêtements sont trop grands, j'en ai de plus petit ici, dit Maugrey, indiquant le premier sac, et vice-versa. N'oubliez pas les lunettes, il y en a six paires dans la poche latérale. Et quand vous serez habillés, il y a des bagages dans l’autre sac.

Le vrai Harry pensa que ceci pourrait être la chose la plus bizarre qu'il ait jamais vue, et il en avait vu des choses étranges. Il observé comme ses six conspires fouiller dans les sacs, retirer des ensembles de vêtements, mettre des lunettes, retirant leurs propres affaires. Il faillit leur demander de montrer peu plus de respect pour son intimité pendant qu'ils tous commençaient a se déshabiller avec impunité, clairement plus à l'aise à montrer son corps qu'ils l’auraient été avec le leurs.

- Je savais que Ginny mentait au sujet de ce tatouage, dit Ron, regardant vers le bas son dos nu.
- Harry, ta vision est vraiment terrible, a dit Hermione, car elle avait mis ses lunettes.
Une fois habillés, les faux Harrys faux prirent leurs sacs à dos et leur cage de hibou, chacune contenant un hibou blanc-neige, depuis le deuxième sac.
- Bien, dit Maugrey, aux sept habillés, prêts, et tenant leur bagages. Les couples seront comme suit : Mondingus voyagera avec moi, par balai…
- pourquoi' lui et pas moi ? Grogna Harry le plus près la porte arrière.
- Parce que tu es le seul qui doit être surveillé, grogna Maugrey, et assez sur, que son œil magique ne quittait pas Mondingus alors qu’il continuait "Arthur and Fred…
- Je suis George, dit le jumeau que pointait Maugrey. Vous ne pouvez même pas nous différencier quand nous sommes Harry ?
- Désolé, George…
- J’plaisante, je suis Fred vraiment…
- Assez ! Gronda Maugrey." L'autre - George ou Fred ou peut importe lequel des deux - tu seras avec Remus. Mlle Delacour …
- je prends Fleur sur un sombral, dit Bill. " Elle n'est pas très adeptes des balais..
Fleur se dirigea près de lui, lui adressant un regard mielleux et servile que Harry espéra de tout ne plus jamais voir apparaître sur son propre visage.
- Mlle Granger avec Kingsley, encore sur un sombral….
Hermione sembla rassurée pendant qu'elle rendait son sourire à Kingsley ; Harry su aussi qu’Hermione aurait manqué de confiance sur un manche à balai.
- Ce qui te laisse avec moi, Ron ! dit Tonks brillamment, frappant un support de tasse alors qu’elle allait vers lui.

Ron ne paraissait pas aussi heureux qu’Hermione.

- Et toi avec moi, Harry. Ca te va ? dit Hagrid, paraissant un peu anxieux. Nous serons sur la moto, les balais et les sombrals ne peuvent pas me prendre, tu comprends. Ya pas beaucoup d’place sur le siège avec moi donc tu seras dans le side-car.
- C’est bien, dit Harry, pas tout à fait sincèrement.
- Nous pensons que les mangemorts s'attendront à ce que tu sois sur un balai, dit Maugrey, qui sembla deviner ce que Harry ressentait. Rogue a eu tout le loisir de tout leur dire à ton sujet et qu’il n’avait jamais dit avant , ainsi si nous rencontrons par hasard des mangemorts, nous parions qu'ils s’en prendrons à un Potter qui voyage sur un balais. Bien, après il continua ramassant tous les vêtements des faux Potter dans ses sacs et se dirigeant vers la porte arrière, il reste 3 minutes avant que nous soyons supposés partir. Pas question de fermer la porte arrière, ça n’empêchera pas les mangemorts d’entrer quand ils viendront jeter un coup d’oeil. Aller… "

Harry se dépêcha de prendre son sac a dos, la cage d’Hedwige, son éclair de feu et suivi le groupe dans le sombre arrière jardin.

De chaque côté des balais sautaient dans les mains ; Hermione était aidé a monté sur le grand sombral par Kingsley, Fleur sur l'autre par Bill. Hagrid se tenait prêt, à côté de la moto, lunettes mises.

- Est-ce que c’est elle ? La moto de Sirius ?
- Elle même, dit Hagrid, rayonnant se penchant vers Harry. Et la dernière fois qu’on était dessus, Harry, je pouvais te tenir dans une main !

Harry ne pourrait pas aider et il se sentait humilier en entrant dans le side car. Ca le plaçait à hauteur des pieds de tout le monde : Ron souri d’un air affligé à la vue de Harry s’asseyant comme un enfant dans une auto-tamponneuse. Harry entassa son sac à dos et son balai à ses pieds et cala la cage d’Hedwige entre les genoux. C’était extrêmement inconfortable.

- Arthur a fait un peu d’bricolage, dit Hagrid, tout à fait inconscient du malaise Harry. Il monta sur la moto, qui grinça légèrement et s’enfonça de quelques pouces dans le sol. Elle a quelques tours dans sa manche, ou dans son capot. Ca c’était mon idée. " Il pointa un doigt épais vers un bouton pourpre près du compteur de vitesse.
- Veuillez faire attention, Hagrid, dit M. Weasley, qui se tenait près de eux, tenant son manche à balai. Je ne suis toujours pas sûr que c’est très fiable et ce doit être employé uniquement en cas d’urgences.
- Bien, dit Maugrey. Tout le monde est prêt, svp. Je veux que nous tout le monde parte exactement au même moment ou l’endroit de notre séparation sera perdu.

Tout le monde fit signe de la tête.

- Accroche toi, Ron, dit Tonks, et Harry vit Ron se forcer, lançant un regard coupable à Lupin avant de poser ses main de chaque coté de sa taille. Hagrid démarra sa moto : Elle rugit comme un dragon, et le side-car commença à vibrer.
- bonne chance, tout le mode, cria Maugrey. On se retrouve tous au Terrier dans une heure. A trois. Un… deux. TROIS. "

Il y au un grand rugissement de la moto, et Harry senti le side-car faire une méchante embardée. Ils s’élevaient dans les airs rapidement, ses yeux s’humidifiant légèrement, des cheveux fouettant son visage. Autour de lui les balais montaient aussi ; la longue queue noire d'un sombral se balançait. Ses jambes, bloquées dans le side-car par la cage d’Hedwige et son sac à dos, étaient déjà endolories et s’engourdissaient. Il se sentait si mal qu’il avait même oublié de jeter un dernier coup au 4, Privet Drive. Au moment ou il regarda par-dessus le Side car il n’aurait su dire ou il était.

Et puis, comme sortit de nulle part, ils furent encerclés. Au moins trente visage à capuchon, suspendues entre ciel et terre, formait un vaste cercle au milieu duquel les membres de l’ordre s’élevaient, inconscient - Des cris perçants, une flamme de feu vert de chaque côté : Hagrid cria et fit une embardée. Harry perdu tout sens de l’espace. Des traits de lumière au-dessus de lui, des hurlements autour, il s'accrochait au sidecar pour sa vie. La cage de Hedwige, son éclair de feu, et son sac a dos glissèrent sous ses genoux

- Non- AU SECOUR

Le manche à balai tournoya aussi, mais il parvenu à temps la courroie de son sac à dos et le haut de la cage pendant que la motocyclette se balançait et montait encore. Un deuxième repris, et puis il y eu un éclat de lumière verte. La chouette poussa un cri perçant et tomba au fond de sa cage.

- Non, NON !

La motocyclette bourdonna vers l’avant ; Harry aperçu les mangemorts se disperser lors qu’Hagrid rompait leur cercle.

- Hedwige - Hedwige –

Mais la chouette restait immole, comme un jouet au font de sa cage. Il ne pouvait pas la tirer de la, et sa peur pour les autres était à son apogée. Il jeta un coup d'oeil au-dessus de son épaule et vu une masse des personnes se déplaçant, des flashes de feux verts, deux couples sur des balais descendre en flèche mais avec la distance, il ne pouvait pas dire qui c’était

- Hagrid, nous devons y retourner, nous devons y retourner ! Hurla-t-il au-dessus du hurlement assourdissant du moteur, il tira sa baguette magique, enfonçant la cage d’Hedwige sur le plancher, refusant de croire qu'elle était morte.
- Hagrid, DEMI-TOUR ! "
- Mon travail est de te garder sauf, Harry ! Beugla Hagrid, ouvrant la commande de puissance.
- Stop - STOP ! Cria Harry, mais pendant qu'il regardait encore derrière lui deux jets de lumière verte frôlèrent son oreille gauche : Quatre mangemorts avait briser le cercle pour les poursuivre, visant pour le large dos d’Hagrid. Hagrid fit un écart, mais les mangemorts suivirent la moto ; Il y d’autres sort lancé vers eux, que Harry su éviter en s’enfonçant dans le side car. Se tortillant il cria, " Stupéfix ! " et un jet de lumière rouge venant de sa propre baguette magique fendit l’air vers les quatre mangemorts qui de dispersèrent pour l’éviter.
- Tiens bon, Harry, j’leur réserve ca! " Hurla Hagrid, et Harry eut juste le temps de voir Hagrid appuyer de son doigts épais sur un bouton vert près de la jauge de carburant.

Un mur, un véritable mur noir émergea du pot d’échappement. Tendant le cou, Harry vie qu’il augmenta de taille au milieu du ciel. Trois mangemorts firent un écart pour l’éviter mais le quatrième ne fut pas aussi chanceux ; Il a disparu du champs de vision puis tomba comme un rocher de derrière le mur, son balais en mille morceaux. Un de ses camarades ralenti pour le sauver, mais eux et le mur aéroporté fut englouti par l’obscurité, tandis que Hagrid se penchait sur son guidon et accélérait.

Des jets de lumières mortelles volèrent près de la tête de Harry lancés par les deux mangemorts qui restaient ; ils visaient Hagrid. Harry répondit avec encore plus de sortilège de stupéfixion : Le rouge et le vert entraient en collision dans le ciel dans une douche d’étincelles multicolores, et Harry pensa d'une manière extravagante aux feux d'artifice, et au Moldu au-dessous qui n'aurait aucune idée de ce qui se produisait -

- On recommence, Harry, tiens bon ! Hurla Hagrid, et il enfonça à un deuxième bouton. Cette fois un grand filet émergea de l’échappement de la moto, mais les mangemorts étaient prépares.
Ils firent seulement un écart pour l’éviter, mais le compagnon qui avait ralenti pour sauver leur camarade inconscient les avait rattrapé. Il émergea soudainement hors de l'obscurité et maintenant trois d'entre eux poursuivaient la moto, un tas de maléfices avec
.
- Ca, ca l’fera, Harry, accroche toi bien ! Hurla Hagrid, et Harry le vit appuyer avec sa main entière sur le bouton pourpre près du compteur de vitesse.

Avec un énorme rugissement, le feu de dragon éclata de l'échappement, blanc brûlant et bleu, et la moto crachota avec un bruit de ferraille arrachant. Harry vit les mangemorts faire un écart hors de vue pour éviter la traînée mortelle de la flamme, et en même temps senti le side-car se balancer sinistrement : Ses raccordements en métal a la moto s'étaient brisés avec la force de l'accélération.

- Tout va bien, Harry ! Beugla Hagrid, apparemment maintenant jeté sur le dos par la montée subite de vitesse ; plus personne ne conduisait maintenant, et le side-car commençait à tordre violemment dans le sillage de la moto.
- J’men occupe, Harry, t’inquiètes pas ! Hurla Hagrid, et de la poche intérieur de sa veste il tira son parapluie rose fleuri.

- Hagrid ! Non ! Laissez-moi faire !
- REPARO !

Il y eu un grand bruit assourdissant et le side-car se détacha de la moto complètement. Harry fut expédié en avant, propulsé par l'impulsion du vol de la moto, puis le side-car a commença à tomber ; dans le désespoir Harry dirigea sa baguette magique vers le side-car et cria,

- Wingardium Leviosa !

Le side-car se leva comme un bouchon de bouteille, instable, mais du moins toujours dans les air. Il a eu mais un second cour repris brisé, cependant, par des sorts lancés vers lui : Les trois mangemorts lui collaient au train.

- J’arrive, Harry ! Hurla Hagrid dans l'obscurité, mais Harry pourrait sentir le side-car commencer à chuter encore : Se tapissant aussi bas qu'il pouvait, il se dirigea au milieu des figures approchantes et hurla, " Impedimenta ! "

Le sortilège frappa le mangemort au milieu du dos ; Pendant un moment l’homme tel un oiseau eployé resta au milieu des air comme s’il y avait un mur invisible : Un de ses camarades failli entrer en collision avec lui ; alors le side-car commença à tomber dans le vide, et le mangemort lança un srort si près de Harry qu'il dû pencher au-dessous de la jante de la voiture, se cognant une dent sur le bord de son siège
- J’arrive, Harry, j’arrive!

Une main énorme saisi le dos des vêtement de Harry et le hissa hors du side-car qui tombait; Harry tira son sac à dos et monta par lui même sur le siège de la moto et se trouva dos à dos avec Hagrid. Comme ils montèrent vers le ciel, loin des deux mangemorts restant, Harry cracha le sang hors de sa bouche, dirigea sa baguette vers le side-car en chute, et hurla, " Confringo ! "

Il ressenti une douleur épouvantable et arrachante pour Hedwige alors qu'elle explosait ; le mangemort le plus près tomba de son balai dans le souffle de l’explosion ; son compagnon tomba en arrière et disparu.

