lundi 6 août 2007

Chapitre 35

Chapitre 35

I

l était étendu face contre terre, écoutant le silence. Il était parfaitement seul.

Personne ne regardait. Personne d'autre n'était là. Il n'était même pas sur d'être là luimême.

Un long moment après, ou peu être pas de temps du tout, il lui vint à l'esprit qu'il

devait exister, qu'il devait néanmoins être plus que désincarné, parce qu'il était

étendu, sans aucun doute étendu, sur une surface quelconque. Donc il avait le sens du

toucher, et la chose contre laquelle il était étendu existait également.

Au moment même où il était arrivé à cette conclusion ou presque, Harry pris

conscience qu'il était nu. Convaincu qu'il était absolument seul, cela ne l'inquiéta pas,

mais ça l'intriguait un peu. Il se demanda si, comme il pouvait sentir, il pourrait être

capable de voir. En les ouvrant, il découvrit qu'il avait des yeux.

Il était étendu sur un brouillard lumineux, bien qu'il ne soit pas comme le brouillard

qu'il avait jamais vu avant. Ses alentours n'étaient pas cachés par de la vapeur

nuageuse; la vapeur nuageuse ne s'était pas encore formés à ses alentours. Le sol sur

lequel il était étendu semblait être blanc, ni chaud ni froid, mais simplement là, un

quelque chose plat, blanc sur lequel être.

Il s'assit. Son corps apparu indemne. Il toucha son visage. Il ne portait plus de

lunettes.

Puis un bruit l'atteint à travers l'informe rien qui l'encerclait: le petit bruit sourd doux

de quelque chose qui bougeait, fouettait et luttait. C'était un bruit pitoyable, et un peu

indécent aussi. Il avait le sentiment inconfortable qu'il était en train d'écouter aux

portes de quelque chose de furtif, honteux.

Pour la première fois, il souhaita être habillé.

Le souhait s'était à peine formé dans sa tête qu'une robe de sorcier apparu un peu plus

loin. Il la prit et l'enfila. Elle était douce, propre et chaude. C'était extraordinaire

comme elle était apparue juste comme ça, au moment où il l'avait voulue…

Il se leva, regardant autour de lui. Était-il dans un sorte de grande salle sur demande?

Plus il regardait, plus il y avait à regarder. Un grand toit de verre en forme de dôme

brillait haut au dessus de lui à la lumière du soleil. Peut être était-ce un palais. Tout

était étouffé et immobile, sauf les bruits bizarres sourds et gémissements qui venaient

de quelque part près du brouillard.

Harry tourna lentement, et les alentours semblaient s'inventer eux-mêmes devant ses

yeux. Un espace grand ouvert, brillant et propre, un hall bien plus grand que la grand

salle, avec ce plafond de verre clair en forme de dôme. Il était presque vide. Il était la

seule personne ici, excepté de …

Il recula. Il avait repéré la chose qui faisait le bruit. Il avait la forme d'un petit enfant

nu, courbé sur le sol, sa peau à vif et rugueuse, semblant écorchée, et il était étendu

gigotant sous un siège où il avait été laissé, non voulu, mis hors de vue, essayant de

sortir pour respirer.

Il avait peur de cette chose. Tout petit et fragile et blessé qu'il soit, il ne voulait pas

l'approcher. Néanmoins il s'approcha lentement plus près, prêt à bondir en arrière à

tout moment. Bientôt, il se tenait assez près pour le toucher, mais il ne pouvait pas

encore se résoudre à le faire. Il eu le sentiment d'être un lâche. Il devait le réconforter,

mais il le dégoûtait.

" Tu ne peux pas l'aider. "

Il se tourna. Albus Dumbledore marchait dans sa direction, se tenant droit, portant

une robe d'un bleu nuit.

" Harry " Il ouvrit grand ses bras, et ses mains étaient toutes les deux entières et

blanches et intactes. " Merveilleux garçon. Courageux, courageux garçon. Marchons.

"

Abasourdi, Harry suivit tandis que Dumbledore marchait à grand pas loin de l'endroit

où l'enfant écorché était étendu, gémissant, l'entraînant vers deux sièges que Harry

n'avaient pas vu auparavant, prenant de la distance sous ce haut, plafond étincelant.

Dumbledore s'assit dans l'un d'eux, et Harry tomba dans l'autre, fixant le visage de son

vieux directeur. Les longs cheveux et la barbe grise, les yeux bleus perçants derrière

les lunettes en demi-lune, le nez aquilin: tout était comme il s'en souvenait. Et

pourtant…

" Mais vous êtes mort " dit Harry.

" Oh oui " dit Dumbledore pragmatiquement.

" Alors… Je suis mort moi aussi? "

" Ah " dit Dumbledore, souriant encore plus largement. " C'est la question n'est-ce

pas? Entièrement, cher garçon, je ne pense pas que tu sois mort. "

Il se regardèrent l'un l'autre, le vieil homme toujours rayonnant.

" Pas mort? " répéta Harry.

" Pas mort " dit Dumbledore.

" Mais… " Harry leva sa main instinctivement vers la cicatrice en forme d'éclair. Elle

ne semblait pas être là. " Mais j'aurais du mourir - je ne me suis pas défendu! Je

voulais le laisser me tuer! "

" Et ça " dit Dumbledore " aura, je pense, fait toute la différence "

Le bonheur semblait irradier de Dumbledore comme de la lumière; comme du feu,

Harry n'avait jamais vu cet homme si absolument, si palpablement content.

" Expliquez moi " dit Harry.

" Mais tu le sais déjà " dit Dumbledore. Il joint ses doigts ensembles.

" Je l'ai laissé me tuer " dit Harry, " N'est ce pas? "

" Tu l'as fait " dit Dumbledore, acquiescant " Continue! "

" Donc la partie de son âme qui était en moi… "

Dumbledore acquiesça avec encore plus d'enthousiasme, encourageant Harry à

continuer, un large sourire d'encouragement sur son visage.

" est-ce qu'elle est partie? "

" Oh oui! Dit Dumbledore. " Oui, il l'a détruite. Ton âme est entière, et entièrement la

tienne Harry. "

" Mais alors… "

Harry regarda par-dessus son épaule vers la petite créature mutilée qui tremblait sous

la chaise.

" Qu'est ce que c'est Professeur? "

" Quelque chose qui va au-delà de notre aide " dit Dumbledore.

" Mais si Voldemort a utilisé le sortilège de la mort " recommença Harry " et que

personne n'est mort pour moi cette fois, comment puis-je être en vie? "

" Je pense que tu le sais " dit Dumbledore " Penses y. Rappelle toi ce qu'il a fait, dans

son ignorance, dans son avidité et sa cruauté. "

Harry pensa. Il laissa son regard s'égarer autour de lui. Si c'était en effet un palais

dans lequel ils étaient assis, c'en était un bizarre, avec des chaises en petit rangs et des

barrières ici et là, et encore, lui et Dumbledore et la créature chétive sous la chaise qui

étaient les seules personnes vivantes présentes. Puis la réponse s'éleva de ses lèvres

facilement, sans efforts.

" Il a pris mon sang " dit Harry.

" Précisément! " dit Dumbledore " Il a pris ton sang et reconstruit son corps avec lui!

Ton sang dans ses veines Harry, La protection de Lily à l'intérieur de vous deux! Il t'a

enchaîné à la vie tant qu'il vit! "

" Je vis… tant qu'il vit? Mais je pensais… je pensais que c'était l'autre moyen! Je

pensais que nous devions tous les deux mourir? Ou est ce que c'est la même chose? "

Il était distrait par les gémissements et les battements de la créature agonisante

derrière eux et lui jeta un regard une nouvelle fois.

" Vous êtes sur qu'on ne peut rien faire? "

" Il n'y a pas d'aide possible. "

" Alors expliquez moi … plus " dit Harry et Dumbledore sourit.