- Harry, je suis désolé, je suis désolé, gémit Hagrid, j’aurai pas du essayer de l’reparer moi-même – il n’y a plus d’échappatoire –
- C’est pas un problème, continuons juste a voler ! Cria Harry en arrière, car deux mangemorts supplémentaire émergeait de l’obscurité, se rapprochant.

Alors que les malédiction striait le vide encore une fois, Hagrid fit un écart et zigzagua : Harry su que Hagrid n'oserait pas utiliser le bouton feu-de-dragon encore, avec Harry assis tellement précairement. Harry renvoya sorts de stupefixion après sorts de stupefixion, les tenant à peine à l’écart. Il lança un autre sort de blocage vers eux : Le mangemort le plus proche fit un écart pour l’éviter lui et sa cagoule glissa, et a travers la lumière rouge de son charme de blocage suivant, Harry vit le visage étrangement blanc de Stanley Rocade - Stan -

- Expelliarmus ! Hurla Harry.
- C’est lui, c’est lui, c’est le vrai ! "

Le cri du mangemort a capuchon atteint Harry même au-dessus du tonnerre du moteur de la moto : Un instant après, les deux poursuivants avaient disparu du champ de vision.

- Harry, qu’est ce qui c’est passé ? Beugla Hagrid. Ou sont-ils allés ?
- Je ne sais pas !

Mais Harry avait peur : Le mangemort a capuche avait crié " c’est le vrai ! " ; comment le savait-il ? Il sonda l’obscurité alentour et senti distinctement la menace. Où étaient-ils ?
Il se retourna sur son siège et a saisi la prise du dos de la veste de Hagrid.

- Hagrid, fait le truc du feu-de-dragon encore, partons d'ici !
- Tiens toi bien Harry !

Il y eu un assourdissant, strident rugissement et le feu blanc-bleu explosa de l’échappement : Harry se senti glisser vers l'arrière du peu de siège qu’il avait. Hagrid jeté vers l'arrière sur lui, maintenant à grande peine les poignées du guidon -

- Je crois qu’on les a semé Harry, J’crois qu’on a réussi ! Hurla Hagrid.

Mais Harry n'était pas convaincu ; La crainte le saisissant alors qu'il regardait à gauche et à droite, certain que ses poursuivants viendraient. . . . Pourquoi auraient-ils laissé tombé ? L'un d'entre eux
avait toujours une baguette. . . . C’est lui . . . c’est le vrai. . . Ils l'avaient dit juste après qu'il ait essayé de désarmer Stan. . . .

- Nous y sommes presque, Harry, nous avons presque réussi ! Cria Hagrid.

Harry senti la moto perdre un peu d’altitude, cependant les lumières du sol semblaient toujours distante comme des étroites.

Alors la cicatrice sur se front le brûla comme du feu : pendant qu'un mangemort apparaissait de chaque coté de la moto, deux sortilèges mortels ratèrent Harry de quelques millimètres, tout droit venu de derrière - et alors Harry le vit. Voldemort volait comme de la fumée dans le vent, sans balai ou sombrals, son visage de serpent brillant dans l’obscurité, ses doigts blancs levant encore sa baguette - Hagrid abandonna sa peur et orienta la moto en un piqué vertical. Se cramponnant à sa vie, Harry envoya un sortilège de stupefixion au hasard dans le tourbillonnement de nuit. Il vit un corps voler derrière lui et su qu'il avait frappé l'un d'entre eux, mais alors il a entendit une détonation et vit des étincelles sortir de l’engin ; la moto tournoya dans les airs, complètement hors de contrôle – un jet de lumière verte fut encore envoyé dans leur direction. Harry n'avait pas la moindre idée de s’ils étaient en train de descendre ou monter : Sa cicatrice brûlait toujours ; il s’attendait à tout moment. Un visage encapuchonné sur un balai apparu près de lui, il le vit soulever son bras -

" NON ! "

Avec un cri de fureur Hagrid se balança de la moto sur le mangemort ; à son horreur, Harry vu Hagrid et le mangemort, dégringolant hors de la vue, leurs poids combinés étant trop pour le balai – à peine s’agrippa-t-il a la moto en chute avec ses genou, qu’Harry entendit le cri perçant de Voldemort, " il est à moi"

C'était fini : Il ne pouvait pas voir ou entendre où était Voldemort ; il aperçu un autre mangemort non loin à l'écart et entendit, " Avada - " alors que la douleur de la cicatrice forçait Harry à garder ses yeux fermés, sa baguette magique agit de sa propre initiative. Il senti sa main tirée comme un aimant, vit des jets de feu doré en sortir à travers ses paupières à moitiés closes, entendus un grand coup et un cri perçant de fureur. Le mangemort restant hurla ; Voldemort cria, " NON ! " D’une façon ou d’une autre Harry avait trouvé le bouton du feu-de-dragon. Il y appuya avec la main qui ne tenait pas la baguette et envoya un jet de flammes de plus dans les air, chutant à toute vitesse vers le sol.

- Hagrid ! Harry appela, se tenant sur la moto cramponné a sa vie. " Hagrid - Accio Hagrid ! "

La moto accéléra, se rapprochant du sol. Face au guidon, Harry ne pouvait rien voir à part les lumières du sol qui grossissait inexorablement : Il allait se scratcher et il ne pouvait rein y faire. Derrière lui retenti un autre cri perçant, " ta baguette, Selwyn, donne moi ta baguette ! "

Il senti Voldemort avant de le voir. Regardant sur le coté, il plongea dans les yeux rouges et il était sur que ce serait la dernière chose qu’il verrait jamais : Voldemort se préparant a lui lancé un sort une fois de plus - alors Voldemort disparu. Harry regarda en bas et vit Hagrid tel un oiseau déployé sur le sol au-dessous de lui. Il tira voilement sur le guidon pour éviter le crash, cherchant à tâtons le frein, mais dans un choc à crever les tympans et dans un tremblement de terre, il s'écrasa dans un étang boueux.



chapitre 5 Guerrier dechu

Guerrier dechu
(Traduit par miaka et kolo ; merci a Jyrol)



- Hagrid ?

Harry s'efforça de se dégager des débris de métaux et de cuir qui l'encerclaient, ses mains s'enfonçaient de quelques centimètres dans l'eau boueuse, tandis qu'il essayait de se relever. Il ne comprenait pas d'où Voldemort l'avait attendu pour l'attaquer par surprise surgissant tout à coup de l'obscurité. Quelque chose de chaud et d’humide s'écoulait au goutte à goutte de son menton depuis son front. Il rampa hors de l'étang en trébuchant vers la grande masse sombre sur le sol qu'était Hagrid.

- Hagrid ? Hagrid, dîtes quelque chose…

Mais la masse sombre ne réagit pas.

- Qui es là ? C'est Potter ? Vous êtes Harry Potter ?

Harry ne reconnut pas la voix de l’homme. Alors une femme hurla. " Ils se sont écrasés, Ted ! Ecrasés dans le jardin !

Sa tête était embrouillée.

- Hagrid, répéta t'il stupidement, avant que ses genoux cédèrent.

La première chose qu'il savait, c’était qu'il était allongé sur le dos sur ce qu'il semblait être des coussins, avec une sensation brûlante aux côtes et au bras droit. Sa dent manquante avait repoussé. La cicatrice sur son front le palpitait toujours.

- Hagrid ?

Il ouvrit les yeux et vit qu'il était allongé sur un sofa dans un salon éclairé qu'il ne connaissait pas. Son sac à dos était posé sur le plancher pas très loin de lui, humide et boueux. Un homme blondinet et un peu rond regardait anxieusement Harry.

- Hagrid va bien, fiston, dit l'homme. Ma femme l'examine actuellement. Comment te sens tu ? Rien de cassé ? J'ai soigné tes côtes, ta dent et ton bras. A propos, je suis Ted, Ted Tonks, le père de Dora.

Harry se redressa trop rapidement. Les lumières vacillèrent devant ses yeux et il se senti malade et étourdi.

- Voldemort…
- Tout va bien maintenant, dit Ted Tonks plaçant une main sur l'épaule de Harry et le repoussant contre les coussins. Tu viens d'avoir un mauvais accident. Que s'est-t-il passé, au fait ? Quelque chose n'a pas marché avec la moto ? Arthur Weasley n'a pas été raisonnable, lui et ses bidules de moldus ? "
- Non, dit Harry dont la cicatrice le lancinait comme si ce fut une plaie ouverte. Mangemorts,… beaucoup d'entre eux,… nous avons été pourchassé…
- Mangemorts ? Dit Ted brusquement. Que voulez vous dire par des Mangemorts ? Je pensais qu'ils n'étaient pas au courant de votre déplacement de ce soir, je pensais...-"
- Ils l’ont su, dit Harry
Ted Tonks regarda le plafond comme si il pouvait voir le ciel qui se trouvait au dessus.
- Bien, nous avons des charmes protecteurs, n'est ce pas ? Ils ne devraient pas être capable d'arriver à moins de 100 km d'ici, peut importe la directions d’où il viennent.

Maintenant Harry comprenait pourquoi Voldemort avait disparu, il était là lorsque la moto avait passé la barrière de charmes de l'ordre. Il espérait seulement que les charmes continueraient à fonctionner. Il imagina Voldemort, une centaine de mètres plus haut, recherchant un moyen de pénétrer dans ce qu'Harry visualisait comme une grande bulle transparente.

Il balança ses jambes sur le côté du sofa, il avait besoin de voir Hagrid de ses propre yeux avant de pouvoir croire qu'il été bel et bien vivant. Il s'était à peine mis debout, cependant, qu’une porte s'ouvrit, Hagrid appuyé contre elle, son visage était couvert de boue et de sang, boitant un peu mais miraculeusement vivant.

- Harry !

Renversant deux tables fragiles et un aspidistra, il parcourut la distance entre eux en deux enjambées et embrassa Harry dans une étreinte à presque lui briser ses côtes récemment réparées.
Mince alors ! Harry, tu t'en es finalement sorti ? j'ai pensé que nous étions tout les deux perdus.

- Ouais moi aussi, je n'arrive pas à y croire…

Harry se dégagea de l'étreinte. Il venait juste de remarquer la présence d'une femme qui été rentrée dans la salle derrière Hagrid.

- Vous ! Hurla t'il, et plongea sa main dans sa poche, mais elle était vide.
- Votre baguette est ici, fiston, dit Ted, en tapotant le bras de Harry. Elle est tombée à coté de toi, je l'ai ramassé.... et c'est sur ma femme que tu hurles.

- Oh, je-je suis désolé.

Pendant qu'elle s'avançai dans la pièce, la ressemblance de Mme Tonks avec sa soeur Bellatrix devint beaucoup moins prononcée : ses cheveux étaient d'un brun lumineux et ses yeux paraissaient plus larges et plus aimables. Néanmoins, après l'exclamation de Harry, elle lui lança un regard hautain.

- Qu'est-il arrivé à notre fille ? Demanda t'elle .Hagrid nous a appris que vous aviez été pris dans un guet-apens .Où est Nymphadora?
- Je ne sais pas, répondit Harry. Nous ne savons pas ce qui est advenus de tout les autres.

Elle et Ted échangèrent des regards. Un mélange de crainte et de culpabilité saisit Harry à la vue de leurs expressions, si un d'eux mourrait, ça serrait de sa faute, totalement de la sienne.

Il avait accepté le plan, et leur a donné de ses cheveux...

- Le Portoloin, dit Harry, se rappelant de tout subitement. Nous devons retourner au terrier et nous renseigner, ensuite nous pourront vous envoyer des nouvelles ou,… Ou bien Tonks le fera une fois qu'elle y sera.
- Dora ira bien, Dromeda, dit Ted. Elle connaît sa mission, et a de l'expérience grâce à ses missions en tant qu’auror. Le portoloin est par ici, précisa t'il à Harry.
- Nous somme supposés partir dans 3 minutes, si tu veux bien te donner la peine de le prendre...
- Ouais, j'y vais, dit Harry, en saisissant son sac à dos et le balançant sur ses épaules.
- Je...

Il regarda Mme Tonks, voulant s'excuser de l'état de crainte dans lequel il la laissais, de plus il se sentait terriblement responsable, mais aucun mots ne lui vint à l'esprit qui ne lui aurait semblé creux et hypocrite .

- Je dirai à Tonks, Dora, de vous envoyer des nouvelles, quand elle.... merci de nous avoir soigné, merci pour tout, je...
Harry était soulagé de sortir du salon, pour suivre Ted Tonks le long d'un court vestibule pour débouché dans une des chambre à coucher. Hagrid les suivait, se pliant à moitié pour ne pas se cogner contre le linteau de porte.
- C'est ici, fiston, voila le portoloin.

M. Tonks se dirigeait vers un petit, sèche-cheveux argenté se trouvant sur la table de repassage.

- Merci, dit Harry, en tendant le bras pour poser un doigt sur l'objet, prêt à partir.
- Attend un peu, intervint Hagrid. Harry, où est Hedwige ?
- Il...il l'on eu, répondit Harry. La réalisation de ce qui s'était passé l'écrasa soudainement. Il se sentit terriblement honteux, des larmes emplissant ses yeux.

La chouette avait été son compagnon, son plus fort lien avec le monde magique toute les fois où il avait dû retourner chez les Dursleys.

Hagrid lui tapota l’épaule.

- Ce n'est rien, dit Hagrid d'un ton bourru ; Ne t'en fait pas, elle a eu une belle vie...
- Hagrid ! Intervint Ted Tonks subitement, tandis que le sèche cheveux rayonnait d'un bleu lumineux. Hagrid posa son index juste à temps.

Harry sentit une secousse au niveau du nombril, comme si un filin invisible l'entraînait vers l'avant, attiré vers le néant, tournant de façon incontrôlable, son doigt fixé au portoloin.
La seconde d'après, les pieds de Harry cognèrent contre le sol dur et il tomba à genoux dans le jardin du Terrier. Il entendit des cris. Jetant le portoloin qui ne brillait plus du tout, il se leva un peu fébrilement, et vit Mrs Weasley et Ginny descendre les escaliers venant de la porte qui se trouvait derrière Hagrid, qui, lui aussi, s'étant effondré lors de l'atterrissage, se relevait péniblement.

- Harry ? Tu es vraiment Harry ? Que s'est t'il passé ? Où sont les autres ? cria Mme Weasley.
- Que voulez vous dire ? Personne n'est encore revenu ? Demanda Harry tout haletant.

La réponse était claire sur le visage pâle que Mme Weasley affichait.

- Les mangemorts nous attendaient, dit Harry à Mme Weasley. Nous avons été encerclé au moment ou nous partions, ils savaient que c'était ce soir, je ne sais pas ce qui est arrivé aux autres, quatre d'entre eux nous ont pourchassé, nous avons tout fait pour leur échapper, et c'est alors que Voldemort nous a rattrapé.

Il pouvait entendre la note d’auto-justification dans sa voix, L’excuse pour elle de ne pas entendre qu’il ne savait pas ce qu’il était arrivé a ses fils…

- Remercions dieu que tu n’ai rien, dit-elle, l’entraînant dans une étreinte qu’il sentait ne pas mériter.
- N’avez pas un peu d’Brandy, hein, Molly ? demanda Hagrid un peu maladroitement, dans un but médicinal ?

Elle aurait pu l’appeler a elle par magie, mais pendant qu'elle se dépêchait de retourner dans la maison tordue, Harry savait qu'elle voulait cacher son visage. Il se tourna vers Ginny qui répondit à son air suppliant par des informations.

- Ron et Tonks aurait dû avoir été les premier à rentrer, mais ils ont raté leur Portoloin, il est revenu sans eux, dit-elle, se dirigeant vers un bidon d'huile rouillé qui se trouvait par terre, tout près. Et celui-là, elle se dirigea vers une vieille espadrille, aurait du être pour papa et Fred, ils étaient censé rentré en deuxième. Toi et Hagrid étiez en troisième et, elle vérifia sa montre, s’ils y arrivent, George et Lupin seront là d’ici une minute.

Mrs. Weasley réapparu portant une bouteille de Brandy, qu'elle remis à Hagrid. Il la déboucha et la bu d’un trait.

- Maman ! Cria Ginny se dirigeant vers un endroit à plusieurs mettre de distance.

Une lumière bleue apparue dans l'obscurité : Elle devint plus grande et plus lumineuse, et Lupin et George apparurent, chancelant puis tombant. Harry su immédiatement que quelque chose n’allait pas : Lupin soutenait George, qui était inconscient et dont le visage était couvert de sang.

Harry se précipita et saisit les jambes de George. Ensemble, lui et Lupin portèrent George jusqu'à la maison, passèrent par la cuisine pour atteindre la salle de séjour, où ils l’entendirent sur le sofa. Alors que la lumière d’une lampe éclairait la tête de George, Ginny haleta et l'estomac de Harry se retourna : Une des oreilles de George manquait. Le côté de sa tête et son cou étaient baignés de sang, d’un affreux rouge écarlate.

A peine quelques instants après que madame Weasley se penchait sur son fils, Lupin saisi Harry par le bras le traînant avec lui, sans ménagement, de nouveau dans la cuisine, où Hagrid essayait toujours de faire passer son corps à travers la porte arrière.

- Oh ! S’indigna Hagrid, Lâche le ! Lâche Harry !

Lupin l’ignora.

- Quelle créature était disposée dans un coin la première fois que Harry Potter est venu dans mon bureau à Poudlard ? dit-il, secouant Harry. Répondez-moi !
- Un - un strangulot dans un aquarium, n'est-ce pas?
Lupin libera Harry qui tomba en arrière contre un placard de la cuisine.
- Que qu’est c’que c’est encore que ça ? Hurla Hagrid.
- Je suis désolé, Harry, mais je devais vérifier, dit Lupin laconiquement. Nous avons été trahis. Voldemort savais que tu te déplacerais ce soir et les seules personnes qui pourraient lui avoir dit sont directement impliquées dans le plan. Tu aurais pu être un imposteur.
- Alors pourquoi vous n’me vérifiez pas moi ? Haleta Hagrid, se battant encore avec la porte.
- Vous êtes à moitié-géant, Lupin, levant les yeux vers Hagrid. La potion de polynectar est uniquement a usage humain. Personne de l’Ordre n’aurait pu indiqué que nous nous déplacerions ce soir, dit Harry.
L'idée lui paraissait horrible, il ne pouvait se résoudre à y croire.
- Voldemort s'en est seulement pris a moi vers la fin, il ne savais pas lequel j’étais au début. S'il connaissait le plan il aurait su que dès le début que j’était celui avec Hagrid.
- Voldemort s'en est pris à toi ? dit Lupin brusquement. Que c’est-t'il passé ? Comment vous en êtes vous sortis ?

Harry expliqua comment les Mangemorts les avait poursuivis et comment ils avaient semblés l'identifier comme le véritable Harry, comment ils avaient arrêtés la poursuite, comment ils ont dû appeler Voldemort, qui était apparu juste avant que lui et Hagrid n'atteigne le refuge de la maison des parents de Tonks.

- Ils t'ont reconnu ? Mais comment ? Qu'as tu fait ?
- Je... Harry essayait de se souvenir, le voyage entier lui paraissait tel un énorme pâté de panique et de confusion.
- J'ai vu Stan Rocade, vous savez le type qui conduit le Magicobus ? Et j'ai essayé de le désarmer au lieu de.... - Et bien, il ne sait pas ce qu'il fait, n'est-ce-pas ? Il est sûrement sous l'emprise de l'Imperium.

Lupin sembla effaré.

- Harry le temps où tu pouvais encore te permettre de désarmer est révolu ! Ces personnes essayent clairement de te capturer et de te tuer ! Assomme le au moins si tu ne veut pas le tuer.
- Nous étions à plusieurs centaines de mètres du sol ! Stan n'était pas lui même, et si je l'avait assommé et qu'il était tombé, il serait mort, cela serait revenu au même que de lui envoyer un Avada Kedavra ! Expelliarmus m'a sauvé de Voldemort il y a deux ans, ajouta Harry d'un air provoquant.

Lupin lui rappelait le sourire railleur de Zacharias Smith, qui s'était moqué de Harry parce qu'il voulait apprendre à l'AD comment désarmer un ennemi.

- Oui, Harry, dit Lupin avec une peine contenue. Et un grand nombre de Mangemorts ont été témoins de ça ! Pardonne moi, mais c'est une réaction très peu commune, lorsque l’on est en danger de mort. Refaire exactement la même chose devant les Mangemorts ce soir, qui avait assisté ou entendu l'histoire de cet évènement, c'était presque suicidaire !
- Donc vous pensez que j'aurais dû tuer Stan Rocade ? Dit Harry en se mettant en colère.
- Bien sur que non ! répondit Lupin. Par contre les Mangemort - franchement, la plupart des personnes ! - se serait attendues à ce que tu attaques en arrière ! Expelliarmus est un charme utile, Harry, mais les Mangemorts semblent penser que c'est ton mouvement de signature, et je t'exhorte de ne pas faire en sorte que ça le devienne !

Lupin faisait se sentir Harry idiot, mais il y avait toujours un grain de défit à l'intérieur de lui.

- Je ne vais pas écarter des personnes de mon chemin juste parce qu'elles sont là, dit Harry. Ça c'est la manière de Voldemort.

Lupin n'avait plus d'argument : Réussissant finalement à passer à travers la porte, Hagrid chancela jusqu'a une chaise et s'y assis, mais elle s'effondra sous son poids.
Ignorant ses excuses mélangées à des serments, Harry s'adressa encore une fois à Lupin.

- George va-t-il s'en sortir ?

La tension entre Lupin et Harry sembla se dissiper, lorsque Harry posa la question.

- Je le pense. Cependant, il n'y a aucun moyen de remplacer son oreille, puisqu'elle a été arrachée à l'aide d'un maléfice.

Il y eut des mouvements à l'extérieur et Lupin se précipita dans la cour. Harry sauta par dessus les jambes de Hagrid et couru dans le jardin, là où deux silhouettes étaient apparues. Tandis qu'il courait vers elles, il reconnut Kingsley et Hermione, tenant un vieux cintre rouillé. Hermione, qui avait retrouvé son apparence habituelle, se jeta dans les bras de Harry, mais Kingsley ne montra aucun signe démontrant qu'il était heureux de les voir. Par dessus l'épaule de Hermione, Harry le vit pointer sa baguette sur la poitrine de Lupin.

- Quelles sont les dernières paroles qu'Albus Dumbledore nous a dit ?
- Harry est notre espoir. Il faut lui faire confiance. Répondit calmement Lupin.

Kingsley tourna automatiquement sa baguette vers Harry, mais Lupin l'arrêta.
- Ça va, j'ai déjà vérifié.
- Parfait, c'est parfait. Dit-il en rangeant sa baguette dans une poche intérieure de son manteau. Mais quelqu'un nous a trahis. Ils savaient, ils savaient que c'était ce soir !
- En effet. Répondit Lupin. Mais ils ignoraient qu'il y aurait sept Harry.
- Qui d'autre est arrivé ?
- Harry, Hagrid, George et moi uniquement.

Hermione gémit, la tête enfouit dans les bras.

- Qu'est-ce qui vous est arrivé ? Questionna Lupin.
- Cinq nous ont suivis, deux ont été blessés et peut-être un tué. Marmonna Kingsley. Nous avons vu Tu Sais Qui, aussi. Il a rejoint la bataille lorsqu'on était à mi-chemin, mais il est reparti subitement. Remus, il arrive à ...
- Voler. L’interrompit Harry. Je l'ai vu aussi, il nous suivait, Hagrid et moi.
- C'est pour ça qu'il est parti, pour te suivre ! s'exclama Kingsley. Je ne comprenais pas pourquoi il était parti si vite ! Mais pourquoi a-t-il changé subitement de cible ?
- Harry a été un peu trop clément avec Stan Rocade. Expliqua Lupin.
- Stan Rocade ? Répéta Hermione. Je croyais qu'il était à Azkaban !
Kingsley émit un rire sans joie.
- Hermione, c'est évident qu'il y a eu une évasion massive d'Azkaban que le ministère n'a pas révélée ! La cagoule de Travers est tombée lorsque je lui ai jeté un sort, lui aussi est supposé être emprisonné. Remus, que t'est-il arrivé à toi ? Où est George ?
- Il a perdu une oreille. Dit Lupin.
- Une oreille ? s'exclama Hermione d'une voix totalement intelligible.
- C'est de la faute de Rogue. Ajouta Lupin.
- Rogue ! Vous ne l'aviez pas dit ! Cria Harry.
- Sa cagoule est tombée durant la bataille. Sectumsempra a toujours été une spécialité de Rogue. Je peux dire, en quelque sorte, que je lui ai renvoyé la balle, mais c'est tout ce que j'ai pu faire. Je faisais déjà tout mon possible pour garder George sur le balai, après qu'il eut été blessé. Il perdait beaucoup de sang.

Le silence s'installa tandis qu'ils regardaient le ciel. Il n'y avait aucun mouvement, les étoiles restaient immobiles, impassibles et indifférentes au sort des autres. Où pouvait bien être Ron ? Mr Weasley et Fred ? Bill, Fleur, Tonks, Fol Oeil et Mondingus ?

- Harry ! Viens donc nous donner un coup de main ! Rugit Hagrid de la porte, dans laquelle il était de nouveau coincé.

Heureux de pouvoir se rendre utile, Harry se rendit au salon, où Mrs Weasley et Ginny se trouvaient, aux côtés de George. Mrs Weasley avait stoppé l'hémorragie. Néanmoins, à la lueur des lampes, Harry aperçu un trou béant où, normalement, l'oreille de George aurait dû se trouver.

- Comment va-t-il ?

Mrs Weasley jeta un regard implorant autour de la pièce.

- Je ne peux pas la faire repousser, puisqu'elle a été arrachée par magie noire. Mais cela aurait pu être pire ! Au moins, il est vivant.
- Oui ? dit Harry. Grâce au ciel !
- J'ai entendu des bruits dans la cour, d'autres personnes sont arrivées ? demanda Ginny.
- Hermione et Kingsley. Répondit Harry.
- Dieu merci. Murmura Ginny.

Son regard croisa celui de Harry. Il éprouvait un intense désir de l'étreindre, la prendre dans ses bras, la caresser, ça lui importait peu que Mrs Weasley soit là. Toutefois, avant de céder à cette délicieuse impulsion, un fracas sonore s'éleva de la cuisine.

- Je te prouverais qui je suis quand j'aurais vu mon fils, Kingsley ! Maintenant, tu as intérêt à me laissez passer !

Jamais Harry n'avait entendu Mr Weasley crier de la sorte. Quelques secondes plus tard, il fit irruption dans le salon, le front ruisselant de sueur, les lunettes de travers. Fred se trouvait derrière lui. Tous deux étaient très pâles, mais ils ne semblaient pas blessés.