" Tu étais le septième Horcrux Harry, l'Horcrux qu'il n'avait jamais eu l'intention de

faire. Il a rendu son âme tellement instable qu'elle s'est brisée quand il a commis ces

actes démoniaques impensables, les meurtres de tes parents, la tentative de tuer un

enfant. Mais ce qui s'est échapé de cette chambre était encore moins que ce qu'il

pensait. Il a laissé plus que son corps derrière lui. Il a laissé une partie de lui-même

verouillée en toi, la future victime qui a survécu.

" Et sa connaissance reste lamentablement incomplète, Harry! Ce que Voldemort

n'estime pas, il ne prend pas la peine de le comprendre. Des elfes de maison et des

contes pour enfants, de l'amour, la loyauté, et l'innocence, Voldemort ne connaît et ne

comprend rien. Rien. Qu'ils ont tous un pouvoir au dessus du sien, un pouvoir au-delà

de l'atteinte de n'importe quel magie, est une vérité qu'il n'a jamais comprise.

" Il a pris ton sang en pensant qu'il lui donnerait de la force. Il a pris dans son corps

une petite part de l'enchantement que ta mère à mis en toi quand elle morte pour toi.

Son corps garde son sacrifice en vie, et tant que l'enchantement survit, tu survis et le

dernier espoir de Voldemort pour lui-même survit aussi "

Dumbledore sourit à Harry et Harry le regarda.

" Et vous saviez tout ça? Vous saviez - tout le temps? "

" Je le devinais. Mais mes pensées ont été généralement exactes " dit Dumbledore

joyeusement, et ils restèrent assis en silence pendant ce qui sembla être un long

moment, pendant que la créature derrière eux continuait à trembler et à gémir.

" Il y a plus’ dit Harry " Il y a plus que ça. Pourquoi ma baguette a cassé la baguette

qu'il avait emprunté? "

" Encore une fois, je ne peux pas être sur "

" Essayez de deviner alors " dit Harry et Dumbledore se mit à rire.

" Ce que tu dois comprendre Harry, c'est que Lord Voldemort et toi avez voyagé

ensemble dans des domaines de la magie jusqu'alors inconnus et non testés. Mais

voilà ce que je pense qu'il s'est passé, et c'est sans précédent, et aucun fabriquant de

baguette ne pouvait je pense avoir prédit ou expliqué ça à Voldemort.

" Sans le vouloir, comme tu le sais maintenant, Lord Voldemort à doublé le lien entre

vous quand il est revenu à une forme humaine. Une partie de son âme était toujours

attachée à la tienne, et, pensant se rendre plus fort, il a pris une partie du sacrifice de

ta mère en lui-même. Si seulement il avait pu comprendre le terrible et exact pouvoir

de ce sacrifice, il n'aurait peut être pas osé toucher à ton sang… Mais alors, si il avait

été capable de le comprendre il se serait pas Lord Voldemort, et n'aurait peut être

jamais tué.

Ayant renforcé cette connection, ayant lié vos destins ensemble plus que deux

sorciers n'ont jamais été liés dans l'histoire, Voldemort t'a attaché avec une baguette

qui partage un coeur avec la tienne. Et qqch de vraiment étrange c'est produit, comme

nous le savons; LEs coeurs on réagi ensemble d'une façon que Lord VOldemort, qui

ne savait pas que ta baguette était jumelle de la sienne, n'aurait jamais supposé.

Il était plus effrayé que toi cette nuit là, harry.Tu as accepté, et meme étreint cette

possiblité de moourir, qqch que lord voldemort n'aurai jamais été capable de faire.

Ton courage a gagné, ta baguette a battu la sienne. Et ainsi, quelquechose c'est passé

entre ces baguette, quelqechose qui rappelle la relation entre leurs maitres.

Je pense que ta baguette a imbibé quelques unes des puissances et qualités de celle de

voldemort cette nuit, ce qui revient à dire un petit peu de Voldemort lui meme. Ainsi

ta baguette l'a reconnu quand il t'a poursuivi, a recconnu un homme qui était a la fois

un énemi familier et mortel, et ainsi elle a régurgité un peu de sa magie contre lui, une

magie bien plus pussante que celle de Lucius aurait pu produire. Ta baguette contient

désormais la puissance de ton énorme courage, et le propre niveau mortel de

Voldemort. Quelle chance avait le pauvre baton de lucius malefoy?

-Mais si ma baguette était plus puissante, comment hermione a pu la casser?

-Mon cher garçon, ses effets remarquables sont dirigés uniquement vers voldemort,

qui a cherché à trafiquer tellement maladivement avec les lois les plus profondes de la

magie. Seuls contre lui ta baguette était anormallement puissante. Autrement, c'est

uen baguette come une autre... Mais une bonne, j'en suis sur.

-il m'a tué avec votre baguette

-il a échoué à te tuer aec ma baguette*k Je pense que nous sommes d'accord sur le fait

que tu n'st pas mort, malgré que, bien sur, ayant peur que ce soit discourtois, je ne

minimise pas tes souffrances, qui sont certainement séveres.

-Je me sentais fort à ce moment

h: 'les reliques de la mort'

-ah, oui

-alors?

-peux tu me pardonner? peux tu me pardonner de ne pas d'avoir fait confiance? pour

ne pas te l'avoir dit?Harry, j'avais juste peut que tu rate comme j'ai raté. je craignais

que tu fasses les memes errueurs que moi. Je te demande pardon, harry. Je sais,

depuis quelque temps maintenant, que tu es l'homme du mieux.

-de quoi parlez vous?

-les reliques, les reliques! le reve d'un homme désepéré!

-mais elles sont réelles!

-réelles, et dangereuses, et un leure pour les imbéciles! j'étais un tel imbécile. Mais tu

le sais, non? je n'ai plus de secrets pour toi désormais. Tu le sais.

-Que sais-je?

-le maitre de la mort, harry, le maitre de la mort! étais-je meilleur, finalement, que

voldemort ?

-Bien sur que vous l'étiez! comment pouvez vousd emander ceci! vous n'avez jamais

tué si vous pouviez l'éviter!

-c'est vrai, c'est vrai. moi aussi, je cherchais un moyen de conquérir la mort, harry

-pas son moyen à lui. les reliques, par les horcrux!

-Les religuqes;. pas les horcrux... exactement!

(PAUSE)

Grindewald les cherchai aussi ?

-C'est la chose, au dessus de toutes, qui nous liai. deux garçons intellignets, arogant,

avec une obsession partagée; IL voulai venir à godric hollow,et j'en suis sur que tu le

suppose, a cause de la tombe de ignotus peverell. IL voulait explirait l'endroit ou le 3e

frere est mort.

-donc c'est vrai? tout? les freres peverell.;.

-sont les 3 freres du conte, oui. Oh oui, je le pense. Meme si ils ont rencontré la Mort

sur une route solitaire; Je pense plus que les frere peverell sont simplements des

sorciers doués, dangereux, qui ont eu leur succes en créant ces puissants objets.

L'histoire que ce sont les reliques de la mort est pour moi une sorte de légende qui est

sortie de tels objets.

La cape, comme tu le sais, a voyagé a travers les ages, de pere en fils, de mere en

fille, jusqu'au dernier descendant de ignotus, qui est né, comme ignotus, dans le

village godric's hollow.

-MOi?

-Toi. Tu as deviné, je le sais, que la cape était en ma possession la niut ou tes paents

sont mors.James me l'avai montré juste quelques jours avant. cela expliquait tand de

ses méfaits à l'école! Javais du mal a croire ce que je voyais. Je lui ai demandé de me

la preter, pour que je l'examine. J'avais depuis longtemps abandonné le reve de réunir

les reliques, mais je ne pouvais résister, je ne pouvais empecher d'y jeter un plus

profond regard. C'est june cape comme je n'en avai jamais vue, incroyablement

vieille, parfaite sous tous les aspects... Et ensuite ton pere est mort, j'avai finalement 2

reliques à moi!

-La cape ne les aurai cependant pas aidé à survivre. Voldemort savait ou mon pere et

ma mere étaient. La cape ne les aurait pas rendu insensibles aux sorts.

-Vrai. Vrai.

-Donc vous aviiez abandonné la quete des reliques au moment ou vous avez vu la

cape.

-Oh, oui. tu sais ce qui c'est passé, tu le sais. tu ne peux me m'en vouloir plus que je

m'en veux.

-mais je ne vous en veux pas!

--alors tu devrais. Tu sais le secret de ma soeur malade, tu sais ce qu'on fait ces

moldus, ce qu'elle est devenu, que mon pere a cherché la vengence, et en a payé le

rpix, mort à azkaban. Tu sais comment ma mere a oublié sa vie pour s'occuper

d'ariana.

Je le resentais, harry.

j'étais doué, brillan, je voulais m'échapper. Je voulais briller. Je voulais la gloire.

Comprends moi bien, je les aimais, j'amais mes parents, mon frere et ma soeur, mais

j'étais égoiste, harry, plus égoisite que toi, qui est une personne très peu égosite, dure

à imaginer.

Ainsi, quand ma mere est morte, j'ai eu la responsabilité d'une soeur endommagée,et

d'un frere rebelle. Je suis retourné avec peur et appréhension dans mon village. Piegé

et perdu, je pensais! Et ensuite, il est venu..

Grindewald. Tu ne peux imagnier comment ses idées me relfetaient , m'enflammaient.

les Moldus forcés à la servitude. Nous, sorciers, triomphants. grindewald et moi, les

jeunes et glorieux leaders de la révolutions.

Oh, j'avais quelsques scrupules. Je soulageait mas conscscience avec des mots vide.

pour un meilleur bien, et chaque violence serait cent fois pslu bénéfiqeu pour le

monde magique. SAvais-je, au fond de mon coeuyrn qui grevet rindewal était?je le

pensais,mais je fermais les yeux. Si les plans que nous faisions étaient fructifiants,

tous mes reves deviendraient vrai.

Et au coeurs de nos plans, les reliques de la mort! comment elles le facinaient,

comment elles nous facinaient! la baguette imbattabe, l'arbe qui nous menerai au

pouvoir! la piere de résurection -pour lui, bien que je prétendais ne pas le savoir,

signifiaient une armée d'inferi! POur moi, je le confesse, signifiaient le retour de mes

parents, et enlevait toute responsabilité de mes épaules.

Et la cape.. d'une certaine façon, nous n'avions jamais discuté de la cape, harry. Nous

réussissions assez bien sans la cape, la seule magie quji, bien sur, protege aussi bien

les autres que son possesseur. Je pensais que si nous la trouvions, elle pourait etre

utile pour cacher ariana, mais notre interet pour la cape était surtout car elle complete

trio, car la légende dit que celui qui les réuni devien le vrai meme si je prétendis que

non, maitr de la mort, et nous pensions que cela signifiait, invincibles.

Les invincibles maitres de le mort, grindewaod et dumbledore! 2 mois d'insanité, de

reves cruels, de négligence envers les 2 derniers membres que ma famille m'a laissé.

Et tu connais la suite. La réalité est revenue, avec la forme frere, rude, illétré, et

infiniment plus admirable que moi. Je ne voulais pas entendre la vérité qu'il me criait.

Je ne voulais pas entendre que je ne pouvais pas continuer ma quete des reliques avec

une soeur fragile et instable sous ma responsabilité.

Cet argument est devenu une bataille. Grindewald a perdu son controle. Je lui avait

toujours paru censé, désormais tirés dans cette terrible existence. Et ariana... apres les

soins de ma mere... est morte sur le plancher.

BOn, grindewald est parti, comme nimporte qui sauf moi aurait pu le prédire. Il a

disparu, avec ses plans de conquerir le pouvoirs, et ses idées de torture de moldus, et

ses reves des Reliques de la mort, reves que j'encourageais et que j'aidai. IL est parti,

je suis rester enterrer ma soeur et j'ai appri a vivre avec ma culpabilité, et mon terrible

grief, le prix de ma honte.

Des années sont passés. il y avait des rumeurs sur lui. elles disaient qu'il s'était

procuré une baguette d'un immense pouvoir. Je me suis vu, en meme tps, proposé le

poste de Ministre de la magie, pas une,mais plusieurs fois. naturellement, j'ai refusé.

j'avais appri que l'on ne pouvais pas me faire confiance avec du pouvoir.

-Mais vous auriez été meilleur, bien meilleur que fudge ou scrimgeour!

-L'aurai-je été? JE n'en suis pas sur. J'avai prouvé, jeune, que la puissane était mon

point faible et ma tentation. c'est uen chose curieuse, harry, mais êut etre ce qui sont

le mieux placé pour avoir le pouvoir sont ceux qui ne l'on jamais cherché. Ceux qui,

comme toi, avaient un don pour être leaders, et prenaient la main ccar ils le devaient,

et ont sont surpris de voir que cela leur va bien

j'étais plus en sécurité à poudlard, je pense que j'étais un bon porfesseur

-Le meilleur

-Tu es très gentil, harry,. Mais ant que je m'occuper à entrainer de jeunes sorciers,

grindewald levait une amrée. On disait qu'il avait peur de moi, et peut etre bien, mais,

je pense, que j'avais peur de lui.

Oh, pas de la mort, pas de ce qu'il pouvait me faire magicallement. je savais que si

nous nous rencontrions, je serais légerement plus qualifié.C'etait la vérité dont j'avais

peur,. Vois tu, je n'ai jamais su lequel de nous deux, dans ce dernier et horrible

combat, a lancé le sort qui avait tué ma soeur. Tu peux m'appeler traitre, se serait vrai.

Harry, je craignais par dessus tout de savoir que c'était moi qui avait amené ma soeur

à mourir, et pas seulement a caue de mon arrogance et ma stupidité, qui on fait que sa

vie lui a été retirée.

Je pensais que je saivais, que je savais ce qui me faisait peur. Je retardais notre

rencontre, jusqu'a ce que, finallement, cela aurait été trop honteux d'y résister plus

longtemps. Des eprsonnes mourraient, et cela semblai inarretable., et je devais faire

ce que je pouvais.

Tu sais ce qui est arrivé arpès. j'ai gagné le duel. J'ai gagné la baguette.

D:grindewald a essayé d'empecher voldemort de courir apres la baguette, il a menti,

comme tu le sais, prétendant qu'il ne l'avai jamais eu.

On dit qu'il a montré des remords ces dernieres années, seul dans sa cellule à

nurmengard. J'espere que c'est vrai. J'aimerai penser qu'il ressent l'horreur et la honte

de ce qu'il a fait. Peut etre mentir à voldemort était une façon de se faire pardonner...

pour empecher voldemort de prendre la relique...

-Ou peut etre de pénétrer dans votre tombe?

petite pause

H:vous avez essayé d'utiliser la pierre de résurection. (D fait oui de la tete)

-quand je l'ai découverte, apres toute ces années, enterrée dans la maison abandonnée

de gaunts, la relique que je chercchais plus que tout, (malgré que je la voulais dans

ma jeunesse pour différentes raisons), j'ai perdu la tete, harry. j'en ai presque oublié

que c'était désormais un horcrux, que la bague portait un sort. Je l'ai prise, et mise, et

pour une seconde j'ai imaginié que j'allai voir Ariaina, ma mere, mon pere, et que

j'allais pouvoir leur dire combien j'étai désolé.

J'était un tel imbécile, harry. Après toutes ces années, je n'avais rien appris. J'étais

indigne d'unir les reliques de la mort, je l'avais prouvé tant de fois, et en voila la

preuve finale.