- Arthur! Sanglota Mrs Weasley. Oh ! Merci ! Merci !
- Comment va-t-il ? demanda Mr Weasley tandis qu'il se laissait choir aux côtés de George. Pour la première fois depuis que Harry le connaissait, les mots semblaient manquer à Fred. Lorsqu'il aperçut la blessure de son jumeau, il ouvrit la bouche, stupéfait. Il donna l'impression de ne pas croire ce qu'il voyait. Peut-être était-ce dû au bruit de l'arrivée de Fred et de son père, mais George remua.
- Comment te sens-tu, George ? Chuchota Mrs Weasley.

George se caressa le côté de la tête.

- Eh Bien, marmonna-t-il à l'adresse de sa mère qui continuait de pleurer torrentiellement. Maintenant tu pourras nous différencier, Fred et moi.

Il observa les alentours.

- Harry ! Tu vas bien ?
- Oui, ça va pour moi. Dit Harry en s'approchant du canapé.
- Pourquoi Bill, Fleur et Ron ne sont pas à mon chevet ?
- Ils ne sont toujours pas revenus, George. Révéla Mrs Weasley.

Le visage de George se renfrogna. Harry croisa le regard de Ginny, puis lui fit signe de l'accompagner à l'extérieur. Tandis qu'ils traversaient la cuisine, Ginny lui fit part de son inquiétude.

- Ron et Tonks devraient déjà être revenus ! Tante Murielle n'habite pas si loin, ils n'avaient pas un long voyage à faire !

Harry ne répondit pas. Depuis qu'il était arrivé au Terrier, il avait tenté de camoufler ses propres appréhensions, mais, maintenant, elles semblaient l'envelopper, embrouiller son cerveau et lui oppresser la poitrine. Tandis qu'ils sortaient dans le jardin sombre, Ginny lui pris la main. Kingsley semblait fébrile tandis qu'il observait frénétiquement le ciel, en faisant les cents pas. Harry eut un vague souvenir de l'oncle Vernon arpentant le salon, bien des années auparavant. Hagrid, Lupin et Hermione se tenaient côtes à côtes, guettant le moindre signe en provenance du ciel. Ils ne firent aucun geste lorsque Harry et Ginny se joignirent à leur vigile silencieuse. Les minutes s'écoulaient tranquillement. Le moindre bruissement les sortait de leur torpeur. Ils guettaient chaque arbre, chaque buisson, dans l'espoir que l'un des membres absents de l'ordre puisse en sortir. Après ce qui aurait pu être des heures, un balai se matérialisa au-dessus d'eux, avant d'entreprendre d'atterrir.

- Ce sont eux ! s'écria Hermione.

Tonks atterrit brusquement, projetant sur eux de la terre et des cailloux.

- Remus ! Pleura Tonks avant de se jeter dans ses bras. Celui-ci garda un visage impassible, quoiqu' étonnement blafard. Il semblait incapable de parler.

Ron avança d'une démarche incertaine vers Harry et Hermione.

- Vous allez bien ? Marmonna-t-il avait d'être étroitement étreint par Hermione.
- J'ai pensé, j'ai pensé ...
- Je vais bien ! dit-il en lui tapotant le dos. Tout va bien.
- Ron a été fantastique ! dit Tonks, le visage rayonnant, abandonnant sa prise sur Lupin." Stupéfixer des Mangemorts, droit à la tête, sur des balais volants, c'est quelque chose !
- Tu as fait ça ? demanda Hermione en regardant Ron, les mains autour de son cou.
- Je suis plein de surprise. Dit-il d'une voix sarcastique en se libérant de l'étreinte d'Hermione. Sommes-nous les derniers arrivés ?
- Non, répondit Ginny. Nous attendons toujours Bill, Fleur, Fol Oeil et Mondingus. Je vais avertir Maman et Papa que tu es de retour. Ajouta-t-elle en courant à l'intérieur.
- Pourquoi arrivez-vous si tard, qu'est-ce qui vous a retenus ? Demanda Lupin à Tonks, comme s'il était en colère.
- Bellatrix. Indiqua Tonks. Elle m'en veut presque autant qu'elle en veut à Harry ! Elle a essayé de me tuer avec beaucoup d'ardeur. Je souhaite l'avoir touchée. Mais, chose certaine, nous avons blessé Rodolphus. Mais quand nous sommes arrivés chez la tante de Ron, nous avions manqué le départ du portoloin.

Un muscle tressaillit dans la mâchoire de Lupin. Il inclina la tête, mais fut incapable de parler.

- Et que vous est-il arrivé, à vous ? Demanda Tonks, observant Hermione, Kingsley et Harry.

Ils racontèrent leur voyage respectif, cependant l'absence de Bill, Fleur, Fol Oeil et Mondingus planait au-dessus d'eux comme la menace d'un gigantesque oiseau, dont l'attaque glaciale laissait une souffrance pénétrante, qui s'amplifiait de minutes en minutes, et qui était, de surcroît, de plus en plus dure à ignorer.

- Je vais devoir retourner à Downing Street. J'aurais du m'y trouver il y a déjà une heure. Dit finalement Kingsley, lançant un dernier regard furtif au ciel étoil. Faites le moi savoir, lorsqu'ils seront de retour.

Lupin hocha la tête. Après avoir salué les autres, Kingsley disparut dans la nuit. Harry cru entendre un faible bruit qui signifiait que Kingsley venait de transplaner, hors des limites du Terrier. Mr et Mrs Weasley sortirent de la maison, puis parcoururent le jardin au pas de course, Ginny derrière eux.

Tous deux enlacèrent leur fils, avant de se tourner vers Lupin et Tonks.

- Merci. Dit Mrs Weasley. Merci pour nos fils.
- Ne soit pas idiote, Molly. S'empressa de répondre Tonks.
- Comment va George ? Interrogea Lupin.
- Qu'est-ce qu'il a ? S’inquiéta Ron.
- Il a perdu ...

Toutefois, la phrase de Mrs Weasley fut interrompue par un tumultueux vacarme. Un sombral venait tout juste de se poser, à quelques mètres d'eux. Bill et Fleur se laissèrent glisser de l'animal, visiblement secoués, mais indemnes.

- Bill ! Dieu merci !

Mrs Weasley couru enlacer son fils, mais celui-ci ne la serra que brièvement. Il regardait son père.

- Fol Oeil est mort. Dit-il.

Plus personne ne parla, plus personne ne bougea. Harry sentit que quelque chose en lui se détachait de son corps, puis le quittait pour toujours.

- Nous l'avons vu. Dit Bill.
Fleur approuva d'un signe de tête. Des traces de larmes brillaient sur ses joues.
- Ça s'est produit juste après que la formation soit brisée. Fol Oeil et Ding étaient tout près de nous, ils volaient vers le nord, eux aussi. Vous Savez Qui s'est précipité sur eux en volant. Ding a paniqué, je l'ai entendu pleurer et gémir. Fol Oeil a essayé de le calmer, mais il a fini par transplaner. Le maléfice de Vous Savez Qui l'a touché directement au visage. Il est tombé de son balai, on ne pouvait rien faire, on avait déjà une demi-douzaine de Mangemorts collée aux basques. Expliqua Bill d'une voix brisée.
- Vous ne pouviez rien faire. Approuva Lupin.

Tous se regardaient, la mine déconfite. Harry n'arrivait pas à y croire. Fol Oeil ne pouvait pas être mort, c'était impossible. Lui qui était si dure, si brave, l'éternel survivant ... Un sentiment de profonde tristesse semblait naître en chacun d'eux, bien que personne n'en parlait. L'attente dans le jardin étant devenue inutile, ils suivirent Mr et Mrs Weasley à l'intérieur du Terrier. Ils entrèrent dans salon, où Fred et George riaient.

- Qui a-t-il ? Demanda Fred en balayant d'un regard perplexe leurs visages troublés. Qu'est-il arrivé ? Qui est ...
- Fol Oeil, souffla Mr Weasley. Fol Oeil est mort.

Le visage des jumeaux se contracta en une grimace de douleur. Personne ne semblait savoir quoi faire. Tonks pleurait silencieusement dans son mouchoir. Harry savait que Fol Oeil et elle avaient toujours été proches, l'un de l'autre. Au Ministère, elle avait été sa favorite, sa protégée. Hagrid, assis dans le coin le plus grand de la pièce, s'épongeait les yeux à l'aide d'un mouchoir de la taille d'une nappe. Bill se dirigea vers le buffet, où il sortit une bouteille de whisky pur feu, ainsi que plusieurs verres.

- Tenez. Dit-il avant d'envoyer, d'un coup de baguette, les douze verres à leur destinataire. Il tenait le treizième en l'air.
- À Fol Œil !
- À Fol Œil ! Répétèrent-ils, avant de boire le contenu de leur verre.
- À Fol Œil ! Hoqueta Hagrid, avec un peu en retard.

Le whisky qu'il avalait l'emplissait de sentiments nouveaux. Son sens des réalités revenait peu à peu et Harry se sentait plus conscient de son corps et de son esprit.

- Ainsi, Mondingus a transplané ? Demanda Lupin, qui avait vidé son verre d'un seul trait.

L'atmosphère changea radicalement. Tous regardaient Lupin, le visage tendu. Ils étaient visiblement avides d'en entendre davantage, bien que légèrement effrayés de ce qu'ils pourraient apprendre.

- Je sais ce que vous pensez. Affirma Bill. Moi-même je me suis posé des questions, sur le chemin du retour. Après tout, ils semblaient nous attendre, non ? Mais les sept Harry les ont confus, ils ne s'y attendaient pas. Pourquoi Mondingus ne leur aurait pas dévoilé le point essentiel du plan ? Il ne peut pas nous avoir trahis. C'est lui qui a proposé ce tour d'embrouille, vous vous souvenez ? Je pense qu'il a simplement paniqué. Il ne voulait pas venir, en premier lieu, c'est Fol Oeil qui l'y a poussé. De plus, Vous Savez Qui s'est dirigé droit vers eux. C'était suffisant pour faire paniquer n'importe qui.
- Vous Savez Qui a agi exactement comme Fol Oeil l'avait prévu. dit Tonks entre deux sanglots. Il m'a dit que Vous Savez Qui penserait sûrement que Harry se trouvait avec le plus redoutable d'entre nous, l'auror le plus aguerri. Il a d'abord chassé Fol Oeil et quand Mondingus s'est éclipsé, il s'est rué sur Kingsley.
- Tout ça c'est très bien, mais on ne sait toujours pas comment ils ont pu savoir que nous transférions Harry ce soir. " Dit Fleur. Enfin, c'est insensé ! Quelqu'un a dû laisser échapper l'information ! C'est la seule explication ! Sinon comment auraient-ils eu connaissance de la date, mais pas du reste du plan ?

Elle attendit une quelconque protestation qui ne vint pas. Le seul son venant briser le silence étaient les sanglots de Hagrid. Harry lui jeta un regard en biais. Hagrid venait de risquer sa vie pour sauver la sienne. Harry aimait Hagrid, il avait confiance en lui. Toutefois, dans le passé, Hagrid avait révélé involontairement des informations cruciales à Voldemort en échange d'un oeuf de dragon.

Le whisky pur feu semblait avoir amplifié le volume de sa voix.

- Non ! Cria Harry, s'attirant tous les regards. Je veux dire, si quelqu'un a fait une erreur, s'il a laissé échapper un brin d'information, je sais que ce n'était pas volontaire. Il ne l'a certainement pas fait exprès ! Continua t'il d'une voix un peu plus forte que d'habitude. Nous devons nous faire confiance mutuellement. J'ai confiance en chacun de vous, je suis sûr que personne dans cette salle ne m'aurait vendu volontairement à Voldemort.

Un profond silence suivit ces mots. Tous le regardaient. Harry se sentit fiévreux et but de longues gorgées de whisky. Tandis qu'il buvait, il pensait à Fol Oeil. Fol Oeil avait toujours été exaspéré par la confiance que Dumbledore accordait à chacun.

- Bien dit, Harry ! Affirma inopinément Fred.

Lupin regardait Harry avec une drôle d'expression, qui ressemblait à la pitié.

- Vous pensez que je suis un imbécile ? Ironisa Harry.
- Non, je pense que tu es comme James. Expliqua Lupin. Lui aussi considérait que de se méfier de ses amis était le comble du déshonneur.

Harry savait que Lupin faisait référence à la trahison de Peter Petigrow envers James Potter. Il se sentit fâché d'une telle allusion. Il voulut argumenter, mais Lupin lui avait tourné le dos, afin de poser son verre vide sur la table.

- Il y a du travail à faire. Dit-il à Bill. Je peux demander à Kingsley si ...
- Non. L'interrompit Bill. Je le ferai, je viendrai.
- Où allez vous ? Demandèrent Fleur et Tonks à l'unisson.
- Le corps de Fol Oeil. Expliqua Lupin. Nous devons le récupérer.
- Ça ne peut pas ... commença Mrs Weasley, implorant son fils du regard.
- Attendre ? L’interrompit Bill. Non, à moins que quelqu'un souhaite que les Mangemorts le récupèrent avant nous.

Personne ne répondit. Après avoir dit au revoir, Bill et Lupin partirent. Les autres les avaient regardés partir, puis tous, excepté Harry qui était demeuré debout, s'étaient effondrés sur la chaise la plus proche. La mort planait de nouveau au-dessus d'eux, comme une présence malsaine.

- Je dois y aller aussi. Dit Harry tandis que dix paires d'yeux effrayés se tournaient vers lui.
- Ne soit pas stupide, Harry. Lança Mrs Weasley.
- Je ne peux pas rester ici.

Il se frotta le front, sa cicatrice avait recommencé à lui faire mal. Elle ne lui avait pas été si douloureuse depuis plus d'un an.