-Pourquoi? c'était naturel? VOus vouliez les revoir! qu'est ce qu'il y a de mal au final?

-peut etre un homme sur un milllion peut unir les reliques, harry? J'étais

seulementcapable de posseder le plus significatif, le moins extraordinaire ; J'étais

capable de posseder the Elder Wand [NDmoi: je ne connais pas la traduction

officielle] , et ne pas m'en vanter, et ne pas tuer avec. IL ne m'étais pas permis de

craner et de l'utiliser, car je l'avai pris, non pas pour le gain, mais pour sauver les

autres d'elle.

Mais la cape, je ne l'ai prise que par curiosité vaine, et ainsi elle n'aurait pu marcher

pour moi comme elle marchait pour toi, son vrai possesseur. La pierre que j'aurai

utilisé pour ramener ceux qui sont en paix, plutot que de permettre mon autosacrifice,

comme tu l'a fait. Tu est le digne possesseur des reliques.

-POurquoi avoir rendu cette quête si difficile?

-J'ai bien peur que je comptais sur miss granger pour te ralentir, harry. j'avais peur

que ta tete brulée domine ton bon coeur. J'étais effrayé, si face à ses tentants objets, tu

prenne possessiondes reliques omme moi, au mauvais endroit au mauvais moment. Si

tu mettais la main dessus, je voulais que tu les possedes en sécurité. Tu es le vrai

maitre de la mort, car le vrai maitre ne cherche pas a fuire la mort. Il accepte le fait

qu'il doive mourir, et comprend qu'il y a beaucoup, bcp plus de choses pires dans le

monde vivant que la mort.

-Et voldemort n'a jamais su a propos des reliques?

-Je ne pense pas, car il n'a pas reconnu la pierre de résurection qu'il a transformé en

horcruxe. Mais meme si il en avait eu connaissance, harry, je doute qu''il se serait

interessé a un autre que le premier. IL n'aurai pas pensé qu'il avait besoin de la cape,

et, idem pour la pierre, quoi voudrait -il ramener de la mort? IL a peur de la mort, il

n'aime pas.

-Mais vous vous attendiez à ce qu'il courre après la baguette?

-j'en était sur qu'il essaierai, surtout depuis que ta baguette l'a battu dans le cimetiere

de Littel HAngleton. Au début, il était effrayé que tu l'ai battu par de meilleurs

compétences. Une fois qu'il a capturé ollivander, il découre l'existence des coeurs

jumeaux. Il pense que cela explique tout, il emprunde une baguette qui n'eest pas

meilleure contre toi! Voldemort, plutot que de se demandé laquelle de tes qualités a

fait que ta baguette soit si puissante, quel don tu possede et pas lui, c'est naturellement

mi en tete de chercher une baguette, qui, dit-on battrai n'importe quelle autre. Pour

lui, the elder wand est devenue une obsession, digne de rivaliser avec son obsession

pour toi. il pense que the elder wand retire son dernier point faible et le fait

véritablement invincible... pauvre severus...

-Si vous aviez prévu avec rogue qu'il vous tue, vous vouliez qu'il prenne possession

de the elder wand, non?

-C'était mon intention, je l'admets. Mais ça n'a pas marché ainsi, n'est-ce pas?

-Non, ça n'a pas marché.

le machin derrière fait du bruit,

H: il faut que je rentre, non?

-c'est ton choix

-j'ai le choix?

-oh oui! Nous sommes à king's Cross [NDmoi: voir ma remarque sur king's cross dans

mon 1er post], tu as dit? Je pense que si tu décidais de ne pas rentre, tu serais capable

de... disons.. prendre un train

-et où m'amènera-t-il?

-dedans.

SILENCE

-voldemort a la baguette de l’ainé;

-oui, voldemort a la baguette de l’ainé.

-Et vous voudriez que je reparte?

-je pense, qui si tu décide de repartir, il y a une chance qu'il soit fini pour de bon. Je

ne peux le promettre. Mais je sais, Harry, que tu as moins à craindre de revenir ici que

lui.

N'ai pas pitié de la mort, harry. Ai pitié de la vie, et au dessus de tout, de ceux qui

vivent sans amour. En repartant, tu peux faire en sorte que moins d'âmes soient

estropiées, moins de familles déchirées. Si cela te semble un but correct, alors nous

devrions nous dire au revoir.

(Harry fait un oui de la tête)

H:Dites moi une dernière chose, est-ce réel? Ou ceci a-t-il eu lieu dans ma tête.

-Bien sur que tout ceci a lieu dans ta tete, mais pourquoi donc cela devrait signifier

que ce n'est pas réel?

11 commentaires:

Anonyme a dit…

Super la trad et merci beaucoup !!!

Au faite je trouve pas le chapitre 34 ?

Anonyme a dit…

c'est du super travail ca merci
Moi non plus je trouve pas le chapirte 34

Anonyme a dit…

Toujours super la traduction, vraiment génial ce que vous faîtes, mais je ne trouve pas le chapitre 34 y a-t-il juste une erreur de chiffre dans les chapitres ou est-ce un oubli ?

Anonyme a dit…

MERCI ENORMEMENT

Petit problème (en fait énorme), tu as oublié le chapitre 34!!!!!

Anonyme a dit…

hello
nous attendons avec impatience le chapitre 34

Anonyme a dit…

comme tout le monde je m'extasie devant le boulot mais s'il te plait fais quelque chose pour le chapitre 34 "encore la forêt" !!!!!

Ginny a dit…

Merci merci encore merci de nous faire plaisir comme cela ta traduction est bien pour les fans comme nous c bien de pouvoir le lire avant octobre mais pour le chapitre 34 un oubli ou une erreur de N° de chapitre

Anonyme a dit…

Salut le chapitre 34 se trouve dans les commentaires du chapitre 33. Merci encore à tous ceux qui ont travaillé à cette traduction pour notre plus grand plaisir!!!!! Merci, Merci et encore Merci!!!

Anonyme a dit…

domage qu'il n'y ai que les parti dialogue et plus aucune phrase . mais bon c'est gentil quand meme.

Anonyme a dit…

je crois que la personne qui a écrit le com juste avant moi à été trop poli . d'autant les debut est nikel d'autan apres ca y a pu rien c'ést que du dialogue . c'est pas une piece de théatre vous savé. pour la peine jlai corigé :) lol comme ca on pe pa m'accusé de critiqué et de ne rien faire lol . mais je doi qd meme dire que les dialogue sont bien traduit lol . voila voila





Chapitre 35
King's Cross


Il était étendu face contre terre, écoutant le silence. Il était parfaitement seul.
Personne ne regardait. Personne d'autre n'était là. Il n'était même pas sur d'être là lui-même.
Un long moment après, ou peu être pas de temps du tout, il lui vint à l'esprit qu'il
devait exister, qu'il devait néanmoins être plus que désincarné, parce qu'il était
étendu, sans aucun doute étendu, sur une surface quelconque. Donc il avait le sens du
toucher, et la chose contre laquelle il était étendu existait également.
Au moment même où il était arrivé à cette conclusion ou presque, Harry pris
conscience qu'il était nu. Convaincu qu'il était absolument seul, cela ne l'inquiéta pas,
mais ça l'intriguait un peu. Il se demanda si, comme il pouvait sentir, il pourrait être
capable de voir. En les ouvrant, il découvrit qu'il avait des yeux.
Il était étendu sur un brouillard lumineux, bien qu'il ne soit pas comme le brouillard
qu'il avait vu avant. Ses alentours n'étaient pas cachés par de la vapeur
nuageuse; la vapeur nuageuse ne s'était pas encore formés à ses alentours. Le sol sur
lequel il était étendu semblait être blanc, ni chaud ni froid, mais simplement là, un
quelque chose plat, blanc sur lequel être.
Il s'assit. Son corps apparu indemne. Il toucha son visage. Il ne portait plus de
lunettes.
Puis un bruit l'atteint à travers l'informe rien qui l'encerclait: le petit bruit sourd doux
de quelque chose qui bougeait, fouettait et luttait. C'était un bruit pitoyable, et un peu
indécent aussi. Il avait le sentiment inconfortable qu'il était en train d'écouter aux
portes de quelque chose de furtif, honteux.
Pour la première fois, il souhaita être habillé.
Le souhait s'était à peine formé dans sa tête qu'une robe de sorcier apparu un peu plus
loin. Il la prit et l'enfila. Elle était douce, propre et chaude. C'était extraordinaire
comme elle était apparue juste comme ça, au moment où il l'avait voulue…
Il se leva, regardant autour de lui. Était-il dans une sorte de grande salle sur demande?
Plus il regardait, plus il y avait à regarder. Un grand toit de verre en forme de dôme
brillait haut au dessus de lui à la lumière du soleil. Peut être était-ce un palais. Tout
était étouffé et immobile, sauf les bruits bizarres sourds et gémissents qui venaient
de quelque part près du brouillard...
Harry tourna lentement, et les alentours semblaient s'inventer eux-mêmes devant ses
yeux. Un espace grand ouvert, brillant et propre, un hall bien plus grand que la grand
salle, avec ce plafond de verre clair en forme de dôme. Il était presque vide. Il était la
seule personne ici, excepté de …
Il recula. Il avait repéré la chose qui faisait le bruit. Il avait la forme d'un petit enfant
nu, courbé sur le sol, sa peau à vif et rugueuse, semblant écorchée, et il était étendu
gigotant sous un siège où il avait été laissé, involontairement, mis hors de vue, essayant de
sortir pour respirer.
Il avait peur de cette chose. Petit et fragile et étant blessé, il ne voulait pas
l'approcher. Néanmoins il s'approcha lentement plus près, prêt à bondir en arrière à
tout moment. Bientôt, il se tenait assez près pour le toucher, mais il ne pouvait pas
encore se résoudre à le faire. Il eu le sentiment d'être un lâche. Il devait le réconforter,
mais il le dégoûtait.
" Tu ne peux pas l'aider. "
Il se tourna. Albus Dumbledore marchait dans sa direction, se tenant droit, portant
une robe d'un bleu nuit.
" Harry " Il ouvrit grand ses bras, et ses mains étaient toutes les deux entières et
blanches et intactes. " Merveilleux garçon. Courageux, courageux garçon. Allons marcher."
Abasourdi, Harry suivit tandis que Dumbledore marchait à grand pas loin de l'endroit
où l'enfant écorché était étendu, gémissant, l'entraînant vers deux sièges que Harry
n'avaient pas vu auparavant, prenant de la distance sous ce haut, plafond étincelant.
Dumbledore s'assit dans l'un d'eux, et Harry tomba dans l'autre, fixant le visage de son
vieux directeur. Les longs cheveux et la barbe grise, les yeux bleus perçants derrière
les lunettes en demi-lune, le nez aquilin: tout était comme il s'en souvenait. Et
pourtant…
" Mais vous êtes mort " dit Harry.
" Oh oui " dit Dumbledore pragmatiquement.
" Alors… Je suis mort moi aussi? "
" Ah " dit Dumbledore, souriant encore plus largement. " C'est la question n'est-ce
pas? Dans l'ensemble, cher garçon, je ne pense pas que tu sois mort. "
Il se regardèrent l'un l'autre, le vieil homme toujours rayonnant.
" Pas mort? " répéta Harry.
" Pas mort " dit Dumbledore.
" Mais… " Harry leva sa main instinctivement vers la cicatrice en forme d'éclair. Elle
ne semblait pas être là. " Mais j'aurais du mourir - je ne me suis pas défendu! Je
voulais le laisser me tuer! "
" Et ça " dit Dumbledore " aura, je pense, fait toute la différence "
Le bonheur semblait irradier de Dumbledore comme de la lumière; comme du feu,
Harry n'avait jamais vu cet homme si absolument, si palpablement content.
" Expliquez moi " dit Harry.
" Mais tu le sais déjà " dit Dumbledore. Il joint ses doigts ensembles.
" Je l'ai laissé me tuer " dit Harry, " N'est ce pas? "
" Tu l'as fait " dit Dumbledore, acquiescant " Continue! "
" Donc la partie de son âme qui était en moi… "
Dumbledore acquiesça avec encore plus d'enthousiasme, encourageant Harry à
continuer, un large sourire d'encouragement sur son visage.
" est-ce qu'elle est partie? "
" Oh oui! Dit Dumbledore. " Oui, il l'a détruite. Ton âme est entière, et entièrement la
tienne Harry. "
" Mais alors… "
Harry regarda par-dessus son épaule vers la petite créature mutilée qui tremblait sous
la chaise.
" Qu'est ce que c'est Professeur? "
" Quelque chose qui va au-delà de notre aide " dit Dumbledore.
" Mais si Voldemort a utilisé le sortilège de la mort " recommença Harry " et que
personne n'est mort pour moi cette fois, comment puis-je être en vie? "
" Je pense que tu le sais " dit Dumbledore " Penses y. Rappelle toi ce qu'il a fait, dans
son ignorance, dans son avidité et sa cruauté. "
Harry pensa. Il laissa son regard s'égarer autour de lui. Si c'était en effet un palais
dans lequel ils étaient assis, c'en était un bizarre, avec des chaises en petit rangs et des
barrières ici et là, et encore, lui et Dumbledore et la créature chétive sous la chaise qui
étaient les seules personnes vivantes présentes. Puis la réponse s'éleva de ses lèvres
facilement, sans efforts.
" Il a pris mon sang " dit Harry.
" Précisément! " dit Dumbledore " Il a pris ton sang et reconstruit son corps avec lui!
Ton sang dans ses veines Harry, La protection de Lily à l'intérieur de vous deux! Il t'a
enchaîné à la vie tant qu'il vit! "
" Je vis… tant qu'il vit? Mais je pensais… je pensais que c'était l'autre moyen! Je
pensais que nous devions tous les deux mourir? Ou est ce que c'est la même chose? "
Il était distrait par les gémissements et les battements de la créature agonisante
derrière eux et lui jeta un regard une nouvelle fois.
" Vous êtes sur qu'on ne peut rien faire? "
" Il n'y a pas d'aide possible. "
" Alors expliquez moi … plus " dit Harry et Dumbledore sourit.
" Tu étais le septième Horcrux Harry, l'Horcrux qu'il n'avait jamais eu l'intention de
faire. Il a rendu son âme tellement instable qu'elle s'est brisée quand il a commis ces
actes démoniaques impensables, les meurtres de tes parents, la tentative de tuer un
enfant. Mais ce qui s'est échapé de cette chambre était encore moins que ce qu'il
pensait. Il a laissé plus que son corps derrière lui. Il a laissé une partie de lui-même