- Vous êtes tous en danger quand je suis là ! Je ne veux pas ...
- Harry ne soit pas si stupide, voyons ! Répéta Mrs Weasley. Notre but, ce soir, c'était de te ramener ici, sain et sauf, et remercie le ciel que cela ait fonctionné ! De plus, Fleur a accepté de se marier ici plutôt qu'en France, de façon à ce que l'on reste ici, tous ensemble, à veiller sur toi.

Elle ne comprenait pas. Elle le faisait se sentir encore plus mal, si c'était possible.

- Et si Voldemort découvre que je suis ici ?


- Comment ferait-il ? RÉpondit Mrs Weasley. Il y a des douzaines de maisons dans lesquelles tu pourrais Être.
- Il n'a aucun moyen de savoir oÙ tu te trouves, Harry. Le rassura Mr Weasley.
- Ce n'est pas pour moi que je m'inquiÈte ! Hurla Harry.
- Nous savons cela. RÉtorqua calmement Mr Weasley. Mais si tu pars, tu rendras nos efforts de ce soir particuliÈrement futiles.
- Tu n'iras pas nulle part, Harry ! Gronda Hagrid. AprÈs tout ce que nous avons endurÉ pour t'amener ici !
- J'ai sacrifiÉ une oreille, pour toi ! Dit George en se redressant sur ses coussins. Je sais que ce n'est pas ce que.... Fol Oeil aurait voulu.
- JE SAIS ! Beugla Harry.


Il se sentait oppressÉ et manipulÉ. Ils pensaient qu'il ignorait tout ce qu'ils avaient fait pour lui, alors que c'Était prÉcisÉment pour À§a qu'il dÉsirait partir, plutÀ´t que de leur causer des souffrances supplÉmentaires. Il y eut un long et douloureux silence durant lequel la cicatrice de Harry lui brÀ»la, comme si elle avait ÉtÉ chauffÉe À blanc.


- OÙ est Hedwige ? Demanda Mrs Weasley, rompant ainsi le silence. Nous pouvons la monter avec Coquecigrue et lui donner quelque chose À manger.


Les entrailles de Harry se contractèrent douloureusement. Il but le reste de son verre de whisky pur feu, s'évitant ainsi de répondre.


- Il faut que tu nous racontes, Harry, grogna Hagrid, comment tu as pu lui Échapper, l'attaquer alors qu'il se trouvait au-dessus de nous.
- Ce n'était pas moi. Répondit Harry d'un ton catégorique. C'était ma baguette magique ! Ma baguette a agi d'elle-même, de sa propre initiative.
- Harry, c'est impossible ! Tu veux dire que tu aurais fait de la magie sans le vouloir ? Tu as réagi par instinct, voilà tout. Répliqua Hermione avec diplomatie.
- Non. S'obstina-t-il. La moto tombait, je ne savais pas où était Voldemort, mais ma baguette le savait, elle ! Elle s'est mise à tourner, puis elle a trouvé Voldemort et lui a lancÉ un sort, dont j'ignore la nature ! Je n'ai jamais produit de flammes dorées, auparavant !
- Parfois, Expliqua Mr Weasley. Dans une situation dangereuse, il est possible de produire de la magie qu'on ne peut même pas imaginer. Les enfants, avant leurs études, expérimentent souvent ce genre de magie.
- Ce n'était pas ça ! S'indigna Harry.


Sa cicatrice lui brûlait et il se sentait incompris. Il détestait l'idée que les autres puissent imaginer qu'il avait le pouvoir d'égaler Voldemort. Plus personne n'émit d'objections. Harry savait qu'ils ne le croyaient pas. Maintenant qu'il y pensait, Harry n'avait jamais entendu parler d'une baguette capable d'agir seule. Sa cicatrice Était desséchée par la douleur, il faisait tout son possible pour ne pas gémir à haute voix. Marmonnant au sujet d'un besoin d'air frais, Harry posa son verre vide, puis il sortit de la salle.


Tandis qu'il traversait le jardin, il vit le sombral brouter paisiblement. Quand l'animal l'aperçu, il déploya deux ailes immenses, semblable à celles d'une chauve-souris. Harry s'arréta devant la porte du jardin. Il observait les mauvaises herbes tout en lissant sa cicatrice, qui le faisait souffrir. Il pensait à Dumbledore. Dumbledore l'aurait cru, il le savait. Dumbledore aurait su comment et pourquoi la baguette de Harry avait agi de façon si inattendue, car Dumbledore avait toujours toutes les réponses. Il savait tout à propos des baguettes magiques, c'était lui qui avait expliqué À Harry le lien Étrange qui unissait sa baguette à celle de Lord Voldemort. Pourtant, Dumbledore, comme Fol Oeil, comme Sirius, comme ses parents et comme sa pauvre chouette, Étaient partis dans un endroit où Harry ne pourrait plus jamais leur parler. Il sentit un picotement dans sa gorge qui n'avait rien à voir avec le whisky pur feu.


Soudain, sans aucun signe avant-gardiste, la cicatrice de Harry fut parcourue d'un élan particulièrement douloureux. Tandis qu'il fermait les yeux et saisissait son front de ses mains fébriles, des cris rsonnèrent dans sa tête.


- Vous aviez dit que le problème serait résolu si j'utilisais la baguette d'une autre personne !


La vision d'un vieil homme maigre et émacier, effondré sur un tas de chiffon recouvrant un sol de pierre brute s'insinua dans on esprit. L'homme criait, hurlait, suppliait.


- Je vous en prie, je vous en supplie ! Implora-t-il
- Tu as menti À Lord Voldemort, Ollivander.
- Non, je le jure ! Je n'ai pas ...
- Tu espérais aider Potter, l'aider À m'échapper !
- Non, c'est la vérité ! Je vous en prie ! J'ai cru qu'avec une baguette magique différent ça fonctionnerait !
- Alors, explique-moi pourquoi la baguette de Lucius a été détruite !
- Je ne n'arrive pas à comprendre ... Le raccordement devrait seulement exister entre vos deux baguettes magiques !
- Mensonges !

- Je vous en prie, il faut me croire.


Puis Harry vit une main aux doigts longs et blanchâtres soulever une baguette magique, avant de sentir l'irruption subite de cruautÉ de Voldemort. L'homme frèle gigotait sur le sol, au bord de l'agonie.


- Harry ?


Celà avait pris fin aussi subitement que c'était arrivé. Harry se tenait debout, chancelant, dans l'obscuritÉ. Son coeur battait très vite et sa cicatrice le lançait encore.


Cela prit un moment avant que Harry s'aperçoive de la présence de Ron et Hermione À ses côtés.


- Harry, rentre À l'intÉrieur. Chuchota Hermione. Tu ne penses plus partir, n'est-ce pas ?
- Tu dois rester, mon vieux ! Lui dit Ron en lui tapant le dos.
- Harry, tu vas bien ? Demanda Hermione, maintenant qu'elle était assez prés pour voir son visage. Tu as une mine épouvantable !
- En tout cas, répondit-il, faiblement. Je vais mieux qu'Ollivander.


Quand il eut finit de raconter ce qu'il venait de voir, Ron semblait consterné, mais Hermione était totalement horrifiée.


- Ca ne devait plus se produire ! Tu ne devais plus voir ce genre de choses ! Il ne faut pas laisser le lien s'ouvrir de nouveau ! Harry, Dumbledore voulait que tu fermes ton esprit !
Il ne répondit pas.
- Harry, Voldemort a réussi à infiltrer le ministère, les journaux et la moitié du monde de la magie ! Ne le laisse pas infiltrer ta tête aussi !












chapitre 6 La goule en pyjama

La goule en pyjama
(Traduit par jirol)

Le choc de la perte de Fol-Oeil traîna sur la maison durant les jours qui suivirent. Harry continuait à espérer de le voir entrer à pas lourd par la porte de derrière comme les autres membres de l'Ordre, qui entraient et sortaient pour se passer les dernières informations. Harry senti que rien d'autre à part des actions ne pourrait soulager son sentiment de culpabilité et de peine et qu'il devait accomplir sa mission pour trouver et détruire aussi tôt que possible les horcuxes.
"Bien, tu ne peux rien faire par rapport aux - Ron mâcha le mot Horcruxes - jusqu'à tes 17 ans. Tu as toujours la Marque en toi. On peut s'organiser ici comme on peut le faire n’importe où, n'est-ce- pas ? Ou…" Sa voix devint un souffle "Ou est-ce que tu crois déjà savoir où est Tu-Sais-Qui ?"
"Non" admit Harry
"Je pense qu'Hermione a fait un peu de recherche" dit Ron " Elle a dit qu'elle le gardait pour quand tu en aurais besoin "
Il était assis à la table du petit déjeuner, Mr Weasley et Bill venaient juste de quitter leur travail. Mrs Weasley était montée en haut pour réveiller Hermione et Ginny, pendant que Fleur s'était laissé gagner par le sommeil avant de prendre un bain.
"La Marque se cassera le 31" dit Harry. " Cela signifie que je dois seulement rester ici quatre jours. Alors je pourrais..."
" Cinq jours, " corrigea Ron fermement " Nous devons restez pour le mariage. Elles nous tueront si nous le manquons "
Harry comprit que "elles" signifiait Fleur et Mme Weasley.
"Ce n'est qu'un jour supplémentaire, "dit Ron, quand Harry sembla révolté.
"Ils ne réalisent pas combien cela est important ?"
"Bien sûr que non " dit Ron."Ils n'en ont aucune idée. Et maintenant que tu l'as mentionné, je voudrais te parler de ça. "Ron jeta un coup d’oeil vers la porte pour vérifier que Mrs Weasley ne revenait pas maintenant, puis il se pencha pour être plus près de Harry. "Maman essaye de nous garder hors de ça, Hermione et moi. Ce que nous ne somme pas prêt de faire. Elle viendra te questionner plus tard, alors accroche-toi. Papa et Lupin nous ont aussi demandé, mais quand nous avons dit que Dumbledore t'avait dit de ne rien dire à personne sauf à nous, ils ont laissé tombé. Mais pas maman. Elle est déterminée."

La prédiction de Ron se réalisa en moins de quelques heures. Peu avant le déjeuner. Mrs Weasley prit Harry a l'écart des autres en lui demandant d'aider à identifier une seule chaussette qu'elle pensait venir de son sac a dos. Une fois qu'elle l’eut coincé à l'arrière de la minuscule cuisine, elle commença.
"Ron et Hermione semblent penser que 3 d'entre vous, laisseraient tomber Poudlard", commença t'elle d'un ton banal et léger.
"Oh," dit Harry "Ben ouais…On laisse tomber "
L'essoreuse s'arrêta toute seule dans un angle, extorquant ce qui semblait ressembler à l'une des vestes de Mr Weasley.
" Puis-je demander pourquoi vous abandonnez votre éducation ?" dit Mrs Weasley.
" Hé bien, Dumbledore m'a laissé... un truc à faire " marmonna Harry " Ron et Hermione savent de quoi il s'agit, et ils veulent venir aussi"
" Quel genre de truc ? "
" Je suis désolé, je ne peux pas ..."
" Bien, franchement, je pense qu'Arthur et moi avons le droit de savoir, et je suis sûre que Mr et Mme Granger seraient d'accord !" dit Mme Weasley.
Harry avait eu peur de l'attaque des "parents concernés". Il se força à la regarder droit dans les yeux, remarquant comme il l'avait déjà fait qu'ils contenaient la même nuance de brin que ceux de Ginny. Cela n'aidait pas.
" Dumbledore ne veut pas que quelqu'un d'autre soit au courant, Mme Weasley. Je suis désolé, Ron et Hermione ne sont pas obligés de venir, c'est leur choix ... "
" Je ne vois pas pourquoi vous devez y aller !!" lâcha-t-elle, oubliant maintenant toute contenance. "Vous avez à peine l'âge tous les trois ! Ça n'a aucun sens, si Dumbledore avait besoin que du travail soit accomplit, il aurait eu l'Ordre entier sous ses ordres ! Harry, tu as du mal le comprendre. Il t'a sûrement dit qu'il voulait que quelque chose soit fait, et tu as cru qu'il signifiait que c'est toi qu'il voulait pour l'accomplir... "
" J'ai très bien compris" dit Harry d'un ton catégorique. " Ça doit être moi". Il reprit la chaussette retrouvée seule et qu'il était censé reconnaître, décorée de joncs dorés." Et ce n'est pas la mienne, je ne suis pas supporter du club de Flaquemarre"
" Oh, bien sur que non, " dit soudainement Mme Weasley avec un ton plutôt affaibli. " j'aurais dû le savoir. Et bien, Harry, tant qu'on t'a encore ici, tu ne voudrais pas nous aider à préparer le mariage de Bill et Fleur ? Il y a encore tellement à faire "
" Bien sûr" dit Harry, déstabilisé par un changement de sujet si rapide.
" Tu es un ange," dit-elle en s'en allant, et elle sourit en quittant l'arrière-cuisine.