verouillée en toi, la future victime qui a survécu.
" Et sa connaissance reste lamentablement incomplète, Harry! Ce que Voldemort
n'estime pas, il ne prend pas la peine de le comprendre. Des elfes de maison et des
contes pour enfants, de l'amour, la loyauté, et l'innocence, Voldemort ne connaît et ne
comprend rien. Rien. Qu'ils ont tous un pouvoir au dessus du sien, un pouvoir au-delà
de l'atteinte de n'importe quel magie, est une vérité qu'il n'a jamais comprise.
" Il a pris ton sang en pensant qu'il lui donnerait de la force. Il a pris dans son corps
une petite part de l'enchantement que ta mère à mis en toi quand elle est morte pour toi.
Son corps garde son sacrifice en vie, et tant que l'enchantement survit, tu survis et le
dernier espoir de Voldemort pour lui-même survit aussi "
Dumbledore sourit à Harry et Harry le regarda.
" Et vous saviez tout ça? Vous saviez - tout ce temps? "
" Je le devinais. Mais mes pensées ont été généralement exactes " dit Dumbledore
joyeusement, et ils restèrent assis en silence pendant ce qui sembla être un long
moment, pendant que la créature derrière eux continuait à trembler et à gémir.
" Il y a plus’ dit Harry " Il y a plus que ça. Pourquoi ma baguette a cassé la baguette
qu'il avait emprunté? "
" Encore une fois, je ne peux pas être sur "
" Essayez de deviner alors " dit Harry et Dumbledore se mit à rire.
" Ce que tu dois comprendre Harry, c'est que Lord Voldemort et toi avez voyagé
ensemble dans des domaines de la magie jusqu'alors inconnus et non testés. Mais
voilà ce que je pense qu'il s'est passé, et c'est sans précédent, et aucun fabriquant de
baguette ne pouvait je pense avoir prédit ou expliqué ça à Voldemort.
" Sans le vouloir, comme tu le sais maintenant, Lord Voldemort à doublé le lien entre
vous quand il est revenu à une forme humaine. Une partie de son âme était toujours
attachée à la tienne, et, pensant se rendre plus fort, il a pris une partie du sacrifice de
ta mère en lui-même. Si seulement il avait pu comprendre le terrible et exact pouvoir
de ce sacrifice, il n'aurait peut être pas osé toucher à ton sang… Mais alors, si il avait
été capable de le comprendre il ne serait pas Lord Voldemort, et n'aurait peut être
jamais tué.
" Ayant renforcé cette connection, ayant lié vos destins ensemble plus que deux
sorciers n'ont jamais été liés dans l'histoire, Voldemort t'a attaqué avec une baguette
qui partage un coeur avec la tienne. Et qqch de vraiment étrange c'est produit, comme
nous le savons; Les coeurs on réagi ensemble d'une façon que Lord VOldemort, qui
ne savait pas que ta baguette était jumelle de la sienne, n'aurait jamais supposé.
" Il était plus effrayé que toi cette nuit là, harry.Tu as accepté, et meme étreint cette
possiblité de mourir, qqch que lord voldemort n'aurai jamais été capable de faire.
Ton courage a gagné, ta baguette a battu la sienne. Et ainsi, quelquechose c'est passé
entre ces baguette, quelquechose qui rappelle la relation entre leurs maitres.
" Je pense que ta baguette a imbibé quelques unes des puissances et qualités de celle de
voldemort cette nuit, ce qui revient à dire un petit peu de Voldemort lui meme. Ainsi
ta baguette l'a reconnu quand il t'a poursuivi, a recconnu un homme qui était a la fois
un énemi familier et mortel, et ainsi elle a régurgité un peu de sa magie contre lui, une
magie bien plus pussante que celle de Lucius aurait pu produire. Ta baguette contient
désormais la puissance de ton énorme courage, et le propre niveau mortel de
Voldemort. Quelle chance avait le pauvre baton de lucius malefoy?
" Mais si ma baguette était plus puissante, comment hermione a pu la casser? "
" Mon cher garçon, ses effets remarquables sont dirigés uniquement vers voldemort,
qui a cherché à trafiquer tellement maladivement avec les lois les plus profondes de la
magie. Seuls contre lui ta baguette était anormallement puissante. Autrement, c'est
une baguette comme une autre... Mais une bonne, j'en suis sur. "
" il m'a tué avec votre baguette "
" il n'a pas reussi à te tuer avec ma baguette " corrigea dumbledore. " Je pense que nous
pouvons etre d'accord sur le fait que tu n'es pas mort, malgré que, bien sur," ajouta t-il ayant peur que
ce soit discourtois, " je ne minimise pas tes souffrances, qui sont certainement séveres."
" Je me sentais fort à ce moment " dit harry regardant main propre, sans tache."Où sommes
nous exactement ? "
" Et bien , j'allais te demander la meme chose, " dit Dumbledore, regardant autour. " Où diriez-vous
que nous sommes ? "
Jusqu'a ce que Dumbledore demande, Harry ne savait pas. Maintenant, toute fois,, il constatai qu'il
était prêt a donner une réponse.
" Ca ressemble, " dit il doucement, " comme la station de king's cross. Excepté que c'est plus propre,
et vide, et il n'y as pas de train aussi loin que je puisse voir ."
" La station de King's Cross !" gloussait immodérément. " Mon Dieu, vraiment ?"
" Ben, ou pensez vous que nous sommes ? " demanda harry , un peu sur la defensive.
" Mon chère garçon, je n'en ai aucune idée. Ceci est, si l'on peut dire, ta partie."
Harry n'avait aucune idée de ce que cela voulait dire; Dumbledore se mis en colère.
Il lui a lancé un regard furieux, lui rappelant un certain nombre de question plus urgente que celle
de leur endroit actuel.
" les reliques de la mort ", dit il, heureux de voir que ces mots avaient rendu le sourire au visage
de dumbledore.
" Ah, oui " dit il. Il semblait meme un peu s'inquiété.
" et bien? "
Pour la 1er fois depuis que harry avait rencontré dumbledore, Il le vi moin vieux, beaucoup moin.
Il le regardait, fugitivement, comme un petit garçon attrapé dans les méfaits.
" peux tu me pardonner? " dit il. " peux tu me pardonner de ne pas t'avoir fait confiance? pour
ne pas te l'avoir dit? Harry, j'avais juste peur que tu rate comme j'ai raté. je craignais
que tu fasses les meme erreurs que moi. Je te demande pardon, harry. Je sais,
depuis quelque temps maintenant, que tu es un meilleur homme.
" de quoi parlez vous?" demanda harry, surpris par le ton de dumbledore, par les soudaines dechirures
dans ses yeux.
" les reliques, les reliques! " murmura dumbledore " le reve d'un homme désepéré!"
"mais elles sont réelles!"
" réelles, et dangereuses, et un leure pour les imbéciles!" dit dumbledore. " j'étais un tel imbécile. Mais tu
le sais, non? je n'ai plus de secrets pour toi désormais. Tu le sais."
" Que sais-je? "
Dumbledore se tourna face a Harry, les larmes étincelaient toujours dans ses brillant yeux bleu.
" le maitre de la mort, harry, le maitre de la mort! étais-je meilleur, finalement, que
voldemort ?"
" Bien sur que vous l'étiez!" dit harry. " biensure .... comment pouvez vous demander ca! vous n'avez jamais
tué si vous pouviez l'éviter! "
"c'est vrai, c'est vrai." dit dumbledore, il était comme un enfant cherchant à etre rassuré. "moi aussi, je
cherchais un moyen de conquérir la mort, harry."
" pas de la meme maniere essayant de defendre voldemort contre lui-meme." les reliques, pas les horcruxes! "
"Les reliques" murmura dumbledore, "pas les horcruxes.exactement."
Il y eu une pause. La créature derrière eux gémi, mais harry ne se retourna pas.
" Grindewald les cherchai aussi ?" demanda t il.
Dumbledore ferma ses yeux un moment et fit un signe de tete..
" Cétait la chose, au dessus de toutes, qui nous liai ensemble. " dit il rapidement." deux garçons brillant, arrogant,
avec une obsession partagée; IL voulai venir à godric hollow,et j'en suis sur vous avez deviné, a cause de la gravure sur la tombe