A partir de ce moment, Mme Weasley maintenait Harry, Ron, et Hermione si occupés avec les préparatifs du mariage qu'ils eurent difficilement du temps pour réfléchir. L'explication la plus gentille concernant ce comportement aurait été que Mme Weasley voulait les distraire, loin de toutes sortes de pensées à propos de Fol-Oeil et des terreurs subies au cours de leur dernière aventure. Mais après deux jours de nettoyage, de tissus colorés, de rubans, de fleurs, de chasse aux gnomes dans le jardin et d'aide à Mme Weasley à préparer des rangées de petits-fours, Harry commença à la suspecter d'avoir d'autres objectifs en tête. Toutes les tâches qu'elle donnait à faire semblaient avoir pour but de les tenir à distance les uns des autres. Il n'avait eu aucune occasion de leur parler secrètement depuis la première nuit, où il leur avait parlé de la torture qu'exerçait Voldemort sur Ollivander.
" Je pense que Maman croit qu'elle pourra retarder votre départ. Si elle vous empêche tous trois de vous rassembler et faire des plans." dit Ginny à Harry d'un ton bas, pendant qu'ils mettaient la table du dîner lors de la troisième nuit de son séjour.
" Et que pense-t-elle qu'il se passera après ?" murmura Harry. " Quelqu'un d'autre se chargera de tuer Voldemort pendant qu'elle nous fait faire des vol-au-vent ?"
Il avait parlé sans réfléchir, et vit le visage de Ginny pâlir.
" Alors c'est vrai ?" dit-elle " C'est ce que vous tentez de faire ?"
" Je... Non. Je plaisantais, " répondit rapidement Harry.
Ils se regardèrent, et il y eut quelque chose de plus que de la surprise et de la terreur dans l'expression de Ginny. Harry réalisa subitement que c'était la première fois qu'il se retrouvait seul avec elle depuis leurs heures volées dans les coins reculés de la cour de Poudlard. Il était sûr qu'elle était aussi en train d'y repenser. Ils sursautèrent tous deux lorsque la porte s'ouvrit, et que Mr Weasley, Kingsley, et Bill rentrèrent.
Les autres membres de l'Ordre les rejoignaient souvent pour dîner en ce moment, car le Terrier avait remplacé le numéro douze, c'est à dire la place de Grimmaurd en tant que QG. Mr Weasley avait expliqué qu'après la mort de Dumbledore, leur gardien du secret, chaque personne à qui Dumbledore avait confié le nom du lieu où se trouvait Grimmaurd devenait à son tour gardien du secret.
" Et comme il y en a environ douze d'entre nous, cela estompe remarquablement le pouvoir du sortilège de fidélité. Il y a vingt fois plus de chance pour les mangemorts d'obtenir le secret de l'un d'entre nous. On ne peut espérer le garder plus longtemps."
" Mais Rogue aura sûrement donné l'adresse aux mangemorts dés maintenant non ?" demanda Harry
" Fol-Oeil a jeté deux sorts contre Rogue au cas où il les rejoindrait de nouveau. Nous espérons qu'ils seront tous deux assez forts pour l'en empêcher et lui faire tenir sa langue s'il tente de parler de l'endroit, mais nous ne pouvons en être certains. Il aurait été irresponsable de continuer d'utiliser cet endroit en tant que quartier général alors que sa protection est devenue si précaire"
La cuisine était devenue tellement bondée qu'il était difficile d'utiliser les couteaux et les fourchettes. Harry se retrouva serré prés de Ginny. Les choses qu'ils n'avaient pas osés entre eux juste avant d'être interrompus l'avaient fait espérer d’être séparer d'elle par plus de personnes. Il tentait tellement d'éviter de frôler son bras pendant qu'ils mangeaient qu'il pouvait à peine couper son poulet.
" Rien de neuf sur Fol-Oeil ?" demanda Harry à Bill
" Rien" répondit Bill
Ils n'avaient pas été capables de lui offrir des funérailles, car Bill et Lupin avaient échoué dans leur quête de son corps. Il était difficile de savoir où il avait pu tomber, étant donné l'obscurité et la confusion qui régnaient lors de la bataille.
" La gazette du sorcier n'a pas dit un mot en ce qui concerne sa mort ou la recherche de son corps." continua Bill. " Mais cela ne veut pas dire grand chose. Ils sont assez calme au journal ces derniers jours"
" Et ils n'ont toujours pas fait appel à un jugement pour toute la magie que j'ai utilisée en m'échappant des mangemorts ?" demanda Harry à Mr Weasley qui secoua la tête à l'autre bout de la table. "Parce qu'ils savent que je n'avais pas le choix ou bien parce qu'ils ne veulent pas révéler au monde entier que Voldemort m'a attaqué ? "
" Le second je pense. Scrimgeour ne veut pas admettre que Tu-sais-qui est aussi puissant que lui, ni que Azkaban a subit une évasion massive de ses prisonniers."
" Ouais, pourquoi dire au public la vérité ?" dit Harry, serrant si étroitement dans sa main droite son couteau qu'il vit réapparaître en lettres blanches sur sa peau "je ne dois pas dire de mensonges".
"Mais tout le monde au ministère n'est-il pas prêt à l'affronter ?" demanda Ron avec fureur
" Bien sur Ron, mais les gens sont terrifiés." répondit Mr Weasley, "terrifiés d'être les prochains à disparaître, et leur enfants d'être les prochains attaqués ! Il y a de mauvaises rumeurs qui courent. Moi le premier, je ne crois pas que le professeur d'études des Moldus a démissionné. Elle n'a pas été aperçue depuis des semaines. En attendant, Scrimgeour reste silencieux dans son bureau toute la journée. J'espère seulement qu'il est en train de travailler à chercher un plan "
Il y eut juste une pause durant laquelle Mrs Weasley pris les assiettes vides et les déposa sur le plan de travail à l'aide de sa baguette magique pour servir de la tarte à la pomme.
" Nous devons décider de ta tenue 'Arry" dit Fleur, une fois que tout le monde eut du gâteau. " Pour le mariage' " ajouta-t-elle lorsqu'elle remarqua sa mine confuse. " Bien sur, aucun de nos invités n'est un Mangemorts, mais nous ne pouvons pas garantir qu'ils ne laisseront rien glisser après une coupe de champagne "
A partir de ce moment, Harry comprit qu'elle soupçonnait toujours Hagrid.
" Oui, c'est un bon point" dit Mme Weasley de l'autre bout de la table, où elle s'assit, les lunettes perchées sur l'extrémité de son nez, observant une liste immense de tâches qu'elle avait inscrites sur un très grand bout de parchemin. " Sinon, Ron, as tu rangé ta chambre ?"
" Pourquoi? " s'exclama Ron, claquant sa cuillère en regardant sa mère. " Pourquoi ma chambre doit-elle être rangée ? Harry et moi sommes tous les deux contents telle qu'elle est ! "
" Nous avons le mariage de ton frère dans quelques jours, jeune homme ... "
" Et ils se marient dans ma chambre ? " demanda furieusement Ron, " Non ! Alors pourquoi au nom de la sagesse de Merlin ..."
" Ne parle pas de cette façon à ta mère " dit fermement Mr Weasley, " et fais ce qu'elle te dit de faire"
Ron regarda ses parents d'un air menaçant, repris sa cuillère et attaqua les dernières bouchées de sa part de tarte aux pommes.
" Je peux l'aider, c'est aussi un peu de mon désordre" dit Harry à Ron, mais Mme Weasley le coupa
" Non, Harry. Mon chéri, je préférerais plutôt que tu aides Arthur à déplumer les poulets, et Hermione, je te serais vraiment très reconnaissante si tu changeais les draps pour Monsieur et Madame Delacour, tu sais qu'ils arrivent à onze heures demain matin"

Mais il s'alerta en voyant qu'il y avait si peu à faire pour les poulets.
" Il n'y a pas besoin, dis-le à Molly" dis Mr Weasley à Harry, en lui bloquant l'accès à la cage. " Mais là, Ted Tonks m'a envoyé le plus de restes possibles de la moto de Sirius, et là, je cache ... je veux dire je la garde ici. Merveilleux travail ! Ici il y a un gaskin d'échappement, je pense que ça s'appelle comme ça, la plus merveilleuse batterie, et ça serait une grande opportunité de découvrir comment les freins marchent. Je vais essayer de tout recoller ensemble et tout faire fonctionner quand Molly ne sera pas là, euh je veux dire quand j'aurais le temps."
Quand ils retournèrent à la maison, Mme Weasley était hors de vue. Harry se glissa alors à l'étage, dans la chambre de Ron.
" Je la fais, je la fais ! Oh c'est toi " dis Ron, soulagé de voir Harry rentrer dans la chambre. Ron s'allongea de nouveau sur le lit, qui semblait avoir été évacué il y a à peine quelques secondes. La chambre était dans le même désordre qu'elle l'avait été durant toute la semaine. Le seul changement était qu'Hermione était assise dans l'angle le plus éloigné de la chambre, son gros chat pelucheux à ses pieds, Pattenrond, griffant des livres, que Harry reconnut comme étant les siens, entre deux énormes piles.
" Salut Harry" dit-elle pendant qu'il s'asseyait sur son lit de camp.
" Comment t'es-tu débrouillée pour t'échapper ?"
" Oh, la maman de Ron a oublié qu'elle nous avait déjà demandé à Ginny et moi de changer les draps hier" dit Hermione. Elle jeta Numérologie et grammaire sur une pile et l'âge d'or et la chute des forces du mal sur une autre.
" Nous étions justement en train de parler de Fol-Oeil" dit Ron à Harry. " Je pense qu'il a peut-être survécut"
" Mais Bill l'a vu se faire frapper par le sortilège de mort " dit Harry
" Ouais, mais Bill était attaqué aussi" dit Ron. " Comment pouvons nous être sûrs qu'il l'a vu ?"
" Même si le sort fatal a échoué, Fol-Oeil est quand même tombé de plusieurs centaines de mètres." dit Hermione, en pesant Les équipes de Quidditch de Grande Bretagne et d'Irlande dans sa main.
" Il a peut-être utilisé un sortilège de bouclier ... "
" Fleur a dit que sa baguette magique a été éjectée de sa main" dit Harry
" Bon, d'accord, si vous tenez absolument à ce qu'il soit mort" dit Ron en posant ses jambes de façon à être plus confortablement installé
" Bien sûr que nous ne voulons pas qu'il soit mort !" dit Hermione, choquée.
" C'est désespérant qu'il soit mort, mais nous sommes réalistes ! "
Pour la première fois, Harry imagina le corps de Fol-Oeil, brisé comme l'avait été celui de Dumbledore, avec toujours un oeil tournant au sein de son globe. Il sentit de l'écoeurement mêlé à un étrange désir de rire.
" Les Mangemorts ont probablement nettoyé derrière eux, c'est pourquoi personne ne l'a retrouvé" dit sagement Ron.
"Ouais" dis Harry " comme Barty Croupton, transformé en os et enterré dans le jardin d'Hagrid. Ils ont probablement transformé Fol-Oeil et ils l'ont... "
" Ne dis plus rien !! " couina Hermione. Effrayé, Harry se retourna juste à temps pour la voir éclater en larmes au dessus du .Bescherelle de Spellman.
" Oh non" dis Harry, luttant pour se retirer du vieux lit de camps. " Hermione, je ne voulais pas te mettre dans cet état..."
Mais avec un grand grincement de sommier rouillé, Ron bondit du lit et la rejoignit en premier. Le bras autour d'Hermione, il chercha dans la poche de son jeans et en retira un hideux mouchoir de poche qui servait à nettoyer les meubles. Retirant hâtivement sa baguette magique, il la pointa sur le chiffon en disant " Tergeo ".
La baguette retira la majorité de la quantité de graisse que le chiffon contenait. Paraissant plutôt content de lui-même, Ron tendit légèrement le mouchoir de tissu à Hermione.
" Oh ... Merci Ron... Je suis désolée ..." Elle se moucha et hoqueta "c'est juste que c'est si horrible n'est ce pas ? Di-Directement après Dumbledore... Je n'avais ja-jamais imaginé que Fol-Oeil pouvait mourir ... Il semblait si dur ! "
" Ouais je sais" dit Ron, lui donnant une tapette sur le dos. " Mais tu sais ce qu'il nous aurait dit s’il avait été là ?"
" Vigilance constante" dit Hermione, en essuyant ses yeux
" C'est exactement ça" dit Ron, acquiesçant. " Il nous aurait dit de tirer une leçon de ce qui lui est arrivé. Et ce que j'ai appris c'est qu'il ne faut pas avoir confiance en ce petit lâche de Mondingus."
Hermione retrouva le sourire et se pencha devant pour attraper deux livres de plus. Une seconde plus tard, Ron avait retiré son bras des épaules de celle-ci. Elle avait laissé tombé Le monstrueux livre des monstres sur ses pieds. Le livre avait été libéré de sa ceinture étouffante et mordait vicieusement la cheville de Ron.
" Je suis désolée ! Pardon ! " cria Hermione alors que Harry arrachait le livre de la jambe de Ron et l'étreignait fermement.
" Qu'est-ce que tu fais avec tous ces livres de toute façon ? " demanda Ron, boitant jusqu'a son lit.
" J'essayais juste de décider lesquels il fallait prendre avec nous" dit Hermione. " Pour chercher les Horcruxes "
" Oh bien sûr," dit Ron, frappant d'une main son front. " J'ai oublié que nous allions chasser Voldemort avec une bibliothèque mobile."
"Haha" dit Hermione, en regardant le Bescherelle de Spellman. " Je me demandais ... aurons-nous besoin d'interpréter les runes ? C'est possible... je pense que nous ferions mieux de le prendre, pour être sûr."
Elle laissa tomber le Bescherelle dans la plus large des deux piles et attrapa L'histoire de Poudlard.
" Ecoutez" dit Harry
Il s'était levé et se tenait droit devant eux. Ron et Hermione le regardaient avec une expression similaire de résignation mêlée de défiance.
" Je sais bien qu'après les funérailles de Dumbledore vous m'avez dit que vous vouliez venir avec moi" commença Harry.
" C'est reparti " dit Ron à Hermione, louchant des yeux.
" On savait qu'il le ferait " soupira-t-elle, retournant aux livres. " Vous savez, je pense que je prendrais L'histoire de Poudlard. Même si nous n'y retournons pas, je ne pense pas que je me sentirais bien si je ne l'ai pas avec ..."
"Ecoutez !!" répéta Harry
" Non, Harry, tu écoutes " dit Hermione. " On vient avec toi. Ça a été décidé depuis des mois, des années en réalité."
" Mais ..."
" Tais-toi " lui conseilla Ron
" Vous êtes surs d'y avoir bien réfléchi ?" insista Harry
" Voyons voir " dit Hermione, claquant Voyages avec les trolls et le jetant dans la pile, d'un air féroce. " Ça fait des jours que j'emballe les affaires, alors nous sommes prêts à partir au moment voulu, qui, pour info, inclut l'exercice d'un peu de magie de haut niveau, sans oublier qu'il faut piquer tout le stock de potion de polynectar sous le nez de la mère de Ron. J'ai aussi modifié la mémoire de mes parents, et ils sont maintenant convaincus qu'ils s'appellent Wendell et Monica Wilkins, et que leur rêve était de vivre en Australie, ce qu'ils ont finit par faire. C'est pour que Voldemort ait du mal à les retrouver et les interroger sur moi, ou plutôt sur vous, car malheureusement, je leur ai un peu parlé de vous. Supposons que je survive à la chasse aux Horcruxes, je retrouverai maman et papa et je leur enlèverai l'enchantement. Si ce n'est pas le cas et bien... Je pense que j'aurais laissé un nombre assez important de sorts pour les garder en sécurité et heureux. Wendell et Monica Wilkins ne savent pas qu'ils ont une fille, vous voyez."
Les yeux d'Hermione étaient de nouveau noyés de larmes. Ron se rendit près d'elle, mit ses bras autour d'elle une fois de plus, et fronça les sourcils à Harry, lui reprochant son manque de tact.
" Je... Hermione, je suis désolé... Je ne..."
" Tu ne savais pas que Ron et moi savions parfaitement ce qui pourrait nous arriver si nous venons avec toi ? Et bien nous savons ! Ron, montre à Harry ce qu'on a fait "
" Non, il vient de manger " dit Ron
" Vas-y ! Il doit le savoir !"
" Bon, ok. Harry, viens ici "
Pour la seconde fois Ron retira ses bras d'autour d'Hermione et s'avança vers la porte.
"Viens"
"Pourquoi? " demanda Harry, en suivant Ron hors de la chambre.
" Deshendo !" marmonna Ron, en pointant sa baguette sur le plafond. Une trappe s'ouvrit juste devant leurs têtes et une échelle descendit jusqu'a leurs pieds. Un son horrible provint du trou carré, avec une odeur de canalisations pourries.
"C'est ta goule n'est ce pas ?" demanda Harry, qui n'avait en fait jamais rencontré la créature, qui parfois rompait le silence de la nuit.
" Oui c'est elle" dit Ron, en grimpant l'échelle. "Viens jeter un coup d’oeil"
Harry suivit Ron et monta les quelques marches qui menaient à l'espace du grenier. Sa tête et ses épaules furent dans la pièce avant qu'il n'ait pu apercevoir la créature à quelques pieds de lui, courbée dans la triste obscurité et endormie, avec la bouche grande ouverte.
" Mais ça .... Est-ce que les goules ont pour habitude de mettre des pyjamas ?"
" Non" dit Ron " Ni celle d'avoir des cheveux rouges ou ce nombres de pustules sur le visage"
Harry contempla la chose, légèrement révolté. C'était un humain, en formes et en taille, qui était vêtu de, ce qu'Harry comprit après que ses yeux se furent habitués à l'obscurité, des pyjamas de Ron. Il était aussi sûr que les goules étaient généralement plutôt gluantes et chauves, plutôt que poilus et couverts de boursouflures pourpres.
" C'est moi tu vois" dit Ron
" Non, je vois pas." dit Harry
" Je t'expliquerai quand nous serons de retour dans ma chambre, l'odeur m'écoeure" dit Ron. Ils descendirent l'échelle, que Ron fit retourner vers le plafond, et rejoignirent Hermione, qui était toujours en train de trier les livres.
" Une fois que nous serons partis, la goule viendra et vivra ici dans ma chambre" dit Ron " Je pense qu'elle en est vraiment capable... enfin, c'est difficile à dire, parce que tout ce qu'elle peut faire c'est gémir et baver, mais elle acquiesce beaucoup quand on le lui dit. De toute façon, elle va être moi. Bien hein ?"
Harry sembla tout simplement confus
" Ca l'est !" dit Ron, manifestement frustré qu'Harry ne saisisse pas l'intelligence du plan. " Regarde, comme tous les trois nous ne retournons pas à Poudlard, tout le monde va penser qu'Hermione et moi sommes avec toi, ok ? Ce qui signifie que les mangemorts iront directement voir nos familles pour savoir s’ils ont des informations concernant le lieu où nous sommes."
" Mais si tout va bien, on croira que je suis partie avec maman et papa. Beaucoup de moldus parlent de se cacher en ce moment." dit Hermione
" On ne peut pas cacher ma famille entière, ça semblerait trop louche et ils ne peuvent pas tous quitter leur travail." dit Ron. " Alors nous allons faire croire que nous sommes sérieusement malades et moi, ce qui sera mon excuse pour ne pas aller à l'école. Si quelqu'un vient pour vérifier, maman ou papa pourront toujours montrer la goule dans mon lit, couverte de pustules. Spattergroit est vraiment contagieux, donc ils ne voudront pas s'en approcher. C'est pas trop grave s'il ne peut rien dire, parce que, à ce qui parait, on ne peut plus, une fois que le virus s'est correctement propagé"
" Et ton père et ta mère sont dans ce plan aussi ? " Demanda Harry.
" Papa a aidé Fred et George à transformer la goule. Maman… et bien, vous avez vu comment elle est. Elle ne nous acceptera pas tant que nous n'y sommes pas allés. "
Il y avait un silence dans la chambre, cassé seulement par des sons doux car Hermione continuait à jeter des livres les uns sur les autres. Ron se reposait en l'observant, et Harry regardait l'un et l'autre, incapable de dire quoi que ce soit. La décision qu'ils avaient prise pour protéger leurs familles lui avait fait réaliser, que plus que toute autre chose, ce qui pourrait avoir lieu, qu'ils allaient vraiment venir avec lui et qu'ils savaient exactement ce qui étaient dangereux. Il voulait leur dire ce que cela signifiait pour lui, mais il ne pouvait simplement pas trouver de mots assez forts. Avec le silence on pouvaient entendre les bruits de Mme Weasley criant quatre étages en dessous.
« Ginny a laissé probablement un point de la poussière sur un anneau de serviette de poxy, » indiquait Ron. « Je ne comprends pas pourquoi les Delacour doivent venir deux jours avant le mariage. »
« La demoiselle d'honneur est la soeur de Fleur. Elle doit être ici pour la répétition, et elle est trop jeune pour venir toute seule, » dit Hermione, car elle a étudié à fond avec une dame blanche.
« Bien, les invités ne vont pas aider les énormes efforts de maman, » dit Ron.
« Ce que nous devons vraiment décider, c'est » dit Hermione, jetant la théorie magique défensive dans le casier sans un second regard et prenant une évaluation d'éducation magique en Europe,
« Où nous irons après que nous soyons partis d'ici. Je sais que tu as décidé d'aller à Godric's Hollows d'abord, Harry, et je comprends pourquoi, mais… bon… ne devrions nous pas faire des Horcruxes notre priorité ? »
« Si nous savions où était l'un des Horcruxes, je serais d'accord avec toi, » dit Harry, qui se demandait si Hermione avait vraiment compris son désir de retourner à Godric's Hollows. Les tombes de ses parents étaient seulement une partie de cette raison. Il avait une sensation inexplicable que cet endroit avait des indications à lui apporter. Peut-être était-ce simplement parce que c'était là qu'il avait survécu à l'attaque de Voldemort. Maintenant qu'il relevait le défi de répéter l'exploit, Harry était décidé à retourner à l'endroit où cela s'était produit pour ainsi comprendre.
« Vous ne pensez pas que Voldemort n'a pas déjà pensé à cette hypothèse en mettant en surveillance Godric's Hollows ? » demanda Hermione. « Il pourrait prévoir que tu décides d'y retourner pour visiter les tombes de tes parents une fois que tu seras libre pour aller là où tu veux? »
Harry n'avait pas pensé à cela. Tandis qu'il cherchait à trouver un argument contraire, Ron parlait à voix haute, suivant sa façon de pensée.
« Cette personne R.A.B.» dit-il. « Vous savez, qui est cette personne qui a volé le vrai collier? »
Hermione inclina la tête.
« Il dit dans sa note qu'il allait le détruire, ne l'a t il pas fait ? »
Harry traîna son sac à dos vers lui et en sorti le faux Horcruxe dans lequel la note de R.A.B. était encore pliée.
« J'ai volé le vrai Horcruxe et j'ai l'intention de le détruire dès que je pourrai.' » Harry le relu.
« Bien, l'a t-il détruit? »Dit Ron.
« Ou elle. » s'interposa Hermione.
« Il dit Celui qui » indiqua Ron. « Et cela nous en ferait un en moins à chercher ! »
« Oui, mais nous allons toujours devoir essayer de trouver le vrai collier, n'est ce pas ? » dit Hermione, « pour découvrir s'il a été détruit. »
« Et une fois que nous mettrons la main dessus, comment détruira-t-on l'Horcruxe ? » demanda Ron.
« Et bien, j'ai fais des recherches sur cela » dit Hermione,
« Comment ? » demanda Harry. « Je n'ai pas pensé qu'il y avait des livres sur les Horcruxes dans la bibliothèque ? »
« Il n'y en avait pas, » dit Hermione, qui avait tourné au rose. « Dumbledore les a tous enlevés, mais il ne les a pas détruits. » Ron se reposait directement, avec l’oeil écarquillé.
« Comment au nom du pantalon de MERLIN nous allons pouvoir obtenir de nos mains ces livres d'Horcruxes ? »
« Il ne les a pas volés ! » dit Hermione, regardant Harry et Ron avec un air de désespoir. « Ils sont toujours des livres de bibliothèque, même si Dumbledore les avait pris outre des étagères. Quoi qu'il en soit, s'il ne voulait vraiment pas que n'importe qui en eût après eux, je suis sûr qu’il les aurait rendus? Encore plus introuvables - »
« Elle marque un point ! » dit Ron.
« Ben… c'était facile » dit Hermione, dans une petite voix. « J'ai juste fait un sortilège simple. Vous connaissez - Accio. Et ils sont sortis juste par la fenêtre d'étude de Dumbledore jusqu'au dortoir des filles. »
« Mais quand as-tu fait ça? » Demanda Harry, à Hermione avec un mélange d'admiration et d'incrédulité.
« Juste après l'enterrement de Dumbledore, » indiqua Hermione d’une voix encore plus petite. « Après que nous ayons convenus que nous quitterions l'école et irions rechercher les Horcruxes. Quand je suis retournée en haut pour chercher mes affaires, je me suis dis que plus nous en connaîtrions sur eux, mieux ce serait et j'étais toute seule dans le dortoir alors j'ai essayé… et ça a marché. Ils sont passés directement par la fenêtre ouverte et je les ai emballés. »
Elle avala sa salive et dit en priant, «Je pense que Dumbledore ne serait pas fâché en sachant que nous avons ces livres, ce n'est pas comme si nous allions utiliser ces livres pour faire un Horcruxe, n’est ce pas? »
« Et tu crois que nous allons nous plaindre ? » Dit Ron. « Où sont ces livres de toute façon ? »
Hermione fouilla pendant un instant dans son sac et en sorti une grande pile de larges volumes, faits en cuir noir fané. Elle les regarda avec tristesse et les ouvrit délicatement comme s’ils étaient récemment morts.
« C'est celui qui donne des instructions explicites sur la façon de faire un Horcruxe. Secrets de la magie noire - c'est un livre horrible, vraiment terrible, plein de magie noire. Je me demande quand Dumbledore l'a enlevé de la bibliothèque. … sûrement une fois qu’il était devenu le directeur de Poudlard, je parie que Voldemort a obtenu toutes les informations dont il avait besoin là dedans. »
« Pourquoi a-t-il dû demander à Slughorn comment faire un Horcruxe, s'il avait déjà lu ? » Demanda Ron.
« Il a seulement approché Slughorn pour découvrir ce qui se produirait si vous coupiez votre âme en sept » dit Harry. « Dumbledore était sûr que Voldemort avait déjà su faire un Horcruxe avant qu'il n’ait demandé à Slughorn. Je pense que tu as raison, Hermione, il pouvait avoir lu l'information bien avant. »
« Et j’ai déjà commencé à en savoir un peu plus sur eux » dit Hermione, « Cela semble horrible, et j’ai du mal à croire qu’il en ai fait six. Le livre avertit qu’il est très dangereux de détacher un bout de votre âme, juste pour faire un Horcruxe ! »
Harry se rappelait que Dumbledore avait indiqué au sujet de Voldemort qu’il disait au delà « du mal habituel. »
« Et on ne peut plus rebrousser chemin après ? »Demanda Ron.
« Non » dit Hermione avec un sourire creux, « Mais c’est atrocement douloureux »
« Pourquoi ? Comment ça se fait ? » Demanda Harry.
« Les remords» indiqua Hermione. « Tu ressens vraiment ce que tu viens de faire. Il y a une apostille. Apparemment la douleur est telle, qu’elle peut vous détruire. Je ne peux pas voir Voldemort l'essayer d’une façon ou d'une autre, vous y croyez-vous ? »
« Non, » dit Ron, avant qu’Harry réponde. « Bien, expliquent-ils comment détruire les Horcruxes dans ce livre ? »
« Oui, » dit Hermione, tournant maintenant les pages fragiles comme si c’était des entrailles de décomposition, « parce qu'il avertit les magiciens sombres combien ils doivent faire de sortilèges sur eux. De tous ce que j'ai lu, ce qu’à fait Harry au journal intime de Jedusor était l'une des quelques manières pour détruire un Horcruxe. »
« Le poignarder avec un crochet de Basilic? »Demanda Harry.
« Génial, nous avons un si grand stocks de crochet de basilic,» dit Ron ironique. « Je me demandais ce que nous allions faire avec eux. »
« Ce n’est pas obligatoirement un crochet de basilic» dit Hermione patiemment. « Cela doit être quelque chose de très puissant pour que l’Horcruxe ne puisse pas être réparé. Il existe un antidote au venin de basilic, mais il est incroyablement rare - »
« - Fumseck bien sur» dit Harry, inclinant la tête.
« Exactement» dit Hermione. « Notre problème est qu'il y a très peu de substances aussi destructrices que le venin de basilic, et il est tout aussi dangereux de le porter sur soi. C'est un problème que nous allons devoir résoudre, bien que, pour que l’on casse, brise, ou écrase un Horcruxe. Ce ne sera pas tout. Vous devez le mettre hors d’état de réparation magique. »
« Mais si nous détruisons la chose qui vit dedans » dit Ron, « pourquoi le bout d’âme ne peut-il pas entrer dans un autre objet ? »
« Puisqu'un Horcruxe est l'opposé complet d'un être humain. » Voyant que Harry et Ron la regardait complètement confus, Hermione rechercha. « Regardez, si vous preniez une épée en ce moment, Ron, et à travers celle-ci tu n’endommagerais pas ton âme du tout. »
» Génial quel réconfort » dit Ron. Harry rit.
« C’est vrai! Mais mon point de vue est que si celui-ci arrive à votre corps, votre âme survivra et restera intacte » dit Hermione. « Mais c'est le contraire avec un Horcruxe. Le fragment de l'âme à l'intérieur dépend de son récipient, son corps enchanté, pour la survie. Il ne peut pas exister sans lui. »
« Cette sorte de journal intime mourait quand je l'ai poignardé, » dit Harry, se rappelant l'encre verser comme le sang des pages perforées, et des cris perçants du morceau de l'âme de Voldemort pendant qu'il disparaissait. »
« Et une fois que le journal intime est correctement détruit, le peu d'âme emprisonné dedans ne peut plus exister. Ginny a essayé de se débarrasser du journal intime avant que tu ne le fasses, en le noyant, mais évidemment il est resté comme neuf. »
« Elle était possédée » dit Ron, fronçant les sourcils. « Le peu d’âme que ce journal intime possédait, était de Ginny, n'est-ce pas? Comment cela est possible? »
« Tant que le récipient magique est encore intact, le peu d'âme à l'intérieur peut se déplacer dans ou hors de quelqu'un s'ils deviennent trop proches de l'objet. Je ne peux pas donner plus d’informations pour le moment, il n'y a rien à faire contre le toucher» ajouta-t-elle avant que Ron puisse parler. « Je veux dire qu’avec l’émotion, Ginny a laissé parler son coeur dans ce journal intime, elle s'est rendue incroyablement vulnérable. Vous avez des ennuis si vous êtes trop affectueux avec la personne en charge de l’Horcruxe. »
« Je me demande comment Dumbledore a détruit l'anneau? » Dit Harry. « Pourquoi je ne lui ai pas demandé ? Je n’y avais jamais pensé »
Sa voix traînait loin. Il pensait à toutes les choses qu'il n’avait pas demandées à Dumbledore, et de la façon dont, le directeur était mort, il semblait à Harry qu'il avait gaspillé tant d'occasions quand Dumbledore était vivant d'en découvrir plus… pour découvrir tout…
Le silence se brisa lorsque que la porte de la chambre à coucher s’ouvrit avec un choc contre le mur. Hermione poussa des cris perçants et laissa tomber des secrets de la magie noire ; Pattenrond striait sous le lit, sifflant avec indignation ; Ron sauta sur le lit, en marchant sur un emballage de chocogrenouilles, et se cogna la tête sur le mur opposé ; et Harry instinctivement plongea sur sa baguette magique avant de se rendre compte qu'au-dessus, Mme Weasley, dont les cheveux bouclés et dont le visage était contorsionné par la fureur.
« Je suis désolée de casser votre conversation sûrement très intéressante »dit-elle, d’une voix tremblante. « Je suis sûr que vous avez assez récupérés…il y a des présents de mariage empilés dans ma chambre qui ont besoin d’être trié et j'ai comme l’impression, que vous avez acceptés de m’aider. »
« Oh oui, » dit Hermione, la regardant terrifiée pendant qu'elle se mettait debout. « Nous… nous sommes désolés… »
Avec un regard de désolation Harry, Ron et Hermione se dépêchèrent de sortir de la salle après Mme Weasley.
« On devrait avoir un elfe de maison » se plaignit Ron à voix basse, massant toujours sa tête en suivant Harry. « Excepté sans la satisfaction professionnelle. Plus tôt le mariage sera fini, plus heureux, je serai. »
« Ouais, » dit Harry, « alors nous n'aurons rien à faire, excepté la recherche des Horcruxes. …. Il aura lieu pendant les vacances ? »
Ron commença à rire, mais à la vue de l'énorme pile de présents de mariage les attendant dans la pièce de Mme Weasley, ils s’arrêtèrent brusquement.