d'ignotus peverell. IL voulait explorer l'endroit ou le 3e frere est mort. "
" donc c'est vrai?" demanda harry. "tout ca? les freres peverell... "
" sont les 3 freres du conte," dit dumbledore,hochant la tete. "Oh oui, je le pense. Meme si ils ont rencontré la Mort
sur une route solitaire; Je pense plus que les frere peverell sont simplements des
sorciers doués, dangereux, qui ont eu leur succes en créant ces puissants objets.
L'histoire que ce sont les reliques de la mort est pour moi une sorte de légende qui est
sortie de tels objets.
La cape, comme tu le sais, a voyagé a travers les ages, de pere en fils, de mere en
fille, jusqu'au dernier descendant de ignotus, qui est né, comme ignotus, dans le
village godric's hollow.
Dumbledore souria a harry.
"MOi?"
" Toi. Tu as deviné, je le sais, que la cape était en ma possession la nuit ou tes parents
sont morts.James me l'avai montré juste quelques jours avant. cela expliquait tant de
ses méfaits à l'école! Javais du mal a croire ce que je voyais. Je lui ai demandé de me
la preter, pour que je l'examine. J'avais depuis longtemps abandonné le reve de réunir
les reliques, mais je ne pouvais résister, je ne pouvais empecher d'y jeter un plus
profond regard. C'etait une cape comme je n'en avai jamais vue, incroyablement
vieille, parfaite sous tous les aspects... Et ensuite ton pere est mort, j'avai finalement deux
reliques à moi! "
Son ton était insuportablement rempli d'amertume.
" La cape ne les aurai cependant pas aidé à survivre." dit harry rapidement. " Voldemort savait ou mon pere et
ma mere étaient. La cape ne les aurait pas rendu insensibles aux sorts."
" Vrai." repondit Dumbledore. " Vrai."
Harry attendit, mais Dumbledore de parla pas, alors il le rompi le silence.
" Donc vous aviez abandonné la quete des reliques au moment ou vous avez vu la
cape? "
"Oh, oui."dit Dumbledore faiblement.Se forcant a regardé dans les yeux de harry.
" tu sais ce qui c'est passé, tu le sais. tu ne peux me m'en vouloir plus que je
m'en veux."
"mais je ne vous en veux pas..."
" alors tu devrais."dit dumbledore.Il pri une pronfonde inspiration." Tu sais le secret de ma soeur malade,
tu sais ce qu'on fait ces moldus, ce qu'elle est devenu, que mon pere a cherché la vengence, et en a payé le
prix, mort à azkaban. Tu sais comment ma mere a oublié sa vie pour s'occuper
d'ariana.
"Je le resentais, harry.
"j'étais doué, brillant, je voulais m'échapper. Je voulais briller. Je voulais la gloire.
Comprends moi bien, je les aimais, j'amais mes parents, mon frere et ma soeur, mais
j'étais égoiste, harry, plus égoisite que toi, qui est une personne très peu égoiste, dure
à imaginer.
Ainsi, quand ma mere est morte, j'ai eu la responsabilité d'une soeur endommagée,et
d'un frere rebelle. Je suis retourné avec peur et appréhension dans mon village. Piegé
et perdu, je pensais! Et ensuite, il est venu..."
Dumbledore regarda encore une fois ds la direction des yeux de harry .
"Grindewald. Tu ne peux imagnier comment ses idées me refletaient , m'enflammaient.
les Moldus forcés à la servitude. Nous, sorciers, triomphants. grindewald et moi, les
jeunes et glorieux leaders de la révolutions.
"Oh, j'avais quelques scrupules. Je soulageait mas conscience avec des mots vide.
pour un meilleur bien, et chaque violence serait cent fois plus bénéfique pour le
monde magique. je savais, au fond de mon coeur qui grindenwal était? je le
pensais,mais je fermais les yeux. Si les plans que nous faisions étaient fructifiants,
tous mes reves deviendraient vrai.
"Et au coeurs de nos plans, les reliques de la mort! comment elles le facinaient,
comment elles nous facinaient! la baguette imbattable, l'arme qui nous menerai au
pouvoir! la pierre de résurection -pour lui, bien que je prétendais ne pas le savoir,
signifiaient une armée d'inferi! POur moi, je le confesse, signifiaient le retour de mes
parents, et enlevait toute responsabilité de mes épaules.
"Et la cape.. d'une certaine façon, nous n'avions jamais discuté de la cape, harry. Nous
réussissions assez bien sans la cape, la seule magie qui, bien sur, protege aussi bien
les autres que son possesseur. Je pensais que si nous la trouvions, elle pourait etre
utile pour cacher ariana, mais notre interet pour la cape était surtout car qu'elle completait le
trio, car la légende dit que celui qui les réuni deviendrai le vrai , maitre de la mort, ce qui signifiait, invincibles.
" Les invincibles maitres de le mort, grindewald et dumbledore! deux mois d'insanité, de
reves cruels, de négligence envers les deux derniers membres que ma famille m'a laissé.
" Et après ... tu sais ce qui c'est passé.La réalité est revenue, sous la forme d'un rude, illétré, et
infiniment plus admirable frere. Je ne voulais pas entendre la vérité qu'il me criait.
Je ne voulais pas entendre que je ne pouvais pas continuer ma quete des reliques avec
une soeur fragile et instable sous ma responsabilité.
" Cet argument est devenu une bataille. Grindewald a perdu son controle. Je lui avait
toujours paru censé, désormais tirés dans cette terrible existence. Et ariana... apres les
soins de ma mere... est morte sur le plancher."
Dumbledore donna un petit halètement et commenca a pleurer. Harry était heureux de voir que ca pouvais
le toucher: il pris son bras et dumbledore repris progressivement son control .
"BOn, grindewald est parti, comme personne sauf moi aurait pu le prédire. Il a
disparu, avec ses plans de conquerir le pouvoirs, et ses idées de torture de moldus, et
ses reves des Reliques de la mort, reves que j'encourageais et que j'aidai. IL est parti,
je suis rester enterrer ma soeur et j'ai appri a vivre avec ma culpabilité, et mon terrible
grief, le prix de ma honte.
"Des années sont passés. il y avait des rumeurs sur lui. elles disaient qu'il s'était
procuré une baguette d'un immense pouvoir. Je me suis vu, en meme tps, proposé le
poste de Ministre de la magie, pas une,mais plusieurs fois. naturellement, j'ai refusé.
j'avais appri que l'on ne pouvais pas me faire confiance avec du pouvoir.
"Mais vous auriez été meilleur, bien meilleur que fudge ou scrimgeour!" rétorqua harry
"L'aurai-je été? " demanda dumbledore lourdement "JE n'en suis pas sur. J'avai prouvé,
jeune, que la puissane était mon point faible et ma tentation. c'est une chose curieuse,
harry, mais peut etre ce qui sont le mieux placé pour avoir le pouvoir sont ceux qui ne l'on
jamais cherché. Ceux qui, comme toi, avaient un don pour être leaders, et prenant la cape
car ils le devaient, et en sont surpris de voir que cela leur va bien j'étais plus en sécurité à
poudlard, je pense que j'étais un bon professeur
" Le meilleur"
" Tu es très gentil, harry,. Mais tant que je m'occuper à entrainer de jeunes sorciers,
grindewald levait une armée. On disait qu'il avait peur de moi, et peut etre bien, mais,
je pense, que j'avais peur de lui.
"Oh, pas de la mort," dit dumbledore en repondant au regard interrogateur d'harry." pas de ce
qu'il pouvait me faire par magie. je savais que si nous nous rencontrions, je serais légerement
plus qualifié.C'etait la vérité dont j'avais peur,. Vois tu, je n'ai jamais su lequel de nous deux,
dans ce dernier et horrible combat, a lancé le sort qui avait tué ma soeur. Tu peux m'appeler traitre, se serait vrai.
Harry, je craignais par dessus tout de savoir que c'était moi qui avait amené ma soeur
à mourir, et pas seulement a caue de mon arrogance et ma stupidité, qui on fait que sa
vie lui a été retirée.
" Je pensais que je savais, que je savais ce qui me faisait peur. Je retardais notre
rencontre, jusqu'a ce que, finallement, cela aurait été trop honteux d'y résister plus
longtemps. Des personnes mourraient, et cela semblai inarretable., et je devais faire
ce que je pouvais.
" Tu sais ce qui est arrivé après. j'ai gagné le duel. J'ai gagné la baguette."
Il y eu un autre silence. harry ne demanda pas si dumbledore avait trouvé qui avait
tué ariana.Il ne voulait pas le savoir et laissait a dumbledore le choix de lui dire.Il su enfin
ce que dumbledore avait vu en regardant ds le miroir du rised et pourquoi dumbledore était si
compréhensif sur la fascination que le miroir exercai sur harry.
Ils s'assirent en silence pendant un long moment, les gemissements de la créature derrière
eux ne semblait plus dérangé Harry à présent.
Finallement il dit, " grindewald a essayé d'empecher voldemort de courir apres la baguette. Il a menti,
comme tu le sais, prétendant qu'il ne l'avai jamais eu.
Dumbledore fit un signe de tete, regardant ses genoux, les larmes toujours scintillante au bout de son
nez tordu.
" On dit qu'il a montré des remords ces dernieres années, seul dans sa cellule à
nurmengard. J'espere que c'est vrai. J'aimerai penser qu'il ressent l'horreur et la honte
de ce qu'il a fait. Peut etre mentir à voldemort était une façon de se faire pardonner...
d'empecher voldemort de prendre la relique...
" ...Ou peut etre de pénétrer dans votre tombe?" suggera harry et dumbledore cligna des yeux ( nanis : hein??!! dabbed his eyes)
Apres une autre courte pause, harry dit "vous avez essayé d'utiliser la pierre de résurection. "
Dumbledore acquiessa.
" Quand je l'ai découverte, apres toute ces années, enterrée dans la maison abandonnée
de gaunts, la relique que je cherchais plus que tout, (malgré que je la voulais dans
ma jeunesse pour différentes raisons), j'ai perdu la tete, harry. j'en ai presque oublié
que c'était désormais un horcrux, que la bague portait un sort. Je l'ai prise, et mise, et
pour une seconde j'ai imaginié que j'allai voir Ariana, ma mere, mon pere, et que
j'allais pouvoir leur dire combien j'étai désolé.
"J'était un tel imbécile, harry. Après toutes ces années, je n'avais rien appris. J'étais
indigne d'unir les reliques de la mort, je l'avais prouvé tant de fois, et en voila la
preuve finale.
"Pourquoi? " dit harry "c'était naturel? VOus vouliez les revoir! qu'est ce qu'il y a de mal au final?"
" peut etre un homme sur un milllion peut unir les reliques, harry? J'étais
seulement capable de posseder le plus significatif, le moins extraordinaire ; J'étais
capable de posseder la baguette de l'ainée , et ne pas m'en vanter, et ne pas tuer avec. IL ne m'étais pas permis de
le crier sur les toits et de l'utiliser, car je l'avai pris, non pas pour le gain, mais pour sauver les
autres d'elle.
" Mais la cape, je ne l'ai prise que par curiosité vaine, et ainsi elle n'aurait pu marcher
pour moi comme elle marchait pour toi, son vrai possesseur. La pierre que j'aurai
utilisé pour ramener ceux qui sont en paix, plutot que de permettre mon autosacrifice,
comme tu l'a fait. Tu est le digne possesseur des reliques. "
"Pourquoi avoir rendu cette quête si difficile?
Le sourire de Dumbledore était tremblant.
" J'ai bien peur que je comptais sur miss granger pour te ralentir, harry. j'avais peur
que ta tete brulée domine ton bon coeur. J'étais effrayé, si face à ses tentants objets, tu
prenne possession des reliques comme moi, au mauvais endroit au mauvais moment. Si
tu mettais la main dessus, je voulais que tu les possedes en sécurité. Tu es le vrai
maitre de la mort, car le vrai maitre ne cherche pas a fuire la mort. Il accepte le fait
qu'il doive mourir, et comprend qu'il y a beaucoup, bcp plus de choses pires dans le
monde vivant que la mort.
" Et voldemort n'a jamais su a propos des reliques?"
" Je ne pense pas, car il n'a pas reconnu la pierre de résurection qu'il a transformé en
horcruxe. Mais meme si il en avait eu connaissance, harry, je doute qu''il se serait
interessé a un autre que le premier. IL n'aurai pas pensé qu'il avait besoin de la cape,
et, idem pour la pierre, quoi voudrait -il ramener de la mort? IL a peur de la mort, il
n'a pas d'amour."
" Mais vous vous attendiez à ce qu'il cour après la baguette?"
" j'en était sur qu'il essaierai, surtout depuis que ta baguette l'a battu dans le cimetiere
de Little Hangleton. Au début, il était effrayé que tu l'ai battu par de meilleurs
compétences. Une fois qu'il a capturé ollivander, il découvri l'existence des coeurs
jumeaux. Il pensait que cela expliquait tout, il emprunta donc une baguette qui n'etait pas
meilleure contre toi! Voldemort, plutot que de se demandé laquelle de tes qualités a
fait que ta baguette soit si puissante, quel don tu possede et pas lui, s'est naturellement
mi en tete de chercher une baguette, qui, dit-on battrai n'importe quelle autre. Pour
lui, la baguette de l'ainée est devenue une obsession, digne de rivaliser avec son obsession
pour toi. il croit que la baguette de l'ainée retire sa faiblesse et le rend
véritablement invincible... pauvre severus..."
" Si vous aviez prévu votre mort avec rogue, vous vouliez qu'il prenne possession
de la baguette de l'ainée, non? "
" J'admet que c'était mon intention." dit Dumbledore, " Mais ça n'a pas marché ainsi, n'est-ce pas?"
" Non," dit harry " ça n'a pas marché."
La créature derrière eux donnait des coup et gemissait, et Harry et Dumbledore restèrent assi sans parler
pendant ecore un long moment. iI réalisa progressivement ce qui allait arrivé.(nanis:pas sur du tout:p578 :( j'arive pa traduir la phrase dsl fin c pa super importan non plus !).
" il faut que je rentre, non?"
" Ca dépend de toi "
" j'ai le choix? "
" oh oui!" Dumbledore lui sourit "Nous sommes à king's Cross , tu as dit?
Je pense que si tu décidais de ne pas rentrer, tu pourrais ... comment dire... prendre un train."
" et où m'amènera-t-il?"
" dedans." dit simplement dumbledore
Un silence encore .
" voldemort a la baguette de l’ainé "
" oui, voldemort a la baguette de l’ainé."
" Et vous voudriez que je reparte?"
" je pense, " dit Dumbledore , " que si tu décidai de repartir, il y aurai une chance qu'il soit fini pour de bon. Je
ne peux le promettre. Mais je sais, Harry, que tu as moins à craindre de revenir ici que
lui. "
"N'ai pas pitié de la mort, harry. Ai pitié de la vie, et au dessus de tout, de ceux qui
vivent sans amour. En repartant, tu peux faire en sorte que moins d'âmes soient
estropiées, moins de familles déchirées. Si cela te semble un but correct, alors nous
devrions nous dire au revoir maintenant.
Harry acquiessa et soupira. Partir de cette endroit n'était pas aussi difficile que d'avoir marcher dans la foret,mais
c'était calme, lumineux et paisible ici. Il se leva, ainsi que dumbledore, et se regardèrent l'un l'autre pedant un long
moment.
" Dites moi une dernière chose," dit harry " est-ce réel? Ou ceci a-t-il eu lieu dans ma tête."
Dumbledore lui sourit, et le son de sa voix profonde et forte résonait dans les oreilles de harry pendant que la lumiere
diminuait et que l'obscurité gagnait son visage .
" Bien sur que tout ceci a lieu dans ta tete, mais pourquoi donc cela devrait signifier que ce n'est pas réel ? "

Anonyme a dit…

slt à tous juste pour savoir ou se trouve le chapitre 34 il est pas encore traduit? merci de repondre
sinon merci a tous ceux qui ont traduit c est vraiment du beau travail
@+