Les Delacours arrivèrent le matin suivant à onze heures. Harry, Ron, Hermione et Ginny se sentaient tout à fait irrités envers la famille de Fleur d’arriver à cette heure ; et ils étaient chanceux, Ron mettait des chaussettes pour être assorti à sa tenue, et Harry essaya d'aplatir ses cheveux. Une fois que tous étaient prêts, ils se rassemblèrent dehors dans l'arrière-cour ensoleillée pour attendre les visiteurs. Harry n'avait jamais vu l'endroit si bien rangé. Les chaudrons rouillés et les vieilles bottes de Wellington qui étaient habituellement très sales, n’étaient plus à côté de la porte de derrière, remplacés par deux nouvelles plantes à Pipaillon de chaque côté de la porte dans de grands pots. Bien qu'il n'y ait aucune brise, les feuilles ondulaient paresseusement, donnant des ondulations attrayantes. Les poulets étaient enfermés au loin, le yard avait été balayé, et le jardin voisin avait été taillé, et bien refait, bien qu’Harry l’aimait dans son état envahi, il regardait plutôt désespérément s’il n’y avait de gnomes de jardin.
Il avait oublié combien de sortilèges de sécurité avaient été placés sur le terrier par l'ordre et le ministère ; tout ce qu'il savait c'est qu'il n'était plus possible pour quiconque de voyager par magie directement à cet endroit. Mr.Weasley était donc allé rencontrer les Delacours sur une colline voisine, où ils devraient arriver par portoloin. Le bruit de leur approche était un rire exceptionnellement aigu, qui s'est avéré venir de Mr. Weasley, qui apparu, chargé de bagages et avec une belle femme blonde, passant à travers les feuilles avec de longues robes vertes, qui devait être la mère de Fleur.
« Maman ! » pleura Fleur, se précipitant en avant pour l'embrasser. « Papa ! »
Monsieur Delacour était moins attirant que son épouse ; il était plus petit et se tenait droit, arborant une barbe noire. Cependant, il semblait de bonne composition.
Se retournant vers Mme Weasley, il l'embrassa deux fois sur chaque joue.
« Vous avez eu beaucoup d'ennuis » dit-il d'une voix profonde. « Fleur nous a indiqué le fonctionnement de protection. »
« Oh, ce n'était rien, rien ! » dit Mme Weasley. « Aucun ennui du tout ! »
Ron soulageait ses sentiments en visant un gnome qui scrutait dehors par derrière de la nouvelle plante à Pipaillon.
« Chère dame ! » dit Monsieur Delacour, tenant toujours la main de Mme Weasley entre les siennes.
« Nous sommes honorés de l'union de nos deux familles ! Laissé-moi vous présenter mon épouse, Apolline. »
Madame Delacour glissa en avant et se pencha pour embrasser Mme Weasley.
« Enchantée, » dit-elle. « Votre mari nous a raconté des histoires très amusantes! »
Mr. Weasley eu un fou rire ; Mme Weasley lui jeta un regard, qu'il le rendit immédiatement silencieux et avec une expression d'un ami étroit.
« Et, naturellement, vous avez déjà rencontré ma fille, Gabrielle ! » dit Monsieur Delacour.
Gabrielle ressemblait à Fleur mais plus petite ; elle avait onze ans, avec des cheveux blonds et argentés, elle donna à Mme Weasley un sourire éblouissant et la prit dans ces bras, puis jeta à Harry un regard rougeoyant, en battant des cils. Ginny s'éclaircit bruyamment la gorge.
« Bien, entrez donc ! » dit Mme Weasley brillamment, et elle conduit les Delacour dans la maison, avec beaucoup de « non, SVP ! » et « après toi ! » et « pas du tout ! ».
Les Delacours, étaient des invités utiles et plaisants. Ils étaient heureux d'aider aux préparations pour le mariage. Monsieur Delacour prononça « Charmantes demoiselles d'honneur ! » Madame Delacour faisait des charmes ménagers afin de nettoyer correctement le four; Gabrielle suivait sa soeur plus âgée, essayant de l'aider de quelque façon qu'elle pourrait et parler au loin en français rapidement.
En bas, le terrier n'était pas construit pour recevoir tant de personnes. M. et Mme Weasley dormaient maintenant dans le salon, malgré les protestations de Monsieur et de Madame Delacour insistant qu'ils reprennent leur chambre à coucher. Gabrielle dormait avec Fleur dans la vieille pièce de Percy, et Bill partagera avec Charlie, son témoin, une fois que Charlie arrivera de Roumanie. Les occasions de faire des plans ensemble devenaient pratiquement inexistantes, et cela désespéraient Harry, Ron et Hermione qui avaient choisis de nourrir les poulets juste pour échapper à la maison surchargée.
« Mais elle ne nous laissera jamais seuls ! » gronda Ron, et leur deuxième tentative de réunion en cours fut ratée car Mme Weasley était apparue portant un grand panier de blanchisserie dans ses bras.
« Oh, bien, vous avez nourris les poulets » elle les appela en approchant. « Nous devrions les enfermer avant que les hommes arrivent demain… pour mettre le chapiteau pour le mariage, » expliqua-- elle, faisant une petite pause contre le poulailler.
Elle semblait épuisée. « Les chapiteaux magiques de Millamant…sont très bons. Bill les escorte. …. Vous devriez rester à l'intérieur tant qu'ils seront ici, Harry. Je dois dire que tu compliques l'organisation du mariage, avec tous ces enchantements de sécurité autour de l'endroit. »
« Je suis désolé » dit Harry humblement.
« Oh, ne sois pas idiot ! » dit Mme Weasley immédiatement. « Je n'ai pas voulu dire ça ! Ta sûreté est beaucoup plus importante ! En fait, j'avais voulu te demander comment tu veux célébrer ton anniversaire, Harry. Dix-sept ans, après tout, c'est un jour important. … »
« Je ne veux pas grand chose » dit Harry rapidement, envisageant la contrainte additionnelle que ceci leur ajouterait en plus. « Vraiment, Mme Weasley, juste un dîner normal…. C'est le jour avant le mariage. … »
« Oh, bien, si tu es sûr. J'inviterai Remus et Tonks, si tu veux ? Et que dirais-tu d'Hagrid ? »
« Ce serait génial » dit Harry. « Mais je ne veux pas que cela vous cause d'ennui. »
« Pas du tout, pas du tout…. Aucun ennui. … »
Elle le regarda, un long moment, puis le regarda dans les yeux, puis sourit un peu tristement, se redressa, et marcha au loin. Harry observa pendant qu'elle ondulait sa baguette magique près de la ligne de linge, et les vêtements humides se levèrent dans les airs pour s'accrocher, et soudainement il sentit une grande vague de remords le déranger et lui faire mal.

lee

Anonyme a dit…

lire en anglais JK Rowling, parfait
ta traduction est un plus pour les détails !
la traduction française un monceau d'erreurs : Harry et James ont les cheveux bruns, Drago a subi un sortilège de Désarmement (par Harry, page 793)
les parents de Harry ont été torturés (page 44) ... etc - le pire ! -
le meilleur : Dobby, tremblait des pieds jusqu'à la pointe de ses oreilles. Il était de retour dans la maison de ses anciens maîtres et manifestement, il était pétrifié
( une statue )
il était terrifié ... etc etc etc

Anonyme a dit…

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le meilleur : Dobby, tremblait des pieds jusqu'à la pointe de ses oreilles. Il était de retour dans la maison de ses anciens maîtres et manifestement, il était pétrifié
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la traduction française un monceau d'erreurs : Harry et James ont les cheveux bruns, Drago a subi un sortilège de Désarmement (par Harry, page 793)
les parents de Harry ont été torturés (page 44) ... etc (le pire)
le meilleur : Dobby, tremblait des pieds jusqu'à la pointe de ses oreilles. Il était de retour dans la maison de ses anciens maîtres et manifestement, il était pétrifié ( une statue)
(terrifié) ... etc aussi !